COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (2/3)
Merde, je suis piégé, moi qui pensais avoir tout fait pour que Coach mon mari, ignore les turpitudes faites avec la plupart des joueurs de l’équipe qu’il entraîne.
Je suis rattrapée par une petite vidéo me montrant dans le lit conjugal la bite de Sylvain capitaine de l’équipe des U18 dans ma bouche et Adrien, un autre joueur me prenant en levrette.
Ce qui m’interpelle, c’est le lieu du rendez-vous où je dois me faire sauter sur le capot de ma voiture.
La clairière dans la forêt.
C’est là que chaque samedi, je dépose ma voiture avant de courir le long des sentiers ombragés, même Coach ignore que j’ai trouvé cet endroit.
Je suis obligée d’aller au rendez-vous de mon maître chanteur.
Suis-je bête, si j’y vais, je verrai qui est au point de rendez-vous, j’aurais tout le temps d’aviser et de repartir ?
C’est sûrement celui qui a pris la vidéo et qui veut se payer sur la bête.
Afin d’être à l’heure prévue, je démarre ma voiture un peu en avance.
J’en ai déjà tellement fait que je suis curieuse de la suite des évènements.
Dans la clairière là où mon suborneur m’a donné, rendrez-vous, une voiture inconnue, je me gare à ses côtés, un jeune homme descend.

• Clément, c’est toi le petit salopard qui m’a filmé l’autre nuit et qui me fait du chantage.
Alors comme ça, tu vas me baiser sur le capot de ma voiture !
• Madame Ludivine, c’est vous qui m’avez envoyé un message me demandant de venir dans cette clairière et que vous m’enlèveriez mon pucelage.
J’ignore ce que vous avez fait avec les autres, moi dès qu’ils ont couché votre mari sur le canapé et que les choses ont commencé à déraper, je suis parti.

Un puceau piégé lui-même, qui peut vouloir me faire chanter.
Le mystère s’épaissit, il faut que je m’exécute, je m’approche, il a mis du parfum.

• Votre mail disait que vous êtes très sensible des seins, vous pouvez me les montrer, je suis parti sans les voir.

Je soulève mon tee-shirt, sachant que je devais me faire baiser, je suis nue, simplement recouverte de ce morceau de tissu et d’un short très collant.
Je suis partie comme à mon habitude, afin d’éviter les questions qu’aurait pu se poser Coach.
Sans problème, il me caresse, pince même mes tétons, les faisant bander.
Rapidement, je m’échauffe comme à mon habitude.
Il me faut la bite de ce jeune puceau, inutile que je le suce, il se colle à mon pubis, il bande.
Je me retourne, m’appuie sur ma voiture, il fait descendre mon short à mes pieds.
Je libère une jambe que je pose sur le capot dégageant ma chatte.
Il me souffle dans la nuque et me pénètre m’apportant d’un coup une grande jouissance.
Un puceau de moins dans notre ville, une salope de plus ignorant toujours qui puisse être son maître chanteur.
Une fois qu’il a rapidement déchargé comme s’il avait honte, je le sens remonter son pantalon de survêtement aux couleurs du club et démarrer sa voiture comme s’il avait le feu aux fesses.
Je me rajuste récupérant simplement le sperme dans un mouchoir que je jète dans la poubelle placée à la sortie de cette clairière.
De retour à la maison, Coach rentre de sa boîte, il est guilleret, il a signé un contrat, je me prépare pour la nuit, je suis couchée, il vient derrière moi.

• Le petit oiseau est de sortie.

Je connais bien cette phrase, elle me rassure, qui ferais sauter sa femme par un autre et qui la baiserait dans la foulée.
Lui aussi me pince les seins, lui aussi me prend à la cuillère, lui aussi me fait jouir.

L’été avançant, je pensais que mon harceleur avait pris son plaisir à me faire faire l’amour à ce jeune garçon, le dépucelant au passage.
C’est le moment que choisit mon portable me rappelant à son bon souvenir.
Nouvelle vidéo et mail.

