COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (4/6)
Je suis venue dire à Mathéo, pardon, mon maître, que Calvin mon mari avait quitté le foyer conjugal pour une conférence dans un pays dont il m’a dit où il se trouvait mais que ma tête de moineau du moins c’est mon maître qui me l’a dit l’a oublié.
Mon maître m’invite à une partie de poker, allant même jusqu’à m’offrir la cave, pour les autres têtes de piaf comme moi, la cave est la mise de base que nous devons avoir à la table ou nous nous asseyons.
Je m’installe donc à la table devant les jetons que je récupère bien sûr, sans les compter, le maître verrait certainement d’un sale œil que je trahisse sa confiance.
Je le fais discrètement en attendant le début de la partie, s’il m’a baisé sur les 10 000 €, c’est à quelques centaines près, c’est à moi de mettre la grande blinde, mon tas s’ampute de 1 000 €.
Carte donnée, tous passe, je récupère les blindes.
La partie se poursuit, plus, moins, je joue raisonnablement lorsque je reçois deux dames, les trois premières que retourne Mathéo, un 2, un 10 et un 3.
Je suis, deux dames c’est jouable et j’aime les dames, ce sont elles qui m’ont fait gagner la partie en gain la première fois ou mon maitre m’a fait jouer.
La turne, quatrième carte seule est retournée, une dame.
Je suis à deux doigts d’exulter, trois dames, un brelan de ces jolies figures, au maxi si l’un des joueurs à une des trois cartes premièrement joué, il aura un brelan comme moi, mais inférieur au mien.
Sans le faire voir, tout l’intérêt du poker, ce qui me fait mouiller, je relance juste un petit peu en regardant ce pot qui va me faire gagner largement de quoi rembourser le maître.
Tous jette sauf Boris, c’est le nom que lui a donné notre maître qui me regarde de façon ironique.
Intérieurement, je vais être satisfaite de le baiser.
La dernière carte est retournée, la river un 2.
Qui sachant jouer au poker, peut avoir ouvert avec une paire de 2, j’ai beau réfléchir, personne.
Je joue mon tapis et j’avance mes mains ayant montré mes deux dames, pour ramasser le pot.
• Excusez petite madame, deux 2, avec ceux sur la table, j’ai un carré, vous avez perdu.
C’est dans son accent que Boris me montre qu’il parle avec accent, mais qu’il connaît notre langue, je vois tous mes jetons partir vers lui, me restant à pleurer sur mon empressement à avoir fait tapis.
• Juliette et vous messieurs, vous avez une possibilité d’aider notre amie qui en ce moment se trouve dans la merde jusqu’au cou !
Placés chacun devant elle 2 000 € de jetons soit 6 000 et pendant que nous faisons une pause de trente minutes, c’est le temps que je vous impartis pour la baiser autant et comme vous le désirez, messieurs.
Inutile de me dire « oui » ou « non » Juliette, c’est un ordre que je te donne pour payer ta dette envers moi.
Valérie, pendant que Juliette se fait baiser, sors ma queue de mon pantalon et fait moi une gâterie, j’adore lorsque tu me suces espèce de gouine.
Je suis piégée, soit je pars, mais je devrais dire à Calvin à son retour que j’ai joué au poker avec des inconnus et notre voisin et que je lui dois les 10 000 € qu’il m’a avancés.
Sans compter les photos qui sont dans la galerie de son portable me montrant en train de sucer sa verge.
Nue, dénudée financièrement, Boris a sorti sa queue et je me vois contrainte à venir entre ses jambes le sucer comme la salope que mon maitre a faite de moi.
Valérie, elle aussi avec la contrainte de la laisse que notre maître a tirée vers lui l’étranglant un petit moment, doit sucer cette verge qui malgré sa grande taille me fait envie.
Je sens des mains sur moi avec des doigts qui fouillent ma chatte.
Trois mecs d’un coup, qui l’eût cru il y a encore quelques jours.
Heureusement que Valérie est là, ce serait quatre mecs que je devrais satisfaire.
