COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2408 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 028 833 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 015 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (3/5)
Mon père débarqué et reparti pour la France en ambulance, maman couchée pour récupérer de ce début de voyage tourmenté, j’allais pour me préparer à aller à terre quelques heures avant de repartir pour Split en Croatie quand de notre coursive Emmanuelle la femme de Raoult m’apostrophe.
Elle est bandante malgré sa trentaine dans son maillot de bain multicolore.
• Mais que fais-tu Christian, je suis une femme mariée et fidèle, hors de question que je trompe Raoult.
Qui d’elle ou de moi nous poussons l’autre le plus vite pour atterrir sur le lit où je me retrouve sur le dos, m’enlevant prestement mon bermuda mettant ma bite à l’air et me sautant dessus écartant son bas de maillot sans l’enlever pour s’empaler sur ma verge sans que je n’aie le temps de lui demander de mettre une capote.
• Petit salop tu me violes mais c’est bon continu nous ne dirons rien à Raoult ce sera notre secret.
Oui, comme cela je sens ta verge monter et descendre en moi, putain je suis une salope mais j’aime, je savais que tu serais un bon coup.
Oui.
Aucune fois je ne l’embrasse, la seule chose qu’elle cherche c’est du sexe brute aussi je la renverse, monte à la hauteur de son visage ou je lui mets mon sexe dans sa cavité buccale qui semble en avoir énormément envie à la vitesse ou elle me pompe et qu’elle m’avale avec autant d’avidité que sa chatte deux minutes avant.
• T’aime sucer ma belle, oui mets tes mains autour de mon sexe et masturbe-moi en m’aspirant.
Elle redouble d’efforts mais j’en veux plus, je veux faire d’elle une accro à ma bite.
J’ai été à bonne école avec Viviane qui m’a appris à être patient, aussi je quitte sa bouche.
• Je voulais boire ton sperme.
• Retourne-toi et place toi à quatre pattes.
• Tu as raison, la levrette Raoult rechigne à me prendre comme cela alors que j’adore, je sens que l’on va plus loin en moi.
Celle qui me disait être fidèle à son dénommé Raoult semble être une belle suceuse de bites qui le trompe allégrement en me confessant qu’elle aime que l’on aille plus profondément en elle.
Je l’embroche de nouveau et j’aime regarder son fessier bien proportionné sans les marques de vergeture que j’ai vues sur celui de Viviane, j’ai un drôle de sentiment quand je vois son anus qui semble moins fermé que celui de ma première maîtresse même si c’est dans la nuit que j’ai vue et vois l’un et l’autre.
Je prends l’initiative d’y faire entrer un doigt qui glisse sans aucune difficulté, deux j’essaye les râles d’Emmanuelle redouble.
À ce moment je comprends pourquoi sa maman la prénommée ainsi, j’ai vu le premier film de cette héroïne et je pense qu’elle savait que sa fille serait aussi soumise et salope que l’Emmanuelle du film.
Je suis content je tiens la distance jusqu’au cri de plaisir qu’elle émet au risque de réveiller maman le bruit des machines qui tournaient couvrant ceux de Viviane cette nuit, mais je m’en fiche, je suis majeur et j’ai maintenant le droit de faire ce que je veux de ma vie et surtout de mon sexe.
Je l’enculerais bien mais comme aucune demande de sa part ne vient je me contente de sa chatte et de mes doigts pour la faire repartir une seconde fois ses cris étant aussi forts et les jets que je propulse en elle aussi puissant et fourni que dans le sexe de celle qui m’a dépucelé.
Nous récupérons quand le bruit d’un moteur démarrant nous rappelle à la réalité.
Je regarde l’heure, trop tard pour descendre à terre.
Elle regarde l’heure et se sauve sans se doucher attachant simplement son maillot que j’avais fini par détacher et file sans se poser de question sur l’ouverture de sa porte.
• On recommencera avant la fin du voyage, tu as été un amant formidable, dans le top trois de mes souvenirs.
