COLLECTION COCU. Le poulain. Saison V (19/20)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Le poulain. Saison V (19/20)
Mon dieu, quelle bâtisse, nous venons de dépasser la ville de Fyvie à quelques encablures de ce grand château que nous voyons devant nous.
John s’est rajusté quand nous passions devant un pub typiquement britannique.
Ça doit être sympa de boire une bière dans ce genre de lieu.
Quand la voiture s’arrête devant l’entrée principale, je vois tous les membres du personnel nous attendre.
- Messieurs dames, je vous présente Marie, une amie française.
Servez là comme vous me servez et tout ira bien.
Elle parle, notre langue alors évitez de parler dans son dos, surtout pour évoquer le fantôme susceptible de hanter nos murs.
Comme l'histoire du Loch-Ness, ce sont des légendes, des pièges à touristes en mal de sensation forte.
Tous me salut et retourne à leur tache.
Élisabeth est là et elle vient m’embrasser.
Enfin une personne de connaissance.
L’avion où j’ai cru m’écraser quand nous étions en pilotage automatique et maintenant les fantômes, c’est trop pour une faible femme comme moi.
- Ma fille, conduit Marie à sa chambre, je dois me rendre aux écuries, j’ai reçu un message, Filomène va mettre bas.
Excuse-moi de te laisser.
Si ça dure, fait faire le tour du château à mon amie.
- Veux-tu que je t’accompagne, je commence à avoir quelques connaissances envers les chevaux depuis le départ, hélas, définitif de mon beau-père ?
- Le Duc, dans le monde des courses, il était une référence.
On dit même que c’était un grand coureur de jupons.
Élisabeth ferme tes oreilles de jeune fille.
Si le lord savait que Duchesse porte ce nom parce qu’elle est le fruit du dernier amour de mon cher Duc.
- Père, j’ai bientôt 17 ans et je commence à connaitre certaines choses de la vie.
- Marie, les enfants sont loin d’être toujours ce qu’ils devraient rester.
- À qui le dis-tu, mon fils a son âge et Dieu sait ce qu’il fait en ce moment au haras.
Ce qu’il y a de bien avec ce genre de personnage fort riche, c’est que la kyrielle de serviteur que j’ai vu en arrivant vous à emporter tous vos bagages et que vos bras vont rester à la même longueur.
Ils sont tous déjà dans ma chambre.
Avant de m’ouvrir la porte, Élisabeth me fait faire le tour du château à commencer par le salon aux armures.
Un instant dans cette grande salle, j’ai l’impression que dans ces armures, des hommes nous regardaient étant à l’intérieur.
Étaient-ils là pour nous protéger comme au temps du roi Arthur et du fantôme hantant ce vieux château écossais ?
- Père a fait partager notre demeure en plusieurs parties.
Le corps central où nous sommes entrée et où se trouve la salle que nous venons de traverser avec ces armures qui me terrifiaient quand j’étais petite.
Nous sommes ici dans la grande salle à manger dont nous nous servons quand nous donnons une fête.
Ce sera le cas dans trois jours, mince père voulait que je garde ça secret pour vous faire une surprise.
C’est une surprise qu’il veut vous faire.
- Alors ce sera notre secret jusqu’à ce que la fête ait lieu.
Mais, dis-moi, lorsque tu parles en Français, très bien, d’abord, emploie le « Tu » avec moi comme tu le fais avec Jules mon fils.
Tu es assez grande pour que nous soyons amies.
Dis-moi, ces pièces sont immenses, moi qui me lamente de l’entretien de notre manoir en Normandie où tu es venue.
- Votre maison est très belle, Jules est fier d’y habiter.
Nous arrivons aux cuisines.
La broche pouvait recevoir un cerf entier quand des chasses avaient lieu.
Bien sûr, tout ceci est dépassé.
- Où mène cette porte avec sa grosse serrure ?
- Je l’ignore.
Père garde la clef dans sa chambre.
Une foi j’en ai parlé, au regard qu’il m’a jeté, j’ai été dissuadé de lui réitérer ma demande.
