COLLECTION COCU. Le poulain. Saison II (6/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION COCU. Le poulain. Saison II (6/8)
- Marie, me permettez-vous de vous offrir un verre au bar ?
C’est ainsi que Lord John Cromwell vainqueur de notre cheval Horage dans la course préparatoire à celle de l’Arc de Triomphe à Longchamps envoie mon fils au lit accompagné par Sonia ma belle-sœur.
Sonia étant aussi devenue mon amie sent que cet homme m’intéresse et m’aide en suivant le conseil du Lord.
Un verre, un seul verre mais presque course folle vers les ascenseurs et le cinquième où se trouve sa suite.
Au matin, j’ai mis un temps fou à retrouver mes vêtements car nous les avions fait voler dans tous les sens.
Très british dans sa tenue, se descendant d’un maréchal bras droit de Wellington vainqueur de Napoléon à Waterloo m’a fait revivre l’intégralité de cette bataille.
J’espérais venger Napoléon mais j’ai dû battre en retraite son canon de 50 ayant décimé jusqu’à mes arrières.
On m’avait dit que les Anglais étaient très réservés.
J’ai dès mon arrivée dans cette suite été très surprise par la façon dont je me suis retrouvée plaqué le long de la porte, dès qu’il l’a refermé avec son pied.
Nos bouches se sont trouvées et ses mains ont commencé à défaire mes vêtements.
C’est le premier des hommes qui se jette littéralement sur moi pour mon plus grand plaisir.
Sa main va droit au but et j’adore la façon dont cet homme plein de prévenance au bar devient un homme en rut dès cette porte franchi.
On frappe à la porte.
- Room service monsieur, madame.
Voici le plateau avec l’encas pour la nuit et le champagne que vous aviez commandé avant de monter.
- Merci, voici pour vous.
- Bonne soirée monsieur, madame.
Le serveur sort, j’espère qu’il en a vu d’autres lors de son service, car un Lord récupérant son pantalon pour y trouver le billet qu’il lui donne la bite encore tendu ce doit être surprenant.
Et moi la chatte et les seins à l’air à côté de la porte par où il fait entrer la table chargée de victuaille ainsi que le seau à champagne.
Une fois sortie, sa venue a cassé l’envoler que nous avions commencé.
- Une coupe ma chère.
- Volontiers, j’adore le champagne.
Pour l’aimer je l’aime surtout la première suivi au matin dans mes souvenirs au moment de chercher mes affaires pour rejoindre Jules et Sonia de bribes de ce que nous avons fait.
Le petit pain fendu en deux placés de chaque côté de son sexe ça fait partie de ce que je lui ai fait, se terminant par une grande giclée dans ma bouche et ma figure.
- Monsieur, Madame, champagne.
Je me souviens de la deuxième bouteille montée par room Service et les coupes avalées.
À oui, la course à travers la suite à quatre pattes et la saillie qu’il m’a fait subir quand il m’a rattrapé.
Dans le début de ma cuite, attention avec un Lord anglais, sa queue au fond de moi m’a apporté mon premier orgasme.
Alors qu’il m’a baisé plusieurs fois au cours de cette nuit, j’ai un vague souvenir d’une histoire de crème anglaise.
Je passe ma main entre mes jambes.
Il en reste, il m’avait allongé sur le lit le vagin écarté et avec sa main il a saisi la crème directement dans le saladier et en a mis bien au fond de ma grotte.
Il est venu la manger avec sa langue m’apportant là encore un orgasme de première bourre pour finir par prendre la bouteille de champagne et de boire directement à mon sexe tapissant les draps.
Me rappelant que nous devons rentrer au haras Horage doit avoir envie de se détendre dans son pré, c’est là que je cherche mes fringues.
Mon visage me colle, mais je dois retourner à l’autre hôtel pour retrouver un bain et mon fils.
Une, deux, trois, et demi-bouteille de champagne jonchent la chambre.
Tient les deux moitiés de petit pain, j’ai simplement mangé la saucisse et j’ai encore le ketchup translucide sur mon visage.
Et demi car le Lord est couché sur le ventre la tête sortant à moitié du lit cette dernière bouteille dans la main à peine posé sur le sol.
Il a dû boire une dernière gorgée de champagne après une dernière gorgée de ce divin breuvage.
Je le quitte, dans la position où il est aucun risque qu’il s’étouffe si la crème a du mal à passer.
J’arrive dehors, quand le van arrive avec Sonia et Jules.
- Sonia, qu'arrive-t-il à mère ?
- Rien Jules monte devant à mes côtés ta maman doit finir sa nuit, tu comprendras quand tu seras plus grand.