Elle est partie je m’habile avec un polo et un pantalon agrémenté de basket.
Je récupère quelques billets de la liasse que j’ai touché regarde que maman dorme bien et je sors retrouver les machines à sous.
Je sens le bateau bouger une heure après que je suis arrivé ayant eu des fortunes divers me plaçant en équilibre pour mon argent.
• Tien Christian tu es là, je rentre de terre, es-tu descendu ?
• Raoult, non tu vois je joue, papa est reparti pour la France et maman dort, je vais d’ailleurs aller la rejoindre pour qu’elle se prépare pour le dîner.
As-tu trouvé tes cigarettes ?
• On est entre hommes fiston, tu te tais et tu gardes pour toi ce que je vais te dire si tu croises Emmanuelle.
Pauvre cocu, la croiser je l’ai même enfilé bien sûr je me tais.
• C’est ce que j’ai trouvé pour aller à terre avec une femme de la table à côté de la nôtre, nous sommes allées à l’hôtel et tu sais ce que l’on fait dans ces cas-là.
• J’ai compris je serais une tombe.
Et votre femme ?
J’ai failli dire et Emmanuelle pouvant ouvrir sa suspicion.
• Appelle là Emmanuelle, je sais qu’elle aime que l’on lui donne son prénom, elle était restée à la piscine.
Eh bien, non, elle est venue dans ma chambre et si tu la cocufier je t’ai cocufié, il semble même que tu sois souvent cocu au vu de son trou du cul.
Une nouvelle fois je le pense mais ne dis mot puisqu’il m’a demandé d’être une tombe.
Pendant notre conversation il met un billet dans la fente de la machine voisine, puis un deuxième.
Les lumières s’allument lui signalant un gros gain.
• J’ai une chance de cocu un peu plus de 1 000 €.
• Je te quitte il est l’heure de me changer, tu vas pouvoir payer une chambre d’hôtel à ta copine à la prochaine escale.
Le dicton une chance de cocu semble vrai, je retourne dans la cabine, je frappe chez les parents, pardon chez maman qui m’ouvre une serviette autour du corps sortant de sa douche.
• Je venais te prévenir qu’il était l’heure de te préparer pour aller dîner, tu es en beauté maman, ton maquillage est parfait.
As-tu des nouvelles de papa ?
• Non j’en aurais demain si les communications passent il va de soi.
Je vais me préparer et quand nous rentrons dans la salle de restaurant c’est une bombe que j’ai à mon bras.
Avant que le premier plat arrive un grand nombre de passagers viennent nous voir pour nous présenter ce que nous pouvons penser être des condoléances.
J’embrasse des femmes de tous genres, de tout âge et de tous volumes, heureusement l’appel de la nourriture arrête ce flot nous permettant de parler avec nos amis de la table.
Je regarde à ma droite une maîtresse à gauche une autre maîtresse, sous la table une main se pose sur ma cuisse à l’orée de ma verge qui commence à se développer.
À ma droite légèrement décalée car maman et la chaise de papa est là un pied cherche mon pied et va même jusqu’à remonter vers mon sexe.
Nous sommes à la limite d’un début de scandale quand le pied trouve et mon sexe et la main qui la caresse.
Un regard entre les deux femmes et je sens que la paix se fait quand la main caresse le pied et que je vois les yeux de sa propriétaire se troubler, avec un peu de chance sois dans ma chambre sois dans celle de Viviane je pourrais apprendre à m’occuper de deux femmes en même temps.
Mais je fantasme, j’ai déjà la chance d’avoir eu deux femmes mures dans mon lit en un minimum de temps alors l’amour à trois on verra plus tard.
Que m’arrive-t-il depuis que je suis monté sur ce bateau, je gagne du pognon autant que j’en veux, je baise à couilles rabattues et pour tout me faciliter mon père a abandonné le navire m’évitant de longues heures de visite minutées.
• Messieurs dames bonsoir puis-je me joindre à vous.