Est-ce là que se cache le fantôme, voulant le garder une bonne fois pour toutes en l’enfermant à double tour.
Le château renferme-t-il une chambre des tortures où les ancêtres de John étaient cloués au pilori.
- Le reste que les visiteurs voient, ce sont des chambres à l’ancienne avec des lits où j’aurais eu peur que tous ces rideaux me tombent sur la tête.
Passons dans l’aile habitable, où se trouvent nos chambres.
Dans la partie visitable, l’hiver, les domestiques font des flambées dans les grandes cheminées pour que les visiteurs aient chaud et que ça fasse couleur locale.
Dans cette partie nous nous chauffons avec un chauffage central par les sols.
Alison, que nous prépares-tu pour ce soir ?
- Tartare de saumon et.
- Ton succulent Haggis.
Marie, c’est le plat traditionnel écossais, je préfère que tu découvres en quoi ça consiste.
C’est la maison des mystères, déjà le fantôme enfermé dans les murs, certainement derrière la porte fermée à double tour, maintenant ce que je vais manger.
Nous quittons la cuisine pour une salle à manger bien plus raisonnable que la grande salle.
- Et voilà ta chambre, remarque la porte de communication avec celle de père, je pense que dès son retour il saura trouver la clef pour l’ouvrir.
- Tu crois qu’il y a quelque chose entre ton père et moi ?
- Moi aussi j’ai soif la nuit.
Je sortais de la chambre de Jules, ton fils dans votre haras quand je t’ai vu passer nue devant moi, là où je m’étais cachée.
Quelques secondes après c’était papa, il bandait à moitié, c’était la première fois que je le voyais dans tous ses états, tu dois bien t’amuser s’il sait s’en servir.
Quand je disais que les enfants devenaient des adultes de plus en plus tôt !
- Tu me dis que tu sortais de la chambre de Jules, qu’avais-tu été y faire ?
Vous avez joué à la play quelque chose !
- Dois-je te le dire, il fallait bien que quelqu’un en fasse un homme.
- Quoi, tu as dépucelé mon fils à son âge !
- Qui est le mien je te le rappelle.
Il m’a parlé de son grand-père qui semble être son modèle pour lui après de nombreuses conquêtes.
Je pense qu’il va être un meilleur amant que lui.
C’est incroyable, mon fils lui aussi est un homme et c’est Élisabeth qui l’a dépucelé.
- Je l’ai eu au téléphone tout à l’heure, en fin d’après-midi, il a rendez-vous avec une femme de votre village dont le mari est parti pour trois jours.
Mais une nouvelle fois je parle trop Marie, voilà ta chambre, je te laisse.
Ah oui, j’oubliais, j’ignore si père sera parmi nous pour le repas, mais par coutume, nous mangeons en robe du soir.
Regarde cette armoire, il y en a une dizaine que père a fait venir de Paris.
Voilà la salle de bain, prélasse-toi, il l’a fait rénover pour ta venue.
Je crois qu’il a du sentiment pour toi, il a fait livrer et mettre plusieurs dizaines de roses dans ta chambre.
Le château est ancien, mais la salle de bains est moderne comme mon lit où nous pourrions vivre à vingt sans se toucher.
Ouf, John a fait supprimer les baldaquins.
La salle d’eau, une baignoire à bain bouillonnant.
Des parfums et même des pétales de roses tombant l’un après l’autre d’une réserve au-dessus de moi.
Il est doué, la robe que je choisis, Rose comme les roses dans ma chambre.
Je rejoins la salle à manger où Élisabeth m’attend dans une robe blanche.
- Père va t’appeler, il est retourné à Londres avec son avion, la chambre des lords ce réunie en urgence à la demande de la Reine, il pense être de retour demain.
- Comment ça s’est passé avec la pouliche, elle a fini par mettre bas ?
- Oui, un poulain, un futur champion qui écrasera celui que votre pouliche a mise au monde hier.
Je parle de la pouliche pour éviter de penser que mon amant est reparti avec Aisy son hôtesse et co-pilote avec laquelle il va passer la nuit.
