COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison VI (21/24)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2409 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 030 263 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 341 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION COCU. Le poulain. Début de la saison VI (21/24)
Nous retrouvons Marie dans cette nouvelle saison à la table d’un pub écossais un peu éméchée et ayant fait un pari avec sa nouvelle amie, Aisy.
Qui va avoir raison entre ces deux femmes, Marie va-t-elle devenir la Lady de ce coin d’Écosse ?
Incroyable, j’accepte de venir passer ma soirée avec Aisy, la co-pilote de John mon amant quand j’atterrie dans le pub, vue en arrivant dans la voiture de John alors que je venais de finir de le sucer.
Nous venons de nous attabler dans un coin lorsque l’un des hommes présents, assez éméchés, vient me proposer sa queue en me parlant dans une langue incompréhensive.
Traduction faite, l’homme ayant eu l’air de déguerpir aurait dit à mon amie que si je voulais une bonne queue à la place de la chatte de d’Aisy, il était partant.
Moi qui étais jalouse d’elle si elle avait accompagné John, m’annonce direct qu’elle est lesbienne.
En venant en Écosse, dans l’avion que mon amant pilotait, j’ai été à deux doigts de l’embrasser, je me rends compte qu’elle aurait aimé ça.
L’homme revient à la charge avec deux pintes de bière.
Il parle dans sa langue avec la traduction de ce qu’il nous dit.
- Il nous offre ces pintes pour s’excuser de t’avoir importuné.
Rapidement, une pinte succède à une pinte devant nous sans que nous soyons obligées de commander.
- Aisy, il faut que j’aille pisser, c’est bien beau de remplir, mais il faut que ça sorte de l’autre côté.
Eh oui, c’est comme ça quand on est bourré à la bière, il faut aller faire pipi.
- Merde, les bougent murs.
Je suis conne, les murs bougent.
- T’es pompette Marie et sans avoir dépensé un sou, ils veulent tous se faire bien voir de leur future Lady.
- Aisy, si un jour j’accepte un mariage avec le lord, je veux bien que tu me fesses.
- Ça c’est facile, je peux te fesser quand je le voudrais.
Quand nous serons chez moi par exemple.
Non, tient nous ferons un voyage en Italie voir ma tante, elle a une maison à Rome.
- Tu as perdu d’avance, celui qui me passera la bague au doigt, il est loin d’être né.
J’arrive à trouver les petits coins et au moment où je me rassoie, la porte s’ouvre.
Là je comprends, c’est en Anglais qu’Élisabeth fait son apparition.
- Salut, la compagnie, on fait la fête sans moi.
Elle rejoint un groupe de garçons et fille de son âge à l’autre bout de la salle.
Chaque garçon a droit à sa bise, certain un peu plus au bord des lèvres.
L’un d’eux lui parle à l’oreille.
Elle se retourne et nous voit.
- Marie, tu aurais pu me dire que les baskets, c’était dès ce soir que tu en avais besoin.
Gaffe ici, c’est un coupe-gorge, non, ta vertu est bien protégée, mais pas ta tête, tu vas morfler si tu continues à boire autant de bière.
Il faut dire, que le patron amène les shops de bière mais les laisses sur place après.
Combien, impossible de compter, chaque fois je m’embrouille entre 3, 6, non cinq chacune.
Elle tourne les talons, le patron nous apporte deux nouvelles pintes.
- Il vous arrive souvent de laisser entrer des mineurs dans votre bar.
- Vous vous êtes française bien que vous parliez parfaitement cette putain de langue anglaise.
Même si vous allez épouser John, ici c’est toujours moi le patron qui décide qui boit ou doit foutre le camp.
Élisabeth, c’est mon rayon de soleil, alors pintez-vous, mais oubliez que vous avez vu une jeune mineure ici.
Il dépose les bières et retourne derrière son bar.
Aisy me prend les mains.
- Je crois que tu t’es fait un ami.
Ici les hommes depuis des lustres sont des machos qui font taire les femmes.
Toute petite chez mes parents, j’ai compris, comment ils étaient.
Mon père prenait un malin plaisir à choper ma mère, défaire son ceinturon tenant son kilt et après l’avoir couché là où il se trouvait fouettait ma mère.
Je me suis juré qu’aucun homme même le plus beau me traiterait de cette manière.
- Et tu es devenue lesbienne.
- À peu près, bien que c’est à l’adolescence que j’ai pris conscience que j’aimais mieux mes jeunes copines que la plupart des hommes prêts à me sauter que tu vois ici.
- Et une femme, tu accepterais qu’elle te fouette.
- Faut voir, dis-moi et toi les femmes.
- Ai-je enlevé mes mains quand tu les as prises, j’adore ton contact ?
