COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Juge d’instruction (4/4)
Deux jours plus tard, Alex entre dans mon bureau, je l’attendais avec maître Gilles, c’est maître Augustin qui l’accompagne.
Je tombe de haut, Augustin devant moi alors qu’il a essayé de me joindre, dès le dimanche matin par des messages enflammés.
Je l’ai ignoré.
Je sais que la découverte de sexes hard passe par des moments plus intenses que ceux qu’il aurait pu me proposer.
C’est la veille que j’ai été obligé de rencontrer le Président.
Il a noté ma transformation et c’est bien gardé de me reparler de mon délit de fuite me montrant par ce fait qu’il est un libertin avec sa femme, mais aussi un gentleman.
J’avais peur qu’il sorte sa queue noueuse, mais il m’a simplement parlé de problèmes de procédures loin de l’affaire avec Alex.
• Monsieur Alex et vous maître, je vous ai convoqués pour vous annoncer une bonne nouvelle.
J’ai travaillé sur votre dossier, dans ma mémoire, il me semblait avoir oublié un détail.
C’était le cas, j’avais toujours le dossier avant de le faire suivre après l’accusation et le renvoi en procès.
Je lasse l’affaire sans suite à partir de ce jour.
Au revoir messieurs.
• Merci madame la juge, je savais que vous ouvriez les yeux sur l’erreur judiciaire que vous alliez commettre plongeant une famille unie dans le doute et la vindicte populaire.
Il se lève, Augustin plus lent qu’Alex se penche vers moi.
• Je peux te voir cinq minutes Victoire !
• Nous nous sommes tout dit maître, je vous ai dit au revoir.
Allez fêter avec votre client sa liberté retrouvée.
Il sort la queue basse, il doit se demander ce qu’il avait fait de mal en allant simplement faire son métier vendredi en huit.
Ma vie reprend son court dossier sur dossier, audition sur audition.
Pourtant un jour je reçois un SMS.
« Victoire, Hubert m’a donné ton numéro, serais-tu libre samedi après midi pour que nous léchions les vitrines de notre ville, 14 heures au café du Palais. »
Je prends ça comme une invitation sans ambiguïté, impossible de dire non.
Surtout qu’à part le dossier d’un criminel à étudier, rien de prévu.
Je suis à l’heure, Claude me fait la bise en tout bien tout honneur.
Nous sommes dans un lieu public et la drogue a largement fini de faire son effet.
Ce sont les sous-vêtements qui font son intérêt.
Pour ma part, si je fais attention à mon apparence extérieure, les sous-vêtements sont secondaires.
Elle me fait essayer un soutien-gorge pigeonnant me faisant remonter les seins.
Elle est avec moi dans la cabine et négligemment sa main les effleure les faisant bander d’envie.
Là encore, sa bouche aurait été plus efficace, mais je sais qu’une fois par mois elle se lâche, ici elle est connue et il serait assez mal venu, que madame la présidente soit une gouine invétérée.
Moi je le sais et je l’assume, car pour moi aussi je le suis devenue sachant que maintenant toutes expériences de ce type je dirais oui.
C’est vrai, il y a Olga, mais là m’occuper directement d’elle, ce serait prendre me risque qu’à long terme, il soit impossible que nous travaillions ensemble.
C’est dans un thé et des petits fours dans le plus grand salon de thé ou quand vous êtes quelqu’un dans la ville, il faut être vu que nous posons nos postérieurs.
• Victoire es-tu libre samedi soir prochain ?
• Attends, je regarde mon agenda !
Je me la pète, sachant qu’à part mon peignoir personnes en vue.
• Oui, le soir, c’est possible.
Voici notre adresse à Hubert et à moi, nous offrons un premier barbecue de la saison pour notre fils Jérémy de 27 ans qui vient de sortir major de l’école de la magistrature de Bordeaux comme toi.
Il a choisi d’être nommé comme juge du tribunal de grande instance de Paris.
• Je serais des vôtres, Claude.
• Ça me fait plaisir.