On me relève le cul et je suis pénétrée, j’éructe le plaisir que cela m’apporte par la verge de Boris et les deux autres qui se sont mis à jouer avec moi.
Baiser, enfilé par un homme dont j’ignore même le nom et jouissant sans aucune retenue en en suçant un autre.
Une demi-heure, c’est cour et c’est aussi long, assez pour que je me retrouve sur le lit dans la salle qui servait à la grand-mère qui habitait avant et que son fils a mis en maison de retraite.
Elle vivait dans cette pièce où je venais la voir chaque jour son fils m’ayant confié les clefs.
Deux dans ma chatte et le troisième me sodomisant là encore sans me demander mon avis, mais le passage déjà bien fait par la verge que Valérie à elle dans le vagin, s’étant empalée sur la bite de celui qui malgré sa petite taille nous domine.
C’est dans mon lit que je me réveille, repus de sexe et sentant le sperme collé sur moi.
Ma chatte distendue par les deux verges qui m’ont fouillé est plus douloureuse que mon anus qui semble s’habituer à être défoncé.
Je me lève, un nouveau problème, de nouveau les draps !
Il put la luxure et le sperme, je suis obligé de les laver moi-même dans ma machine à laver qui par chance a une fonction séchant, Calvin rentre en fin de journée.
Une fois propre et sec, je les remets dans notre lit, ni vu ni connu.
• Chérie, ils ont changé leur assouplissant ou leur lessive au pressing, je n’avais pas senti la différence d’odeur avant de te quitter !
Que faire pour éviter de tout dire, une nouvelle fois, je lui suce la queue, un moment je l’entends ronfler, il s’est endormi pendant ma fellation, c’est à la limite de l’affront ?
• Bonjour madame Santa, savez-vous si monsieur Mathéo est là ou s’il est parti pour un certain temps ?
J’ai été à la limite de lui dire « mon maître. »
C’est en mauvais Français que madame Santa Maria me répond.
Ça fait trois jours que mon voisin refuse de me répondre chaque fois que je sonne chez lui.
J’ai même essayé les clefs que je possède, mais les serrures ont été changées.
Notre gardienne est portugaise et avec son mari christiano fière d’avoir le même prénom que son idole jouant dans la Seleção, ils entretiennent les trois bâtiments dans la résidence où nous habitons.
• Le monsieur Mathéo, il est à quel étage et dans quel bâtiment ?
• Mais dans le nôtre, à notre étage !
• À votre étage, il y a l’appartement de madame Louise Sœur, son fils l’a placée dans une maison pour les vieux depuis quelques semaines, je crois qu’il va le vendre, mon mari me l’a dit !
Je tombe de haut, comment tout ceci est-il possible, je suis déboussolé ?
Deux jours après alors que mon maître me manque, je me morfonds dans mon fauteuil en regardant la télé.
« Maintenant, nous allons rejoindre le studio 3 où Valérie va nous parler des maternels. »
Valérie, je sais à quel studio proche de Paris est tournée son émission tous les jours en direct.
• Je viens voir Valérie, laissez-moi passer !
• Nous avons des ordres, sans badge, impossible de rentrer dans les studios, ça vaut pour tout le monde, même pour une jolie femme comme vous.
• Regarder, elle sort et va monter en voiture.
Valérie, c’est Juliette, tu te souviens !
• Juliette, c’est toi, laissé la passer, c’est une amie !
J’ai crié lorsque je l’ai vue, je peux passer la sécurité, je suis venue en taxi, elle me fait monter dans sa voiture conduite avec son chauffeur.
• As-tu des nouvelles de notre Maître depuis que je t’ai quitté, je ne l’ai pas revu ?
• Comme toi, mais j’ai eu un renseignement des gardiens de mon immeuble.
Je croyais que c’était mon voisin, mais il semble que c’était un squatter qui a profité d’un fils ayant placé sa mère dans une maison de retraite pour s’introduire dans leur appartement.
