COLLECTION DOMINANT DOMINE. Faire de ma femme une chienne en chaleur (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Faire de ma femme une chienne en chaleur (4/4)
Putain, quelle chance je me trimbale, le maître m’offre une de ses soumises, madame Blanche mannequin international.
Madame Blanche qui doit être d'origine touarègue vue sa morphologie et sa peau très lisse.
Elle attaque fort, sa bouche est déjà autour de ma bite.
Ses dents de carnassière pourraient faire de moi un eunuque si l’envie lui en prenait.
- Décontracte-toi, et appel moi Blanche laisse tomber les « Madame ».
Tu es une bite, je suis un vagin et notre plaisir sera de nous éclater pour que je plaise à mon maître.
- Tu lui restes fidèle pourtant si tu fais les plus grands défilés, les hommes les plus riches doivent vouloir te donner des fortunes pour t’entraîner dans leur lit.
- Escorte, entre deux défilées, j’ai gagné des fortunes à travers le monde.
Mais très vite mon maître m’a manqué et je suis revenue vers lui.
- Je peux dire que j’ai de la chance.
- Non, tu as payé pour récupérer une salope et je fais partie de ce que tu dois apprendre pour satisfaire ta femme.
J’ai suivi son parcours, dans la chambre du maître avec ses deux autres soumises que tu aurais pu choisir.
Ta femme est de celle qui apprend très vite, j’étais un peu comme elle quand le maître m’a reçu la première fois, regarde le parcours qu’il m’a fait accomplir.
Pendant qu’elle me parlait, sa bouche m’a délaissé, mais elle est remplacée par sa main qui me masturbe.
Je bande comme un taureau, mais avec des bourses moins pendantes.
Viens sur le lit, je vais te sucer la chatte, dis-moi comment je dois faire pour satisfaire la petite pute que j’ai vu être dépravé depuis que je l’ai laissé aux mains de deux beaux gosses.
J’ai une furieuse envie de lui demander si elle connaît le blanc et si son tatouage représente bien une sirène.
Mais j’ai trop peur qu’elle se lève ramasse sa robe blanche pour s’enfuir, retrouver celui qui malgré son grand âge les subjuges toutes.
- Deux manières de faire avec ta bouche.
La première classique, ta femme écarte ses cuisses et tu viens la lécher doucement très doucement.
Oui, comme ça c’est bien.
- Et la deuxième, laisse-moi me mettre à quatre pattes, c’est ma position favorite, la levrette.
Maintenant, ta langue tu la fais courir, de mon clito jusqu’à mon anus.
Pour mon anus, en bonne professionnelle du sexe, je me suis fait un lavement avant de venir.
D’ailleurs, la canule et l’eau tiède ont déclenché en moi une première jouissance, premier signe d’une soirée réussit.
C’est la première fois que je lèche une femme surtout cette farouche gazelle du désert avant de m’agenouiller derrière elle, lui empoigner les hanches et après la pilonner à grands coups de reins.
Une fraction de seconde, je pense à Laury, mais j’abandonne rapidement afin de me concentrer sur ma première maîtresse.
Je veux tenir le coup craignant, une panne rapide si j’éjacule trop vite.
- C’est bien, tu te retiens, c’est important de satisfaire sa femme dès la première fois.
Si tu as payé pour en faire une salope, c’est que tu l’as loupé sa première fois, mais tu as pris la bonne décision en la confiant à notre maître à tous.
Jacuzzi, pour nous décontracter sans pour autant voir ma petite.
Quel con, penser à sa femme alors que vous avec certainement les femmes de ce harem les plus bandantes.
- Monsieur, réveillez-vous, la dernière étape de l’initiation de votre femme va bientôt commencer.
- Merci mademoiselle où est Blanche ?
- Partie, comment ça, je me suis retenue toute la nuit, je me souviens qu’elle me disait que bien des femmes aimaient dominer le mâle et qu’il faudrait que souvent ma femme vienne s’empaler sur moi.
- Vous avez dû vous endormir et madame Blanche a dû être frustrée !
- Et moi, je suis frustré m’endormir alors que j’ai une des plus belles filles de Paris dans mon lit, je suis un minable.
