COLLECTION DOMINANT DOMINE. Les filles de Monsieur, les filles de Madame (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Les filles de Monsieur, les filles de Madame (6/7)
Les choses s’accélèrent dans la cave du manoir où l’on m’a amené contre mon gré, avec l’aide de Wanda, ma copine de la droite du couloir où nous avons nos chambres, j’emmène cette petite pute de Lucia qui a osé me faire un croc-en-jambe pour éviter de finir dernière à la course du matin dans la cave.
J’avais ramassé pendant plusieurs heures, mais mon pouvoir de récupération fait qu’avec mon amie, c’est au tour de la salope de se retrouver à la place où j’ai passé un long moment.
Son cul, ses seins, sa bouche que l’on ferme avec une boule et aussi sa chatte que nous déflorons avec le manche du chat à 9 queues qui m’a flagellé, nous sert pour ma vengeance.
Avant de remonter dans les chambres, nous nous servons de son rouge à lèvres pour inscrire quelques mots bien sentis de ce que nous pensons d’elle.
• Lucia, tu as compris, je vais te mettre cette cagoule avant que nous ne remontions, si tu sais fermer ta bouche, tu auras mon appui à cour terme, tu as compris, sinon.
Elle fait oui de la tête, surtout que je passe le pouce sur ma gorge d’une manière très explicite avant de lui mettre une cagoule trouvée dans l’armoire.
• Wanda, rejoins ta chambre, et dors jusqu’à la sonnerie, trouve une excuse quand ils trouveront cette salope et qu’ils te demanderont si c’est toi qui y es pour quelque chose.
De mon côté, je remonte dans mon bain, quand la sonnerie retentira, je ne bougerais pas comme si j’étais encore en train de récupérer et je jouerais les ingénues.
C’est comme je l’avais prévu, Albert vient dans la salle de bain, me réveille et m’aide à sortir de l’eau.
• Eh bien, tu vas finir par te prendre pour un poisson ou pour une grenouille, heureusement que le thermostat permet à l’eau d’être à température, tu serais morte de froid.
Mets ton survêtement et descends dans la salle, tu dois avoir faim depuis que tu n’as pas mangé.
J’arrive dans le couloir quand Albert demande ou est Lucia, il va dans sa chambre.
• Léon fait les descendre, je vais chercher les autres pour la retrouver, elle est peut-être dans le parc, si c’est le cas, elle n’ira pas loin, il est impossible de partir avant que nos commanditaires les récupèrent.
Ces mots anodins pour certains ont une énorme résonance pour moi, j’entrevois que les filles ne sont pas là par hasard, pourtant, quand la limousine de Monsieur est venue me ramasser, tous ignoraient que j’avais décidé de changer de vie et de partir en stop.
Je reste à l’affût des moindres propos qui pourront éclairer ma lanterne, en attendant nous nous retrouvons autour de la table, alors qu’une effervescence orientée sur l’extérieur du manoir, accaparant toutes les personnes qui nous encadrent.
• On vient de vérifier ses affaires, elle est nue, ou peut-elle être, cherchons à l’intérieur avec la pluie qui tombe à sceaux, je pense qu’elle serait déjà rentrée.
Les hommes, l’étage, les femmes, le rez-de-chaussée et la cave.
Cinq minutes et l’on entend des cris venant de l’escalier de la cave.
• Venez, elle est là pendue au palan, il semble que quelqu’un se soit vengé sur Lucia.
Tous nous quittent, les hommes redescendent, ils doivent voir ce que nous avons fait à la salope, le moment le plus délicat de mon plan se joue à cet instant, va-t-elle prendre le risque de dire que c’est moi et Wanda qui l’avons agressé.
Il semble qu’il n’en soit rien quand Monsieur et Madame entre avec les hommes, les femmes ont dû emmener la pute, Albert prend la parole.
• Qui a fait ça à Lucia, elle vient de nous dire qu’elle avait été agressée dans son lit, qu’une cagoule lui avait été mise sur sa tête et qu’elle n’avait rien vu.
Quand il parle de la cagoule, je vois l’erreur que j’ai faite, si la fille a toujours eu la cagoule, comment se fait-il que sur son front le mot « pute » ait été inscrit avec le rouge à lèvres.
Cagoule enlevée, elle a vu ses agresseurs et les protèges, nous protèges.
Bien sûr, je garde cela pour moi, on avisera si besoin surtout que les propos d’Albert sont sympas pour moi.
