COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (14 et épilogues)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (14 et épilogues)
L’incroyable vient de se produire, la foudre a frappé quand Angélique entraînait Létitia et Claude pour plonger dans la piscine.
J’ai appelé les secours qui viennent de constater les décès de mon mari que de Létitia la gérante du restaurant ou nous avons mangé ce midi.
• Que vais-je devenir, Létitia était ma seule amie, j’habitais chez elle ?
C’est Catherine qui s’inquiète et qui continue à être déboussolée.
• Calme-toi, on va régler les problèmes un par un mais sait que s’il le faut pour le moment tu peux rester ici.
• Merci je me sens en sécurité avec toi.
• Enlevons nos colliers ils pourraient inciter quelqu’un à nous poser des questions où nous aurions des difficultés à répondre.
Je suis obligé à lui enlever et voyant la valise d’Angélique je les range à l’intérieur et je la cache dans la maison.
Catherine calmée, j’appelle Emmanuelle, je lui explique, elle prend un taxi et arrive.
• Madame, expliquez-nous ce qui s’est passé !
Ils sont plusieurs autours de nous, pompiers et policiers qu’ils ont appelés.
Je leur explique certains moments de la journée sans m’étaler sur les dominatrices qu’étaient Angélina et Létitia.
Une enquête va être diligentée et Angélique sera visible si elle survit quand les médecins nous donneront l’autorisation.
Le médecin nous examine mais trouve que tout va bien.
• Nous allons quand même vous conduire à l’hôpital avec votre amie pour vous faire quelques examens supplémentaires, ce que vous venez de vivre peut avoir un contrecoup fâcheux pour votre santé.
• Non, je me sens bien.
• Nous vous emmenons sans discussion, si tout va bien vous sortirez rapidement.
Je me retrouve dans une ambulance quand Emmanuelle débarqué d’un taxi devant le portail me rejoint et me tombe dans les bras, elle part avec nous et attend sagement que nous soyons examinés.
Première épilogue.
Nous sortons de l’hôpital après une nuit d’observation et des examens pratiqués dans la matinée.
Emmanuelle a su ce qu’il se dégage du début d’enquête.
Claude et Létitia quand la foudre les a frappés sont morts sur le coup car sinon il aurait respiré et avalé de l’eau vue la position qu’ils avaient face dans la piscine.
Pour Angélique le cas est différent et très complexe, elle a eu de la chance d’un certain côté mais qui va s’avérer très difficile le restant de sa vie de l’autre, la foudre a traversé son corps quand elle avait la bouche ouverte et sa langue a brûlé, elle restera muette le restant de sa vie.
Les médecins l’ont opéré plusieurs fois, ils ont dû l’amputer des deux jambes et du bras droit, le gauche a été sauvé avec sa main mais ses doigts trop brûlés lui ont été enlevés, là encore chance ou non chance aucun organe vital n’étant touché elle pourra vivre car son cerveau est sorti intact.
Ils sont dans l’impossibilité de donner un temps d’hospitalisation, comme elle est sans couverture sociale c’est moi qui accepte de prendre les frais en charge pour que l’on s’occupe d’elle au mieux.
Je peux l’aider car Claude avait souscrit une assurance-vie qui va me permettre de finir d’élever mes trois enfants sans me poser de problèmes le chèque que je vais toucher sera substantielle.
Je vais avoir des décisions à prendre en ce qui concerne l’entreprise qui commençait à rapporter de bon bénéfice mais à mon bras en ce moment Emmanuelle est là pour m’aider.
Je peux jeter la rose blanche cueillie dans notre jardin sur le cercueil de Claude avant que la terre ne me le cache définitivement.
À quelques mètres de nous Catherine qui nous accompagne c’est arrêté sur la tombe de Létitia que nous avons mise en terre hier et pleure toutes les larmes de son corps.
Épilogue dans le temps,
Par où commencer, oui, trois ans après la mort de Claude.
Mes enfants.
J’ai repris l’entreprise de mon mari aidé par mes deux fils qui sont venus me rejoindre dès la fin de leurs études, Charles-Édouard est responsable financier et chargé du personnel et Charles-Antoine de l’intendance et de la production.
Ils ont amené de la mer Méditerranée deux jeunes filles à l’accent chantant et les quatre vivent ensemble sur les bords de marne leurs épouses étant jumelles.
