COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (3/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (3/6)
• Je viens te baiser sur le lit conjugal.
C’est comme ça que se présente mon amant.
Il a une particularité outre d’être mon nouveau voisin, c’est un nain ou homme de petite taille suivant la manière dont vous parlez de ces gnomes.
Douze ans de mariage, douze ans de fidélité pour devenir la soumise de cet homme même quand il émet ce souhait.
• J’adore ces situations où vos cocus peuvent venir s’ils ont oublié quelque chose et trouvé leur chienne en train de se faire enfiler.
• Non, pourquoi prendre autant de risque vient, on va chez toi, tu pourras me faire tout ce que tu voudras.
• Comment peux-tu penser que chez moi tu vas être protégé !
De toute façon j’attends quelqu’un et je lui ai donné ton adresse, tu vas voir, c’est une surprise.
Quelques minutes et l’on sonne.
En attendant, il m’a dénudé et s’est amusé à me tirer les lèvres de mon vagin manquant presque de me faire jouir.
Il va lui-même ouvrir comme s’il était chez lui.
• Entre ces bien ici, je te présente Valérie, ta copine de jeu de ce matin.
• Valérie, pourquoi me présenter cette blonde, tu la connais.
Moi je la connais, c’est l’une des présentatrices vedettes de la télé que je regarde régulièrement.
Jamais je n’aurais pu penser qu’elle soit à la merci de mon amant.
• Je vois que tu l’as reconnue, Valérie, elle est si bandante.
Comme je te l’ai dit, on la regarde, elle vous baise et vous êtes à sa merci !
Un jour Valérie a regardé, qu’en dis-tu ma poule !
• Oui maître !
• Déshabille-toi, Juliette va te conduire dans sa chambre.
Tu l’as reconnu, tu veux que je te dise comment elle aussi j’en ai fait mon esclave.
Avec ma bite tu t’en doutes, mais c’est dans sa loge après une émission qu’elle faisait sur les nains nous demandant bêtement si notre taille nous posait problème que je l’ai accroché à mon tableau de chasse.
Lorsqu’elle nous parlait de nos tailles, tu le penses bien, pour elle s’était notre hauteur.
Tu te souviens Valérie, tu as regardé vers mon bas-ventre et je suis sorti du studio te mettant à mon tableau de chasse.
• Oui Maître, comme vous me l’avez imposé, je vais faire de votre amie une vraie gouine.
Si on m’avait dit que je serais accro à la verge d’un nain.
Que j’accepterais un deuxième homme comme je l’ai fait en pompant Mathéo et avant que j’accepte qu’il m’encule bien qu’il se soit bien gardé de me demander mon autorisation.
Comment moi, foncièrement hétéro, je me retrouve à lécher le sexe de cette présentatrice de télé, sans dégout, après avoir écarté ses grandes lèvres ?
Ses mains sur ma tête appuyant pour que ma langue pénètre le plus profondément possible dans ce vagin épilé, trouvant en son centre son clito.
Mes pommes d’amour sont pénétrées pour mon immense plaisir.
Je suce le clito de Valérie pendant que je me fais défoncer par Mathéo.
Lorsque du liquide sort de la chatte de ma nouvelle maîtresse, ma figure est inondée.
• Ben ma salope, j’ai bien fait de t’amener cette pute, tu es la première à faire d’elle une femme fontaine, tiens prend ça, je vous adore toutes les deux.
C’est à ce moment que je sens la première décharge de ma propre liqueur d’amour venir inonder la queue de Mathéo, me faisant connaitre par là même le mot « cyprine » dont j’ignorais que les déperditions que m’apportait mon plaisir s’appelaient ainsi.
• Putain salope, tu m’as toi aussi inondé de ta cyprine !
Mathéo m’a fait boire son sperme, Valérie sa cyprine, mon sexe est de nouveau rempli du sperme de mon amant lorsque ses flèches m’inondent, m’apportant un orgasme dévastateur me faisant hurler de plaisir.
Heureusement que c’est mon voisin qui me l’apporte, ce hurlement se serait fait entendre dans sa chambre, depuis que je suis venue chercher des œufs, je sais que son lit est dans la pièce contiguë à notre chambre.