• Allez, dénoncez-vous, pour ma part, j’exclus Carla que j’ai portée dans son bain avec Léon hier, je l’ai réveillé ce matin au même endroit, après les moments passés dans la cave, elle était dans l’impossibilité de faire ce méfait.
Aurore, toi qui dors dans la chambre voisine qu’as-tu entendue.
• Rien monsieur Albert.
• Jennifer et toi.
• J’ai joué la finale de tennis contre Wanda une bonne partie de l’après-midi, j’étais morte, je me suis couchée et j’ai dormi comme un bébé.
• Wanda, qu’as-tu à dire !
• Monsieur Albert, rien de plus que Jennifer, moi aussi, j’étais crevée, j’ai même failli me retrouver dans la cave ce matin, j’ai eu du mal à me lever pour être à temps devant ma chambre.
Bien jouées Wanda, se servir de ce qu’a dit Jennifer, c’est du grand art de menteuse.
• Je vois que je n’arriverais à rien, nous pourrions vous enfermer dans vos chambres, mais la législation nous l’interdit en cas d’incendie, à partir de ce soir, à tour de rôle, les encadrants feront des rondes chaque nuit.
Voilà comment l’affaire se termine, nous reprenons la vie normale jusqu’au jour où il m’est demandé de me faire belle, maquillage et robes et de me présenter dans la chambre de Monsieur.
Je frappe, Monsieur me dit d’entrer.
• Parrain, c’est toi, que fais-tu là !
• Je t’emmène d’ici, ton éducation est terminée.
• Mais parrain que veux-tu dire ?
• Je t’emmène au restaurant, dans la ville voisine, je te dirais tout.
• Au revoir Carla, profite de ce que nous t’avons appris pour satisfaire ton futur mari.
Mes bagages avec mon sac à dos sont chargés dans la voiture de Lucas l’associé de papa, je retrouve ma bombe de défense qui ne m’aura servi à rien, jusqu’au restaurant, je ne dis pas un mot, c’est le repas commandé que Lucas commence à me parler.
• Je vais te faire plusieurs aveux, c’est tes parents et moi qui avons fait le nécessaire pour que tu te retrouves dans le manoir géré par Monsieur et Madame.
Tu as failli tout mettre par terre en prenant ton sac à dos, décidant de partir pour tes dix-huit ans, coup de chance en rangeant dans ta chambre, ta boule avec la neige que tu avais achetée à la montagne quand tu étais petite est tombée, ta mère a vu ton sac et ta lettre sous ton lit.
On s’est réuni à l’étude et nous avons appelé Monsieur, tu avais tes dix-huit ans le lendemain, nous étions aux aguets, tu nous as facilité la vie en faisant du stop, tu connais la suite.
• Pourquoi m’avez-vous enlevé avec la connivence de mes parents ?
• C’est une autre histoire, pour commencer, c’est lorsque Adrien est venu se vanter de t’avoir sauté dans ma voiture qu’avec tes parents l’idée de te marier à lui nous est apparue comme évidente.
Reconnais que c’est un fils de bonne famille.
• Parrain, j’aurais du mal à ne pas le reconnaître, ça ne me dit pas pourquoi mes parents ont voulu que je me rende dans ce manoir.
• Pour te dresser, tu étais trop rebelle, il faut que tu saches, qu’Alexia ta mère et Lory ma femme, hélas décédée, sortent de cette institution.
C’était le père de Monsieur qui l’avait créé pour que notre monde apporte à nos filles ce qu’une femme doit savoir pour nous rendre nous les hommes satisfaits dans notre couple.
Ils faisaient d’elles des épouses parfaites ce qu’a été Lory, même si ce n’est pas moi qui l’aie défloré, il en va de même pour ton père et ta mère un autre l’a défloré, nous les avons épousés pour notre plus grand bonheur.
Je comprends le collier que j’ai trouvé dans le tiroir de maman, c’est incroyable, elle aussi a goutté à la cave, je comprends mieux certaines images ancrées en moi, mais qu’en petite fille sage, j’avais enfoui en moi.
Papa et maman lors de soirées ne devaient pas avoir de limite, plusieurs fois, j’ai eu l’impression d’entendre des bruits bizarres venants du salon.
• Soit franc avec moi, tu as sauté maman.
• Plus d’une fois, nous faisions des parties carrées, nos femmes adoraient tout ce que nous leur faisions, la mort de Lory à tout détruit, depuis aucune femme n’a connu mon lit.