• Faite commandant hélas il y a une place de libre à notre table.
• Oui chère Alice, pour moi ma dernière croisière avant ma retraite aura été l’une des plus désagréables quand je vois vos yeux heureusement que votre courage illumine cette table.
En disant ces mots il lui prend la main et lui donne ce que je crois être un baisemain.
• Christian me permettez-vous de faire visiter mon navire demain en fin de matinée à votre mère mais avant les musiciens commençant à jouer me permettez-vous d’ouvrir le bal avec elle ?
Le salop il sait y faire avec les femmes surtout avec maman qui adore danser ce qu’elle fait rarement car papa déteste cela et demander à moi son fils mon autorisation c’est bien plus vicieux je saurais m’en souvenir car il m’est impossible de lui dire non, surtout quand je vois maman dévorer des yeux cet homme aux cheveux grisonnant ayant une prestance folle.
• Viviane, me permets-tu de t’appeler Viviane acceptes-tu de les suivrent sur la piste de danse.
Raoult se lève et prend à son tour la main de ma maîtresse.
• Mon chéri, j’espère que Christian sait danser car j’aurais des regrets de faire tapisserie.
C’est ainsi que toute la table se lève et qu’après que Gavin est commencé à faire valser maman nous nous retrouvons les trois couples à virevolter.
• Tu baises et tu danses bien Christian, qui t’a appris.
• Maman quand papa est absent.
• Tu baises avec ta maman.
• Arrête de dire autant de bêtises, elle m’a appris à danser, nous sommes une famille normale.
• Regarde-la, avant de la fin de la nuit elle sera dans les bras d’une autre alors que le corps de ton père est encore chaud.
• Tu déconnes Emmanuelle, maman trompée papa c’est absurde.
• Je trompe bien Raoult et j’espère finir la nuit avec toi pendant qu’il va baiser Viviane ou la grosse que tu vois là-bas qu’il a emmené à l’hôtel à Trieste, ce couillon à garder la note de l’hôtel dans sa poche.
À leur retour de la coursive extérieure je les ai vus revenir après que tu m’es fait jouir autant que j’ai pu jouir avec toi…
Elle est bandante malgré sa trentaine dans son maillot de bain multicolore.
• Mais que fais-tu Christian, je suis une femme mariée et fidèle, hors de question que je trompe Raoult.
Qui d’elle ou de moi nous poussons l’autre le plus vite pour atterrir sur le lit où je me retrouve sur le dos, m’enlevant prestement mon bermuda mettant ma bite à l’air et me sautant dessus écartant son bas de maillot sans l’enlever pour s’empaler sur ma verge sans que je n’aie le temps de lui demander de mettre une capote.
• Petit salop tu me violes mais c’est bon continu nous ne dirons rien à Raoult ce sera notre secret.
Oui, comme cela je sens ta verge monter et descendre en moi, putain je suis une salope mais j’aime, je savais que tu serais un bon coup.
Oui.
Aucune fois je ne l’embrasse, la seule chose qu’elle cherche c’est du sexe brute aussi je la renverse, monte à la hauteur de son visage ou je lui mets mon sexe dans sa cavité buccale qui semble en avoir énormément envie à la vitesse ou elle me pompe et qu’elle m’avale avec autant d’avidité que sa chatte deux minutes avant.
• T’aime sucer ma belle, oui mets tes mains autour de mon sexe et masturbe-moi en m’aspirant.
Elle redouble d’efforts mais j’en veux plus, je veux faire d’elle une accro à ma bite.
J’ai été à bonne école avec Viviane qui m’a appris à être patient, aussi je quitte sa bouche.
• Je voulais boire ton sperme.
• Retourne-toi et place toi à quatre pattes.
• Tu as raison, la levrette Raoult rechigne à me prendre comme cela alors que j’adore, je sens que l’on va plus loin en moi.