Ils sont partis, me laissant avec un champ de bataille, mais avant, c’est moi qui ai posé ma chatte sur la bouche d’une autre femme, m’apportant une autre forme de jouissance.
J’ai deux amies qui sont ce que je dirais des lesbiennes, je rejette le terme de « gouine » nom trop péjoratif à mon goût.
Je les regardais avec un certain étonnement, lorsque je jouis sous ses lèvres, je sais que je saurais maintenant ce qu’elles ressentent et qu’elles s’aiment.
Une chanson a dans ses paroles « que les draps s’en souviennent. »
Ma culture musicale est plus Mozart ou Beethoven, mais j’ai entendu cette phrase dite par un groupe.
Ils sont inondés de foutres féminins appelés cyprine et de sperme masculin, Mathéo s’étant certainement entièrement vidé ses grosses couilles dans nos intimités giclant hors de nos corps.
• Ma chérie, tu as changé les draps, il y a deux jours que tu l’avais fait comme tous les lundis !
J’ai bien fait de les changer et de m’être dépêché de les porter au pressing, je les donne toujours au pressing.
• Mon amour...
Je m’interroge sur ces deux mots que j’emploie, à part ma frustration sexuelle qu’ai-je à lui reprocher, j’ai douté, je l’ai suivi sans la moindre preuve de trahison, mais je les prononce pourtant.
• ...tu sais que j’aime déjeuner au lit, j’ai préparé un plateau et je l’ai renversé, ils étaient plein de café, je les ai enlevés et portés au pressing !
Ça passe, mon gros mensonge passe me montrant la perfidité que peut avoir une femme lorsqu’elle se sait en tors ce qui est largement mon cas.
Pour ferrer définitivement mon homme, en parfaite opposition avec le fait de l’avoir trompé, je lui mets ma main sur sa queue par-dessus son pantalon de pyjama.
Une fois de plus, je lui fais cracher sa petite goutte de sperme allant même jusqu’à le faire en le laissant fuser dans ma bouche.
Ce soir, une nouvelle fois je suis seule, Calvin vient de partir pour nos affaires, je sonne chez mon maître dès qu’il a le dos tourné.
• Mathéo, tu m’avais dit de te prévenir lorsque mon mari serait parti et que je passerais une soirée seule chez moi.
C’est le cas ce soir, il vient de quitter notre logement avec sa valise.
Je me prends une grande baffe dans la figure, heureusement la différence de taille fait qu’il m’attrape légèrement.
• Comment m’as-tu appellé ?
• Au pardon, j’aurais dû dire « maître » et non Mathéo, maître.
• C’est mieux, tu vois que lorsque tu fais quelques efforts, les bonnes habitudes entrent dans ta tête de piaf.
• Oui, maître, je suis un horrible petit oiseau sans tête.
• Ce soir 22 heures, j’organise une petite table avec quelques amis.
Ce sont de très gros joueurs, la cave est à 10 000 et les blindes, la grande est à 1 000 et la petite 500, tu vois, ça change de la première fois où l’entrée était à 4 000 et les blindes à 100 et 50.
Je t’offres la cave à 10 000, mais tu devras te débrouiller avec les blindes si tu veux exister dans ce genre de partie faite pour de vrais joueurs de poker.
• Maitre la première fois, je vous ai démontrée que j’étais à la hauteur des parties que vous organisez, je ne vous décevrais pas.
Je rentre chez moi, l’attente est grande jusqu’à 22 heures lorsque je sonne à la porte voisine de la mienne.
• Retourne chez toi, tu vas t’en prendre une, qu’est-ce que c’est que cette tenue ?
• Maitre vous avez des invités à ce que vous m’avez dit, je me suis habillée pour les honorer.
• Ça me démange de plus en plus de t’en coller une, entre comme tu es, mais va dans ma chambre et au lieu d’avoir ton peignoir, tu vas jouer à poil, d’un autre côté ça va troubler mes invités et j’en gagnerais des bénéfices sur les mises que je vais gagner.
Je me dépêche de prendre le couloir identique au nôtre, mais inversé et de me mettre nue dans la chambre.
Je retourne dans la salle qui commence à être enfumée, ils sont trois hommes et d’un coup, je me sens rassurée, Valérie est là assise, elle aussi nue à côté du maître.