• Moi j’ignore où il habite, il m’a piégé un jour et lorsqu’il a voulu que je vienne chez toi, c’était par chantage pour ma carrière à la télé si je refusais de venir et de faire ce que l’on a fait.
Il avait des photos de moi alors que je m’occupais de sa bite gigantesque.
Je l’avais rencontré lors d’un tournage de l’une de mes émissions.
Sa petite taille m’avait étonné et surtout son esprit très pétillant, les hommes étant si décevants de ce côté-là.
L’autre soir, il m’avait une nouvelle fois convoqué dans cet appartement que tu me dis qu’il le squattait et où tu as joué au poker avec ces trois hommes.
Es-tu mariée, j’avais remarqué ton alliance et ta jolie bague de fiançailles lorsqu’il m’avait fait venir chez toi ?
• Oui, mon mari s’appelle Calvin et il est à Bruxelles, il accompagne notre président pendant plusieurs jours, il sera de retour demain matin en fin de matinée.
• Alors tu es libre ce soir et si je demandais à mon chauffeur de nous conduire chez moi, crois-tu que si tu le préviens il trouvera étrange que nous soyons seuls chez moi !
• Je serais enchanté et lui aussi, savoir que j’ai une amie que je vois alors qu’en temps normal je suis seul chez nous, ça le rassurerait, il sait bien que j’ai peur lorsqu’il s’absente.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, instinctivement comme aimanté nos bouches se rapprochent, profitant des glaces sans tain dans un baiser passionné.
Avant d’arriver devant un immeuble semblant neuf, nos mains s’égarent dans son pantalon pour elle et sous ma jupe pour moi, ou sommes-nous ?
Je l’ignore, nos mains jouant avant notre arrivée, m’en ayant empêché.
Le chauffeur nous ouvre, nous avons repris notre sang-froid, nul ne doit savoir que deux salopes recommencent à s’embrasser dans l’ascenseur avant d’entrer dans le logement de Valérie.
Près de sa porte, un porte-manteau sur lequel la laisse avec son collier que notre maître hélas, disparu à cette heure lui avait mis au cou, se trouve.
• Oui, attache-moi, je vais être ta gentille chienne...
Mon maître m’invite à une partie de poker, allant même jusqu’à m’offrir la cave, pour les autres têtes de piaf comme moi, la cave est la mise de base que nous devons avoir à la table ou nous nous asseyons.
Je m’installe donc à la table devant les jetons que je récupère bien sûr, sans les compter, le maître verrait certainement d’un sale œil que je trahisse sa confiance.
Je le fais discrètement en attendant le début de la partie, s’il m’a baisé sur les 10 000 €, c’est à quelques centaines près, c’est à moi de mettre la grande blinde, mon tas s’ampute de 1 000 €.
Carte donnée, tous passe, je récupère les blindes.
La partie se poursuit, plus, moins, je joue raisonnablement lorsque je reçois deux dames, les trois premières que retourne Mathéo, un 2, un 10 et un 3.
Je suis, deux dames c’est jouable et j’aime les dames, ce sont elles qui m’ont fait gagner la partie en gain la première fois ou mon maitre m’a fait jouer.
La turne, quatrième carte seule est retournée, une dame.
Je suis à deux doigts d’exulter, trois dames, un brelan de ces jolies figures, au maxi si l’un des joueurs à une des trois cartes premièrement joué, il aura un brelan comme moi, mais inférieur au mien.
Sans le faire voir, tout l’intérêt du poker, ce qui me fait mouiller, je relance juste un petit peu en regardant ce pot qui va me faire gagner largement de quoi rembourser le maître.
Tous jette sauf Boris, c’est le nom que lui a donné notre maître qui me regarde de façon ironique.
Intérieurement, je vais être satisfaite de le baiser.
La dernière carte est retournée, la river un 2.
Qui sachant jouer au poker, peut avoir ouvert avec une paire de 2, j’ai beau réfléchir, personne.
Je joue mon tapis et j’avance mes mains ayant montré mes deux dames, pour ramasser le pot.