Elles ont suivi des études d’orthophoniste et ont ouvert un cabinet dans la maison où ils habitent.
Je sais qu’ils veulent des enfants mais à ce jour de ce côté-là le travail de grand-mère m’est épargné.
Côté fille, Emmanuelle est revenue du Bénin et la tournure que sa vie a prise est fort étonnante, à son retour elle a vécu chez moi où j’ai continué à recevoir Lucas lors de petites fêtes que nous donnons avec Emmanuelle.
La vie est drôle par moments et j’ai l’impression que je dois dire beaucoup de choses en les replaçant dans le temps pour la compréhension de la suite de ma vie.
Deux filles, deux Emmanuelle, ma fille et mon amie.
Celle qui est mon amie est venue habitée avec moi le lendemain de l’enterrement de Claude.
Les fêtes c’est avec elle que je les organise.
Ma fille était là à l’une d’elles et elle a rencontré Lucas qui de son côté vie avec Luigi et a appris la coiffure pour travailler dans son salon à Champigny, ils ont sympathisé et j’ignore comment les choses se sont faites mais elle est allée vivre avec les deux garçons quelques semaines après son retour.
Quand je dis que le rôle de grand-mère m’est inconnu à ce jour dans deux mois cela va changer car elle est enceinte et la manière dont les deux garçons sont prévenants avec elle me fait penser que ni l’un ni l’autre ne savent qui est le père et semble vouloir l’ignorer.
Voyez comme c’est dur de résumer trois ans de vie, je viens de parler de Lucas vivant avec Luigi, cela s’est produit huit jours après les évènements ayant entraîné mon veuvage.
J’avais promis de l’aider, Emmanuelle ma maîtresse et moi avons prétexté une panne de voiture pour que Fred son père vienne chez nous.
Quand il était venu et qu’Angélique m’a fait baiser avec lui profitant de la domination qu’elle exerçait sur moi, elle nous avait photographiés à notre insu mais son portable bloqué par le code il nous a été impossible de les récupérer.
Nous avons rapidement baissé son pantalon et c’est Emmanuelle qui est passée la première pendant qu’ayant prétexté une envie pressante je suis allée à l’étage récupérer l’appareil numérique de Claude pour faire un magnifique album.
Ces photos ont eu un double effet, Emmanuelle a joui et après que je me fus laissé prendre une nouvelle fois les photos qui défilaient sur le grand écran de la salle le montrant très nettement en position scabreuse avec l’une et avec l’autre sans qu’il sache d’où venait la source nous a permis de lui faire du chantage.
Des tirages photos seraient envoyés à Virginia sa femme qui en bonne sicilienne lui couperait les couilles si elle les voyait.
Je lui ai parlé des goûts sexuels de son fils et il a accepté de revoir sa position tranquillement car il nous a ajouté que ce serait Virginia qui se chargerait de le castrer.
Virginia c’est moi qui m’en suis occupé, je la connaissais la croisant les lundis matin au supermarché et j’ai réussi à l’invité à venir prendre le café avant qu’elle rentre au garage.
Quand elle est arrivée Emmanuelle que j’avais prévenue de notre arrivée prétextant une petite envie pour lui téléphoner des toilettes avait tout préparé pour faire des photos si j’arrivais à mes fins.
C’est grâce à la piscine que les choses furent facilitées, elle était émerveillée que j’ai la chance par cette chaleur de pouvoir me baigner quand je le voulais, je lui ai proposé de le faire et sans attendre j’ai enlevé mes affaires et j’ai sauté nue dans l’eau.
Je l’ai scotchée par mon audace, elle a hésité peu de temps il est vrai et c’est en petite culotte qu’elle m’a rejointe.
Elle a trouvé l’eau très bonne et nous avons fait quelques brasses avant qu’elle comprenne ce qui arrivait je la coinsais dans l’angle le plus profond où elle avait juste pied et je l’ai embrassée.
Nous avons bu la tasse dans un grand éclat de rire car mon baiser l’a désarçonnée et j’ai pu la tirer jusqu’aux marches pour qu’elle reprenne son souffle.
Je l’ai entraînée sur le transat ou Fred son mari m’avait baisé et ou son fils m’avait avoué ses goûts et je lui ai arraché sa petite culotte lui mangeant le bouton avant qu’elle ait eu le temps de comprendre ce qu’il lui arrivait.