Je sens que nous roulons.
Dans mon délire éthylique, des bribes de conversation atteignent mon cerveau.
- Dit Sonia, maman elle est restée avec Lord Cromwell hier ?
- Pourquoi ?
- Elle a fait avec lui ce que j’ai vu sur la tablette de Léon mon copain à l’école.
Un monsieur avait un grand zizi et le mettait dans une dame.
Je pense qu’il le mettait dedans car il était impossible de voir, c’était mal filmé.
C’est pour ça qu’elle a de la crème au coin de sa bouche !
Les enfants à cause d’Internet sont loin d’être en retard par rapport à avant.
Heureusement que ma chatte lui est cachée, la crème anglaise dans laquelle la queue d’un anglais a baigné est très présente.
Là aussi du sperme comme il semblerait que j’en aie au coin de ma bouche doit être lui qui me tire.
- Dit Sonia, tu sais, mon zizi l’autre jour, il était tout dur comme celui du monsieur avec la dame.
Tu crois qu’un jour, j’en aurais un aussi gros que lui, le mien il est riquiqui.
- Jules laisse dormir Marie et moi conduire.
J’ai du mal à me concentrer quand on me parle et que je suis au volant.
Ouf, Sonia réussit à le faire taire, découvrir que son fils est de plus en plus grand et qu’il a peut-être compris que sa mère était une salope, ça bouleverse.
- Gendarmerie nationale, vous venez d’être prise en excès de vitesse.
À ces mots j’émerge, il m’est impossible d’ouvrir les yeux, le soleil d’octobre me faisant mal à la tête.
- Poupette, c’est moi, arrête de te foutre de moi.
- Madame, évitez de me tutoyer pendant mes heures de service.
- Poupette, excuse-moi de t’avoir posé un lapin avant-hier, mais j’ai dû accompagner Marie ma belle-sœur pour m’occuper de mon neveu.
- C’est elle derrière qui est avachie, elle semble en tenir une bonne.
Vous le diriez, je la comprendrais après ce que l’on a su de son ex.
Mais dit donc, cet enfant a-t-il plus de 10 ans ?
- J’ai huit ans madame.
- Et vous voyagez avec un enfant à l’avant sans rehausseur.
Le PV va être salé.
- Arrête ton cirque Poupette, on se voit ce soir après ton service, je me ferais pardonner.
- Doublement, dans le van c’est Horage ?
- Oui, il a couru hier.
- Et il m’a fait perdre 100 € je l’avais joué gagnant.
Poupette a verbalisé Sonia, elle semble avoir l'esprit rancunier.
Deux jours plus tard, on me livre un immense bouquet de fleurs, avec une carte en Français.
John est bilingue.
« Marie, ces quelques fleurs pour te remercier de la merveilleuse nuit que nous avons passée.
Pour la course finale, je nous ai réservé quatre chambres dans mon hôtel.
Je prends tout à ma charge, c’est normal, mon cheval va gagner, j’aurais de quoi tout régler.
Je nous ferais livrer de la crème de marron… Lord, John Cromwell.
Téléphone 44… »
La crème de marron pour remplacer la crème anglaise moins consistante.
Du vrai humour anglais.
Je l’appelle, il est charmant.
Deux chambres suffiront.
La nôtre et celle de Sonia et Poupette.
Pour se faire pardonner, Jules ayant de l'école le lundi, c’est elle que nous emmenons pour le prix de l’Arc de Triomphe.
Mon Lord est charmant même s’il finit deuxième et moi troisième.
Un émir saoudien est venu foutre la pagaille.
Nous passons une soirée passionnée, une étincelle, c'est fait entre nous.
C’est plus classiquement qu’il me fait l’amour là encore j’adore.
Faire l’amour bestialement comme l’autre fois, ça doit finir par lasser.
Avant de le quitter nous prenons le temps de prendre un bain en commun, ça va m’éviter le sperme sur ma bouche.
Je lui ai fait plusieurs fellations.
- Sonia, montez derrière toutes les deux, vous avez l’air d’être crevé, je vais conduire.
- Je suis en forme Marie, l’amour ça me donne des ailes.
Nous roulons, Sonia émerge.
- Tu peux t’arrêter j’ai un petit besoin urgent.
Je m’arrête.
Nous regardons Sonia se diriger vers les toilettes d’autoroute.
Poupette me pose la main sur ma cuisse dénudée par ma robe.
- Marie, tu es libre demain soir, je fête mon anniversaire, Sonia m’a dit pour vous deux.