• Excusez petite madame, deux 2, avec ceux sur la table, j’ai un carré, vous avez perdu.
C’est dans son accent que Boris me montre qu’il parle avec accent, mais qu’il connaît notre langue, je vois tous mes jetons partir vers lui, me restant à pleurer sur mon empressement à avoir fait tapis.
• Juliette et vous messieurs, vous avez une possibilité d’aider notre amie qui en ce moment se trouve dans la merde jusqu’au cou !
Placés chacun devant elle 2 000 € de jetons soit 6 000 et pendant que nous faisons une pause de trente minutes, c’est le temps que je vous impartis pour la baiser autant et comme vous le désirez, messieurs.
Inutile de me dire « oui » ou « non » Juliette, c’est un ordre que je te donne pour payer ta dette envers moi.
Valérie, pendant que Juliette se fait baiser, sors ma queue de mon pantalon et fait moi une gâterie, j’adore lorsque tu me suces espèce de gouine.
Je suis piégée, soit je pars, mais je devrais dire à Calvin à son retour que j’ai joué au poker avec des inconnus et notre voisin et que je lui dois les 10 000 € qu’il m’a avancés.
Sans compter les photos qui sont dans la galerie de son portable me montrant en train de sucer sa verge.
Nue, dénudée financièrement, Boris a sorti sa queue et je me vois contrainte à venir entre ses jambes le sucer comme la salope que mon maitre a faite de moi.
Valérie, elle aussi avec la contrainte de la laisse que notre maître a tirée vers lui l’étranglant un petit moment, doit sucer cette verge qui malgré sa grande taille me fait envie.
Je sens des mains sur moi avec des doigts qui fouillent ma chatte.
Trois mecs d’un coup, qui l’eût cru il y a encore quelques jours.
Heureusement que Valérie est là, ce serait quatre mecs que je devrais satisfaire.
On me relève le cul et je suis pénétrée, j’éructe le plaisir que cela m’apporte par la verge de Boris et les deux autres qui se sont mis à jouer avec moi.
Baiser, enfilé par un homme dont j’ignore même le nom et jouissant sans aucune retenue en en suçant un autre.
Une demi-heure, c’est cour et c’est aussi long, assez pour que je me retrouve sur le lit dans la salle qui servait à la grand-mère qui habitait avant et que son fils a mis en maison de retraite.
Elle vivait dans cette pièce où je venais la voir chaque jour son fils m’ayant confié les clefs.
Deux dans ma chatte et le troisième me sodomisant là encore sans me demander mon avis, mais le passage déjà bien fait par la verge que Valérie à elle dans le vagin, s’étant empalée sur la bite de celui qui malgré sa petite taille nous domine.
C’est dans mon lit que je me réveille, repus de sexe et sentant le sperme collé sur moi.
Ma chatte distendue par les deux verges qui m’ont fouillé est plus douloureuse que mon anus qui semble s’habituer à être défoncé.
Je me lève, un nouveau problème, de nouveau les draps !
Il put la luxure et le sperme, je suis obligé de les laver moi-même dans ma machine à laver qui par chance a une fonction séchant, Calvin rentre en fin de journée.
Une fois propre et sec, je les remets dans notre lit, ni vu ni connu.
• Chérie, ils ont changé leur assouplissant ou leur lessive au pressing, je n’avais pas senti la différence d’odeur avant de te quitter !
Que faire pour éviter de tout dire, une nouvelle fois, je lui suce la queue, un moment je l’entends ronfler, il s’est endormi pendant ma fellation, c’est à la limite de l’affront ?
• Bonjour madame Santa, savez-vous si monsieur Mathéo est là ou s’il est parti pour un certain temps ?
J’ai été à la limite de lui dire « mon maître. »
C’est en mauvais Français que madame Santa Maria me répond.
Ça fait trois jours que mon voisin refuse de me répondre chaque fois que je sonne chez lui.
J’ai même essayé les clefs que je possède, mais les serrures ont été changées.