- Déjeunez, je viens vous conduire devant votre écran et ce soir vous aurez une chance de repartir avec votre femme et d’avoir la petite femme souhaitée à votre dévotion.
Je déjeune, les croissants sont tout chauds et le café divin même si dans mon for intérieur je me traite de tous les noms.
La nouvelle jeune femme me met devant mon écran qui s’allume comme si les gens qui dirigent tout ça voyaient que je suis là.
- Votre femme aujourd’hui va être initiée à la partouze.
Si vous savez y faire, elle vous suivra dans vos délires, par exemple tester les clubs échangistes.
Je suis moi-même mariée et mon mari m’y emmène presque toutes les semaines.
Nous y sommes allés la semaine dernière, quatre hommes m’ont baisé pendant qu’il regardait, il est candaulisme.
Ma caméra est dirigée vers la cage où ma femme dort.
Un seau d’eau lui est jeté dessus.
Ça la réveille plutôt efficacement.
Je vois qu’elle a mangé ses croquettes et qu’elle a tout bu l’eau à sa disposition.
Celui que je prends pour Fred ouvre sa cage et elle le suit.
J’ignore ce qu’il se passe jusqu’à ce que l’image me montre un salon avec plusieurs canapés d’époque.
Un, deux, trois, cinq couples sont là.
Tous ont des masques même une femme que Fred rejoint formant le sixième couple.
Je dois me tromper, Françoise est brune celle-là est blonde.
Il est vrai que les perruques permettent de changer de look, mais la poitrine de cette femme est bien plus grosse que celle de la femme de mon amie.
Et cette caméra qui refuse de me montrer ce tatouage.
Le bruit habituel quand le maître apparaît, toujours aussi vieux.
- Mes amis, la jeune femme qui est encore attachée à sa laisse, elle va être libre de ses mouvements.
Elle est à vous mes fidèles parmi les fidèles.
Apprenez-lui tous ce qu’il lui reste à acquérir avant que je revienne lui proposer son avenir.
Tout pivote, il disparaît.
Qu’a-t-il voulu dire par cette proposition d’avenir ?
Dans quelques heures, je vais récupérer Laury et la baiser toute la nuit sans m’endormir.
Toute la journée, elle passe de main en main, les couples formés au début se mélangent rapidement.
La compagne de celui que je prends pour Fred la bourre une nouvelle fois pendant qu’elle fait minette avec celle qui semblerait être sa femme.
Combien de fois ses divers organes sexuelles dont sa bouche sont pénétrées, puis arrosées de cyprine et de sperme.
Elle-même expulse de grandes quantités de liquide sécrété par ses glandes.
Je suis sûr au fil du temps de récupérer la chienne que Fred m’a promise.
Jusqu’au bruit et au maître qui apparaît toujours aussi royal.
- Merci mes amis, je vois que vous avez passé un bon après-midi.
Laury rejoignez-moi.
Ma femme rejoint le maître.
- Qui est votre maître ?
- Vous monsieur.
Extraordinaire, la docilité de ma femme, elle s’agenouille et sans qu’il lui demande, elle lèche les escarpins de ce vieux débris.
- Très bien, mon enfant, regardez sur votre gauche.
Deux portes, l’un simple, l’autre surmontée de mes armoiries.
La porte simple si vous la choisissez, vous retrouverez celui qui vous regarde et qui vous fera une vie avec des enfants, des tromperies et finira par vous devenir indifférent.
Si vous passez par mes armoiries, ma berline vous conduira dans mon autre château où vous vivrez parmi mes adeptes une vie de plaisir et de luxure.
Faites votre choix.
Je vois ma femme se lever, j’aurais pu espérer qu’elle hésite, mais c’est d’une démarche sur, drapé dans sa dignité qu’elle rejoint les armoiries et disparaissant à ma vue.
Le maître lui aussi disparaît.
- Monsieur, vous avez joué avec le feu et vous vous êtes brûlé.
J’ai mal pour vous, remettez vos affaires et prenez cette porte.
Vous les remettrez dans la camionnette qui va vous raccompagner chez vous.
20 000 € pour me faire piquer ma femme.
20 000 € pour m’apercevoir que je suis cocu.
Le voyage du retour me semble bien plus long qu’à l’aller jusqu’à ce que la voiture s’arrête que la porte me libérant.
