COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la Saison IV (13/16)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la Saison IV (13/16)
C’est le début de la série IV du « poulain » que je commence à vous raconter aujourd’hui.
Entre la fin de la saison III et la saison IV, le temps par moments s’accélérera, car ma vie restera comme elle l’est quand tout roule.
Pour le moment, ce soir, Isabelle ma belle-mère reçoit le beau linge de notre région pour honorer Lord John Cromwell qui est venu avec sa fille Élisabeth faire saillir sa jument Firsty par Darkness notre pur-sang vedette.
Darkness à 9 ans est à la retraite des courses pour un petit problème à un sabot, mais vu son palmarès et les gains qu’il a apportés à Duc, reste un magnifique étalon.
Dans les courses, mon fils de bientôt 9 ans plus grand propriétaire vainqueur avec Jupiter cheval offert par le Duc mon beau-père dès sa première course est toujours invaincu à ce jour.
Trois, quatre jusqu’à 6 longueurs d’avance sur les chevaux qu’il rencontre, réussissant même à battre des chevaux de quatre voire cinq ans de plus que lui.
Ce jour, John mon amant sommes partis faire une promenade à cheval vers la forêt nous retrouvant sans que je cherche dans la grange de tous mes excès.
Les excès je devais les renouveler quand dans ma grange, je retrouve Xavier qui se sert de tout ce qu’il faut pour faire sa musculature très bien développer.
J’ai compris en allant me donner à lui dans sa maison à l’opposé de la forêt qu’il compensait le handicape par un hyper-développement de la partie supérieure de son corps.
Sa partie supérieure mais aussi son sexe m’apportant bien du plaisir.
Ma grange lieu de tous mes débordements, car j’arrive à ce que mes deux amants s’entendent et me prennent en double pénétration.
Ayant repris mon souffle et mes affaires, tous les trois nous prenons le chemin de nos maisons pour nous préparer.
Xavier comme Ivar le désosser dans le feuilleton, « Viking » se traîne au sol jusqu’à sa voiture.
Venant dans ma grange, il a laissé son fauteuil à demeure.
Pendant que nous récupérons nos montures John et moi, je le vois partir au volant de sa voiture électrique à commande au volant.
Darkness et Filomène semble avoir fait ami-ami.
L’encolure de ma monture couverte de bave, serait-il possible.
Non, impossible, chez les chevaux il faut que la femelle soit en chaleur pour qu’elle accepte le sexe du mâle.
Je le sais mieux que quiconque.
C’est moi qui tenais ce qui coule encore sous le ventre de l’étalon sur lequel John vient de monter avant de galamment m’aide à monter comme Xavier l’avait fait le jour de notre rencontre à l’autre bout de cette forêt.
Wanda récupère nos chevaux.
John monte se doucher et je vais voir ma belle-mère.
Je la trouve les portes ouvertes de son armoire en petite tenue mais descente tout de même essayant des robes.
- Tu tombes bien Marie, que dois-je mettre pour ce soir ?
Tu as dû remarquer que Lord Cromwell me plait et que j’aimerais, tu me comprends.
- Vieille salope, tes gigolos tu peux te faire baiser autant que tu le souhaites en les payant avec l’argent que nous gagnons tous ici en travaillant dur qui dans les écuries qui dans les bureaux comme moi.
Alors John tu me le laisses, il est à moi.
J’ai saisi ma belle-mère par le cou et je la cloue sur la porte de son armoire.
Sans m’en rendre compte, ma deuxième main est posée sur un de ses seins qui palpite.
- Marie, j’ignorais que toi et le Lord vous.
- Oui, nous, cette nuit et tout à l’heure dans la grange à l’orée de la forêt.
C’est pour ça que je suis venue te voir, en quittant la grange nous avons rencontré Xavier, j’ignore si tu le connais.
- Lâche-moi, tu me fais mal, Xavier, le jeune auteur de romans policiers ?
Je l’ai rencontré avec ses jambes coupées un jour où il faisait une dédicace pour son premier livre à la librairie du village.
Pourquoi ?
- Je l’ai invité à venir dîner ce soir, il a sympathisé avec John.
