COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (1/5)
Il est impossible de commencer une année scolaire sans une histoire survenue à une de ces jeunes profs faisant classe pour leur première année.
C’est le cas de Milla, fraichement diplômé et qui commence dans ce lycée avec des classes de première et de seconde.
Milla a fait des études et passé ses examens afin de conduire ses classes de Français.
Fraichement diplômée, elle fait partie de la réserve et doit se rendre à trente kilomètres de chez elle, remplacer une collègue victime d’un burnout de reprise des cours.
À ce qu’elle a appris lorsque l’académie l’a appelée, est que cette femme de presque soixante ans avait flaché tout l’été à la peur de cette nouvelle rentrée, jusqu’à s’écrouler trois jours avant.
C’est lors de la rentrée des profs, le vendredi 1er septembre qu’elle a fait une crise forçant ses collègues à appeler les secours.
J’aurais pu rester chez moi à attendre une affectation, mais ce coup de téléphone me propulse dans ma première classe dont je serais la prof principale le temps que ma collègue se remette en forme.
J’apprends qu’elle s’appelait Antoinette Douche, dès ce lundi ayant loupé la réunion du vendredi, il va de soi.
Pour ma première rentée, je rejoins ma classe avec presque trente minutes de retard, j’ai été obligé de passer chez la proviseure qui m’a donné mon planning et les directives de ce lycée.
Il semblerait que j’aie de la chance, ces classes sont considérées comme faciles.
Pour l’occasion et le conseil de ma maman dont j’ai suivi la voie, j’ai mis un tailleur avec une jupe droite et des talons plats.
Chemisier fermé jusqu’à mon cou et veste assortit à la jupe.
Elle m’a dit d’être la plus neutre possible et de me méfier des derniers rangs souvent la place des perturbateurs.
Lorsque j’arrive devant ma classe, Alexandre, le pion de l’établissement surveille mes élèves avant mon arrivée.
La proviseure m’a donné un plan de la classe, Alexandre ayant une vieille expérience avait pour mission de les placer comme il avait été prévu par madame Antoinette avant son écroulement.
Je salue mon collègue, la plupart des élèves devant moi ont très peu de différences d’âge avec moi.
La porte fermée, je pose mes affaires sur le bureau et je fais face à ces monstres ayant réussi à faire flipper une collègue de plus de trente ans d’expérience.
• Je m’appelle madame Milla Flute et je serais votre prof principal, si vous avez le moindre problème venez vous confier à moi, je serais toujours à l’écoute.
• Flute comme le bois, madame ?
• Pardon !
• Oui, le bois dont on fait les flutes.
Je teins mon comique, il est vrai que je dois reconnaitre, avoir été harcelé tout au long de ma scolarité à cause de mon nom.
C’est pour faire plaisir à maman que j’ai passé mes examens pour devenir prof, jusqu’à ce que je me marie, j’aurais à le subir.
Je regarde ma feuille et à la place où cet impertinent est assis, je vois Ducobu Charles.
• Je vois que vous me prenez pour un charlot, vous avez bien lu, Ducobu Charles, Ducobu Encorevous, c’est mon cousin, mais il est bien moins marrant que moi.
• Ducobu, j’ai compris, veuillez rester à votre place, sinon vous pourriez vous retrouver chez madame la proviseure.
Je suis contente de moi, j’ai réussi à matter celui qui risque d’être l’élément perturbateur de ma première classe.
• Je sais que vous êtes des élèves de première, mais à la fin de l’année vous aurez à passer le bac de Français.
Je veux voir votre niveau et savoir où je devrais appuyer mes cours afin que vous réussissiez la première étape avant votre passage en terminale et votre examen du bac qui vous ouvrira les portes de la faculté.
Nous allons faire une dictée !
• Madame, pour qui nous prenez-vous, certains d’entre nous ont plus de dix-huit ans, alors votre dictée, vous pouvez vous la mettre ou la décence me force à me taire...
• Encore vous Ducobu, si vous avez suivi les aventures de votre cousin, je pense que si je vous envoie chez la proviseure, vous savez pourquoi je vous dis « encorevous ».
Vous êtes prêt, je commence.
« Maître Corbeau, sur un arbre perché, tenait en son bec un fromage. »
• Vous nous prenez pour des débiles, j’ai appris le corbeau et le renard en 6ème.
• Ducobu !
Le calme revient, je commence à faire le tour de la classe regardant l’écriture de chacun.
Ducobu est au dernier rang, seul dans sa rangée du fond, cette classe est prévue pour 35 élèves et ils sont 28, cette année, là encore j’ai de la chance.
J’arrive près de mon perturbateur, je me penche sur sa feuille, maman avait raison.
Si j’avais mis une de mes blouses amples, ducobu aurais eu une vue plongeante sur mes seins.
Mes seins sont protégés, mais ma jambe non, je sens une main se poser au niveau de mon mollet et remonter jusqu’à passer mon ourlet, ma jupe est courte et sa main atteint ma chatte.
Je sens que je me mets à mouiller, est-ce possible bien que j’aie perdu mon pucelage à l’âge de ducobu que cet élève impertinent prenne du pouvoir sur moi ?
Je m’échappe, précipitamment je retourne à mon bureau, je m’assieds, mes jambes flageolantes, j’étais à deux doigts de m’écrouler lorsqu’une décharge a commencé à me frapper.
Je sais que chez moi, il m’arrive de me doigter depuis que je suis sèche de verges ou de chattes.
J’aime avoir des expériences lesbiennes depuis que je l’ai faite avec la petite Alice lorsque nous préparions notre propre bac de Français.