Je descends, la voiture repart.
Rendu chez moi, je comprends pourquoi ça m’a paru plus long, toutes les affaires de Laury sont parties me prouvant que son choix est définitif.
Je me couche à sa place dans notre lit et je pleure toutes les larmes de mon corps.
Et dire que pendant des années chaque fois que mon relevé bancaire arrivera je verrais le prix de sa trahison.
Au matin, c’est mon portable qui me réveille.
- Salut, c’est Fred, alors tu t’es éclaté cette nuit après votre retour.
Laury est comme Françoise une belle petite chienne en chaleur.
Je renifle un coup.
- Tu renifles, Thierry, tu pleures, merde, Laury a choisi les armoiries.
Comprenant certainement que je pourrais lui casser la gueule, il raccroche à jamais.
Pendant plusieurs jours, je cherche sur Internet un château où une communauté avec un gourou qui y vivrait.
Rien, même à l’étranger.
Je cherche même du côté de chez Dracula.
C’est devant la porte du commissariat que je prends conscience de ma situation.
Comment dire à un policier que je suis cocu et que j’ai payé 20 000 € pour l’être !
Il est onze heures, on sonne à la porte, je me cuisinais des lasagnes au bœuf, j’ouvre.
- Ça sent bon, tu veux partager ?
- Bien sûr, Françoise, tu es seule ?
- Oui, Fred ton pote est parti comme chaque semaine, vendredi, samedi et dimanche comme le week-end dernier.
Je sais qu’il t’a proposé le parcours faisant de nous des chiennes.
Je le suis devenue pour qu’il m’ignore.
Je te propose de combler ta solitude.
Voilà, je voulais une chienne, je l’ai, nous baisons souvent elle sur moi comme m’a appris Blanche que nous voyons défiler à Rome alors que Françoise vient de me sucer divinement.
Nous avons mangé les lasagnes sur son ventre et sur le miens.
Le samedi matin, je l’emmène chez mon pote vider ses armoires et surtout son livret de caisse d’épargne et des bons au porteur.
30 000 €, il va savoir ce que le mot cocu veut dire.
Le dimanche, il doit partouzer avec une autre future soumise au maître.
Nous nous partouzons dans le club échangiste près de chez nous.
Le maître peut aller se faire foutre.
Madame Blanche qui doit être d'origine touarègue vue sa morphologie et sa peau très lisse.
Elle attaque fort, sa bouche est déjà autour de ma bite.
Ses dents de carnassière pourraient faire de moi un eunuque si l’envie lui en prenait.
- Décontracte-toi, et appel moi Blanche laisse tomber les « Madame ».
Tu es une bite, je suis un vagin et notre plaisir sera de nous éclater pour que je plaise à mon maître.
- Tu lui restes fidèle pourtant si tu fais les plus grands défilés, les hommes les plus riches doivent vouloir te donner des fortunes pour t’entraîner dans leur lit.
- Escorte, entre deux défilées, j’ai gagné des fortunes à travers le monde.
Mais très vite mon maître m’a manqué et je suis revenue vers lui.
- Je peux dire que j’ai de la chance.
- Non, tu as payé pour récupérer une salope et je fais partie de ce que tu dois apprendre pour satisfaire ta femme.
J’ai suivi son parcours, dans la chambre du maître avec ses deux autres soumises que tu aurais pu choisir.
Ta femme est de celle qui apprend très vite, j’étais un peu comme elle quand le maître m’a reçu la première fois, regarde le parcours qu’il m’a fait accomplir.
Pendant qu’elle me parlait, sa bouche m’a délaissé, mais elle est remplacée par sa main qui me masturbe.
Je bande comme un taureau, mais avec des bourses moins pendantes.
Viens sur le lit, je vais te sucer la chatte, dis-moi comment je dois faire pour satisfaire la petite pute que j’ai vu être dépravé depuis que je l’ai laissé aux mains de deux beaux gosses.
J’ai une furieuse envie de lui demander si elle connaît le blanc et si son tatouage représente bien une sirène.
Mais j’ai trop peur qu’elle se lève ramasse sa robe blanche pour s’enfuir, retrouver celui qui malgré son grand âge les subjuges toutes.