- Tu es folle Marie, nous étions 12, nous serons 13 à table.
- Je l’ignorais Isabelle, mais il faut arrêter tes bigoteries et tes superstitions.
Moi, le chiffre 13 est mon chiffre porte-bonheur.
C’est le jour où Jupiter le cheval de ton petit-fils a gagné sa première course en faisant le plus jeune propriétaire ayant encaissé le plus gros gain.
Duchesse ma fille est née un 13, c’était même un vendredi.
Mon courroux est loin d’être retombé, pour une fois que j’arrive à dire ses vérités à belle-maman le boulet de mon plus grand amour celui qui m’a donné Duchesse, j’en profite à fond.
- Depuis que ton défunt mari m’a expliqué ta mise en scène pour que j’épouse ton taré de fils, je ronge mon frein.
Si a sa mort, ton mari t’a concédé la jouissance de cette aile de la maison avec une rente que nous te payons par notre travail, je te le rappelle, c’est mon fils qui a hérité et moi qui gère ses biens.
Mais dit moi, pourquoi moi et pas un parent à toi.
- Je voulais que mon fils épouse Arielle, la fille de ma nièce, mais il refusait et le Duc aussi.
C’est pour cela que j’ai proposé de réunir des petites pucelles comme toi et que mon fils choisisse.
Il y avait quelques semaines qu’il m’avait avoué qu’il aimait cette Lucrécia et qu’il possédait un sexe.
Duc voulait une descendance, mais bien sûr si Lucrécia avait une belle paire de seins, la nature l’avait dépourvu d’un vagin.
J’ai tout fait pour satisfaire mon mari et mon fils.
Je suis allée jusqu’à coucher avec cette Lucrécia sans que Louis l’apprenne pour leur donner une descendance, je pouvais encore le faire.
Hélas, même si cet étrange mâle a été l’un de mes meilleurs amants, il s’est avéré être stérile alors j’ai fait ce qu’il fallait pour que mon fils trouve une femme.
Te trouve.
- Ce soir soit à l’heure, met cette robe rouge, je serais en bleu, il serait mal venu que nous soyons habillées avec des robes de la même couleur.
Comprends bien que c’est moi qui commande ici.
Puisque l’on en est aux confidences, j’ai été la maîtresse du Duc juste avant sa mort et Duchesse est le fruit de cet amour hélas un peu court.
Je t’avoue ça, car lorsqu’elle aura vingt ans, tu la laisseras choisir toute seule sa vie et si tu es toujours parmi nous tu oublies tes cousins et tes cousines.
- Isabelle, je vais te faire une fleur, j’ai peut-être une idée pour t’éviter de te retrouver 13 à table, je vais faire le maximum.
Je laisse là ma belle-mère fière de lui avoir asséné ses vérités.
Depuis la mort de Duc et sa façon de vouloir continuer à tout diriger, je rongeais mon frein.
- C’est moi Marie, tu es invité ce soir pour John !
Ça marche, ma belle-mère va avoir une surprise, mais nous serons 14 à table après que l’on me confirme la présence de qui je sais à ce repas.
C’est dans mon bain que je me détends.
Il faut se souvenir de la salope que j’ai été dans ma grange ma chatte et mon anus toujours englué par le sperme de mes amants.
Dans ma fureur, j’ai oublié de demander à Isabelle si elle avait déjà pratiqué la double pénétration.
J’aide Ashley à coucher les enfants.
Je laisse Jules et Élisabeth faire une dernière partie de jeu vidéo avant d’aller se coucher.
Duchesse, elle suce déjà son pouce, depuis une demi-heure.
C’est Sonia la marraine de Jules qui lui a offert pour son anniversaire.
J’étais contre, mais j’ai aussi appris qu’il fallait savoir évoluer.
Nous le verrons quand nous serons autour de la table au repas pour honorer John, mon amant de cœur depuis quelques mois.
C’est en maîtresse de maison avec Isabelle à deux pas derrière moi avec à mon côté John dans un magnifique kilt, son château XVIe siècle étant près de Glasgow en Écosse.
Je sais, comme les autres, le Lord m’ayant rejoint et étant en présence de tierces personnes, je me pose la question, si je passe ma main, ses couilles seront-elles à ma portée.