Attention, mon fils ignore les soirées mensuelles, auxquelles je participe avec Hubert et où nous t’avons fait participer.
• Là encore je pense que oui, mais sans le cachet, je veux profiter lucidement jusqu’au bout de la nuit.
À mon tour puis-je formuler un vœu pour cette soirée ?
• Sans problème, dit moi !
Je lui explique, elle accepte, elle m’aidera à mettre en œuvre ma demande.
Nous en reparlerons.
• Bonjour Claude quelle chance vous avez avec le temps, votre maison est incroyable.
Elle était en vente, quand je l’ai vu, elle rentrait dans notre budget, j’ai eu le coup de foudre et nous y voici.
Jérémy, viens que je te présente notre amie, juge d’instruction de notre ville dans le tribunal de ton père.
Si Claude a eu un coup de foudre pour la maison, moi c’est pour le fils que j’en ai un.
Beau, grand même s’il est un peu plus jeune que moi à l’âge dit par sa maman.
Toute la soirée dès qu’il le peut, il est vers moi.
Un corps sain, avec un cerveau plein de tact.
Prévenant, allant me chercher à manger et à boire, suivant mes envies et la disponibilité au barbecue.
Le soir on se quitte, il me reconduit à ma voiture et me fait un baisemain.
• Je peux venir te chercher au Palais lundi soir, hélas, demain je suis de corvée de famille.
Lundi premier baisé, mardi, c’est moi qui l’entraîne chez moi.
J’ai baisé comme une folle avec sa mère et là je le fais plus classiquement.
Je lui avoue avoir perdu ma virginité là encore sans m’étaler sur les frasques à la ferme avec ses parents.
C’est le mercredi alors que nous sommes couchés après avoir fait l’amour divinement.
J’ai deux orgasmes coup sur coup pendant presque l’heure où il me prend dans toutes les positions qu’il veut que je prenne.
C’est en levrette qu’il décharge enfin en moi.
• Samedi, je peux t’inviter au restaurant !
La tuile, ce samedi, c’est le premier samedi du mois ayant promis à sa maman de venir avec la surprise que je veux leur faire.
• Oui, je suis libre, je serais prête à 21 heures devant ma maison.
20 heures, la semaine suivante.
• Bonjour Olga, je vois que vous êtes en beauté, vous allez suivre toutes les instructions à la lettre sans me poser la moindre question.
• Oui, Victoire, quand tu m’as dit de venir ce soir, j’ai été aux anges, c’est la première fois que l’on m’invite.
Il est 20 heures 55 quand nous sortons.
Dans la rue, la voiture de sport d’Alex.
• Tu reconnais le garçon qui en descend ?
• Oui, c’est celui que vous avez lavé de tout soupçon en reprenant son dossier.
• C’est ça, nous sommes devenues amies.
Alex descend et ouvre la portière.
• Monte avec lui, nous allons au même endroit, je te suis avec la voiture qui est derrière.
Alex soit prudent avec notre amie, nos amis l’attendent.
Elle monte découvrant ses genoux, quelle provocation pour elle.
Je rejoins Julien.
Nous nous embrassons.
• Excuse, j’avais une petite affaire à régler.
Au carrefour suivant Alex tourne à droite, nous tournons à gauche.
Quand j’ai parlé à Claude la semaine avant de rencontrer son fils, mon amant, je me suis souvenue de ce qu’avait dit le Président.
« Ils vont apprécier du sang neuf surtout des filles ».
Je serais absente conformément à ce que j’ai promis, aucun mot à son fils sur la soirée, mais je lui ai expliqué la situation de ma secrétaire, certainement un peu lesbienne et vierge de surcroit.
• Victoire, mon père m’a dit qu’au tribunal puisque ton nom de famille commence par un V, comme ton prénom Victoire, ils t’avaient surnommé Double V.
Pour moi ce surnom ridicule c’est fini.
Il se lève, s’agenouille et sous les applaudissements de la clientèle, il me tend un étui avec une magnifique bague.
• Victoire veux-tu m’épouser.
J’ai un temps d’arrêt.
