COLLECTION DOMINANT DOMINE. Faire de ma femme une chienne en chaleur (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Faire de ma femme une chienne en chaleur (2/4)
Comme si j’étais dans un cinéma porno, sur grand écran, je vois une femme se faire enculer par un black alors qu’un blanc lui enfonce sa verge dans la bouche.
Cette femme, c’est la mienne quelques semaines après notre mariage.
C’est Fred mon témoin qui m’a proposé qu’elle rencontre maître Édouard de Montchanin homme à la grande chevelure blanche et à la barbichette.
Il me promet qu’il va en faire une jolie petite chienne lubrique.
Elle est réticente à venir lui lécher ses escarpins vernis.
La voir se faire enculer, même si c’est pour en faire une femme docile connaissant le sexe pour mon plus grand plaisir, j’ai mal pour elle.
D’un coup le bruit fait par le maître revenant dans son domaine se fait de nouveau entendre.
- Alors messieurs, notre petite salope a-t-elle progressé ?
Lâchez là !
Que dois-tu faire pour me faire plaisir belle enfant ?
Mon Dieu que c’est beau de la voir se précipiter sur les marches et poser sa tête sur les genoux du débris.
- C’est bien, tu as compris qui est ton maître.
- Merci maître, vous m’avez appris, comment je vais pouvoir satisfaire mon mari.
J’étais innocente.
Il lui caresse la tête sans aller plus loin.
- Monsieur, c’est suffisant pour aujourd’hui, mettez là dans sa cage pour la nuit.
Le blanc vient la récupérer.
Je vois un tatouage sur le haut de son biceps.
Crâne rasé, tatouage dommage que celui qui gère les caméras le laisse en plan large, derrière sa cagoule, j’ai l’impression de reconnaître Fred.
J’ai fait du tennis avec lui et dans les douches j’avais remarqué le tatouage qui représente une sirène avec sa queue de poisson.
Ma femme toujours sur ses genoux descend.
La caméra pivote montrant une cage avec à l’intérieur son repas, une gamelle de pâté et une d’eau.
Elle entre, ils ferment, l’écran devient noir.
- Si vous voulez bien me suivre, vous reviendrez ici demain pour voir la nouvelle étape que notre maître fera franchir à votre femme.
J’espère que vous avez été satisfait de l’épreuve de soumission infligée à votre petite Laury.
Vous avez bien fait de nous la confier, elle semble être un sujet doué, si elle va au bout de la formation du maître, vous aurez la femme de vos rêves dans votre lit pour le restant de vos jours.
Je la suis, dire que cette femme m’a sucé et que je l’ai baisé.
Je suis loin après ce que j’ai vu et ce que j’ai fait de regretter mes 20 000 €.
Hormis la sensation que Fred a baisé ma femme, tout le reste semble parfait.
Nous entrons dans une salle à manger, dignes du château où nous nous trouvons.
Je suis toujours nu.
La table est immense.
Un couvert est dressé en bout de table.
Un homme habillé en laquait m’installe, lui aussi sans se présenter comme mon hôtesse de ma journée.
- Ce beau jeune homme va s’occuper de vous, la journée de demain va être digne d’intérêt pour vous.
Si vous aimez les hommes, il est prêt à vous satisfaire dans votre lit.
Sinon, bonne nuit et bonne continuation.
Elle me quitte, le beau gosse avec un masque va me chercher le premier plat d’un repas plus qu’excellent.
Le maître a un cuistot à la hauteur.
Il va de soi quand le laquait a fini de me servir, que je me garde bien de faire appel à ses services.
Nous allons jusqu’à une porte où il me fait entrer et où se trouve un lit à baldaquin.
J’ai vu le même au château de Versailles.
- Monsieur, la porte devant vous donne dans votre salle de bain, le Jacuzzi est entièrement automatisé pour votre sécurité.
Voulez-vous que je me baigne avec vous ?
- Non merci, je vais me débrouiller.
- Alors bonne nuit monsieur.
Il me quitte, je regrette presque pendant que j’y étais d’avoir hésité à me servir de ses services.
La salle de bain et le Jacuzzi sont à la même hauteur que tout le reste.
Il possède 6 places que j’essaye l’une après l’autre.
De retour dans la chambre, je regarde par la grande porte-fenêtre.
Hélas, les volets sont fermés.
Je me couche, les draps sont de soie et d’une douceur incomparable.
Repus de luxure et de sexe, je m’endors avec une dernière pensée pour celle qui doit être surprise de ce que je lui fais subir.
Et si Fred m’avait emmené dans un traquenard pour baiser Laury.
- Bonjour monsieur votre petit déjeuner.