À son cou, un collier, une laisse qu’il tient dans l’une de sa main.
• Bonsoir messieurs, bonsoir Valérie...et...
J’ai un temps d’arrêt, mais je fini ma phrase.
• ...bonsoir maître !
• C’est bien, mais garde tes palabres pour toi-même nos invités parlent tous une langue différente de la nôtre.
Le maître leur parle dans une langue gutturale que je suis dans l’impossibilité de comprendre.
Les trois hommes lui répondent et mon maître traduit.
• Je leur ai dit que tu les saluais et ils te répondent « nous aussi »...
Je m’installe à la table devant les jetons que je prends bien sur sans les ,compter, le maître verrait certainement d’un sale œil que je trahisse sa confiance.
Je le fais discrètement en attendant le début de la partie, s’il m’a baisé sur les 10 000 €, c’est à quelques centaines près, c’est à moi de mettre la grande blinde, mon tas s’ampute de 1 000 €.
Carte donnée, je, tous passe, mon tas augmente de 4 000 puisque je retrouve ma grosse blinde.
La partie se poursuis, plus moins, je joue raisonnablement lorsque je reçois deux dames, les trois première, un 2, un 10 et un 3.
Je suis, deux dames c’est jouable et j’aime les dames ce sont elles qui m’on fait finir la partie en gain la première fois ou mon maitre m’a fait jouer.
La turn est retourné, une dame, trois dame, un brelan de ces jolies figures, au maxi si l’un des joueurs à une des trois cartes premièrement joué, il aura un brelant comme moi.
Sans le faire voir, tout l’intérêt du poker, ce qui me fait mouiller, je relance juste un petit peu en regardant ce pot qui va me faire gagner largement de quoi rembourser le maître.
Tous jette sauf Boris, c’est le nom que lui a donné notre maître qui me regarde de façon ironique.
Que je vais être contente de le baiser.
La dernière carte est retournée, la river un 2.
Qui sachant jouer au poker, peut avoir suivi avec une paire de 2, j’ai beau réfléchir, personne.
Je fais tapis et j’avance mes mains ayant montré mes deux dames, pour ramasser le pot.
• Excusez-moi petite madame, deux 2, avec ceux sur la table, j’ai un carré, vous avez perdu.
C’est dans son accent que Boris me montre qu’il parle avec accent, mais qu’il connait notre langue, je vois tous mes jetons partir vers lui, me restant à pleurer sur mon empressement à avoir fait tapis.
• Juliette et vous messieurs, vous avez une possibilité d’aider notre amis qui en ce moment se trouve dans la merde jusqu’au coup.
Placé chacun devant elle pour 2 000 € de jetons soit 6 000 € et nous faisons une pose de trente minutes, c’est le temps que je vous impartie pour la baiser autant et comme vous le désirez, messieurs.
Inutile de me dire « oui » ou « non » Juliette, c’est un ordre que je te donne pour payer ta dette envers moi.
Valérie, pendant que Juliette se fait baiser, sors ma queue de mon pantalon et fait moi une gaterie, j’adore lorsque tu me suce espèce de gouine.
• Bonjour madame Santa, savez-vous si monsieur Mathéo est là ou s’il est parti pour un certain temps ?
C’est en mauvais Français que madame Santa Maria me répond, ça fait trois jours que mon voisin refuse à me répondre chaque fois que je sonne chez lui.
Elle est portugaise et avec son mari christiano fière d’avoir le même prénom que son idole jouant dans la Seleção, ils entretiennent les trois bâtiments dans la résidence où nous habitons.
• Le monsieur Mathéo, il est à quel étage et dans quel bâtiment ?
• Mais dans le nôtre à notre étage.
• À votre étage, il y a l’appartement de madame Louise Sœur, son fils l’a placée dans une maison pour les vieux depuis quelques semaines, je crois qu’il va le vendre, mon mari me l’a dit !
Je tombe de haut, je suis déboussolé, deux jours après alors que mon maître me manque, je me morfonds dans mon fauteuil en regardant la télé.
« Maintenant, nous allons rejoindre le studio 1 où Valérie va nous parler des maternels. »
Valérie, je sais à quel studio proche de Paris est tournée son émission tous les jours en direct.