Je repense à la chatte de sa mère et à la verge noueuse de son père et au champagne comme celui que l’on vient de nous servir que je buvais à la source.
Il se méprend.
• C’est notre petite différence d’âge qui te fait hésiter.
• Nullement, met moi cette magnifique bague à mon annulaire, bien sûr que c’est oui.
Il me met ma bague, nous nous embrassons alors que le chef cuistot amène un gâteau de fiançailles que nous nous mettons chacun notre tour dans notre bouche.
La nuit est chaude.
Au dernier moment, repus de sexe, mais là lucidement mon futur étant un vrai étalon, je repense à Olga.
J’espère qu’elle a profité de sa nuit, surtout sa première.
Il me faut attendre le lundi pour comprendre que tout a bien fonctionné.
• Oh, Victoire, cette nuit a été la plus belle de ma vie.
Si tu savais comment Claude et les autres femmes m’ont bien reçu.
Mais je croyais être faite pour seulement aimer les femmes.
Si tu savais, c’est Dominique, le maire qui m’a pris mon pucelage sa femme lui plaçant sa bite dans ma chatte.
Dès la première fois j’ai joui.
• En arrivant, t’avaient-ils donné un cachet.
• Pour quoi faire depuis ces dizaines d’années que j’attendais ce moment s’était inutile.
Ils font cette fête avec Hubert, notre président du tribunal.
Viendras-tu avec moi le premier samedi du mois !
Pourquoi retourner baiser avec mes beaux-parents ?
Beaux-parents quand ce troisième samedi du mois, nous disons moi et Julien.
« Oui, je le veux ».
Pour arranger le tout et effacer définitivement mon délit de fuite et ma soirée de débauche, Julien étant nommé au tribunal de Paris, je profite d’une mutation promotion comme juge des remises de peine à ce même tribunal.
Pour clore le tout, je quitte mon petit appartement de province pour six pièces, avec trois fenêtre donnant sur la tour Effel.
C’était l’appartement des grands-parents de mon mari, eux aussi dans la magistrature. Le grand-père de Julien et père de Claude était procureur de la place de Paris.
Je tombe de haut, Augustin devant moi alors qu’il a essayé de me joindre, dès le dimanche matin par des messages enflammés.
Je l’ai ignoré.
Je sais que la découverte de sexes hard passe par des moments plus intenses que ceux qu’il aurait pu me proposer.
C’est la veille que j’ai été obligé de rencontrer le Président.
Il a noté ma transformation et c’est bien gardé de me reparler de mon délit de fuite me montrant par ce fait qu’il est un libertin avec sa femme, mais aussi un gentleman.
J’avais peur qu’il sorte sa queue noueuse, mais il m’a simplement parlé de problèmes de procédures loin de l’affaire avec Alex.
• Monsieur Alex et vous maître, je vous ai convoqués pour vous annoncer une bonne nouvelle.
J’ai travaillé sur votre dossier, dans ma mémoire, il me semblait avoir oublié un détail.
C’était le cas, j’avais toujours le dossier avant de le faire suivre après l’accusation et le renvoi en procès.
Je lasse l’affaire sans suite à partir de ce jour.
Au revoir messieurs.
• Merci madame la juge, je savais que vous ouvriez les yeux sur l’erreur judiciaire que vous alliez commettre plongeant une famille unie dans le doute et la vindicte populaire.
Il se lève, Augustin plus lent qu’Alex se penche vers moi.
• Je peux te voir cinq minutes Victoire !
• Nous nous sommes tout dit maître, je vous ai dit au revoir.
Allez fêter avec votre client sa liberté retrouvée.
Il sort la queue basse, il doit se demander ce qu’il avait fait de mal en allant simplement faire son métier vendredi en huit.
Ma vie reprend son court dossier sur dossier, audition sur audition.
Pourtant un jour je reçois un SMS.
« Victoire, Hubert m’a donné ton numéro, serais-tu libre samedi après midi pour que nous léchions les vitrines de notre ville, 14 heures au café du Palais. »
Je prends ça comme une invitation sans ambiguïté, impossible de dire non.