Je lui explique la succession de ma vie jusqu’au Lord et elle se soir et aussi dans l’avion.
Sonia et Poupette et enfin Magalie à Paris.
À l’autre bout du bar, celle qui si j’en crois les rumeurs pourrait devenir ma belle-fille, est entourée de jeunes mâles qui comme les autres semblent être en rut.
Contrairement aux plus vieux, ils sont habillés rocks en rolls.
- Et toi, tu trouves souvent chaussure à ton pied.
- Ici non, elles sont toutes coincées du cul et comme je te l’ai expliqué, elles tremblent devant leurs maris.
C’est principalement à Londres que je trouve de quoi assouvir mon besoin de chatte dégoulinante.
Avec John, nous allons à Londres fréquemment dans la City, je connais un ou deux bars où les lesbiennes se réunissent.
J’y aie mes habitudes et chaque fois mes nuits sont chaudes.
Nous allons souvent en Irlande et sur le continent dans différents pays, sauf en Grèce où nous irons ensemble quand tu auras accepté d’épouser notre Lord.
- Enfonce-toi mon doigt dans l’œil jusqu’au coude.
Nous éclatons de rire.
- Si j’ai bien compris, au lieu de te ramener dans ton château, je te propose de venir dans mon tout nouveau loft où je viens de me faire livrer un spa, accepte connaissant les conséquences !
- Tu as compris que je suis bi, si je m’écoutais, je tendrais mon cou pour t’embrasser de façon indécente de l’autre côté de cette table.
- Alors, viens, qui sait pour mes fesses !
Je parais en forme, après les litres de bière bue.
Dans les derniers propos tenus avec Aisy, je devrais me rendre compte que je suis plus atteinte que penser.
M’étaler dans ce bar devant ces hommes en jupes dont je sais maintenant qu’ils sont nu dessous, je suis sûr que je me sauverais en courant de honte.
L’air pur me permet de récupérer un peu.
La rue est vide, je fais pivoter Aisy et contre toute attente je prends l’initiative de l’embrasser.
Sa main rejoint mon sein qui se tétanise de plaisir.
Mon amie a raison sur un point, les mains calleuses des hommes dans ce bar me feraient elles mouiller comme je sens que je mouille depuis qu’Aisy le caresse avec sa main.
- Viens.
Elle est gaie, elle se met à chanter as-tu tête malgré l’heure avancée.
Elle chante faux.
Un homme au-dessus de nous lui demande de fermer sa gueule.
Elle l’interpelle.
De l’eau nous tombe dessus, principalement nos figures regardant vers le haut.
Elle lui répond en gaélique à réveiller tous le quartier.
- Putain, ce fils de pute vient de nous vider son pot de chambre sur nos têtes.
Fumier, résidu de capote, couilles molles, va baiser ta pute de femme.
- Aisy arrête, je vois mal la futur Lady de Fyvie, finir sa première nuit au poste.
- Alors là, rien à craindre, dans cette ville, la cheffe de la police est mariée, a trois enfants et est une gouine refoulée, mais je lui ai déjà bouffé la chatte la dernière fois ou elle m’a arrêté.
C’est loin d’être beau d’être bourrée pour des jeunes femmes comme nous.
À l’odeur, c’est sûr, nous avons pris un bain de pisse.
On est arrivé, il faut monter en haut de cette vieille maison avec quelques difficultés.
Plusieurs fois l’une l’autre nous tombons sur les marches pouvant risquer de pisser dans nos culottes.
Enfin, elle sort de son sac un jeu de clefs et ouvre sa porte.
Maison impeccable, mais maison de femmes, pas la moindre trace d’homme.
Et enfin le spa.
J’aimerais qu’elle me déshabille et je pense qu’elle aussi, mais soit la senteur de notre parfum soit l’envie d’eau purificatrice, nous fait nous dépêcher.
Dans une piscine, il est possible de sauter, là nous enjambons les rebords.
Je me surprends à regarder sa chatte entièrement épilée, comme tout son corps.
- Viens que je te lave.
- Attends, j’ai une envie présente, tu acceptes que je réalise un de mes fantasmes.
- Fait, bien sûr, il faut réaliser ses fantasmes.
- C’est en voyant les hommes au bar que j’y ai repensés avec leurs robes et leurs sexes.
J’aimerais pisser debout.
- Dans mon spa ?
Tu as raison, avec ce qu’on a pris sur la gueule tout à l’heure, l’eau est déjà polluée, de toute façon la filtration va faire le reste.
Je suis déjà debout, j’écarte légèrement les jambes et je pisse, je pisse, je pisse.
Aisy se lève, elle aussi et elle pisse, elle pisse, elle pisse.
Heureusement, elle a une salle de bains et une baignoire.