Ça te brancherait une soirée à trois, nous en avons parlé cette nuit, elle aimerait beaucoup…
C’est ainsi que Lord John Cromwell vainqueur de notre cheval Horage dans la course préparatoire à celle de l’Arc de Triomphe à Longchamps envoie mon fils au lit accompagné par Sonia ma belle-sœur.
Sonia étant aussi devenue mon amie sent que cet homme m’intéresse et m’aide en suivant le conseil du Lord.
Un verre, un seul verre mais presque course folle vers les ascenseurs et le cinquième où se trouve sa suite.
Au matin, j’ai mis un temps fou à retrouver mes vêtements car nous les avions fait voler dans tous les sens.
Très british dans sa tenue, se descendant d’un maréchal bras droit de Wellington vainqueur de Napoléon à Waterloo m’a fait revivre l’intégralité de cette bataille.
J’espérais venger Napoléon mais j’ai dû battre en retraite son canon de 50 ayant décimé jusqu’à mes arrières.
On m’avait dit que les Anglais étaient très réservés.
J’ai dès mon arrivée dans cette suite été très surprise par la façon dont je me suis retrouvée plaqué le long de la porte, dès qu’il l’a refermé avec son pied.
Nos bouches se sont trouvées et ses mains ont commencé à défaire mes vêtements.
C’est le premier des hommes qui se jette littéralement sur moi pour mon plus grand plaisir.
Sa main va droit au but et j’adore la façon dont cet homme plein de prévenance au bar devient un homme en rut dès cette porte franchi.
On frappe à la porte.
- Room service monsieur, madame.
Voici le plateau avec l’encas pour la nuit et le champagne que vous aviez commandé avant de monter.
- Merci, voici pour vous.
- Bonne soirée monsieur, madame.
Le serveur sort, j’espère qu’il en a vu d’autres lors de son service, car un Lord récupérant son pantalon pour y trouver le billet qu’il lui donne la bite encore tendu ce doit être surprenant.
Et moi la chatte et les seins à l’air à côté de la porte par où il fait entrer la table chargée de victuaille ainsi que le seau à champagne.
Une fois sortie, sa venue a cassé l’envoler que nous avions commencé.
- Une coupe ma chère.
- Volontiers, j’adore le champagne.
Pour l’aimer je l’aime surtout la première suivi au matin dans mes souvenirs au moment de chercher mes affaires pour rejoindre Jules et Sonia de bribes de ce que nous avons fait.
Le petit pain fendu en deux placés de chaque côté de son sexe ça fait partie de ce que je lui ai fait, se terminant par une grande giclée dans ma bouche et ma figure.
- Monsieur, Madame, champagne.
Je me souviens de la deuxième bouteille montée par room Service et les coupes avalées.
À oui, la course à travers la suite à quatre pattes et la saillie qu’il m’a fait subir quand il m’a rattrapé.
Dans le début de ma cuite, attention avec un Lord anglais, sa queue au fond de moi m’a apporté mon premier orgasme.
Alors qu’il m’a baisé plusieurs fois au cours de cette nuit, j’ai un vague souvenir d’une histoire de crème anglaise.
Je passe ma main entre mes jambes.
Il en reste, il m’avait allongé sur le lit le vagin écarté et avec sa main il a saisi la crème directement dans le saladier et en a mis bien au fond de ma grotte.
Il est venu la manger avec sa langue m’apportant là encore un orgasme de première bourre pour finir par prendre la bouteille de champagne et de boire directement à mon sexe tapissant les draps.
Me rappelant que nous devons rentrer au haras Horage doit avoir envie de se détendre dans son pré, c’est là que je cherche mes fringues.
Mon visage me colle, mais je dois retourner à l’autre hôtel pour retrouver un bain et mon fils.
Une, deux, trois, et demi-bouteille de champagne jonchent la chambre.
Tient les deux moitiés de petit pain, j’ai simplement mangé la saucisse et j’ai encore le ketchup translucide sur mon visage.
Et demi car le Lord est couché sur le ventre la tête sortant à moitié du lit cette dernière bouteille dans la main à peine posé sur le sol.
Il a dû boire une dernière gorgée de champagne après une dernière gorgée de ce divin breuvage.
Je le quitte, dans la position où il est aucun risque qu’il s’étouffe si la crème a du mal à passer.
J’arrive dehors, quand le van arrive avec Sonia et Jules.
- Sonia, qu'arrive-t-il à mère ?
- Rien Jules monte devant à mes côtés ta maman doit finir sa nuit, tu comprendras quand tu seras plus grand.
Je sens que nous roulons.
