COLLECTION COCU. Sophie. Saison II (8/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION COCU. Sophie. Saison II (8/10)
Je l’ai fait, Damien est attaché avec sa cage de chasteté.
Nicolas vient dans ma chambre, tient où est-il ?
Mon cerveau est déréglé.
Non, je retrouve le sens de ma vie.
- Tu as commencé et même bien commencé.
Je veux qu’à partir de maintenant chez moi ce soient les hommes qui me soient soumis, c’est déjà le cas.
Tient, Damien est parti sa bite et ses couilles enfermées dans une cage en Inox bloqué par une clef que tu peux remarquer pendu à mon cou.
Lève la tête, ta cage avec sa clef est sur la table de nuit.
Je te la fixerais dès que mon envie de toi sera satisfaite.
- As-tu d’autres envies ?
- Oui, j’aimerais vous voir faire l’amour avec des femmes que vous aurez draguées et amenées jusqu’à moi pour que j’ouvre vos cages.
Assez parlé, reprend ton travail sur ma jarretière.
Je lui laisse enlever la première et pour lui monter qui domine maintenant.
Je le pousse de mon pied le faisant rouler au sol.
Il se redresse et revient vers moi.
- C’est bien, tu commences à comprendre que je suis votre maîtresse.
Recommence lentement sur la deuxième jambe.
Attention toute fausse note et les portes de mon sexe vous seront fermées.
Si nous en arrivons là, c'est moi qui déciderais du jour et de l’heure où j’aurais envie de refaire une soirée.
Il s’applique et réussit à éviter les punitions.
Je m’assieds sur le lit et je m’appuie sur mes avant-bras le bassin offert à sa concupiscence
- Roule mes bas.
Moins vite, si tu fais fonctionner ta verge avec la même rapidité que tes mains, comment veux-tu que je jouisse ?
Quand Damien me faisait encore l’amour, il était très fort à me faire subir le supplice de Tantale.
Je l’aurais étripé mais qu’est-ce que j’aimais.
Soit à la hauteur de ce résidu de moins que rien qu’il est devenu.
Mon bas-ventre et mes jambes dénudées, je lui prends la tête d’une manière autoritaire.
Je le plaque sur ma chatte qui sous la jouissance procurée montre aux deux hommes qu’ils sont devenus mes dominés alors qu’ils espéraient me dominer chacun à leur manière.
L’un en me voyant une bite dans la chatte.
L’autre celui qui veut me la mettre.
Pourquoi hésiter, mon vagin dans cette situation, est prêt à tout supporter ?
Je suis lubrifiée comme jamais.
Ma cyprine en voyant celui assis sur une chaise.
Les yeux sortant de sa tête, en essayant désespérément de se caresser ce qui lui est impossible dans la situation où il s’est mis avec la femelle lubrique que l’attente a déclenchée en moi.
Le vendeur du sex-shop où j’ai commandé les cages m’a fait voir sur sa verge comment les mettre se mettant à bander sous mon regard.
Une fois enfermée, fini, impossible de tendre le bras ou se faire mal du fait de la ferraille.
J’aurais bien cédé ce jour-là, mais Damien venait de me donner l’ordre de me préparer pour ce soir et j’ai préféré mon couple à une aventure sans lendemain.
Tient, il est revenu celui-là.
La persévérance que me montre Antoine à vouloir être un bon amant démontre que j’ai bien fait de choisir cette solution.
D’où j’ai sorti cette menotte me permettant d’attacher Antoine, les mains derrière son dos.
Damien là ou pas, là, les menottes, que m’arrive-t-il ?
- Oui, petite bite, suce-moi car c’est toi que j’ai choisi, pour remplacer Damien.
Regarde-le, il essaye de bander.
La situation où je l’ai mis et où je vais te mettre quand j’aurais fini de me servir de toi comme d’un gode montre la femme dominante que j’ai faite de vous.
Tu aimes lopette.
D’un geste de la tête la lopette me fait comprendre qu’il aime me permettant de continuer.
- Dring, dring.
Je me réveille, je croyais avoir reçu mon amant mais l’eau de mon bain est froide.
Je me suis avachi ma bouche est à quelques millimètres de ce que je me noie.
J’ai rêvé, une nouvelle fois Damien vient d’échapper à ce que je le cocufie.
Mais ce qui me déplaît le plus c’est que je viens de constater que j’ai perdu ma situation de dominatrice à cause de la sonnette de la porte d’entrée.
Un point positif, j’étais active sans que mes âmes noires et blanches intercèdent dans ma vie.
Je suis majeur mince.
« Sophie va-t-elle, céder à Antoine ? »
Je sors de l’eau au coup de sonnette.
Passant un peignoir sur mon corps sans m’essuyer, je suis frustrée.