Deviendrais-je jalouse, ma belle-mère, maintenant Aisy, il faut que je me ressaisisse, deviendrais-je jalouse donc amoureuse.
Non, amoureuse, je le suis, je dois le reconnaître , mais jalouse, ce serait un comble après les parties de jambes en l’air faites avec différents partenaires.
Serait-il possible que ce soit d’Aisy que je sois jalouse regrettant que dans le vol au-dessus de l’Angleterre et une partie de l’Écosse nous ayons eu envie l’une de l’autre sans passer à l’acte ?
C’est à ce moment que mon portable sonne.
C’est John.
- Marie, c’est moi, excuse mon départ sans passer te voir, mais quand la reine convoque, elle convoque.
C’est toujours à cause de ce Brexit, ça nous pourrit la vie et c’est mauvais pour mes affaires, mais on va assumer.
- Dis-moi, tu pars souvent seul aux commandes de ton jet, c’est peut-être dangereux !
- J’adore, tu es amoureuse, tu prends soin de ma santé.
- Quand j’ai parlé de son avion, c’était de son avion de collection dont je parlais.
- J’ai entendu Élisabeth, je possède un jet et plusieurs avions de collection, dont un Mile Messenger anglais de l'année 1943 entièrement rénovée avec lequel j’adore voler.
Quant à Aisy, je l’ai eu au téléphone, elle m’a demandé ton numéro sachant que je te laisse seule, elle va te rappeler.
Tu as Élisabeth pour t’accompagner dans la journée dans le domaine et Aisy qui va te faire découvrir les charmes nocturnes de la ville de Fyvie.
Attention à la bière écossaise surtout si c’est moi qui la fabrique.
Vous allez passer à table, profite bien du haggis, c’est le meilleur que tu mangeras en Écosse.
Je te laisse, je vais me poser, j’ignore si je t’ai déjà dit que je t’aime Marie.
Ça coupe, le fantôme, la porte ferme avec une clef détenue par le seigneur et maître de ce domaine, de nouveau le haggis, je suis aux anges, une vraie midinette, il m’a dit qu’il m’aimait…
John s’est rajusté quand nous passions devant un pub typiquement britannique.
Ça doit être sympa de boire une bière dans ce genre de lieu.
Quand la voiture s’arrête devant l’entrée principale, je vois tous les membres du personnel nous attendre.
- Messieurs dames, je vous présente Marie, une amie française.
Servez là comme vous me servez et tout ira bien.
Elle parle, notre langue alors évitez de parler dans son dos, surtout pour évoquer le fantôme susceptible de hanter nos murs.
Comme l'histoire du Loch-Ness, ce sont des légendes, des pièges à touristes en mal de sensation forte.
Tous me salut et retourne à leur tache.
Élisabeth est là et elle vient m’embrasser.
Enfin une personne de connaissance.
L’avion où j’ai cru m’écraser quand nous étions en pilotage automatique et maintenant les fantômes, c’est trop pour une faible femme comme moi.
- Ma fille, conduit Marie à sa chambre, je dois me rendre aux écuries, j’ai reçu un message, Filomène va mettre bas.
Excuse-moi de te laisser.
Si ça dure, fait faire le tour du château à mon amie.
- Veux-tu que je t’accompagne, je commence à avoir quelques connaissances envers les chevaux depuis le départ, hélas, définitif de mon beau-père ?
- Le Duc, dans le monde des courses, il était une référence.
On dit même que c’était un grand coureur de jupons.
Élisabeth ferme tes oreilles de jeune fille.
Si le lord savait que Duchesse porte ce nom parce qu’elle est le fruit du dernier amour de mon cher Duc.
- Père, j’ai bientôt 17 ans et je commence à connaitre certaines choses de la vie.
- Marie, les enfants sont loin d’être toujours ce qu’ils devraient rester.
- À qui le dis-tu, mon fils a son âge et Dieu sait ce qu’il fait en ce moment au haras.