Une nouvelle femme est devant mon lit.
Sur la table, sans que je m’en aperçoive, un petit déjeuner est dressé.
Le café fumant embaume dans la cafetière en argent.
La secrétaire lors de notre inscription m’avait demandé mes goûts et mes allergies potentielles pour les repas.
Hier, lanière et cuir sont remplacés par une simple tenue de soubrette même si la jupe est mini montrant des bas résille du plus bel effet.
- Quand vous aurez fini, je vous reconduirais dans la pièce où vous verrez la suite de la formation de votre femme.
Même salle, même écran et même seau à champagne avec bien sûr une nouvelle bouteille.
L’écran s’allume.
Laury est toujours dans sa cage.
Un temps et les deux balaises sont remplacés par quatre jolies donzelles revêtues de cuir, cagoulées afin qu’elles soient méconnaissables.
Comme hier la caméra tourne au moment où le maître apparaît.
- Libérez là.
Emmenez là dans la pièce d’eau et lavez là, vous savez comme je tiens à l’hygiène dans mon château pour mes soumises.
À quatre pattes, je vois déjà, comment elle devra être quand nous serons de retour.
Il va falloir que je commande une cravache, car celle des quatre qui semble être leur chef sait lui asséner de violents coups sur sa croupe.
J’ai mal pour elle, moi qui suis la douceur même.
Tient, changement de caméra et nous sommes dans la salle de bains avec le Jacuzzi.
Je comprends les six places.
Chacune des quatre enlève leur lanière et un peu vicieux, le cameraman, fait un gros plan de toutes ces femmes lorsqu’elles entrent dans le bain que je sais à température.
Certainement un peu ankylosé dans la position où elle se trouve depuis notre arrivée, elle a du mal à passer sa jambe permettant à l’opérateur de s’attarder sur le rose de sa fente bien ouverte.
Chaque fois que je l’ai doigté, sa chatte était sèche comme si le sexe l’importait peu.
Dans ce château et avec ce qu’Édouard lui fait subir, elle semble être très gloutonne de ce que je lui offre.
- Mesdames, regardez cette touffe disgracieuse, quand le maître parle d’hygiène voilà le principal point qu’il faut traiter.
- Aller chercher le savon et le rasoir.
Une naïade sort de l’eau avec un nouveau gros plan et ouvre un tiroir où elle en extirpe une bombe et surtout un rasoir de barbier.
Mon grand-père avait le même.
Merde, elles vont me la mutiler.
De retour, deux des filles soulèvent ses jambes, je vois nettement le sexe de ma petite.
Et avec dextérité lui passe la mousse semblant laisser ses doigts dans la raie de ses fesses.
Le rasoir fait son office et rapidement, elle se retrouve aussi nue qu’à sa naissance, ce qui est loin de me déplaire.
Chacune des filles viennent l’embrasser, je vois la langue que j’aime temps sucer sortir et venir se mélanger avec chacune d’entre elles.
- Savonner là et emmener là dans la pièce voisine.
La maîtresse femme s’extirpe, remet sa tenue de dominatrice et passe dans une des portes que j’ai vues sans me poser la question où elles donnaient.
Laury est rincé et sorti de l’eau.
Ses seins semblent intéresser la rouquine qui les suces les mouillant plus que de les sécher.
Pour une fois, c’est debout qu’elle franchit la porte toujours tenue en laisse.
Le ballet des caméras se fait et nous nous retrouvons dans une chambre remplie de bougies de toutes grosseurs et couleur.
Une table où elles l’allongent.
- Après la soumission hier, aujourd’hui votre femme va être initiée aux plaisirs lesbiens.
Quand vous l’aurez récupéré, vous pourrez inviter des couples échangistes et vous pourrez reproduire ce qu’elle va aimer subir.
Vous allez voir ce qu’elle va apprendre, mais comme ça risque d’être douloureux, elles lui mettent une boule dans la bouche.
Douleur, plaisir, cela peut sembler antinomique, mais en réalité c’est tout à fait complémentaire.
Cette jolie soubrette est à portée de ma main, je la passe sous sa mini, sa chatte elle aussi épilée est à ma disposition.
Elle s’échappe me frustrant.
- Monsieur, mon maître refuse que j’aie des rapports avec vous-même si ça me frustre.
Il m’a demandé de vous garder en forme car ce soir, vous dînerez avec une invitée à qui vous pourrez faire l’amour toute la nuit.
Il tient particulièrement à ce que vous puissiez l’honorer en restant sage.
Regardez votre femme ce qu’elle est capable de subir.