• Je viens voir Valérie, laissez-moi passer !
• Nous avons des ordres, sans badge, impossible de rentrer dans les studios, ça vaut pour tout le monde, même pour une jolie femme comme vous.
• Regarder, elle sort et va monter en voiture.
Valérie, c’est Juliette, tu te souviens !
• Juliette, laissée là passer, c’est une amie.
Je peux passer la sécurité, je suis venue en taxi, elle me fait monter dans sa voiture conduite avec chauffeur.
• As-tu des nouvelles de notre Maître depuis que je t’ai quitté, je ne l’ai pas revu ?
• Comme toi, mais j’ai eu plus un renseignement des gardiens de mon immeuble.
Je croyais que c’était mon voisin, mais il semble que c’était un squatter qui a profité d’un fils ayant placé sa mère dans une maison de retraite pour s’introduire dans leur appartement.
• Moi j’ignore où il habite, il m’a piégé un jour et lorsqu’il a voulu que je vienne chez toi, c’était par chantage pour ma carrière à la télé si je ne le suivais pas.
Il avait des photos de moi alors que je m’occupais de sa bite gigantesque.
Je l’avais rencontré lors d’un tournage de l’une de mes émissions.
Sa petite taille m’avait étonné et surtout son esprit très pétillant, les hommes étant si décevants de ce côté-là.
Es-tu mariée, je vois ton alliance et une jolie bague de fiançailles ?
• Oui, mon mari s’appelle Calvin et il est à Bruxelles, il accompagne notre président pendant trois jours, il sera de retour demain matin en fin de matinée.
• Alors tu es libre ce soir et si je demandais à mon chauffeur de nous conduire à ma maison, crois-tu que si tu le préviens il trouvera étrange que nous soyons seuls chez moi !
• Je serais enchanté et lui aussi, savoir que j’ai une amie que je vois alors qu’en temps normal je suis seul chez nous, ça le rassurerait, il sait bien que j’ai peur lorsqu’il s’absente.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, instinctivement comme aimanté nos bouches se rapprochent, profitant des glaces sans tain dans un baiser passionné...
C’est comme ça que se présente mon amant.
Il a une particularité outre d’être mon nouveau voisin, c’est un nain ou homme de petite taille suivant la manière dont vous parlez de ces gnomes.
Douze ans de mariage, douze ans de fidélité pour devenir la soumise de cet homme même quand il émet ce souhait.
• J’adore ces situations où vos cocus peuvent venir s’ils ont oublié quelque chose et trouvé leur chienne en train de se faire enfiler.
• Non, pourquoi prendre autant de risque vient, on va chez toi, tu pourras me faire tout ce que tu voudras.
• Comment peux-tu penser que chez moi tu vas être protégé !
De toute façon j’attends quelqu’un et je lui ai donné ton adresse, tu vas voir, c’est une surprise.
Quelques minutes et l’on sonne.
En attendant, il m’a dénudé et s’est amusé à me tirer les lèvres de mon vagin manquant presque de me faire jouir.
Il va lui-même ouvrir comme s’il était chez lui.
• Entre ces bien ici, je te présente Valérie, ta copine de jeu de ce matin.
• Valérie, pourquoi me présenter cette blonde, tu la connais.
Moi je la connais, c’est l’une des présentatrices vedettes de la télé que je regarde régulièrement.
Jamais je n’aurais pu penser qu’elle soit à la merci de mon amant.
• Je vois que tu l’as reconnue, Valérie, elle est si bandante.
Comme je te l’ai dit, on la regarde, elle vous baise et vous êtes à sa merci !
Un jour Valérie a regardé, qu’en dis-tu ma poule !
• Oui maître !
• Déshabille-toi, Juliette va te conduire dans sa chambre.
Tu l’as reconnu, tu veux que je te dise comment elle aussi j’en ai fait mon esclave.
Avec ma bite tu t’en doutes, mais c’est dans sa loge après une émission qu’elle faisait sur les nains nous demandant bêtement si notre taille nous posait problème que je l’ai accroché à mon tableau de chasse.
Lorsqu’elle nous parlait de nos tailles, tu le penses bien, pour elle s’était notre hauteur.