• Tu n’as plus baisé, pardon, vous avez fait de moi une femme du monde, tu n’as plus fait l’amour.
• Si, des putes que je faisais venir dans des hôtels, je les trouve sur des sites Internet.
• Tu veux que j’épouse Adrien, mais il ne m’intéresse pas…
J’avais ramassé pendant plusieurs heures, mais mon pouvoir de récupération fait qu’avec mon amie, c’est au tour de la salope de se retrouver à la place où j’ai passé un long moment.
Son cul, ses seins, sa bouche que l’on ferme avec une boule et aussi sa chatte que nous déflorons avec le manche du chat à 9 queues qui m’a flagellé, nous sert pour ma vengeance.
Avant de remonter dans les chambres, nous nous servons de son rouge à lèvres pour inscrire quelques mots bien sentis de ce que nous pensons d’elle.
• Lucia, tu as compris, je vais te mettre cette cagoule avant que nous ne remontions, si tu sais fermer ta bouche, tu auras mon appui à cour terme, tu as compris, sinon.
Elle fait oui de la tête, surtout que je passe le pouce sur ma gorge d’une manière très explicite avant de lui mettre une cagoule trouvée dans l’armoire.
• Wanda, rejoins ta chambre, et dors jusqu’à la sonnerie, trouve une excuse quand ils trouveront cette salope et qu’ils te demanderont si c’est toi qui y es pour quelque chose.
De mon côté, je remonte dans mon bain, quand la sonnerie retentira, je ne bougerais pas comme si j’étais encore en train de récupérer et je jouerais les ingénues.
C’est comme je l’avais prévu, Albert vient dans la salle de bain, me réveille et m’aide à sortir de l’eau.
• Eh bien, tu vas finir par te prendre pour un poisson ou pour une grenouille, heureusement que le thermostat permet à l’eau d’être à température, tu serais morte de froid.
Mets ton survêtement et descends dans la salle, tu dois avoir faim depuis que tu n’as pas mangé.
J’arrive dans le couloir quand Albert demande ou est Lucia, il va dans sa chambre.
• Léon fait les descendre, je vais chercher les autres pour la retrouver, elle est peut-être dans le parc, si c’est le cas, elle n’ira pas loin, il est impossible de partir avant que nos commanditaires les récupèrent.
Ces mots anodins pour certains ont une énorme résonance pour moi, j’entrevois que les filles ne sont pas là par hasard, pourtant, quand la limousine de Monsieur est venue me ramasser, tous ignoraient que j’avais décidé de changer de vie et de partir en stop.
Je reste à l’affût des moindres propos qui pourront éclairer ma lanterne, en attendant nous nous retrouvons autour de la table, alors qu’une effervescence orientée sur l’extérieur du manoir, accaparant toutes les personnes qui nous encadrent.
• On vient de vérifier ses affaires, elle est nue, ou peut-elle être, cherchons à l’intérieur avec la pluie qui tombe à sceaux, je pense qu’elle serait déjà rentrée.
Les hommes, l’étage, les femmes, le rez-de-chaussée et la cave.
Cinq minutes et l’on entend des cris venant de l’escalier de la cave.
• Venez, elle est là pendue au palan, il semble que quelqu’un se soit vengé sur Lucia.
Tous nous quittent, les hommes redescendent, ils doivent voir ce que nous avons fait à la salope, le moment le plus délicat de mon plan se joue à cet instant, va-t-elle prendre le risque de dire que c’est moi et Wanda qui l’avons agressé.
Il semble qu’il n’en soit rien quand Monsieur et Madame entre avec les hommes, les femmes ont dû emmener la pute, Albert prend la parole.
• Qui a fait ça à Lucia, elle vient de nous dire qu’elle avait été agressée dans son lit, qu’une cagoule lui avait été mise sur sa tête et qu’elle n’avait rien vu.
Quand il parle de la cagoule, je vois l’erreur que j’ai faite, si la fille a toujours eu la cagoule, comment se fait-il que sur son front le mot « pute » ait été inscrit avec le rouge à lèvres.
Cagoule enlevée, elle a vu ses agresseurs et les protèges, nous protèges.
Bien sûr, je garde cela pour moi, on avisera si besoin surtout que les propos d’Albert sont sympas pour moi.
• Allez, dénoncez-vous, pour ma part, j’exclus Carla que j’ai portée dans son bain avec Léon hier, je l’ai réveillé ce matin au même endroit, après les moments passés dans la cave, elle était dans l’impossibilité de faire ce méfait.