- Deux manières de faire avec ta bouche.
La première classique, ta femme écarte ses cuisses et tu viens la lécher doucement très doucement.
Oui, comme ça c’est bien.
- Et la deuxième, laisse-moi me mettre à quatre pattes, c’est ma position favorite, la levrette.
Maintenant, ta langue tu la fais courir, de mon clito jusqu’à mon anus.
Pour mon anus, en bonne professionnelle du sexe, je me suis fait un lavement avant de venir.
D’ailleurs, la canule et l’eau tiède ont déclenché en moi une première jouissance, premier signe d’une soirée réussit.
C’est la première fois que je lèche une femme surtout cette farouche gazelle du désert avant de m’agenouiller derrière elle, lui empoigner les hanches et après la pilonner à grands coups de reins.
Une fraction de seconde, je pense à Laury, mais j’abandonne rapidement afin de me concentrer sur ma première maîtresse.
Je veux tenir le coup craignant, une panne rapide si j’éjacule trop vite.
- C’est bien, tu te retiens, c’est important de satisfaire sa femme dès la première fois.
Si tu as payé pour en faire une salope, c’est que tu l’as loupé sa première fois, mais tu as pris la bonne décision en la confiant à notre maître à tous.
Jacuzzi, pour nous décontracter sans pour autant voir ma petite.
Quel con, penser à sa femme alors que vous avec certainement les femmes de ce harem les plus bandantes.
- Monsieur, réveillez-vous, la dernière étape de l’initiation de votre femme va bientôt commencer.
- Merci mademoiselle où est Blanche ?
- Partie, comment ça, je me suis retenue toute la nuit, je me souviens qu’elle me disait que bien des femmes aimaient dominer le mâle et qu’il faudrait que souvent ma femme vienne s’empaler sur moi.
- Vous avez dû vous endormir et madame Blanche a dû être frustrée !
- Et moi, je suis frustré m’endormir alors que j’ai une des plus belles filles de Paris dans mon lit, je suis un minable.
- Déjeunez, je viens vous conduire devant votre écran et ce soir vous aurez une chance de repartir avec votre femme et d’avoir la petite femme souhaitée à votre dévotion.
Je déjeune, les croissants sont tout chauds et le café divin même si dans mon for intérieur je me traite de tous les noms.
La nouvelle jeune femme me met devant mon écran qui s’allume comme si les gens qui dirigent tout ça voyaient que je suis là.
- Votre femme aujourd’hui va être initiée à la partouze.
Si vous savez y faire, elle vous suivra dans vos délires, par exemple tester les clubs échangistes.
Je suis moi-même mariée et mon mari m’y emmène presque toutes les semaines.
Nous y sommes allés la semaine dernière, quatre hommes m’ont baisé pendant qu’il regardait, il est candaulisme.
Ma caméra est dirigée vers la cage où ma femme dort.
Un seau d’eau lui est jeté dessus.
Ça la réveille plutôt efficacement.
Je vois qu’elle a mangé ses croquettes et qu’elle a tout bu l’eau à sa disposition.
Celui que je prends pour Fred ouvre sa cage et elle le suit.
J’ignore ce qu’il se passe jusqu’à ce que l’image me montre un salon avec plusieurs canapés d’époque.
Un, deux, trois, cinq couples sont là.
Tous ont des masques même une femme que Fred rejoint formant le sixième couple.
Je dois me tromper, Françoise est brune celle-là est blonde.
Il est vrai que les perruques permettent de changer de look, mais la poitrine de cette femme est bien plus grosse que celle de la femme de mon amie.
Et cette caméra qui refuse de me montrer ce tatouage.
Le bruit habituel quand le maître apparaît, toujours aussi vieux.
- Mes amis, la jeune femme qui est encore attachée à sa laisse, elle va être libre de ses mouvements.
Elle est à vous mes fidèles parmi les fidèles.
Apprenez-lui tous ce qu’il lui reste à acquérir avant que je revienne lui proposer son avenir.
Tout pivote, il disparaît.
Qu’a-t-il voulu dire par cette proposition d’avenir ?
Dans quelques heures, je vais récupérer Laury et la baiser toute la nuit sans m’endormir.
Toute la journée, elle passe de main en main, les couples formés au début se mélangent rapidement.