Baignoire où nous entrons après l’avoir rempli.
Elle est dans mon dos, mes yeux sont lourds, mes paupières se ferment.
Des mains sur mes seins…
Qui va avoir raison entre ces deux femmes, Marie va-t-elle devenir la Lady de ce coin d’Écosse ?
Incroyable, j’accepte de venir passer ma soirée avec Aisy, la co-pilote de John mon amant quand j’atterrie dans le pub, vue en arrivant dans la voiture de John alors que je venais de finir de le sucer.
Nous venons de nous attabler dans un coin lorsque l’un des hommes présents, assez éméchés, vient me proposer sa queue en me parlant dans une langue incompréhensive.
Traduction faite, l’homme ayant eu l’air de déguerpir aurait dit à mon amie que si je voulais une bonne queue à la place de la chatte de d’Aisy, il était partant.
Moi qui étais jalouse d’elle si elle avait accompagné John, m’annonce direct qu’elle est lesbienne.
En venant en Écosse, dans l’avion que mon amant pilotait, j’ai été à deux doigts de l’embrasser, je me rends compte qu’elle aurait aimé ça.
L’homme revient à la charge avec deux pintes de bière.
Il parle dans sa langue avec la traduction de ce qu’il nous dit.
- Il nous offre ces pintes pour s’excuser de t’avoir importuné.
Rapidement, une pinte succède à une pinte devant nous sans que nous soyons obligées de commander.
- Aisy, il faut que j’aille pisser, c’est bien beau de remplir, mais il faut que ça sorte de l’autre côté.
Eh oui, c’est comme ça quand on est bourré à la bière, il faut aller faire pipi.
- Merde, les bougent murs.
Je suis conne, les murs bougent.
- T’es pompette Marie et sans avoir dépensé un sou, ils veulent tous se faire bien voir de leur future Lady.
- Aisy, si un jour j’accepte un mariage avec le lord, je veux bien que tu me fesses.
- Ça c’est facile, je peux te fesser quand je le voudrais.
Quand nous serons chez moi par exemple.
Non, tient nous ferons un voyage en Italie voir ma tante, elle a une maison à Rome.
- Tu as perdu d’avance, celui qui me passera la bague au doigt, il est loin d’être né.
J’arrive à trouver les petits coins et au moment où je me rassoie, la porte s’ouvre.
Là je comprends, c’est en Anglais qu’Élisabeth fait son apparition.
- Salut, la compagnie, on fait la fête sans moi.
Elle rejoint un groupe de garçons et fille de son âge à l’autre bout de la salle.
Chaque garçon a droit à sa bise, certain un peu plus au bord des lèvres.
L’un d’eux lui parle à l’oreille.
Elle se retourne et nous voit.
- Marie, tu aurais pu me dire que les baskets, c’était dès ce soir que tu en avais besoin.
Gaffe ici, c’est un coupe-gorge, non, ta vertu est bien protégée, mais pas ta tête, tu vas morfler si tu continues à boire autant de bière.
Il faut dire, que le patron amène les shops de bière mais les laisses sur place après.
Combien, impossible de compter, chaque fois je m’embrouille entre 3, 6, non cinq chacune.
Elle tourne les talons, le patron nous apporte deux nouvelles pintes.
- Il vous arrive souvent de laisser entrer des mineurs dans votre bar.
- Vous vous êtes française bien que vous parliez parfaitement cette putain de langue anglaise.
Même si vous allez épouser John, ici c’est toujours moi le patron qui décide qui boit ou doit foutre le camp.
Élisabeth, c’est mon rayon de soleil, alors pintez-vous, mais oubliez que vous avez vu une jeune mineure ici.
Il dépose les bières et retourne derrière son bar.
Aisy me prend les mains.
- Je crois que tu t’es fait un ami.
Ici les hommes depuis des lustres sont des machos qui font taire les femmes.
Toute petite chez mes parents, j’ai compris, comment ils étaient.
Mon père prenait un malin plaisir à choper ma mère, défaire son ceinturon tenant son kilt et après l’avoir couché là où il se trouvait fouettait ma mère.
Je me suis juré qu’aucun homme même le plus beau me traiterait de cette manière.
- Et tu es devenue lesbienne.
- À peu près, bien que c’est à l’adolescence que j’ai pris conscience que j’aimais mieux mes jeunes copines que la plupart des hommes prêts à me sauter que tu vois ici.
- Et une femme, tu accepterais qu’elle te fouette.
- Faut voir, dis-moi et toi les femmes.
- Ai-je enlevé mes mains quand tu les as prises, j’adore ton contact ?
Je lui explique la succession de ma vie jusqu’au Lord et elle se soir et aussi dans l’avion.
Sonia et Poupette et enfin Magalie à Paris.