Aurore, toi qui dors dans la chambre voisine qu’as-tu entendue.
• Rien monsieur Albert.
• Jennifer et toi.
• J’ai joué la finale de tennis contre Wanda une bonne partie de l’après-midi, j’étais morte, je me suis couchée et j’ai dormi comme un bébé.
• Wanda, qu’as-tu à dire !
• Monsieur Albert, rien de plus que Jennifer, moi aussi, j’étais crevée, j’ai même failli me retrouver dans la cave ce matin, j’ai eu du mal à me lever pour être à temps devant ma chambre.
Bien jouées Wanda, se servir de ce qu’a dit Jennifer, c’est du grand art de menteuse.
• Je vois que je n’arriverais à rien, nous pourrions vous enfermer dans vos chambres, mais la législation nous l’interdit en cas d’incendie, à partir de ce soir, à tour de rôle, les encadrants feront des rondes chaque nuit.
Voilà comment l’affaire se termine, nous reprenons la vie normale jusqu’au jour où il m’est demandé de me faire belle, maquillage et robes et de me présenter dans la chambre de Monsieur.
Je frappe, Monsieur me dit d’entrer.
• Parrain, c’est toi, que fais-tu là !
• Je t’emmène d’ici, ton éducation est terminée.
• Mais parrain que veux-tu dire ?
• Je t’emmène au restaurant, dans la ville voisine, je te dirais tout.
• Au revoir Carla, profite de ce que nous t’avons appris pour satisfaire ton futur mari.
Mes bagages avec mon sac à dos sont chargés dans la voiture de Lucas l’associé de papa, je retrouve ma bombe de défense qui ne m’aura servi à rien, jusqu’au restaurant, je ne dis pas un mot, c’est le repas commandé que Lucas commence à me parler.
• Je vais te faire plusieurs aveux, c’est tes parents et moi qui avons fait le nécessaire pour que tu te retrouves dans le manoir géré par Monsieur et Madame.
Tu as failli tout mettre par terre en prenant ton sac à dos, décidant de partir pour tes dix-huit ans, coup de chance en rangeant dans ta chambre, ta boule avec la neige que tu avais achetée à la montagne quand tu étais petite est tombée, ta mère a vu ton sac et ta lettre sous ton lit.
On s’est réuni à l’étude et nous avons appelé Monsieur, tu avais tes dix-huit ans le lendemain, nous étions aux aguets, tu nous as facilité la vie en faisant du stop, tu connais la suite.
• Pourquoi m’avez-vous enlevé avec la connivence de mes parents ?
• C’est une autre histoire, pour commencer, c’est lorsque Adrien est venu se vanter de t’avoir sauté dans ma voiture qu’avec tes parents l’idée de te marier à lui nous est apparue comme évidente.
Reconnais que c’est un fils de bonne famille.
• Parrain, j’aurais du mal à ne pas le reconnaître, ça ne me dit pas pourquoi mes parents ont voulu que je me rende dans ce manoir.
• Pour te dresser, tu étais trop rebelle, il faut que tu saches, qu’Alexia ta mère et Lory ma femme, hélas décédée, sortent de cette institution.
C’était le père de Monsieur qui l’avait créé pour que notre monde apporte à nos filles ce qu’une femme doit savoir pour nous rendre nous les hommes satisfaits dans notre couple.
Ils faisaient d’elles des épouses parfaites ce qu’a été Lory, même si ce n’est pas moi qui l’aie défloré, il en va de même pour ton père et ta mère un autre l’a défloré, nous les avons épousés pour notre plus grand bonheur.
Je comprends le collier que j’ai trouvé dans le tiroir de maman, c’est incroyable, elle aussi a goutté à la cave, je comprends mieux certaines images ancrées en moi, mais qu’en petite fille sage, j’avais enfoui en moi.
Papa et maman lors de soirées ne devaient pas avoir de limite, plusieurs fois, j’ai eu l’impression d’entendre des bruits bizarres venants du salon.
• Soit franc avec moi, tu as sauté maman.
• Plus d’une fois, nous faisions des parties carrées, nos femmes adoraient tout ce que nous leur faisions, la mort de Lory à tout détruit, depuis aucune femme n’a connu mon lit.
• Tu n’as plus baisé, pardon, vous avez fait de moi une femme du monde, tu n’as plus fait l’amour.
• Si, des putes que je faisais venir dans des hôtels, je les trouve sur des sites Internet.
• Tu veux que j’épouse Adrien, mais il ne m’intéresse pas…
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