Celle qui me disait être fidèle à son dénommé Raoult semble être une belle suceuse de bites qui le trompe allégrement en me confessant qu’elle aime que l’on aille plus profondément en elle.
Je l’embroche de nouveau et j’aime regarder son fessier bien proportionné sans les marques de vergeture que j’ai vues sur celui de Viviane, j’ai un drôle de sentiment quand je vois son anus qui semble moins fermé que celui de ma première maîtresse même si c’est dans la nuit que j’ai vue et vois l’un et l’autre.
Je prends l’initiative d’y faire entrer un doigt qui glisse sans aucune difficulté, deux j’essaye les râles d’Emmanuelle redouble.
À ce moment je comprends pourquoi sa maman la prénommée ainsi, j’ai vu le premier film de cette héroïne et je pense qu’elle savait que sa fille serait aussi soumise et salope que l’Emmanuelle du film.
Je suis content je tiens la distance jusqu’au cri de plaisir qu’elle émet au risque de réveiller maman le bruit des machines qui tournaient couvrant ceux de Viviane cette nuit, mais je m’en fiche, je suis majeur et j’ai maintenant le droit de faire ce que je veux de ma vie et surtout de mon sexe.
Je l’enculerais bien mais comme aucune demande de sa part ne vient je me contente de sa chatte et de mes doigts pour la faire repartir une seconde fois ses cris étant aussi forts et les jets que je propulse en elle aussi puissant et fourni que dans le sexe de celle qui m’a dépucelé.
Nous récupérons quand le bruit d’un moteur démarrant nous rappelle à la réalité.
Je regarde l’heure, trop tard pour descendre à terre.
Elle regarde l’heure et se sauve sans se doucher attachant simplement son maillot que j’avais fini par détacher et file sans se poser de question sur l’ouverture de sa porte.
• On recommencera avant la fin du voyage, tu as été un amant formidable, dans le top trois de mes souvenirs.
Elle est partie je m’habile avec un polo et un pantalon agrémenté de basket.
Je récupère quelques billets de la liasse que j’ai touché regarde que maman dorme bien et je sors retrouver les machines à sous.
Je sens le bateau bouger une heure après que je suis arrivé ayant eu des fortunes divers me plaçant en équilibre pour mon argent.
• Tien Christian tu es là, je rentre de terre, es-tu descendu ?
• Raoult, non tu vois je joue, papa est reparti pour la France et maman dort, je vais d’ailleurs aller la rejoindre pour qu’elle se prépare pour le dîner.
As-tu trouvé tes cigarettes ?
• On est entre hommes fiston, tu te tais et tu gardes pour toi ce que je vais te dire si tu croises Emmanuelle.
Pauvre cocu, la croiser je l’ai même enfilé bien sûr je me tais.
• C’est ce que j’ai trouvé pour aller à terre avec une femme de la table à côté de la nôtre, nous sommes allées à l’hôtel et tu sais ce que l’on fait dans ces cas-là.
• J’ai compris je serais une tombe.
Et votre femme ?
J’ai failli dire et Emmanuelle pouvant ouvrir sa suspicion.
• Appelle là Emmanuelle, je sais qu’elle aime que l’on lui donne son prénom, elle était restée à la piscine.
Eh bien, non, elle est venue dans ma chambre et si tu la cocufier je t’ai cocufié, il semble même que tu sois souvent cocu au vu de son trou du cul.
Une nouvelle fois je le pense mais ne dis mot puisqu’il m’a demandé d’être une tombe.
Pendant notre conversation il met un billet dans la fente de la machine voisine, puis un deuxième.
Les lumières s’allument lui signalant un gros gain.
• J’ai une chance de cocu un peu plus de 1 000 €.
• Je te quitte il est l’heure de me changer, tu vas pouvoir payer une chambre d’hôtel à ta copine à la prochaine escale.
Le dicton une chance de cocu semble vrai, je retourne dans la cabine, je frappe chez les parents, pardon chez maman qui m’ouvre une serviette autour du corps sortant de sa douche.