• Alors ma belle salope, tu croyais que tu étais débarrassé de moi.
Regarde ce que j’ai filmé dans la clairière de la forêt.
Demain, 14 heures, au gymnase près du complexe de foot, la salle étant omnisports, on y fait des banquets.
La porte de la cuisine sera ouverte, tu y as rendez-vous.
J’ai bien aimé ta tenue, le petit a eu facile à te baiser.
Le Kleenex avec lequel tu as essuyé ta chatte est devant moi.
Soit à l’heure.

Nul besoin qu’il me fasse du chantage d’envoyer la vidéo à mon mari, depuis la clairière, c’est implicite.
Bien sûr que j’y vais, tout ceci finit par m’amuser surtout que chaque fois j’y prends du plaisir, j’ai de moins en moins de scrupules, même si j’ai tendance de mettre mon couple en péril.
La cuisine est vide, sur le plan de travail, une feuille blanche du moins de loin je le pense.
Non, un texte y est apposé tapé à la machine ou l’ordi.

« Nouvelle et presque dernière étape, derrière cette porte, j’ai aménagé la salle pour que tu puisses faire une démonstration de gymnastique comme tu le faisais dans ta jeunesse.
Je sais que tu es venue au foot après une crise de croissance, t’ayant tellement tu avais grandi ce qui t’a interdit de pratiquer divers agrès.
C’était disgracieux et tu pénalisais ton équipe, les juges préférant les petites poupées aux grandes sauterelles dans ton genre.
Mets-toi à poil et entre dans la salle, fais-moi une démonstration de tes talents de gymnaste malgré ta grande taille.
Bien sûr, repart et tu connais la suite... »

Bien sûr, est-ce possible, mon maître chanteur, c'est Sylvain, mon premier amant.
Qui peut savoir que dans ma jeunesse, j’ai fait de la gymnastique.
Qui c’est que c’est ma taille devenue disgracieuse qui m’a fait bifurquer vers le foot ?
Gwendeline, qui me jalousait en ce temps-là d’être meilleur qu’elle.
Bien lui en ait pris, quelques mois plus tard une affaire de ballets roses éclataient au sein du club et elle en était l’une des principales victimes.
De vieux messieurs organisaient des soirées avec des jeunes filles, principalement des jeunes gymnases dont Gwendeline faisait partie.
Sylvain a-t-il su que sa sœur couchait avec des hommes cinquante en plus vieux qu’elle et que j’en étais rescapée par l’abandon de la gymnastique ?
Je regarde à travers la porte de communication permettant aux serveuses de la franchir sans risque de se télescoper.
Tout y est, les quatre agrès, la poutre, le saut de cheval, les barres asymétriques et le tapis pour les exercices au sol.
J’ôte mes vêtements, je vais faire une confidence, lorsque je pratiquais la gymnastique, j’étais à un âge ou mes sens s’éveillaient et certaines fois mon juste au corps me gênait pendant mes exercices.
Il devait en être de même pour Gwendeline, certaines fois lorsque nous rejoignions les douches, elle l’enlevait et le posait à mes côtés sur le banc, son entrejambe comme le mien était trempée.
J’ai parlé de mes amours féminins dans le club de foot.
Mais c’est dans ce vestiaire que j’ai senti les effluves odorants d’une chatte ayant mouillé en humant l’odeur que la vulve de Gwendeline émettait.
Pendant que j’enlève un à un, mes vêtements les posant proprement sur le plan de travail, je pense que salope comme j’allais le devenir, j’aurais certainement fait partie des victimes des ballets roses.
Pour exemple Coach qui m’a dépucelé affiche quatorze ans de plus que moi, alors vingt-quatre, quelle différence ?
Une bite reste une bite, une chatte reste une chatte et un orgasme reste un orgasme.
Surtout lorsque l’on me caresse les seins.
Je franchis la porte, je choisis la poutre pour commencer.
Sans que je voie qui la démarre la musique remplit le gymnase, mon maître chanteur est bien présent.
Il ou elle doivent être dans la cabine de visionnage, la salle servant de cinéma projeté par un projectionniste itinérant.
J’irai bien voir, mais je suis sûr que si j’y vais, il aura pris la poudre d’escampette.