Tu te souviens Valérie, tu as regardé vers mon bas-ventre et je suis sorti du studio te mettant à mon tableau de chasse.
• Oui Maître, comme vous me l’avez imposé, je vais faire de votre amie une vraie gouine.
Si on m’avait dit que je serais accro à la verge d’un nain.
Que j’accepterais un deuxième homme comme je l’ai fait en pompant Mathéo et avant que j’accepte qu’il m’encule bien qu’il se soit bien gardé de me demander mon autorisation.
Comment moi, foncièrement hétéro, je me retrouve à lécher le sexe de cette présentatrice de télé, sans dégout, après avoir écarté ses grandes lèvres ?
Ses mains sur ma tête appuyant pour que ma langue pénètre le plus profondément possible dans ce vagin épilé, trouvant en son centre son clito.
Mes pommes d’amour sont pénétrées pour mon immense plaisir.
Je suce le clito de Valérie pendant que je me fais défoncer par Mathéo.
Lorsque du liquide sort de la chatte de ma nouvelle maîtresse, ma figure est inondée.
• Ben ma salope, j’ai bien fait de t’amener cette pute, tu es la première à faire d’elle une femme fontaine, tiens prend ça, je vous adore toutes les deux.
C’est à ce moment que je sens la première décharge de ma propre liqueur d’amour venir inonder la queue de Mathéo, me faisant connaitre par là même le mot « cyprine » dont j’ignorais que les déperditions que m’apportait mon plaisir s’appelaient ainsi.
• Putain salope, tu m’as toi aussi inondé de ta cyprine !
Mathéo m’a fait boire son sperme, Valérie sa cyprine, mon sexe est de nouveau rempli du sperme de mon amant lorsque ses flèches m’inondent, m’apportant un orgasme dévastateur me faisant hurler de plaisir.
Heureusement que c’est mon voisin qui me l’apporte, ce hurlement se serait fait entendre dans sa chambre, depuis que je suis venue chercher des œufs, je sais que son lit est dans la pièce contiguë à notre chambre.
Ils sont partis, me laissant avec un champ de bataille, mais avant, c’est moi qui ai posé ma chatte sur la bouche d’une autre femme, m’apportant une autre forme de jouissance.
J’ai deux amies qui sont ce que je dirais des lesbiennes, je rejette le terme de « gouine » nom trop péjoratif à mon goût.
Je les regardais avec un certain étonnement, lorsque je jouis sous ses lèvres, je sais que je saurais maintenant ce qu’elles ressentent et qu’elles s’aiment.
Une chanson a dans ses paroles « que les draps s’en souviennent. »
Ma culture musicale est plus Mozart ou Beethoven, mais j’ai entendu cette phrase dite par un groupe.
Ils sont inondés de foutres féminins appelés cyprine et de sperme masculin, Mathéo s’étant certainement entièrement vidé ses grosses couilles dans nos intimités giclant hors de nos corps.
• Ma chérie, tu as changé les draps, il y a deux jours que tu l’avais fait comme tous les lundis !
J’ai bien fait de les changer et de m’être dépêché de les porter au pressing, je les donne toujours au pressing.
• Mon amour...
Je m’interroge sur ces deux mots que j’emploie, à part ma frustration sexuelle qu’ai-je à lui reprocher, j’ai douté, je l’ai suivi sans la moindre preuve de trahison, mais je les prononce pourtant.
• ...tu sais que j’aime déjeuner au lit, j’ai préparé un plateau et je l’ai renversé, ils étaient plein de café, je les ai enlevés et portés au pressing !
Ça passe, mon gros mensonge passe me montrant la perfidité que peut avoir une femme lorsqu’elle se sait en tors ce qui est largement mon cas.
Pour ferrer définitivement mon homme, en parfaite opposition avec le fait de l’avoir trompé, je lui mets ma main sur sa queue par-dessus son pantalon de pyjama.
Une fois de plus, je lui fais cracher sa petite goutte de sperme allant même jusqu’à le faire en le laissant fuser dans ma bouche.
Ce soir, une nouvelle fois je suis seule, Calvin vient de partir pour nos affaires, je sonne chez mon maître dès qu’il a le dos tourné.