Je sais écarter les cuisses surtout depuis qu’Angélique m’a pris en main mais je dois reconnaître que le sexe pratiqué par Virginia était assez hard.
Les photos qui devaient défiler sur l’écran de la télé devaient être très explicites de la cochonne qui se tortillait sous ma langue.
Comme pour Fred après qu’elle est joui je l’ai amené devant l’écran.
Une fraction de seconde j’ai cru qu’une tigresse allait m’arracher les yeux et je n’ai dû mon salut que par Emmanuelle qui est venue à ma rescousse.
Quand on lui a fait comprendre pourquoi nous l’avions piégé elle à rigoler car en bonne mère elle savait que son fils était homo et qu’il avait un ami qui s’appelait Luigi.
Elle voulait attendre le bon créneau pour le dire à son mari et quand elle a su que nous l’avions piégé nous demandant même de voir les photos où il nous enfilait elle nous a dits tout comprendre car elle avait des doutes sur sa fidélité quand elle a vu les remises exceptionnelles qu’il nous avait faites sur la réparation et la vente d’une voiture.
Elle nous a garanti de régler le problème Lucas et dans les semaines suivantes le fils et le couple ont fait partie des soirées qu’Emmanuelle a organisées dans notre maison.
Achille faisait partie lui aussi des invités.
Mais je vais trop vite, ces soirées elle les a organisés après avoir repris le club d’Achille qui le jour où j’ai retrouvé Emmanuelle était allé faire un poker qui risquait de lui coûter la vie ses partenaires de jeux étant très pointilleux sur le remboursement de dettes.
Je venais de recevoir le premier relevé de compte Postmortem de Claude et j’avais quelques milliers d’euros personnels sans compter le compte de la société ou j’étais majoritaire avec 70 % des parts et chacun de mes enfants possédants 10 % chacun et bien sûr l’assurance-vie.
Il lui manquait un tiers de la somme mais pour éviter qu’elle ne se démunisse mon notaire a eu ordre de l’aider en faisant 50, 50 ce qu’elle a accepté.
L’investissement est rentable car les dividendes que Charles-Édouard nous a versés étant aussi devenu le comptable du club nous fond entrevoir des lendemains qui chantent malgré l’ISF à payer.
Le club bien que propriétaire et nos soirées entre amis a été l’occasion de grandes baises pour moi car même si tous les jours nous faisons l’amour avec ma jolie maîtresse, nous adorons nous faire défoncer par de bonnes verges peu fainéantes.
Dans ce cadre Achille est un bon étalon et il m’arrive chaque fois que j’ai envie de me changer les idées de faire le spectacle avec lui, même si le contrat qui nous unissait est caduc, j’adore dans ces moments devant des dizaines de paires d’yeux qu’il me sodomise le plug d’Angélique ayant fait son travail d’assouplissement et je le reçois sans aucun problème.
C’est à lui que nous avons signé un contrat de videur pour éviter qu’il aille pointer au chômage, pourquoi se priver de ce que l’on a sous la main pour pas chère.
Je viens de faire une proposition à Emmanuelle qui est enchantée de mon idée, une soirée par mois nous allons être livrés aux clients sans regard sur les sexes hommes ou femmes et sans pouvoir refuser quoi que ce soit, la prochaine soirée est samedi prochain, je suis folle mais c’est si bon.
Catherine, après la mort de Létitia qui s’était habituée à être dominé malgré qu’elle ait commencé des études d’infirmière qu’elle avait arrêtée quand elle est tombée sous la coupe de notre ex amie hélas disparue.
Dans un premier temps je l’ai gardé près de moi comme je lui avais promis puis comme aide ménagère mon nouveau travail à la société m’empêchant de gérer la maison et aussi d’Angélique quand les médecins nous l’ont rendu à sa sortie de l’hôpital.
Je l’ai aidé à finir ses études et elle a passé brillamment son diplôme me permettant d’avoir une personne de santé à domicile.
Angélique, Catherine la lève de son lit à son fauteuil roulant, j’ai aménagé la pièce au rez-de-chaussée qui servait de chambre d’ami et la salle de bain où elle peut prendre sa douche de plein pied.
Pardon ce plein pied est mal venu, elle peut se servir de la douche à l’italienne où un fauteuil roulant allant sous l’eau a été acheté.
Le jour où j’ai découvert que la connivence des deux femmes était d’ordre sexuel je suis tombée des nues.