Quand je pense au moment extraordinaire que je vivais alors que c’était un rêve lié à mes fantasmes.
Je descends ouvrir.
Bien sûr c’est Antoine.
- Sophie, j’étais venue m’excuser pour le geste que j’ai eu envers toi dans la piscine.
Tu sais, je suis prêt à te demander de tout plaquer pour venir vivre avec moi.
Je suis célibataire depuis toujours et les femmes qui ont défilé dans mon lit au cours de ma vie ont été des passades qui m’ont conduite jusqu’à toi.
J’arrive aujourd’hui en mettant à nu mon corps et mon âme.
Je jure que si tu me laisses entrer pour que je te prenne dans mes bras et que je te cajole, tu auras un homme qui te sera attaché jusqu’à la fin de tes jours.
Pour Antoine, le seul problème, c’est que je suis une femme de caractère, même si toute ma vie ma famille a toujours primé pour moi.
Femme de caractère, tu rigoles, je serais toi, je sauterais à la verge de ce beau gosse qui en pince pour toi.
Méfies-toi Sophie, d'autres que toi plus solide, se sont mordus les doigts.
On finit par connaître l’opposition qu’il y a en moi.
Dois-je tirer à pile ou face ?
J’ai eu beaucoup de plaisir avec Damien même si c’est temps si les choses se distendent un peu.
Mais je suis sûr que si je sais être patient cette harmonie va revenir.
Bien joué.
Pauvre conne.
- Dommage Antoine, je dois reconnaître que depuis que j’ai vu ta bite sortir de ton short à la salle je suis émoustillée et même à deux doigts de te céder.
Tu peux ajouter à cette vision la manière dont tu m’as serré dans la piscine qui aurait pu être favorable à ton projet.
Hélas tu as une telle réputation que je me vois dans l'obligation de te laisser sur le pas de ma porte et retourner me préparer pour aller faire mes courses.
Au moment de me retourner le pan de mon peignoir m’échappe et une fraction de seconde mon corps entièrement nu lui apparaît.
Bien sûr, pour tout arrangé je mets du temps à le récupérer et la fraction de seconde qu’il me faut pour pivoter, je vois son pantalon se tendre.
La porte refermée, je m’appuie sur le chambranle et je ferme les yeux fiers dans un sens une nouvelle fois d’avoir résisté et me traitant de conne d’avoir refusé cette bite qui me tendait les bras.
Quand je vous dis que le blanc ou le noir me travaille.
Pourquoi alors qu’il était à ma merci, je refuse ce plaisir qui est à portée de ma main même si c’est un simple moment de bonheur sans conséquence ?
Que fais-je de mon rêve, si je lui avais proposé de devenir mon esclave, je suis certaine qu’il aurait accepté ?
« Sophie accepte la réalité en face et est prête à assumer. »
Alors, je craque, j’ouvre la porte pour le faire entrer et me donner comme une chienne là dans l’entrée de ma maison à quatre pattes et même prête à ce qu’il me sodomise.
Ce couillon, il est parti, je le vois passer le coin de la rue et disparaître de ma vue.
Mon vêtement est toujours ouvert et sur le trottoir de l’autre côté de la rue un couple que je connais arrive.
J’entre en urgence.
Je suis dans l’obligation de retourner sous la douche ma chatte ayant coulé en abondance le long de mes jambes pendant tout le temps où Antoine était devant moi à ma disposition si j’avais su en profiter.
Je suis sous la douche quand de nouveau la sonnette de la porte d’entrée retentie.
Encore trempée je remets mon peignoir en courant littéralement dans l’escalier au risque de glisser et de me fracasser la tête.
Ce serait une solution pour me la remettre à l’endroit.
Après tout ce qu’Antoine qui est derrière la porte m’a fait ou fait penser.
- Sophie, c’est moi, je peux entrer, tu étais pressé de répondre à mon appel !
Ta maison est trempée, je pourrais croire que tu es venue ouvrir à ton amant et que tu as eu peur qu’il ne reparte.
Je vais te dire, éclate-toi comme je m’éclate avec Alphonsine que j’appelle Sine dans nos moments d’intimité.
Je l’embrasse et je vais pour la prendre dans mes bras quand doucement elle me repousse.
- Sophie je t’aime bien et même beaucoup, mais tu sais que quand je donne mon cœur, je suis fidèle.
Après le moment où Marion m’a quitté, j’ai cherché l’amour dans les bras d’autres femmes, tu en fais partie.
J’ai passé un moment merveilleux de plaisir physique avec toi.
Je sentais bien quand tu t’abandonnais avec un peu de retenue.
Tu restes profondément attachée à la queue des hommes.
Avec Sine, j’ai retrouvé l’équilibre des amours féminins.
Il m’est impossible de définir et que je ressens au fond de mon être, Sophie, c’est simple, je suis amoureuse.