- Bonjours madame et monsieur le maire.
Bonsoir, docteur Franck et madame.
Ma belle-mère a invité son amant et sa femme.
Je trouve gonflée de vouloir imposer une étique aux autres.
- Bonsoir, Sonia, bonsoir Poupette.
- Bonsoir, Marie, bonsoir John, bonsoir mère !
Je vous présente Poupette, c’est mon amie.
Bonsoir, Henriette, il faut que je te parle de la route qui mène à ma maison.
- Sonia emmène nos amis au salon, mais évite de parler de la commune avec madame le maire.
- Bonsoir, Véronique, bonsoir Paul.
Tu as fermé ta librairie.
- Oui, Marie et aussi demain.
- Rejoignez le salon, Sonia y est avec son amie.
Ma belle-mère embrasse le couple et s’approche de moi, elle est verte.
- Qui est cette fille, Marie.
- Ta quatorzième à table est ta future belle-fille.
- Je pense que tu es au courant que si ton fils était homo, ta fille est lesbienne.
Tu remarqueras Poupette qui est dans la gendarmerie, est très amoureuse de ta fille, reprends ta place, il reste encore des invités à recevoir.
Deux zéros autour d’elle, tout doit s’écrouler !
Je lui avais donné un premier coup de poing quand je lui avais avoué que son mari était le père de sa petite fille et maintenant elle apprend que sa fille est amoureuse d’une gendarmette bien jolie dans sa robe longue blanche me montrant ses jolis seins que j’ai eu plaisir à croquer.
Mais là j’évite de l’assommer définitivement quoi que dans cette famille de dégénérés de sa faute.
Je sais qu’il faudra toujours que je la muselle pour éviter qu’elle ne déteigne sur mes enfants.
C’est à ce moment que j’entends un coup de klaxon.
- John, peux-tu aller aider Loris, notre palefrenier à monter les marches pour Xavier, c’est impossible dans son fauteuil.
Mon amant me prend la main et me la baise, un vrai gentleman et descends les marches.
Xavier arrive dans un très beau smoking comme tous les hommes de la soirée…
Entre la fin de la saison III et la saison IV, le temps par moments s’accélérera, car ma vie restera comme elle l’est quand tout roule.
Pour le moment, ce soir, Isabelle ma belle-mère reçoit le beau linge de notre région pour honorer Lord John Cromwell qui est venu avec sa fille Élisabeth faire saillir sa jument Firsty par Darkness notre pur-sang vedette.
Darkness à 9 ans est à la retraite des courses pour un petit problème à un sabot, mais vu son palmarès et les gains qu’il a apportés à Duc, reste un magnifique étalon.
Dans les courses, mon fils de bientôt 9 ans plus grand propriétaire vainqueur avec Jupiter cheval offert par le Duc mon beau-père dès sa première course est toujours invaincu à ce jour.
Trois, quatre jusqu’à 6 longueurs d’avance sur les chevaux qu’il rencontre, réussissant même à battre des chevaux de quatre voire cinq ans de plus que lui.
Ce jour, John mon amant sommes partis faire une promenade à cheval vers la forêt nous retrouvant sans que je cherche dans la grange de tous mes excès.
Les excès je devais les renouveler quand dans ma grange, je retrouve Xavier qui se sert de tout ce qu’il faut pour faire sa musculature très bien développer.
J’ai compris en allant me donner à lui dans sa maison à l’opposé de la forêt qu’il compensait le handicape par un hyper-développement de la partie supérieure de son corps.
Sa partie supérieure mais aussi son sexe m’apportant bien du plaisir.
Ma grange lieu de tous mes débordements, car j’arrive à ce que mes deux amants s’entendent et me prennent en double pénétration.
Ayant repris mon souffle et mes affaires, tous les trois nous prenons le chemin de nos maisons pour nous préparer.
Xavier comme Ivar le désosser dans le feuilleton, « Viking » se traîne au sol jusqu’à sa voiture.
Venant dans ma grange, il a laissé son fauteuil à demeure.
Pendant que nous récupérons nos montures John et moi, je le vois partir au volant de sa voiture électrique à commande au volant.