À l’autre bout du bar, celle qui si j’en crois les rumeurs pourrait devenir ma belle-fille, est entourée de jeunes mâles qui comme les autres semblent être en rut.
Contrairement aux plus vieux, ils sont habillés rocks en rolls.
- Et toi, tu trouves souvent chaussure à ton pied.
- Ici non, elles sont toutes coincées du cul et comme je te l’ai expliqué, elles tremblent devant leurs maris.
C’est principalement à Londres que je trouve de quoi assouvir mon besoin de chatte dégoulinante.
Avec John, nous allons à Londres fréquemment dans la City, je connais un ou deux bars où les lesbiennes se réunissent.
J’y aie mes habitudes et chaque fois mes nuits sont chaudes.
Nous allons souvent en Irlande et sur le continent dans différents pays, sauf en Grèce où nous irons ensemble quand tu auras accepté d’épouser notre Lord.
- Enfonce-toi mon doigt dans l’œil jusqu’au coude.
Nous éclatons de rire.
- Si j’ai bien compris, au lieu de te ramener dans ton château, je te propose de venir dans mon tout nouveau loft où je viens de me faire livrer un spa, accepte connaissant les conséquences !
- Tu as compris que je suis bi, si je m’écoutais, je tendrais mon cou pour t’embrasser de façon indécente de l’autre côté de cette table.
- Alors, viens, qui sait pour mes fesses !
Je parais en forme, après les litres de bière bue.
Dans les derniers propos tenus avec Aisy, je devrais me rendre compte que je suis plus atteinte que penser.
M’étaler dans ce bar devant ces hommes en jupes dont je sais maintenant qu’ils sont nu dessous, je suis sûr que je me sauverais en courant de honte.
L’air pur me permet de récupérer un peu.
La rue est vide, je fais pivoter Aisy et contre toute attente je prends l’initiative de l’embrasser.
Sa main rejoint mon sein qui se tétanise de plaisir.
Mon amie a raison sur un point, les mains calleuses des hommes dans ce bar me feraient elles mouiller comme je sens que je mouille depuis qu’Aisy le caresse avec sa main.
- Viens.
Elle est gaie, elle se met à chanter as-tu tête malgré l’heure avancée.
Elle chante faux.
Un homme au-dessus de nous lui demande de fermer sa gueule.
Elle l’interpelle.
De l’eau nous tombe dessus, principalement nos figures regardant vers le haut.
Elle lui répond en gaélique à réveiller tous le quartier.
- Putain, ce fils de pute vient de nous vider son pot de chambre sur nos têtes.
Fumier, résidu de capote, couilles molles, va baiser ta pute de femme.
- Aisy arrête, je vois mal la futur Lady de Fyvie, finir sa première nuit au poste.
- Alors là, rien à craindre, dans cette ville, la cheffe de la police est mariée, a trois enfants et est une gouine refoulée, mais je lui ai déjà bouffé la chatte la dernière fois ou elle m’a arrêté.
C’est loin d’être beau d’être bourrée pour des jeunes femmes comme nous.
À l’odeur, c’est sûr, nous avons pris un bain de pisse.
On est arrivé, il faut monter en haut de cette vieille maison avec quelques difficultés.
Plusieurs fois l’une l’autre nous tombons sur les marches pouvant risquer de pisser dans nos culottes.
Enfin, elle sort de son sac un jeu de clefs et ouvre sa porte.
Maison impeccable, mais maison de femmes, pas la moindre trace d’homme.
Et enfin le spa.
J’aimerais qu’elle me déshabille et je pense qu’elle aussi, mais soit la senteur de notre parfum soit l’envie d’eau purificatrice, nous fait nous dépêcher.
Dans une piscine, il est possible de sauter, là nous enjambons les rebords.
Je me surprends à regarder sa chatte entièrement épilée, comme tout son corps.
- Viens que je te lave.
- Attends, j’ai une envie présente, tu acceptes que je réalise un de mes fantasmes.
- Fait, bien sûr, il faut réaliser ses fantasmes.
- C’est en voyant les hommes au bar que j’y ai repensés avec leurs robes et leurs sexes.
J’aimerais pisser debout.
- Dans mon spa ?
Tu as raison, avec ce qu’on a pris sur la gueule tout à l’heure, l’eau est déjà polluée, de toute façon la filtration va faire le reste.
Je suis déjà debout, j’écarte légèrement les jambes et je pisse, je pisse, je pisse.
Aisy se lève, elle aussi et elle pisse, elle pisse, elle pisse.
Heureusement, elle a une salle de bains et une baignoire.
Baignoire où nous entrons après l’avoir rempli.
Elle est dans mon dos, mes yeux sont lourds, mes paupières se ferment.
Des mains sur mes seins…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...