Notre gardienne est portugaise et avec son mari christiano fière d’avoir le même prénom que son idole jouant dans la Seleção, ils entretiennent les trois bâtiments dans la résidence où nous habitons.
• Le monsieur Mathéo, il est à quel étage et dans quel bâtiment ?
• Mais dans le nôtre, à notre étage !
• À votre étage, il y a l’appartement de madame Louise Sœur, son fils l’a placée dans une maison pour les vieux depuis quelques semaines, je crois qu’il va le vendre, mon mari me l’a dit !
Je tombe de haut, comment tout ceci est-il possible, je suis déboussolé ?
Deux jours après alors que mon maître me manque, je me morfonds dans mon fauteuil en regardant la télé.
« Maintenant, nous allons rejoindre le studio 3 où Valérie va nous parler des maternels. »
Valérie, je sais à quel studio proche de Paris est tournée son émission tous les jours en direct.
• Je viens voir Valérie, laissez-moi passer !
• Nous avons des ordres, sans badge, impossible de rentrer dans les studios, ça vaut pour tout le monde, même pour une jolie femme comme vous.
• Regarder, elle sort et va monter en voiture.
Valérie, c’est Juliette, tu te souviens !
• Juliette, c’est toi, laissé la passer, c’est une amie !
J’ai crié lorsque je l’ai vue, je peux passer la sécurité, je suis venue en taxi, elle me fait monter dans sa voiture conduite avec son chauffeur.
• As-tu des nouvelles de notre Maître depuis que je t’ai quitté, je ne l’ai pas revu ?
• Comme toi, mais j’ai eu un renseignement des gardiens de mon immeuble.
Je croyais que c’était mon voisin, mais il semble que c’était un squatter qui a profité d’un fils ayant placé sa mère dans une maison de retraite pour s’introduire dans leur appartement.
• Moi j’ignore où il habite, il m’a piégé un jour et lorsqu’il a voulu que je vienne chez toi, c’était par chantage pour ma carrière à la télé si je refusais de venir et de faire ce que l’on a fait.
Il avait des photos de moi alors que je m’occupais de sa bite gigantesque.
Je l’avais rencontré lors d’un tournage de l’une de mes émissions.
Sa petite taille m’avait étonné et surtout son esprit très pétillant, les hommes étant si décevants de ce côté-là.
L’autre soir, il m’avait une nouvelle fois convoqué dans cet appartement que tu me dis qu’il le squattait et où tu as joué au poker avec ces trois hommes.
Es-tu mariée, j’avais remarqué ton alliance et ta jolie bague de fiançailles lorsqu’il m’avait fait venir chez toi ?
• Oui, mon mari s’appelle Calvin et il est à Bruxelles, il accompagne notre président pendant plusieurs jours, il sera de retour demain matin en fin de matinée.
• Alors tu es libre ce soir et si je demandais à mon chauffeur de nous conduire chez moi, crois-tu que si tu le préviens il trouvera étrange que nous soyons seuls chez moi !
• Je serais enchanté et lui aussi, savoir que j’ai une amie que je vois alors qu’en temps normal je suis seul chez nous, ça le rassurerait, il sait bien que j’ai peur lorsqu’il s’absente.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, instinctivement comme aimanté nos bouches se rapprochent, profitant des glaces sans tain dans un baiser passionné.
Avant d’arriver devant un immeuble semblant neuf, nos mains s’égarent dans son pantalon pour elle et sous ma jupe pour moi, ou sommes-nous ?
Je l’ignore, nos mains jouant avant notre arrivée, m’en ayant empêché.
Le chauffeur nous ouvre, nous avons repris notre sang-froid, nul ne doit savoir que deux salopes recommencent à s’embrasser dans l’ascenseur avant d’entrer dans le logement de Valérie.
Près de sa porte, un porte-manteau sur lequel la laisse avec son collier que notre maître hélas, disparu à cette heure lui avait mis au cou, se trouve.
• Oui, attache-moi, je vais être ta gentille chienne...
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