Tu vois, ta copine assume ses envies et ses fantasmes.
Pauvre tache…
Nicolas vient dans ma chambre, tient où est-il ?
Mon cerveau est déréglé.
Non, je retrouve le sens de ma vie.
- Tu as commencé et même bien commencé.
Je veux qu’à partir de maintenant chez moi ce soient les hommes qui me soient soumis, c’est déjà le cas.
Tient, Damien est parti sa bite et ses couilles enfermées dans une cage en Inox bloqué par une clef que tu peux remarquer pendu à mon cou.
Lève la tête, ta cage avec sa clef est sur la table de nuit.
Je te la fixerais dès que mon envie de toi sera satisfaite.
- As-tu d’autres envies ?
- Oui, j’aimerais vous voir faire l’amour avec des femmes que vous aurez draguées et amenées jusqu’à moi pour que j’ouvre vos cages.
Assez parlé, reprend ton travail sur ma jarretière.
Je lui laisse enlever la première et pour lui monter qui domine maintenant.
Je le pousse de mon pied le faisant rouler au sol.
Il se redresse et revient vers moi.
- C’est bien, tu commences à comprendre que je suis votre maîtresse.
Recommence lentement sur la deuxième jambe.
Attention toute fausse note et les portes de mon sexe vous seront fermées.
Si nous en arrivons là, c'est moi qui déciderais du jour et de l’heure où j’aurais envie de refaire une soirée.
Il s’applique et réussit à éviter les punitions.
Je m’assieds sur le lit et je m’appuie sur mes avant-bras le bassin offert à sa concupiscence
- Roule mes bas.
Moins vite, si tu fais fonctionner ta verge avec la même rapidité que tes mains, comment veux-tu que je jouisse ?
Quand Damien me faisait encore l’amour, il était très fort à me faire subir le supplice de Tantale.
Je l’aurais étripé mais qu’est-ce que j’aimais.
Soit à la hauteur de ce résidu de moins que rien qu’il est devenu.
Mon bas-ventre et mes jambes dénudées, je lui prends la tête d’une manière autoritaire.
Je le plaque sur ma chatte qui sous la jouissance procurée montre aux deux hommes qu’ils sont devenus mes dominés alors qu’ils espéraient me dominer chacun à leur manière.
L’un en me voyant une bite dans la chatte.
L’autre celui qui veut me la mettre.
Pourquoi hésiter, mon vagin dans cette situation, est prêt à tout supporter ?
Je suis lubrifiée comme jamais.
Ma cyprine en voyant celui assis sur une chaise.
Les yeux sortant de sa tête, en essayant désespérément de se caresser ce qui lui est impossible dans la situation où il s’est mis avec la femelle lubrique que l’attente a déclenchée en moi.
Le vendeur du sex-shop où j’ai commandé les cages m’a fait voir sur sa verge comment les mettre se mettant à bander sous mon regard.
Une fois enfermée, fini, impossible de tendre le bras ou se faire mal du fait de la ferraille.
J’aurais bien cédé ce jour-là, mais Damien venait de me donner l’ordre de me préparer pour ce soir et j’ai préféré mon couple à une aventure sans lendemain.
Tient, il est revenu celui-là.
La persévérance que me montre Antoine à vouloir être un bon amant démontre que j’ai bien fait de choisir cette solution.
D’où j’ai sorti cette menotte me permettant d’attacher Antoine, les mains derrière son dos.
Damien là ou pas, là, les menottes, que m’arrive-t-il ?
- Oui, petite bite, suce-moi car c’est toi que j’ai choisi, pour remplacer Damien.
Regarde-le, il essaye de bander.
La situation où je l’ai mis et où je vais te mettre quand j’aurais fini de me servir de toi comme d’un gode montre la femme dominante que j’ai faite de vous.
Tu aimes lopette.
D’un geste de la tête la lopette me fait comprendre qu’il aime me permettant de continuer.
- Dring, dring.
Je me réveille, je croyais avoir reçu mon amant mais l’eau de mon bain est froide.
Je me suis avachi ma bouche est à quelques millimètres de ce que je me noie.
J’ai rêvé, une nouvelle fois Damien vient d’échapper à ce que je le cocufie.
Mais ce qui me déplaît le plus c’est que je viens de constater que j’ai perdu ma situation de dominatrice à cause de la sonnette de la porte d’entrée.
Un point positif, j’étais active sans que mes âmes noires et blanches intercèdent dans ma vie.
Je suis majeur mince.
« Sophie va-t-elle, céder à Antoine ? »
Je sors de l’eau au coup de sonnette.
Passant un peignoir sur mon corps sans m’essuyer, je suis frustrée.
Quand je pense au moment extraordinaire que je vivais alors que c’était un rêve lié à mes fantasmes.