Darkness et Filomène semble avoir fait ami-ami.
L’encolure de ma monture couverte de bave, serait-il possible.
Non, impossible, chez les chevaux il faut que la femelle soit en chaleur pour qu’elle accepte le sexe du mâle.
Je le sais mieux que quiconque.
C’est moi qui tenais ce qui coule encore sous le ventre de l’étalon sur lequel John vient de monter avant de galamment m’aide à monter comme Xavier l’avait fait le jour de notre rencontre à l’autre bout de cette forêt.
Wanda récupère nos chevaux.
John monte se doucher et je vais voir ma belle-mère.
Je la trouve les portes ouvertes de son armoire en petite tenue mais descente tout de même essayant des robes.
- Tu tombes bien Marie, que dois-je mettre pour ce soir ?
Tu as dû remarquer que Lord Cromwell me plait et que j’aimerais, tu me comprends.
- Vieille salope, tes gigolos tu peux te faire baiser autant que tu le souhaites en les payant avec l’argent que nous gagnons tous ici en travaillant dur qui dans les écuries qui dans les bureaux comme moi.
Alors John tu me le laisses, il est à moi.
J’ai saisi ma belle-mère par le cou et je la cloue sur la porte de son armoire.
Sans m’en rendre compte, ma deuxième main est posée sur un de ses seins qui palpite.
- Marie, j’ignorais que toi et le Lord vous.
- Oui, nous, cette nuit et tout à l’heure dans la grange à l’orée de la forêt.
C’est pour ça que je suis venue te voir, en quittant la grange nous avons rencontré Xavier, j’ignore si tu le connais.
- Lâche-moi, tu me fais mal, Xavier, le jeune auteur de romans policiers ?
Je l’ai rencontré avec ses jambes coupées un jour où il faisait une dédicace pour son premier livre à la librairie du village.
Pourquoi ?
- Je l’ai invité à venir dîner ce soir, il a sympathisé avec John.
- Tu es folle Marie, nous étions 12, nous serons 13 à table.
- Je l’ignorais Isabelle, mais il faut arrêter tes bigoteries et tes superstitions.
Moi, le chiffre 13 est mon chiffre porte-bonheur.
C’est le jour où Jupiter le cheval de ton petit-fils a gagné sa première course en faisant le plus jeune propriétaire ayant encaissé le plus gros gain.
Duchesse ma fille est née un 13, c’était même un vendredi.
Mon courroux est loin d’être retombé, pour une fois que j’arrive à dire ses vérités à belle-maman le boulet de mon plus grand amour celui qui m’a donné Duchesse, j’en profite à fond.
- Depuis que ton défunt mari m’a expliqué ta mise en scène pour que j’épouse ton taré de fils, je ronge mon frein.
Si a sa mort, ton mari t’a concédé la jouissance de cette aile de la maison avec une rente que nous te payons par notre travail, je te le rappelle, c’est mon fils qui a hérité et moi qui gère ses biens.
Mais dit moi, pourquoi moi et pas un parent à toi.
- Je voulais que mon fils épouse Arielle, la fille de ma nièce, mais il refusait et le Duc aussi.
C’est pour cela que j’ai proposé de réunir des petites pucelles comme toi et que mon fils choisisse.
Il y avait quelques semaines qu’il m’avait avoué qu’il aimait cette Lucrécia et qu’il possédait un sexe.
Duc voulait une descendance, mais bien sûr si Lucrécia avait une belle paire de seins, la nature l’avait dépourvu d’un vagin.
J’ai tout fait pour satisfaire mon mari et mon fils.
Je suis allée jusqu’à coucher avec cette Lucrécia sans que Louis l’apprenne pour leur donner une descendance, je pouvais encore le faire.
Hélas, même si cet étrange mâle a été l’un de mes meilleurs amants, il s’est avéré être stérile alors j’ai fait ce qu’il fallait pour que mon fils trouve une femme.
Te trouve.
- Ce soir soit à l’heure, met cette robe rouge, je serais en bleu, il serait mal venu que nous soyons habillées avec des robes de la même couleur.
Comprends bien que c’est moi qui commande ici.