Surtout qu’à part le dossier d’un criminel à étudier, rien de prévu.
Je suis à l’heure, Claude me fait la bise en tout bien tout honneur.
Nous sommes dans un lieu public et la drogue a largement fini de faire son effet.
Ce sont les sous-vêtements qui font son intérêt.
Pour ma part, si je fais attention à mon apparence extérieure, les sous-vêtements sont secondaires.
Elle me fait essayer un soutien-gorge pigeonnant me faisant remonter les seins.
Elle est avec moi dans la cabine et négligemment sa main les effleure les faisant bander d’envie.
Là encore, sa bouche aurait été plus efficace, mais je sais qu’une fois par mois elle se lâche, ici elle est connue et il serait assez mal venu, que madame la présidente soit une gouine invétérée.
Moi je le sais et je l’assume, car pour moi aussi je le suis devenue sachant que maintenant toutes expériences de ce type je dirais oui.
C’est vrai, il y a Olga, mais là m’occuper directement d’elle, ce serait prendre me risque qu’à long terme, il soit impossible que nous travaillions ensemble.
C’est dans un thé et des petits fours dans le plus grand salon de thé ou quand vous êtes quelqu’un dans la ville, il faut être vu que nous posons nos postérieurs.
• Victoire es-tu libre samedi soir prochain ?
• Attends, je regarde mon agenda !
Je me la pète, sachant qu’à part mon peignoir personnes en vue.
• Oui, le soir, c’est possible.
Voici notre adresse à Hubert et à moi, nous offrons un premier barbecue de la saison pour notre fils Jérémy de 27 ans qui vient de sortir major de l’école de la magistrature de Bordeaux comme toi.
Il a choisi d’être nommé comme juge du tribunal de grande instance de Paris.
• Je serais des vôtres, Claude.
• Ça me fait plaisir.
Attention, mon fils ignore les soirées mensuelles, auxquelles je participe avec Hubert et où nous t’avons fait participer.
• Là encore je pense que oui, mais sans le cachet, je veux profiter lucidement jusqu’au bout de la nuit.
À mon tour puis-je formuler un vœu pour cette soirée ?
• Sans problème, dit moi !
Je lui explique, elle accepte, elle m’aidera à mettre en œuvre ma demande.
Nous en reparlerons.
• Bonjour Claude quelle chance vous avez avec le temps, votre maison est incroyable.
Elle était en vente, quand je l’ai vu, elle rentrait dans notre budget, j’ai eu le coup de foudre et nous y voici.
Jérémy, viens que je te présente notre amie, juge d’instruction de notre ville dans le tribunal de ton père.
Si Claude a eu un coup de foudre pour la maison, moi c’est pour le fils que j’en ai un.
Beau, grand même s’il est un peu plus jeune que moi à l’âge dit par sa maman.
Toute la soirée dès qu’il le peut, il est vers moi.
Un corps sain, avec un cerveau plein de tact.
Prévenant, allant me chercher à manger et à boire, suivant mes envies et la disponibilité au barbecue.
Le soir on se quitte, il me reconduit à ma voiture et me fait un baisemain.
• Je peux venir te chercher au Palais lundi soir, hélas, demain je suis de corvée de famille.
Lundi premier baisé, mardi, c’est moi qui l’entraîne chez moi.
J’ai baisé comme une folle avec sa mère et là je le fais plus classiquement.
Je lui avoue avoir perdu ma virginité là encore sans m’étaler sur les frasques à la ferme avec ses parents.
C’est le mercredi alors que nous sommes couchés après avoir fait l’amour divinement.
J’ai deux orgasmes coup sur coup pendant presque l’heure où il me prend dans toutes les positions qu’il veut que je prenne.
C’est en levrette qu’il décharge enfin en moi.
• Samedi, je peux t’inviter au restaurant !
La tuile, ce samedi, c’est le premier samedi du mois ayant promis à sa maman de venir avec la surprise que je veux leur faire.