Une surprise, je suis fasciné quand la première bougie est versée sur le corps de Laury, mais je me garde bien de porter les mains à mon sexe de peur d’être inefficace ce soir.
Qu’est-ce que le maître m’a réservé ?…
Cette femme, c’est la mienne quelques semaines après notre mariage.
C’est Fred mon témoin qui m’a proposé qu’elle rencontre maître Édouard de Montchanin homme à la grande chevelure blanche et à la barbichette.
Il me promet qu’il va en faire une jolie petite chienne lubrique.
Elle est réticente à venir lui lécher ses escarpins vernis.
La voir se faire enculer, même si c’est pour en faire une femme docile connaissant le sexe pour mon plus grand plaisir, j’ai mal pour elle.
D’un coup le bruit fait par le maître revenant dans son domaine se fait de nouveau entendre.
- Alors messieurs, notre petite salope a-t-elle progressé ?
Lâchez là !
Que dois-tu faire pour me faire plaisir belle enfant ?
Mon Dieu que c’est beau de la voir se précipiter sur les marches et poser sa tête sur les genoux du débris.
- C’est bien, tu as compris qui est ton maître.
- Merci maître, vous m’avez appris, comment je vais pouvoir satisfaire mon mari.
J’étais innocente.
Il lui caresse la tête sans aller plus loin.
- Monsieur, c’est suffisant pour aujourd’hui, mettez là dans sa cage pour la nuit.
Le blanc vient la récupérer.
Je vois un tatouage sur le haut de son biceps.
Crâne rasé, tatouage dommage que celui qui gère les caméras le laisse en plan large, derrière sa cagoule, j’ai l’impression de reconnaître Fred.
J’ai fait du tennis avec lui et dans les douches j’avais remarqué le tatouage qui représente une sirène avec sa queue de poisson.
Ma femme toujours sur ses genoux descend.
La caméra pivote montrant une cage avec à l’intérieur son repas, une gamelle de pâté et une d’eau.
Elle entre, ils ferment, l’écran devient noir.
- Si vous voulez bien me suivre, vous reviendrez ici demain pour voir la nouvelle étape que notre maître fera franchir à votre femme.
J’espère que vous avez été satisfait de l’épreuve de soumission infligée à votre petite Laury.
Vous avez bien fait de nous la confier, elle semble être un sujet doué, si elle va au bout de la formation du maître, vous aurez la femme de vos rêves dans votre lit pour le restant de vos jours.
Je la suis, dire que cette femme m’a sucé et que je l’ai baisé.
Je suis loin après ce que j’ai vu et ce que j’ai fait de regretter mes 20 000 €.
Hormis la sensation que Fred a baisé ma femme, tout le reste semble parfait.
Nous entrons dans une salle à manger, dignes du château où nous nous trouvons.
Je suis toujours nu.
La table est immense.
Un couvert est dressé en bout de table.
Un homme habillé en laquait m’installe, lui aussi sans se présenter comme mon hôtesse de ma journée.
- Ce beau jeune homme va s’occuper de vous, la journée de demain va être digne d’intérêt pour vous.
Si vous aimez les hommes, il est prêt à vous satisfaire dans votre lit.
Sinon, bonne nuit et bonne continuation.
Elle me quitte, le beau gosse avec un masque va me chercher le premier plat d’un repas plus qu’excellent.
Le maître a un cuistot à la hauteur.
Il va de soi quand le laquait a fini de me servir, que je me garde bien de faire appel à ses services.
Nous allons jusqu’à une porte où il me fait entrer et où se trouve un lit à baldaquin.
J’ai vu le même au château de Versailles.
- Monsieur, la porte devant vous donne dans votre salle de bain, le Jacuzzi est entièrement automatisé pour votre sécurité.
Voulez-vous que je me baigne avec vous ?
- Non merci, je vais me débrouiller.
- Alors bonne nuit monsieur.
Il me quitte, je regrette presque pendant que j’y étais d’avoir hésité à me servir de ses services.
La salle de bain et le Jacuzzi sont à la même hauteur que tout le reste.
Il possède 6 places que j’essaye l’une après l’autre.
De retour dans la chambre, je regarde par la grande porte-fenêtre.
Hélas, les volets sont fermés.
Je me couche, les draps sont de soie et d’une douceur incomparable.
Repus de luxure et de sexe, je m’endors avec une dernière pensée pour celle qui doit être surprise de ce que je lui fais subir.
Et si Fred m’avait emmené dans un traquenard pour baiser Laury.
- Bonjour monsieur votre petit déjeuner.
Une nouvelle femme est devant mon lit.
Sur la table, sans que je m’en aperçoive, un petit déjeuner est dressé.