Ce qu’il y a de bien avec ce genre de personnage fort riche, c’est que la kyrielle de serviteur que j’ai vu en arrivant vous à emporter tous vos bagages et que vos bras vont rester à la même longueur.
Ils sont tous déjà dans ma chambre.
Avant de m’ouvrir la porte, Élisabeth me fait faire le tour du château à commencer par le salon aux armures.
Un instant dans cette grande salle, j’ai l’impression que dans ces armures, des hommes nous regardaient étant à l’intérieur.
Étaient-ils là pour nous protéger comme au temps du roi Arthur et du fantôme hantant ce vieux château écossais ?
- Père a fait partager notre demeure en plusieurs parties.
Le corps central où nous sommes entrée et où se trouve la salle que nous venons de traverser avec ces armures qui me terrifiaient quand j’étais petite.
Nous sommes ici dans la grande salle à manger dont nous nous servons quand nous donnons une fête.
Ce sera le cas dans trois jours, mince père voulait que je garde ça secret pour vous faire une surprise.
C’est une surprise qu’il veut vous faire.
- Alors ce sera notre secret jusqu’à ce que la fête ait lieu.
Mais, dis-moi, lorsque tu parles en Français, très bien, d’abord, emploie le « Tu » avec moi comme tu le fais avec Jules mon fils.
Tu es assez grande pour que nous soyons amies.
Dis-moi, ces pièces sont immenses, moi qui me lamente de l’entretien de notre manoir en Normandie où tu es venue.
- Votre maison est très belle, Jules est fier d’y habiter.
Nous arrivons aux cuisines.
La broche pouvait recevoir un cerf entier quand des chasses avaient lieu.
Bien sûr, tout ceci est dépassé.
- Où mène cette porte avec sa grosse serrure ?
- Je l’ignore.
Père garde la clef dans sa chambre.
Une foi j’en ai parlé, au regard qu’il m’a jeté, j’ai été dissuadé de lui réitérer ma demande.
Est-ce là que se cache le fantôme, voulant le garder une bonne fois pour toutes en l’enfermant à double tour.
Le château renferme-t-il une chambre des tortures où les ancêtres de John étaient cloués au pilori.
- Le reste que les visiteurs voient, ce sont des chambres à l’ancienne avec des lits où j’aurais eu peur que tous ces rideaux me tombent sur la tête.
Passons dans l’aile habitable, où se trouvent nos chambres.
Dans la partie visitable, l’hiver, les domestiques font des flambées dans les grandes cheminées pour que les visiteurs aient chaud et que ça fasse couleur locale.
Dans cette partie nous nous chauffons avec un chauffage central par les sols.
Alison, que nous prépares-tu pour ce soir ?
- Tartare de saumon et.
- Ton succulent Haggis.
Marie, c’est le plat traditionnel écossais, je préfère que tu découvres en quoi ça consiste.
C’est la maison des mystères, déjà le fantôme enfermé dans les murs, certainement derrière la porte fermée à double tour, maintenant ce que je vais manger.
Nous quittons la cuisine pour une salle à manger bien plus raisonnable que la grande salle.
- Et voilà ta chambre, remarque la porte de communication avec celle de père, je pense que dès son retour il saura trouver la clef pour l’ouvrir.
- Tu crois qu’il y a quelque chose entre ton père et moi ?
- Moi aussi j’ai soif la nuit.
Je sortais de la chambre de Jules, ton fils dans votre haras quand je t’ai vu passer nue devant moi, là où je m’étais cachée.
Quelques secondes après c’était papa, il bandait à moitié, c’était la première fois que je le voyais dans tous ses états, tu dois bien t’amuser s’il sait s’en servir.
Quand je disais que les enfants devenaient des adultes de plus en plus tôt !
- Tu me dis que tu sortais de la chambre de Jules, qu’avais-tu été y faire ?
Vous avez joué à la play quelque chose !
- Dois-je te le dire, il fallait bien que quelqu’un en fasse un homme.
- Quoi, tu as dépucelé mon fils à son âge !
- Qui est le mien je te le rappelle.