Puisque l’on en est aux confidences, j’ai été la maîtresse du Duc juste avant sa mort et Duchesse est le fruit de cet amour hélas un peu court.
Je t’avoue ça, car lorsqu’elle aura vingt ans, tu la laisseras choisir toute seule sa vie et si tu es toujours parmi nous tu oublies tes cousins et tes cousines.
- Isabelle, je vais te faire une fleur, j’ai peut-être une idée pour t’éviter de te retrouver 13 à table, je vais faire le maximum.
Je laisse là ma belle-mère fière de lui avoir asséné ses vérités.
Depuis la mort de Duc et sa façon de vouloir continuer à tout diriger, je rongeais mon frein.
- C’est moi Marie, tu es invité ce soir pour John !
Ça marche, ma belle-mère va avoir une surprise, mais nous serons 14 à table après que l’on me confirme la présence de qui je sais à ce repas.
C’est dans mon bain que je me détends.
Il faut se souvenir de la salope que j’ai été dans ma grange ma chatte et mon anus toujours englué par le sperme de mes amants.
Dans ma fureur, j’ai oublié de demander à Isabelle si elle avait déjà pratiqué la double pénétration.
J’aide Ashley à coucher les enfants.
Je laisse Jules et Élisabeth faire une dernière partie de jeu vidéo avant d’aller se coucher.
Duchesse, elle suce déjà son pouce, depuis une demi-heure.
C’est Sonia la marraine de Jules qui lui a offert pour son anniversaire.
J’étais contre, mais j’ai aussi appris qu’il fallait savoir évoluer.
Nous le verrons quand nous serons autour de la table au repas pour honorer John, mon amant de cœur depuis quelques mois.
C’est en maîtresse de maison avec Isabelle à deux pas derrière moi avec à mon côté John dans un magnifique kilt, son château XVIe siècle étant près de Glasgow en Écosse.
Je sais, comme les autres, le Lord m’ayant rejoint et étant en présence de tierces personnes, je me pose la question, si je passe ma main, ses couilles seront-elles à ma portée.
- Bonjours madame et monsieur le maire.
Bonsoir, docteur Franck et madame.
Ma belle-mère a invité son amant et sa femme.
Je trouve gonflée de vouloir imposer une étique aux autres.
- Bonsoir, Sonia, bonsoir Poupette.
- Bonsoir, Marie, bonsoir John, bonsoir mère !
Je vous présente Poupette, c’est mon amie.
Bonsoir, Henriette, il faut que je te parle de la route qui mène à ma maison.
- Sonia emmène nos amis au salon, mais évite de parler de la commune avec madame le maire.
- Bonsoir, Véronique, bonsoir Paul.
Tu as fermé ta librairie.
- Oui, Marie et aussi demain.
- Rejoignez le salon, Sonia y est avec son amie.
Ma belle-mère embrasse le couple et s’approche de moi, elle est verte.
- Qui est cette fille, Marie.
- Ta quatorzième à table est ta future belle-fille.
- Je pense que tu es au courant que si ton fils était homo, ta fille est lesbienne.
Tu remarqueras Poupette qui est dans la gendarmerie, est très amoureuse de ta fille, reprends ta place, il reste encore des invités à recevoir.
Deux zéros autour d’elle, tout doit s’écrouler !
Je lui avais donné un premier coup de poing quand je lui avais avoué que son mari était le père de sa petite fille et maintenant elle apprend que sa fille est amoureuse d’une gendarmette bien jolie dans sa robe longue blanche me montrant ses jolis seins que j’ai eu plaisir à croquer.
Mais là j’évite de l’assommer définitivement quoi que dans cette famille de dégénérés de sa faute.
Je sais qu’il faudra toujours que je la muselle pour éviter qu’elle ne déteigne sur mes enfants.
C’est à ce moment que j’entends un coup de klaxon.
- John, peux-tu aller aider Loris, notre palefrenier à monter les marches pour Xavier, c’est impossible dans son fauteuil.
Mon amant me prend la main et me la baise, un vrai gentleman et descends les marches.
Xavier arrive dans un très beau smoking comme tous les hommes de la soirée…
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