Le café fumant embaume dans la cafetière en argent.
La secrétaire lors de notre inscription m’avait demandé mes goûts et mes allergies potentielles pour les repas.
Hier, lanière et cuir sont remplacés par une simple tenue de soubrette même si la jupe est mini montrant des bas résille du plus bel effet.
- Quand vous aurez fini, je vous reconduirais dans la pièce où vous verrez la suite de la formation de votre femme.
Même salle, même écran et même seau à champagne avec bien sûr une nouvelle bouteille.
L’écran s’allume.
Laury est toujours dans sa cage.
Un temps et les deux balaises sont remplacés par quatre jolies donzelles revêtues de cuir, cagoulées afin qu’elles soient méconnaissables.
Comme hier la caméra tourne au moment où le maître apparaît.
- Libérez là.
Emmenez là dans la pièce d’eau et lavez là, vous savez comme je tiens à l’hygiène dans mon château pour mes soumises.
À quatre pattes, je vois déjà, comment elle devra être quand nous serons de retour.
Il va falloir que je commande une cravache, car celle des quatre qui semble être leur chef sait lui asséner de violents coups sur sa croupe.
J’ai mal pour elle, moi qui suis la douceur même.
Tient, changement de caméra et nous sommes dans la salle de bains avec le Jacuzzi.
Je comprends les six places.
Chacune des quatre enlève leur lanière et un peu vicieux, le cameraman, fait un gros plan de toutes ces femmes lorsqu’elles entrent dans le bain que je sais à température.
Certainement un peu ankylosé dans la position où elle se trouve depuis notre arrivée, elle a du mal à passer sa jambe permettant à l’opérateur de s’attarder sur le rose de sa fente bien ouverte.
Chaque fois que je l’ai doigté, sa chatte était sèche comme si le sexe l’importait peu.
Dans ce château et avec ce qu’Édouard lui fait subir, elle semble être très gloutonne de ce que je lui offre.
- Mesdames, regardez cette touffe disgracieuse, quand le maître parle d’hygiène voilà le principal point qu’il faut traiter.
- Aller chercher le savon et le rasoir.
Une naïade sort de l’eau avec un nouveau gros plan et ouvre un tiroir où elle en extirpe une bombe et surtout un rasoir de barbier.
Mon grand-père avait le même.
Merde, elles vont me la mutiler.
De retour, deux des filles soulèvent ses jambes, je vois nettement le sexe de ma petite.
Et avec dextérité lui passe la mousse semblant laisser ses doigts dans la raie de ses fesses.
Le rasoir fait son office et rapidement, elle se retrouve aussi nue qu’à sa naissance, ce qui est loin de me déplaire.
Chacune des filles viennent l’embrasser, je vois la langue que j’aime temps sucer sortir et venir se mélanger avec chacune d’entre elles.
- Savonner là et emmener là dans la pièce voisine.
La maîtresse femme s’extirpe, remet sa tenue de dominatrice et passe dans une des portes que j’ai vues sans me poser la question où elles donnaient.
Laury est rincé et sorti de l’eau.
Ses seins semblent intéresser la rouquine qui les suces les mouillant plus que de les sécher.
Pour une fois, c’est debout qu’elle franchit la porte toujours tenue en laisse.
Le ballet des caméras se fait et nous nous retrouvons dans une chambre remplie de bougies de toutes grosseurs et couleur.
Une table où elles l’allongent.
- Après la soumission hier, aujourd’hui votre femme va être initiée aux plaisirs lesbiens.
Quand vous l’aurez récupéré, vous pourrez inviter des couples échangistes et vous pourrez reproduire ce qu’elle va aimer subir.
Vous allez voir ce qu’elle va apprendre, mais comme ça risque d’être douloureux, elles lui mettent une boule dans la bouche.
Douleur, plaisir, cela peut sembler antinomique, mais en réalité c’est tout à fait complémentaire.
Cette jolie soubrette est à portée de ma main, je la passe sous sa mini, sa chatte elle aussi épilée est à ma disposition.
Elle s’échappe me frustrant.
- Monsieur, mon maître refuse que j’aie des rapports avec vous-même si ça me frustre.
Il m’a demandé de vous garder en forme car ce soir, vous dînerez avec une invitée à qui vous pourrez faire l’amour toute la nuit.
Il tient particulièrement à ce que vous puissiez l’honorer en restant sage.
Regardez votre femme ce qu’elle est capable de subir.
Une surprise, je suis fasciné quand la première bougie est versée sur le corps de Laury, mais je me garde bien de porter les mains à mon sexe de peur d’être inefficace ce soir.
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