Catherine avait emmené sa copine jusqu’au golf prendre l’air, je cherchais un papier pour son dossier et je suis allé dans la chambre, rien dans les tiroirs et armoires il restait une malle que j’avais déjà vue mais toujours fermée par un cadenas.
Les filles avaient oublié de le replacer quand j’ai ouvert quel étonnement, les objets de la valise qui servait à Angélique pour me martyriser était là, plug, cravache et les deux colliers y étaient rangés avec de nombreuses paires de menottes.
J’ai aidé Catherine une fois à baigner Angélique et j’avis bien vu de légères boursouflures mais sa peau noire atténuait les traces.
C’est là aussi que j’ai compris que la foudre avait déréglé son cerveau car elle se servait de sa main libre sans ses doigts pour se caresser convulsivement, elle était accro au sexe et se masturbait de façon continue.
Un soir où elles étaient seules dans la chambre je me suis approché, Catherine avait la main dans sa chatte et j’ai vu que le corps malgré les handicaps éjectait de petits jets de cyprines.
Angélique était devenue une femme fontaine et la timide Catherine une dominante.
Catherine nous a appris qu’elles avaient mis au point un code avec les battements de cils d’Angélique et qu’elle arrivait à dialoguer.
Elle m’a dit que cette femme qui m’avait dominé souhaitait que je la flagelle mais si j’étais devenue moi aussi grâce à l’entreprise que je gère une dominante, devenir sado très peu pour moi, qu’elle faisait cela très bien ensemble et que je voulais bien les aider financièrement mais que je refusais d’en faire plus.
Enfin nous arrivons à la fin des trois années et je suis en ce moment à la mairie où nous avons échangé nos ouis avec Emmanuelle, un orage d’été est sur le point d’éclater et nous restons sagement à attendre qu’il soit passé avant de rejoindre nos voitures pour aller faire la fête.
Un coup de tonnerre non loin de nous se fait entendre quand Catherine passe près de moi, je me blottis dans les bras d’Emmanuelle évitant ceux de celle qui par son changement de comportement pourrait devenir ma dominatrice.
Jusqu’à la fin de mes jours je serais très regardante les soirs d’orage en été.
J’ai appelé les secours qui viennent de constater les décès de mon mari que de Létitia la gérante du restaurant ou nous avons mangé ce midi.
• Que vais-je devenir, Létitia était ma seule amie, j’habitais chez elle ?
C’est Catherine qui s’inquiète et qui continue à être déboussolée.
• Calme-toi, on va régler les problèmes un par un mais sait que s’il le faut pour le moment tu peux rester ici.
• Merci je me sens en sécurité avec toi.
• Enlevons nos colliers ils pourraient inciter quelqu’un à nous poser des questions où nous aurions des difficultés à répondre.
Je suis obligé à lui enlever et voyant la valise d’Angélique je les range à l’intérieur et je la cache dans la maison.
Catherine calmée, j’appelle Emmanuelle, je lui explique, elle prend un taxi et arrive.
• Madame, expliquez-nous ce qui s’est passé !
Ils sont plusieurs autours de nous, pompiers et policiers qu’ils ont appelés.
Je leur explique certains moments de la journée sans m’étaler sur les dominatrices qu’étaient Angélina et Létitia.
Une enquête va être diligentée et Angélique sera visible si elle survit quand les médecins nous donneront l’autorisation.
Le médecin nous examine mais trouve que tout va bien.
• Nous allons quand même vous conduire à l’hôpital avec votre amie pour vous faire quelques examens supplémentaires, ce que vous venez de vivre peut avoir un contrecoup fâcheux pour votre santé.
• Non, je me sens bien.
• Nous vous emmenons sans discussion, si tout va bien vous sortirez rapidement.
Je me retrouve dans une ambulance quand Emmanuelle débarqué d’un taxi devant le portail me rejoint et me tombe dans les bras, elle part avec nous et attend sagement que nous soyons examinés.
Première épilogue.
Nous sortons de l’hôpital après une nuit d’observation et des examens pratiqués dans la matinée.
Emmanuelle a su ce qu’il se dégage du début d’enquête.
Claude et Létitia quand la foudre les a frappés sont morts sur le coup car sinon il aurait respiré et avalé de l’eau vue la position qu’ils avaient face dans la piscine.