• Je venais te prévenir qu’il était l’heure de te préparer pour aller dîner, tu es en beauté maman, ton maquillage est parfait.
As-tu des nouvelles de papa ?
• Non j’en aurais demain si les communications passent il va de soi.
Je vais me préparer et quand nous rentrons dans la salle de restaurant c’est une bombe que j’ai à mon bras.
Avant que le premier plat arrive un grand nombre de passagers viennent nous voir pour nous présenter ce que nous pouvons penser être des condoléances.
J’embrasse des femmes de tous genres, de tout âge et de tous volumes, heureusement l’appel de la nourriture arrête ce flot nous permettant de parler avec nos amis de la table.
Je regarde à ma droite une maîtresse à gauche une autre maîtresse, sous la table une main se pose sur ma cuisse à l’orée de ma verge qui commence à se développer.
À ma droite légèrement décalée car maman et la chaise de papa est là un pied cherche mon pied et va même jusqu’à remonter vers mon sexe.
Nous sommes à la limite d’un début de scandale quand le pied trouve et mon sexe et la main qui la caresse.
Un regard entre les deux femmes et je sens que la paix se fait quand la main caresse le pied et que je vois les yeux de sa propriétaire se troubler, avec un peu de chance sois dans ma chambre sois dans celle de Viviane je pourrais apprendre à m’occuper de deux femmes en même temps.
Mais je fantasme, j’ai déjà la chance d’avoir eu deux femmes mures dans mon lit en un minimum de temps alors l’amour à trois on verra plus tard.
Que m’arrive-t-il depuis que je suis monté sur ce bateau, je gagne du pognon autant que j’en veux, je baise à couilles rabattues et pour tout me faciliter mon père a abandonné le navire m’évitant de longues heures de visite minutées.
• Messieurs dames bonsoir puis-je me joindre à vous.
• Faite commandant hélas il y a une place de libre à notre table.
• Oui chère Alice, pour moi ma dernière croisière avant ma retraite aura été l’une des plus désagréables quand je vois vos yeux heureusement que votre courage illumine cette table.
En disant ces mots il lui prend la main et lui donne ce que je crois être un baisemain.
• Christian me permettez-vous de faire visiter mon navire demain en fin de matinée à votre mère mais avant les musiciens commençant à jouer me permettez-vous d’ouvrir le bal avec elle ?
Le salop il sait y faire avec les femmes surtout avec maman qui adore danser ce qu’elle fait rarement car papa déteste cela et demander à moi son fils mon autorisation c’est bien plus vicieux je saurais m’en souvenir car il m’est impossible de lui dire non, surtout quand je vois maman dévorer des yeux cet homme aux cheveux grisonnant ayant une prestance folle.
• Viviane, me permets-tu de t’appeler Viviane acceptes-tu de les suivrent sur la piste de danse.
Raoult se lève et prend à son tour la main de ma maîtresse.
• Mon chéri, j’espère que Christian sait danser car j’aurais des regrets de faire tapisserie.
C’est ainsi que toute la table se lève et qu’après que Gavin est commencé à faire valser maman nous nous retrouvons les trois couples à virevolter.
• Tu baises et tu danses bien Christian, qui t’a appris.
• Maman quand papa est absent.
• Tu baises avec ta maman.
• Arrête de dire autant de bêtises, elle m’a appris à danser, nous sommes une famille normale.
• Regarde-la, avant de la fin de la nuit elle sera dans les bras d’une autre alors que le corps de ton père est encore chaud.
• Tu déconnes Emmanuelle, maman trompée papa c’est absurde.
• Je trompe bien Raoult et j’espère finir la nuit avec toi pendant qu’il va baiser Viviane ou la grosse que tu vois là-bas qu’il a emmené à l’hôtel à Trieste, ce couillon à garder la note de l’hôtel dans sa poche.
À leur retour de la coursive extérieure je les ai vus revenir après que tu m’es fait jouir autant que j’ai pu jouir avec toi…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...