Dans mon délire éthylique, des bribes de conversation atteignent mon cerveau.
- Dit Sonia, maman elle est restée avec Lord Cromwell hier ?
- Pourquoi ?
- Elle a fait avec lui ce que j’ai vu sur la tablette de Léon mon copain à l’école.
Un monsieur avait un grand zizi et le mettait dans une dame.
Je pense qu’il le mettait dedans car il était impossible de voir, c’était mal filmé.
C’est pour ça qu’elle a de la crème au coin de sa bouche !
Les enfants à cause d’Internet sont loin d’être en retard par rapport à avant.
Heureusement que ma chatte lui est cachée, la crème anglaise dans laquelle la queue d’un anglais a baigné est très présente.
Là aussi du sperme comme il semblerait que j’en aie au coin de ma bouche doit être lui qui me tire.
- Dit Sonia, tu sais, mon zizi l’autre jour, il était tout dur comme celui du monsieur avec la dame.
Tu crois qu’un jour, j’en aurais un aussi gros que lui, le mien il est riquiqui.
- Jules laisse dormir Marie et moi conduire.
J’ai du mal à me concentrer quand on me parle et que je suis au volant.
Ouf, Sonia réussit à le faire taire, découvrir que son fils est de plus en plus grand et qu’il a peut-être compris que sa mère était une salope, ça bouleverse.
- Gendarmerie nationale, vous venez d’être prise en excès de vitesse.
À ces mots j’émerge, il m’est impossible d’ouvrir les yeux, le soleil d’octobre me faisant mal à la tête.
- Poupette, c’est moi, arrête de te foutre de moi.
- Madame, évitez de me tutoyer pendant mes heures de service.
- Poupette, excuse-moi de t’avoir posé un lapin avant-hier, mais j’ai dû accompagner Marie ma belle-sœur pour m’occuper de mon neveu.
- C’est elle derrière qui est avachie, elle semble en tenir une bonne.
Vous le diriez, je la comprendrais après ce que l’on a su de son ex.
Mais dit donc, cet enfant a-t-il plus de 10 ans ?
- J’ai huit ans madame.
- Et vous voyagez avec un enfant à l’avant sans rehausseur.
Le PV va être salé.
- Arrête ton cirque Poupette, on se voit ce soir après ton service, je me ferais pardonner.
- Doublement, dans le van c’est Horage ?
- Oui, il a couru hier.
- Et il m’a fait perdre 100 € je l’avais joué gagnant.
Poupette a verbalisé Sonia, elle semble avoir l'esprit rancunier.
Deux jours plus tard, on me livre un immense bouquet de fleurs, avec une carte en Français.
John est bilingue.
« Marie, ces quelques fleurs pour te remercier de la merveilleuse nuit que nous avons passée.
Pour la course finale, je nous ai réservé quatre chambres dans mon hôtel.
Je prends tout à ma charge, c’est normal, mon cheval va gagner, j’aurais de quoi tout régler.
Je nous ferais livrer de la crème de marron… Lord, John Cromwell.
Téléphone 44… »
La crème de marron pour remplacer la crème anglaise moins consistante.
Du vrai humour anglais.
Je l’appelle, il est charmant.
Deux chambres suffiront.
La nôtre et celle de Sonia et Poupette.
Pour se faire pardonner, Jules ayant de l'école le lundi, c’est elle que nous emmenons pour le prix de l’Arc de Triomphe.
Mon Lord est charmant même s’il finit deuxième et moi troisième.
Un émir saoudien est venu foutre la pagaille.
Nous passons une soirée passionnée, une étincelle, c'est fait entre nous.
C’est plus classiquement qu’il me fait l’amour là encore j’adore.
Faire l’amour bestialement comme l’autre fois, ça doit finir par lasser.
Avant de le quitter nous prenons le temps de prendre un bain en commun, ça va m’éviter le sperme sur ma bouche.
Je lui ai fait plusieurs fellations.
- Sonia, montez derrière toutes les deux, vous avez l’air d’être crevé, je vais conduire.
- Je suis en forme Marie, l’amour ça me donne des ailes.
Nous roulons, Sonia émerge.
- Tu peux t’arrêter j’ai un petit besoin urgent.
Je m’arrête.
Nous regardons Sonia se diriger vers les toilettes d’autoroute.
Poupette me pose la main sur ma cuisse dénudée par ma robe.
- Marie, tu es libre demain soir, je fête mon anniversaire, Sonia m’a dit pour vous deux.
Ça te brancherait une soirée à trois, nous en avons parlé cette nuit, elle aimerait beaucoup…
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