• Oui, je suis libre, je serais prête à 21 heures devant ma maison.
20 heures, la semaine suivante.
• Bonjour Olga, je vois que vous êtes en beauté, vous allez suivre toutes les instructions à la lettre sans me poser la moindre question.
• Oui, Victoire, quand tu m’as dit de venir ce soir, j’ai été aux anges, c’est la première fois que l’on m’invite.
Il est 20 heures 55 quand nous sortons.
Dans la rue, la voiture de sport d’Alex.
• Tu reconnais le garçon qui en descend ?
• Oui, c’est celui que vous avez lavé de tout soupçon en reprenant son dossier.
• C’est ça, nous sommes devenues amies.
Alex descend et ouvre la portière.
• Monte avec lui, nous allons au même endroit, je te suis avec la voiture qui est derrière.
Alex soit prudent avec notre amie, nos amis l’attendent.
Elle monte découvrant ses genoux, quelle provocation pour elle.
Je rejoins Julien.
Nous nous embrassons.
• Excuse, j’avais une petite affaire à régler.
Au carrefour suivant Alex tourne à droite, nous tournons à gauche.
Quand j’ai parlé à Claude la semaine avant de rencontrer son fils, mon amant, je me suis souvenue de ce qu’avait dit le Président.
« Ils vont apprécier du sang neuf surtout des filles ».
Je serais absente conformément à ce que j’ai promis, aucun mot à son fils sur la soirée, mais je lui ai expliqué la situation de ma secrétaire, certainement un peu lesbienne et vierge de surcroit.
• Victoire, mon père m’a dit qu’au tribunal puisque ton nom de famille commence par un V, comme ton prénom Victoire, ils t’avaient surnommé Double V.
Pour moi ce surnom ridicule c’est fini.
Il se lève, s’agenouille et sous les applaudissements de la clientèle, il me tend un étui avec une magnifique bague.
• Victoire veux-tu m’épouser.
J’ai un temps d’arrêt.
Je repense à la chatte de sa mère et à la verge noueuse de son père et au champagne comme celui que l’on vient de nous servir que je buvais à la source.
Il se méprend.
• C’est notre petite différence d’âge qui te fait hésiter.
• Nullement, met moi cette magnifique bague à mon annulaire, bien sûr que c’est oui.
Il me met ma bague, nous nous embrassons alors que le chef cuistot amène un gâteau de fiançailles que nous nous mettons chacun notre tour dans notre bouche.
La nuit est chaude.
Au dernier moment, repus de sexe, mais là lucidement mon futur étant un vrai étalon, je repense à Olga.
J’espère qu’elle a profité de sa nuit, surtout sa première.
Il me faut attendre le lundi pour comprendre que tout a bien fonctionné.
• Oh, Victoire, cette nuit a été la plus belle de ma vie.
Si tu savais comment Claude et les autres femmes m’ont bien reçu.
Mais je croyais être faite pour seulement aimer les femmes.
Si tu savais, c’est Dominique, le maire qui m’a pris mon pucelage sa femme lui plaçant sa bite dans ma chatte.
Dès la première fois j’ai joui.
• En arrivant, t’avaient-ils donné un cachet.
• Pour quoi faire depuis ces dizaines d’années que j’attendais ce moment s’était inutile.
Ils font cette fête avec Hubert, notre président du tribunal.
Viendras-tu avec moi le premier samedi du mois !
Pourquoi retourner baiser avec mes beaux-parents ?
Beaux-parents quand ce troisième samedi du mois, nous disons moi et Julien.
« Oui, je le veux ».
Pour arranger le tout et effacer définitivement mon délit de fuite et ma soirée de débauche, Julien étant nommé au tribunal de Paris, je profite d’une mutation promotion comme juge des remises de peine à ce même tribunal.
Pour clore le tout, je quitte mon petit appartement de province pour six pièces, avec trois fenêtre donnant sur la tour Effel.
C’était l’appartement des grands-parents de mon mari, eux aussi dans la magistrature. Le grand-père de Julien et père de Claude était procureur de la place de Paris.
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