• Mathéo, tu m’avais dit de te prévenir lorsque mon mari serait parti et que je passerais une soirée seule chez moi.
C’est le cas ce soir, il vient de quitter notre logement avec sa valise.
Je me prends une grande baffe dans la figure, heureusement la différence de taille fait qu’il m’attrape légèrement.
• Comment m’as-tu appellé ?
• Au pardon, j’aurais dû dire « maître » et non Mathéo, maître.
• C’est mieux, tu vois que lorsque tu fais quelques efforts, les bonnes habitudes entrent dans ta tête de piaf.
• Oui, maître, je suis un horrible petit oiseau sans tête.
• Ce soir 22 heures, j’organise une petite table avec quelques amis.
Ce sont de très gros joueurs, la cave est à 10 000 et les blindes, la grande est à 1 000 et la petite 500, tu vois, ça change de la première fois où l’entrée était à 4 000 et les blindes à 100 et 50.
Je t’offres la cave à 10 000, mais tu devras te débrouiller avec les blindes si tu veux exister dans ce genre de partie faite pour de vrais joueurs de poker.
• Maitre la première fois, je vous ai démontrée que j’étais à la hauteur des parties que vous organisez, je ne vous décevrais pas.
Je rentre chez moi, l’attente est grande jusqu’à 22 heures lorsque je sonne à la porte voisine de la mienne.
• Retourne chez toi, tu vas t’en prendre une, qu’est-ce que c’est que cette tenue ?
• Maitre vous avez des invités à ce que vous m’avez dit, je me suis habillée pour les honorer.
• Ça me démange de plus en plus de t’en coller une, entre comme tu es, mais va dans ma chambre et au lieu d’avoir ton peignoir, tu vas jouer à poil, d’un autre côté ça va troubler mes invités et j’en gagnerais des bénéfices sur les mises que je vais gagner.
Je me dépêche de prendre le couloir identique au nôtre, mais inversé et de me mettre nue dans la chambre.
Je retourne dans la salle qui commence à être enfumée, ils sont trois hommes et d’un coup, je me sens rassurée, Valérie est là assise, elle aussi nue à côté du maître.
À son cou, un collier, une laisse qu’il tient dans l’une de sa main.
• Bonsoir messieurs, bonsoir Valérie...et...
J’ai un temps d’arrêt, mais je fini ma phrase.
• ...bonsoir maître !
• C’est bien, mais garde tes palabres pour toi-même nos invités parlent tous une langue différente de la nôtre.
Le maître leur parle dans une langue gutturale que je suis dans l’impossibilité de comprendre.
Les trois hommes lui répondent et mon maître traduit.
• Je leur ai dit que tu les saluais et ils te répondent « nous aussi »...
Je m’installe à la table devant les jetons que je prends bien sur sans les ,compter, le maître verrait certainement d’un sale œil que je trahisse sa confiance.
Je le fais discrètement en attendant le début de la partie, s’il m’a baisé sur les 10 000 €, c’est à quelques centaines près, c’est à moi de mettre la grande blinde, mon tas s’ampute de 1 000 €.
Carte donnée, je, tous passe, mon tas augmente de 4 000 puisque je retrouve ma grosse blinde.
La partie se poursuis, plus moins, je joue raisonnablement lorsque je reçois deux dames, les trois première, un 2, un 10 et un 3.
Je suis, deux dames c’est jouable et j’aime les dames ce sont elles qui m’on fait finir la partie en gain la première fois ou mon maitre m’a fait jouer.
La turn est retourné, une dame, trois dame, un brelan de ces jolies figures, au maxi si l’un des joueurs à une des trois cartes premièrement joué, il aura un brelant comme moi.
Sans le faire voir, tout l’intérêt du poker, ce qui me fait mouiller, je relance juste un petit peu en regardant ce pot qui va me faire gagner largement de quoi rembourser le maître.
Tous jette sauf Boris, c’est le nom que lui a donné notre maître qui me regarde de façon ironique.
Que je vais être contente de le baiser.
La dernière carte est retournée, la river un 2.
Qui sachant jouer au poker, peut avoir suivi avec une paire de 2, j’ai beau réfléchir, personne.
Je fais tapis et j’avance mes mains ayant montré mes deux dames, pour ramasser le pot.