Pour Angélique le cas est différent et très complexe, elle a eu de la chance d’un certain côté mais qui va s’avérer très difficile le restant de sa vie de l’autre, la foudre a traversé son corps quand elle avait la bouche ouverte et sa langue a brûlé, elle restera muette le restant de sa vie.
Les médecins l’ont opéré plusieurs fois, ils ont dû l’amputer des deux jambes et du bras droit, le gauche a été sauvé avec sa main mais ses doigts trop brûlés lui ont été enlevés, là encore chance ou non chance aucun organe vital n’étant touché elle pourra vivre car son cerveau est sorti intact.
Ils sont dans l’impossibilité de donner un temps d’hospitalisation, comme elle est sans couverture sociale c’est moi qui accepte de prendre les frais en charge pour que l’on s’occupe d’elle au mieux.
Je peux l’aider car Claude avait souscrit une assurance-vie qui va me permettre de finir d’élever mes trois enfants sans me poser de problèmes le chèque que je vais toucher sera substantielle.
Je vais avoir des décisions à prendre en ce qui concerne l’entreprise qui commençait à rapporter de bon bénéfice mais à mon bras en ce moment Emmanuelle est là pour m’aider.
Je peux jeter la rose blanche cueillie dans notre jardin sur le cercueil de Claude avant que la terre ne me le cache définitivement.
À quelques mètres de nous Catherine qui nous accompagne c’est arrêté sur la tombe de Létitia que nous avons mise en terre hier et pleure toutes les larmes de son corps.
Épilogue dans le temps,
Par où commencer, oui, trois ans après la mort de Claude.
Mes enfants.
J’ai repris l’entreprise de mon mari aidé par mes deux fils qui sont venus me rejoindre dès la fin de leurs études, Charles-Édouard est responsable financier et chargé du personnel et Charles-Antoine de l’intendance et de la production.
Ils ont amené de la mer Méditerranée deux jeunes filles à l’accent chantant et les quatre vivent ensemble sur les bords de marne leurs épouses étant jumelles.
Elles ont suivi des études d’orthophoniste et ont ouvert un cabinet dans la maison où ils habitent.
Je sais qu’ils veulent des enfants mais à ce jour de ce côté-là le travail de grand-mère m’est épargné.
Côté fille, Emmanuelle est revenue du Bénin et la tournure que sa vie a prise est fort étonnante, à son retour elle a vécu chez moi où j’ai continué à recevoir Lucas lors de petites fêtes que nous donnons avec Emmanuelle.
La vie est drôle par moments et j’ai l’impression que je dois dire beaucoup de choses en les replaçant dans le temps pour la compréhension de la suite de ma vie.
Deux filles, deux Emmanuelle, ma fille et mon amie.
Celle qui est mon amie est venue habitée avec moi le lendemain de l’enterrement de Claude.
Les fêtes c’est avec elle que je les organise.
Ma fille était là à l’une d’elles et elle a rencontré Lucas qui de son côté vie avec Luigi et a appris la coiffure pour travailler dans son salon à Champigny, ils ont sympathisé et j’ignore comment les choses se sont faites mais elle est allée vivre avec les deux garçons quelques semaines après son retour.
Quand je dis que le rôle de grand-mère m’est inconnu à ce jour dans deux mois cela va changer car elle est enceinte et la manière dont les deux garçons sont prévenants avec elle me fait penser que ni l’un ni l’autre ne savent qui est le père et semble vouloir l’ignorer.
Voyez comme c’est dur de résumer trois ans de vie, je viens de parler de Lucas vivant avec Luigi, cela s’est produit huit jours après les évènements ayant entraîné mon veuvage.
J’avais promis de l’aider, Emmanuelle ma maîtresse et moi avons prétexté une panne de voiture pour que Fred son père vienne chez nous.
Quand il était venu et qu’Angélique m’a fait baiser avec lui profitant de la domination qu’elle exerçait sur moi, elle nous avait photographiés à notre insu mais son portable bloqué par le code il nous a été impossible de les récupérer.
Nous avons rapidement baissé son pantalon et c’est Emmanuelle qui est passée la première pendant qu’ayant prétexté une envie pressante je suis allée à l’étage récupérer l’appareil numérique de Claude pour faire un magnifique album.
Ces photos ont eu un double effet, Emmanuelle a joui et après que je me fus laissé prendre une nouvelle fois les photos qui défilaient sur le grand écran de la salle le montrant très nettement en position scabreuse avec l’une et avec l’autre sans qu’il sache d’où venait la source nous a permis de lui faire du chantage.