La compagne de celui que je prends pour Fred la bourre une nouvelle fois pendant qu’elle fait minette avec celle qui semblerait être sa femme.
Combien de fois ses divers organes sexuelles dont sa bouche sont pénétrées, puis arrosées de cyprine et de sperme.
Elle-même expulse de grandes quantités de liquide sécrété par ses glandes.
Je suis sûr au fil du temps de récupérer la chienne que Fred m’a promise.
Jusqu’au bruit et au maître qui apparaît toujours aussi royal.
- Merci mes amis, je vois que vous avez passé un bon après-midi.
Laury rejoignez-moi.
Ma femme rejoint le maître.
- Qui est votre maître ?
- Vous monsieur.
Extraordinaire, la docilité de ma femme, elle s’agenouille et sans qu’il lui demande, elle lèche les escarpins de ce vieux débris.
- Très bien, mon enfant, regardez sur votre gauche.
Deux portes, l’un simple, l’autre surmontée de mes armoiries.
La porte simple si vous la choisissez, vous retrouverez celui qui vous regarde et qui vous fera une vie avec des enfants, des tromperies et finira par vous devenir indifférent.
Si vous passez par mes armoiries, ma berline vous conduira dans mon autre château où vous vivrez parmi mes adeptes une vie de plaisir et de luxure.
Faites votre choix.
Je vois ma femme se lever, j’aurais pu espérer qu’elle hésite, mais c’est d’une démarche sur, drapé dans sa dignité qu’elle rejoint les armoiries et disparaissant à ma vue.
Le maître lui aussi disparaît.
- Monsieur, vous avez joué avec le feu et vous vous êtes brûlé.
J’ai mal pour vous, remettez vos affaires et prenez cette porte.
Vous les remettrez dans la camionnette qui va vous raccompagner chez vous.
20 000 € pour me faire piquer ma femme.
20 000 € pour m’apercevoir que je suis cocu.
Le voyage du retour me semble bien plus long qu’à l’aller jusqu’à ce que la voiture s’arrête que la porte me libérant.
Je descends, la voiture repart.
Rendu chez moi, je comprends pourquoi ça m’a paru plus long, toutes les affaires de Laury sont parties me prouvant que son choix est définitif.
Je me couche à sa place dans notre lit et je pleure toutes les larmes de mon corps.
Et dire que pendant des années chaque fois que mon relevé bancaire arrivera je verrais le prix de sa trahison.
Au matin, c’est mon portable qui me réveille.
- Salut, c’est Fred, alors tu t’es éclaté cette nuit après votre retour.
Laury est comme Françoise une belle petite chienne en chaleur.
Je renifle un coup.
- Tu renifles, Thierry, tu pleures, merde, Laury a choisi les armoiries.
Comprenant certainement que je pourrais lui casser la gueule, il raccroche à jamais.
Pendant plusieurs jours, je cherche sur Internet un château où une communauté avec un gourou qui y vivrait.
Rien, même à l’étranger.
Je cherche même du côté de chez Dracula.
C’est devant la porte du commissariat que je prends conscience de ma situation.
Comment dire à un policier que je suis cocu et que j’ai payé 20 000 € pour l’être !
Il est onze heures, on sonne à la porte, je me cuisinais des lasagnes au bœuf, j’ouvre.
- Ça sent bon, tu veux partager ?
- Bien sûr, Françoise, tu es seule ?
- Oui, Fred ton pote est parti comme chaque semaine, vendredi, samedi et dimanche comme le week-end dernier.
Je sais qu’il t’a proposé le parcours faisant de nous des chiennes.
Je le suis devenue pour qu’il m’ignore.
Je te propose de combler ta solitude.
Voilà, je voulais une chienne, je l’ai, nous baisons souvent elle sur moi comme m’a appris Blanche que nous voyons défiler à Rome alors que Françoise vient de me sucer divinement.
Nous avons mangé les lasagnes sur son ventre et sur le miens.
Le samedi matin, je l’emmène chez mon pote vider ses armoires et surtout son livret de caisse d’épargne et des bons au porteur.
30 000 €, il va savoir ce que le mot cocu veut dire.
Le dimanche, il doit partouzer avec une autre future soumise au maître.
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