• Excusez-moi petite madame, deux 2, avec ceux sur la table, j’ai un carré, vous avez perdu.
C’est dans son accent que Boris me montre qu’il parle avec accent, mais qu’il connait notre langue, je vois tous mes jetons partir vers lui, me restant à pleurer sur mon empressement à avoir fait tapis.
• Juliette et vous messieurs, vous avez une possibilité d’aider notre amis qui en ce moment se trouve dans la merde jusqu’au coup.
Placé chacun devant elle pour 2 000 € de jetons soit 6 000 € et nous faisons une pose de trente minutes, c’est le temps que je vous impartie pour la baiser autant et comme vous le désirez, messieurs.
Inutile de me dire « oui » ou « non » Juliette, c’est un ordre que je te donne pour payer ta dette envers moi.
Valérie, pendant que Juliette se fait baiser, sors ma queue de mon pantalon et fait moi une gaterie, j’adore lorsque tu me suce espèce de gouine.
• Bonjour madame Santa, savez-vous si monsieur Mathéo est là ou s’il est parti pour un certain temps ?
C’est en mauvais Français que madame Santa Maria me répond, ça fait trois jours que mon voisin refuse à me répondre chaque fois que je sonne chez lui.
Elle est portugaise et avec son mari christiano fière d’avoir le même prénom que son idole jouant dans la Seleção, ils entretiennent les trois bâtiments dans la résidence où nous habitons.
• Le monsieur Mathéo, il est à quel étage et dans quel bâtiment ?
• Mais dans le nôtre à notre étage.
• À votre étage, il y a l’appartement de madame Louise Sœur, son fils l’a placée dans une maison pour les vieux depuis quelques semaines, je crois qu’il va le vendre, mon mari me l’a dit !
Je tombe de haut, je suis déboussolé, deux jours après alors que mon maître me manque, je me morfonds dans mon fauteuil en regardant la télé.
« Maintenant, nous allons rejoindre le studio 1 où Valérie va nous parler des maternels. »
Valérie, je sais à quel studio proche de Paris est tournée son émission tous les jours en direct.
• Je viens voir Valérie, laissez-moi passer !
• Nous avons des ordres, sans badge, impossible de rentrer dans les studios, ça vaut pour tout le monde, même pour une jolie femme comme vous.
• Regarder, elle sort et va monter en voiture.
Valérie, c’est Juliette, tu te souviens !
• Juliette, laissée là passer, c’est une amie.
Je peux passer la sécurité, je suis venue en taxi, elle me fait monter dans sa voiture conduite avec chauffeur.
• As-tu des nouvelles de notre Maître depuis que je t’ai quitté, je ne l’ai pas revu ?
• Comme toi, mais j’ai eu plus un renseignement des gardiens de mon immeuble.
Je croyais que c’était mon voisin, mais il semble que c’était un squatter qui a profité d’un fils ayant placé sa mère dans une maison de retraite pour s’introduire dans leur appartement.
• Moi j’ignore où il habite, il m’a piégé un jour et lorsqu’il a voulu que je vienne chez toi, c’était par chantage pour ma carrière à la télé si je ne le suivais pas.
Il avait des photos de moi alors que je m’occupais de sa bite gigantesque.
Je l’avais rencontré lors d’un tournage de l’une de mes émissions.
Sa petite taille m’avait étonné et surtout son esprit très pétillant, les hommes étant si décevants de ce côté-là.
Es-tu mariée, je vois ton alliance et une jolie bague de fiançailles ?
• Oui, mon mari s’appelle Calvin et il est à Bruxelles, il accompagne notre président pendant trois jours, il sera de retour demain matin en fin de matinée.
• Alors tu es libre ce soir et si je demandais à mon chauffeur de nous conduire à ma maison, crois-tu que si tu le préviens il trouvera étrange que nous soyons seuls chez moi !
• Je serais enchanté et lui aussi, savoir que j’ai une amie que je vois alors qu’en temps normal je suis seul chez nous, ça le rassurerait, il sait bien que j’ai peur lorsqu’il s’absente.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, instinctivement comme aimanté nos bouches se rapprochent, profitant des glaces sans tain dans un baiser passionné...
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