Je descends ouvrir.
Bien sûr c’est Antoine.
- Sophie, j’étais venue m’excuser pour le geste que j’ai eu envers toi dans la piscine.
Tu sais, je suis prêt à te demander de tout plaquer pour venir vivre avec moi.
Je suis célibataire depuis toujours et les femmes qui ont défilé dans mon lit au cours de ma vie ont été des passades qui m’ont conduite jusqu’à toi.
J’arrive aujourd’hui en mettant à nu mon corps et mon âme.
Je jure que si tu me laisses entrer pour que je te prenne dans mes bras et que je te cajole, tu auras un homme qui te sera attaché jusqu’à la fin de tes jours.
Pour Antoine, le seul problème, c’est que je suis une femme de caractère, même si toute ma vie ma famille a toujours primé pour moi.
Femme de caractère, tu rigoles, je serais toi, je sauterais à la verge de ce beau gosse qui en pince pour toi.
Méfies-toi Sophie, d'autres que toi plus solide, se sont mordus les doigts.
On finit par connaître l’opposition qu’il y a en moi.
Dois-je tirer à pile ou face ?
J’ai eu beaucoup de plaisir avec Damien même si c’est temps si les choses se distendent un peu.
Mais je suis sûr que si je sais être patient cette harmonie va revenir.
Bien joué.
Pauvre conne.
- Dommage Antoine, je dois reconnaître que depuis que j’ai vu ta bite sortir de ton short à la salle je suis émoustillée et même à deux doigts de te céder.
Tu peux ajouter à cette vision la manière dont tu m’as serré dans la piscine qui aurait pu être favorable à ton projet.
Hélas tu as une telle réputation que je me vois dans l'obligation de te laisser sur le pas de ma porte et retourner me préparer pour aller faire mes courses.
Au moment de me retourner le pan de mon peignoir m’échappe et une fraction de seconde mon corps entièrement nu lui apparaît.
Bien sûr, pour tout arrangé je mets du temps à le récupérer et la fraction de seconde qu’il me faut pour pivoter, je vois son pantalon se tendre.
La porte refermée, je m’appuie sur le chambranle et je ferme les yeux fiers dans un sens une nouvelle fois d’avoir résisté et me traitant de conne d’avoir refusé cette bite qui me tendait les bras.
Quand je vous dis que le blanc ou le noir me travaille.
Pourquoi alors qu’il était à ma merci, je refuse ce plaisir qui est à portée de ma main même si c’est un simple moment de bonheur sans conséquence ?
Que fais-je de mon rêve, si je lui avais proposé de devenir mon esclave, je suis certaine qu’il aurait accepté ?
« Sophie accepte la réalité en face et est prête à assumer. »
Alors, je craque, j’ouvre la porte pour le faire entrer et me donner comme une chienne là dans l’entrée de ma maison à quatre pattes et même prête à ce qu’il me sodomise.
Ce couillon, il est parti, je le vois passer le coin de la rue et disparaître de ma vue.
Mon vêtement est toujours ouvert et sur le trottoir de l’autre côté de la rue un couple que je connais arrive.
J’entre en urgence.
Je suis dans l’obligation de retourner sous la douche ma chatte ayant coulé en abondance le long de mes jambes pendant tout le temps où Antoine était devant moi à ma disposition si j’avais su en profiter.
Je suis sous la douche quand de nouveau la sonnette de la porte d’entrée retentie.
Encore trempée je remets mon peignoir en courant littéralement dans l’escalier au risque de glisser et de me fracasser la tête.
Ce serait une solution pour me la remettre à l’endroit.
Après tout ce qu’Antoine qui est derrière la porte m’a fait ou fait penser.
- Sophie, c’est moi, je peux entrer, tu étais pressé de répondre à mon appel !
Ta maison est trempée, je pourrais croire que tu es venue ouvrir à ton amant et que tu as eu peur qu’il ne reparte.
Je vais te dire, éclate-toi comme je m’éclate avec Alphonsine que j’appelle Sine dans nos moments d’intimité.
Je l’embrasse et je vais pour la prendre dans mes bras quand doucement elle me repousse.
- Sophie je t’aime bien et même beaucoup, mais tu sais que quand je donne mon cœur, je suis fidèle.
Après le moment où Marion m’a quitté, j’ai cherché l’amour dans les bras d’autres femmes, tu en fais partie.
J’ai passé un moment merveilleux de plaisir physique avec toi.
Je sentais bien quand tu t’abandonnais avec un peu de retenue.
Tu restes profondément attachée à la queue des hommes.
Avec Sine, j’ai retrouvé l’équilibre des amours féminins.
Il m’est impossible de définir et que je ressens au fond de mon être, Sophie, c’est simple, je suis amoureuse.
Tu vois, ta copine assume ses envies et ses fantasmes.
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