Des tirages photos seraient envoyés à Virginia sa femme qui en bonne sicilienne lui couperait les couilles si elle les voyait.
Je lui ai parlé des goûts sexuels de son fils et il a accepté de revoir sa position tranquillement car il nous a ajouté que ce serait Virginia qui se chargerait de le castrer.
Virginia c’est moi qui m’en suis occupé, je la connaissais la croisant les lundis matin au supermarché et j’ai réussi à l’invité à venir prendre le café avant qu’elle rentre au garage.
Quand elle est arrivée Emmanuelle que j’avais prévenue de notre arrivée prétextant une petite envie pour lui téléphoner des toilettes avait tout préparé pour faire des photos si j’arrivais à mes fins.
C’est grâce à la piscine que les choses furent facilitées, elle était émerveillée que j’ai la chance par cette chaleur de pouvoir me baigner quand je le voulais, je lui ai proposé de le faire et sans attendre j’ai enlevé mes affaires et j’ai sauté nue dans l’eau.
Je l’ai scotchée par mon audace, elle a hésité peu de temps il est vrai et c’est en petite culotte qu’elle m’a rejointe.
Elle a trouvé l’eau très bonne et nous avons fait quelques brasses avant qu’elle comprenne ce qui arrivait je la coinsais dans l’angle le plus profond où elle avait juste pied et je l’ai embrassée.
Nous avons bu la tasse dans un grand éclat de rire car mon baiser l’a désarçonnée et j’ai pu la tirer jusqu’aux marches pour qu’elle reprenne son souffle.
Je l’ai entraînée sur le transat ou Fred son mari m’avait baisé et ou son fils m’avait avoué ses goûts et je lui ai arraché sa petite culotte lui mangeant le bouton avant qu’elle ait eu le temps de comprendre ce qu’il lui arrivait.
Je sais écarter les cuisses surtout depuis qu’Angélique m’a pris en main mais je dois reconnaître que le sexe pratiqué par Virginia était assez hard.
Les photos qui devaient défiler sur l’écran de la télé devaient être très explicites de la cochonne qui se tortillait sous ma langue.
Comme pour Fred après qu’elle est joui je l’ai amené devant l’écran.
Une fraction de seconde j’ai cru qu’une tigresse allait m’arracher les yeux et je n’ai dû mon salut que par Emmanuelle qui est venue à ma rescousse.
Quand on lui a fait comprendre pourquoi nous l’avions piégé elle à rigoler car en bonne mère elle savait que son fils était homo et qu’il avait un ami qui s’appelait Luigi.
Elle voulait attendre le bon créneau pour le dire à son mari et quand elle a su que nous l’avions piégé nous demandant même de voir les photos où il nous enfilait elle nous a dits tout comprendre car elle avait des doutes sur sa fidélité quand elle a vu les remises exceptionnelles qu’il nous avait faites sur la réparation et la vente d’une voiture.
Elle nous a garanti de régler le problème Lucas et dans les semaines suivantes le fils et le couple ont fait partie des soirées qu’Emmanuelle a organisées dans notre maison.
Achille faisait partie lui aussi des invités.
Mais je vais trop vite, ces soirées elle les a organisés après avoir repris le club d’Achille qui le jour où j’ai retrouvé Emmanuelle était allé faire un poker qui risquait de lui coûter la vie ses partenaires de jeux étant très pointilleux sur le remboursement de dettes.
Je venais de recevoir le premier relevé de compte Postmortem de Claude et j’avais quelques milliers d’euros personnels sans compter le compte de la société ou j’étais majoritaire avec 70 % des parts et chacun de mes enfants possédants 10 % chacun et bien sûr l’assurance-vie.
Il lui manquait un tiers de la somme mais pour éviter qu’elle ne se démunisse mon notaire a eu ordre de l’aider en faisant 50, 50 ce qu’elle a accepté.
L’investissement est rentable car les dividendes que Charles-Édouard nous a versés étant aussi devenu le comptable du club nous fond entrevoir des lendemains qui chantent malgré l’ISF à payer.
Le club bien que propriétaire et nos soirées entre amis a été l’occasion de grandes baises pour moi car même si tous les jours nous faisons l’amour avec ma jolie maîtresse, nous adorons nous faire défoncer par de bonnes verges peu fainéantes.