Il m’a parlé de son grand-père qui semble être son modèle pour lui après de nombreuses conquêtes.
Je pense qu’il va être un meilleur amant que lui.
C’est incroyable, mon fils lui aussi est un homme et c’est Élisabeth qui l’a dépucelé.
- Je l’ai eu au téléphone tout à l’heure, en fin d’après-midi, il a rendez-vous avec une femme de votre village dont le mari est parti pour trois jours.
Mais une nouvelle fois je parle trop Marie, voilà ta chambre, je te laisse.
Ah oui, j’oubliais, j’ignore si père sera parmi nous pour le repas, mais par coutume, nous mangeons en robe du soir.
Regarde cette armoire, il y en a une dizaine que père a fait venir de Paris.
Voilà la salle de bain, prélasse-toi, il l’a fait rénover pour ta venue.
Je crois qu’il a du sentiment pour toi, il a fait livrer et mettre plusieurs dizaines de roses dans ta chambre.
Le château est ancien, mais la salle de bains est moderne comme mon lit où nous pourrions vivre à vingt sans se toucher.
Ouf, John a fait supprimer les baldaquins.
La salle d’eau, une baignoire à bain bouillonnant.
Des parfums et même des pétales de roses tombant l’un après l’autre d’une réserve au-dessus de moi.
Il est doué, la robe que je choisis, Rose comme les roses dans ma chambre.
Je rejoins la salle à manger où Élisabeth m’attend dans une robe blanche.
- Père va t’appeler, il est retourné à Londres avec son avion, la chambre des lords ce réunie en urgence à la demande de la Reine, il pense être de retour demain.
- Comment ça s’est passé avec la pouliche, elle a fini par mettre bas ?
- Oui, un poulain, un futur champion qui écrasera celui que votre pouliche a mise au monde hier.
Je parle de la pouliche pour éviter de penser que mon amant est reparti avec Aisy son hôtesse et co-pilote avec laquelle il va passer la nuit.
Deviendrais-je jalouse, ma belle-mère, maintenant Aisy, il faut que je me ressaisisse, deviendrais-je jalouse donc amoureuse.
Non, amoureuse, je le suis, je dois le reconnaître , mais jalouse, ce serait un comble après les parties de jambes en l’air faites avec différents partenaires.
Serait-il possible que ce soit d’Aisy que je sois jalouse regrettant que dans le vol au-dessus de l’Angleterre et une partie de l’Écosse nous ayons eu envie l’une de l’autre sans passer à l’acte ?
C’est à ce moment que mon portable sonne.
C’est John.
- Marie, c’est moi, excuse mon départ sans passer te voir, mais quand la reine convoque, elle convoque.
C’est toujours à cause de ce Brexit, ça nous pourrit la vie et c’est mauvais pour mes affaires, mais on va assumer.
- Dis-moi, tu pars souvent seul aux commandes de ton jet, c’est peut-être dangereux !
- J’adore, tu es amoureuse, tu prends soin de ma santé.
- Quand j’ai parlé de son avion, c’était de son avion de collection dont je parlais.
- J’ai entendu Élisabeth, je possède un jet et plusieurs avions de collection, dont un Mile Messenger anglais de l'année 1943 entièrement rénovée avec lequel j’adore voler.
Quant à Aisy, je l’ai eu au téléphone, elle m’a demandé ton numéro sachant que je te laisse seule, elle va te rappeler.
Tu as Élisabeth pour t’accompagner dans la journée dans le domaine et Aisy qui va te faire découvrir les charmes nocturnes de la ville de Fyvie.
Attention à la bière écossaise surtout si c’est moi qui la fabrique.
Vous allez passer à table, profite bien du haggis, c’est le meilleur que tu mangeras en Écosse.
Je te laisse, je vais me poser, j’ignore si je t’ai déjà dit que je t’aime Marie.
Ça coupe, le fantôme, la porte ferme avec une clef détenue par le seigneur et maître de ce domaine, de nouveau le haggis, je suis aux anges, une vraie midinette, il m’a dit qu’il m’aimait…
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