Plus très douée la donzelle, malgré que c’était l’un de mes agrès préférés et ou j’étais la plus forte, je tombe deux fois, remontant rapidement chaque fois, comme le fond les cyclistes après une gamelle.
Je finis mon exercice, par un saut périlleux arrière, me vautrant lamentablement les quatre fers en l’air, montrant ma chatte à qui veut la voir.
Déjà lorsque j’ai fait mes sauts mes jambes parallèles à la poutre, j’ai senti ma cyprine couler du fond de moi, mais c’est là que j’ai chuté.
J’ai continué mon parcours par le saut de cheval.
Je suis confiante, le saut de cheval est l’exercice le plus court en gymnastique et je choisis un saut assez simple.
Dans mon jeune âge, notre prof nous apprenait qu’il fallait s’engager franchement, c’est là mon erreur.
À la dernière seconde, alors que je suis en pleine course, j’hésite à poser mes mains sur le cheval.
Elle glisse tout droit, mon corps suivant à cause de ma vitesse et du tremplin que mes pieds ont enfoncés.
J’ignore si mon maître chanteur film, caché derrière la vitre de la salle de projection, car je voudrais bien voir le soleil que je fais avec par chance aucune blessure lorsque je me redresse.
Il me faut me présenter devant les barres parallèles.
J’ai quelques douleurs, mais je veux finir mon parcours, là je suis sûr de mieux réussir, les barres étant mon deuxième point fort, hélas, il y a pas mal de temps de passer.
Si Sylvain est derrière tout ça, il a dû assister aux exercices de sa sœur, car le bac de magnésie que nous nous mettons sur les mains pour éviter de glisser a été préparé près de l’agrès.
Je retrouve les gestes, tant de fois fait afin que j’en aie bien sûr mes doigts et les paumes où je vais saisir les barres.
Un point de détail montrant que mon suborneur est un amateur en matière de gymnastique !
C’est que dans le temps, pour atteindre la barre supérieure d’où je démarrais mon exercice, notre moniteur nous saisissait par les hanches et dans un mouvement rapide, nous élevais jusqu’à elle.
Là, il aurait fallu que cette barre soit un ou deux crans plus haut, je l’atteins sans l’aide de personne.
J’essaye de faire un mouvement de balancier, j’y arrive, mais j’ai dû prendre du cul, car mes mains lâchent et là encore je me vautre sur le tapis qui par chance amortit le choc.

Je regarde vers le haut où se trouve la fenêtre de la cabine de projection, j’ai nettement l’impression qu’une ombre disparait rapidement.
Il me reste une largeur de tapis à parcourir, je pars en courant, je fais deux sauts périlleux avant.
Bon je sors de trente centimètres de la surface, mais j’ai la chance, lorsque je jouais au foot, lorsque je marquais, ce qui était fréquent, étant avant centre, je fêtais mon but par un saut périlleux.
Deux à la suite, c’est encore dans mes cordes, je suis fière, j’ai réussi un exercice, ce qui me fait mouiller.

• Bravo, belle prestation au sol, le reste ça reste à désirer.

Mais qui vient de franchir la porte de la cuisine, mon maître chanteur ?...

Les avis des lecteurs

Demain

Histoire Libertine
La suite arrive quand ??? 😊

La chipie

merci ca fait chaud au coeur

Histoire Erotique
Je suis d accord vivement demain ;)

Histoire Libertine
Vivement demain pour savoir.

La chipie



Texte coquin : COLLECTION COCU. La femme de l’entraîneur des U18 (2/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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