Dans ce cadre Achille est un bon étalon et il m’arrive chaque fois que j’ai envie de me changer les idées de faire le spectacle avec lui, même si le contrat qui nous unissait est caduc, j’adore dans ces moments devant des dizaines de paires d’yeux qu’il me sodomise le plug d’Angélique ayant fait son travail d’assouplissement et je le reçois sans aucun problème.
C’est à lui que nous avons signé un contrat de videur pour éviter qu’il aille pointer au chômage, pourquoi se priver de ce que l’on a sous la main pour pas chère.
Je viens de faire une proposition à Emmanuelle qui est enchantée de mon idée, une soirée par mois nous allons être livrés aux clients sans regard sur les sexes hommes ou femmes et sans pouvoir refuser quoi que ce soit, la prochaine soirée est samedi prochain, je suis folle mais c’est si bon.
Catherine, après la mort de Létitia qui s’était habituée à être dominé malgré qu’elle ait commencé des études d’infirmière qu’elle avait arrêtée quand elle est tombée sous la coupe de notre ex amie hélas disparue.
Dans un premier temps je l’ai gardé près de moi comme je lui avais promis puis comme aide ménagère mon nouveau travail à la société m’empêchant de gérer la maison et aussi d’Angélique quand les médecins nous l’ont rendu à sa sortie de l’hôpital.
Je l’ai aidé à finir ses études et elle a passé brillamment son diplôme me permettant d’avoir une personne de santé à domicile.
Angélique, Catherine la lève de son lit à son fauteuil roulant, j’ai aménagé la pièce au rez-de-chaussée qui servait de chambre d’ami et la salle de bain où elle peut prendre sa douche de plein pied.
Pardon ce plein pied est mal venu, elle peut se servir de la douche à l’italienne où un fauteuil roulant allant sous l’eau a été acheté.
Le jour où j’ai découvert que la connivence des deux femmes était d’ordre sexuel je suis tombée des nues.
Catherine avait emmené sa copine jusqu’au golf prendre l’air, je cherchais un papier pour son dossier et je suis allé dans la chambre, rien dans les tiroirs et armoires il restait une malle que j’avais déjà vue mais toujours fermée par un cadenas.
Les filles avaient oublié de le replacer quand j’ai ouvert quel étonnement, les objets de la valise qui servait à Angélique pour me martyriser était là, plug, cravache et les deux colliers y étaient rangés avec de nombreuses paires de menottes.
J’ai aidé Catherine une fois à baigner Angélique et j’avis bien vu de légères boursouflures mais sa peau noire atténuait les traces.
C’est là aussi que j’ai compris que la foudre avait déréglé son cerveau car elle se servait de sa main libre sans ses doigts pour se caresser convulsivement, elle était accro au sexe et se masturbait de façon continue.
Un soir où elles étaient seules dans la chambre je me suis approché, Catherine avait la main dans sa chatte et j’ai vu que le corps malgré les handicaps éjectait de petits jets de cyprines.
Angélique était devenue une femme fontaine et la timide Catherine une dominante.
Catherine nous a appris qu’elles avaient mis au point un code avec les battements de cils d’Angélique et qu’elle arrivait à dialoguer.
Elle m’a dit que cette femme qui m’avait dominé souhaitait que je la flagelle mais si j’étais devenue moi aussi grâce à l’entreprise que je gère une dominante, devenir sado très peu pour moi, qu’elle faisait cela très bien ensemble et que je voulais bien les aider financièrement mais que je refusais d’en faire plus.
Enfin nous arrivons à la fin des trois années et je suis en ce moment à la mairie où nous avons échangé nos ouis avec Emmanuelle, un orage d’été est sur le point d’éclater et nous restons sagement à attendre qu’il soit passé avant de rejoindre nos voitures pour aller faire la fête.
Un coup de tonnerre non loin de nous se fait entendre quand Catherine passe près de moi, je me blottis dans les bras d’Emmanuelle évitant ceux de celle qui par son changement de comportement pourrait devenir ma dominatrice.
Jusqu’à la fin de mes jours je serais très regardante les soirs d’orage en été.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de me lire, un texte de 2017, depuis l'eau a coumé sous les ponts mais merci chère lectrice pour votre commentaire
Angélique je l’aurai laissé seule. C’était 1 michto.