Je finis tant bien que mal cette dictée, mais j’y arrive au prix de ma chaise qui doit récolter ma mouille continuant à couler à chaque fois que je regarde ducobu.
Continuant son impertinence chaque fois il met son stylo dans sa bouche et me fait des mouvements de fellation.
• Maintenant, expliquez-moi ce que Jean de la Fontaine a voulu passer comme message dans cette fable.
Avec tous ces éléments, je saurais ce que je devrais vous apprendre pour être sûr d’avoir votre bac.
Je regarde mon portable que j’ai pris le temps de mettre sur silencieux, encore un conseil de maman sachant qu’à tout moment je l’aurais près de moi.
Il vibre, j’ai reçu un SMS.
« Salope, viens près de moi, je veux vérifier que Charles Ducobu te fait mouiller. »
Je suis interloquée, comment cet élève, même un garçon majeur a pu récupérer mon numéro de portable.
Je vois mon tortionnaire taper d’une main sur sa table alors qu’il écrit de l’autre.
« Dépêche-toi, sinon à la fin de ce premier de cour, je dirais à quelques-uns de mes potes de terminales, que tu aimes te faire doigter.
Pendant que tu seras notre prof, ils te rendront la vie impossible.
Ceux de terminales, ils raffolent de petites salopes comme toi, eux sont tous majeurs et ils feront un très bon gang bang avec ton petit cul. »
Je suis piégée, en moins d’une heure, je me sens à la merci de cet élève effronté et comme j’ai loupé la première décision l’envoyant chez la proviseure, je sais que je dois m’exécuter.
Je me lève, et je recommence à regarder par-dessus les épaules des différents élèves avant de m’approcher naturellement de ducobu.
Une seconde et ma chatte retrouve sa main et ses doigts qui carrément tirent sur ma petite culotte.
J’ai un regard d’anxiété, ses voisins et voisines les plus proches ont-ils entendu l’élastique craqué.
Je me sens libéré et ma culotte finit dans la poche de ducobu.
Je reprends mon chemin, pour mieux revenir près de mon suborneur, sa main s’insinuant, j’écarte légèrement mes cuisses.
Je sens que ça dégouline comme un torrent ayant brisé son barrage.
Je me mords la lèvre, tellement les doigts qui me fouillent m’apportent un orgasme jamais atteint depuis que ma chatte a été dépucelée.
C’est d’une toute petite voix que je décide de la fin du devoir et que chacun, d'entre eux, dépose leur feuille en sortant de la salle sur mon bureau.
Ai-je passé ma pire heure de cours ou mon meilleur moment de soumission ?
Ce que je sais c’est que maman serait outrée d’apprendre qu’un de mes élèves m’a doigté pendant mon premier cours.
Un instant, je comprends mieux le burnout survenu à Antoinette.
Ducobu la doigtait-elle comme il l’a faite avec moi ?
Ducobu me quitte le dernier.
• Tu es une bonne soumise, je crois que l’on va bien s’amuser tous les deux, attends mes ordres.
Je continue ma journée, ma deuxième heure se déroulant avec des élèves de secondes.
Je reste sagement assise à mon bureau.
Mes élèves pourraient-ils découvrir que je me promène entre leurs rangs ma chatte libre de toute entrave ma culotte ayant flanché dès la première heure ?
Je vais être libre dans dix minutes, c’est tout ce que j’ai comme présence devant les élèves jusqu’à la pause de midi.
Ça vibre, négligemment du coin de l’œil j’appuie et je lis.
« Dans dix minutes, au changement de classe, va dans la salle des profs.
Lorsque tout se sera calmé, tu fermeras la salle à clef, je m’occupe du reste. »
C’est la récré, je vois ducobu appuyer, seul, contre un platane.
Heureusement, qu’il est interdit de fumer dans l’établissement, je le verrais bien la clope au bec, jouant les machos devant les autres.
Le temps de la récré, plutôt oui, mais plutôt non pour me rendre salle des profs.
Lorsque la reprise sonne, je me dirige vers les toilettes qui nous sont réservées à nous les profs.
Lorsque je remonte ma jupe, je dois me rendre à l’évidence, ma chatte épilée est bien nue et ma petite culotte dans la poche de mon suborneur.
Je vide ma vessie, ma chatte est si exacerbée que lorsque mon urine traverse mes grandes lèvres, je suis à deux doigts de jouir.
Je regarde ma montre, comme ducobu l’avais prédit, le calme est revenu, ils sont tous retournés à leurs diverses cours.
Je sors de ma cachette où j’aurais pu rester et j’entre dans la salle des profs.
Je tourne la clef, je suis seule...
C’est le cas de Milla, fraichement diplômé et qui commence dans ce lycée avec des classes de première et de seconde.
Milla a fait des études et passé ses examens afin de conduire ses classes de Français.
Fraichement diplômée, elle fait partie de la réserve et doit se rendre à trente kilomètres de chez elle, remplacer une collègue victime d’un burnout de reprise des cours.
À ce qu’elle a appris lorsque l’académie l’a appelée, est que cette femme de presque soixante ans avait flaché tout l’été à la peur de cette nouvelle rentrée, jusqu’à s’écrouler trois jours avant.
C’est lors de la rentrée des profs, le vendredi 1er septembre qu’elle a fait une crise forçant ses collègues à appeler les secours.
J’aurais pu rester chez moi à attendre une affectation, mais ce coup de téléphone me propulse dans ma première classe dont je serais la prof principale le temps que ma collègue se remette en forme.
J’apprends qu’elle s’appelait Antoinette Douche, dès ce lundi ayant loupé la réunion du vendredi, il va de soi.
Pour ma première rentée, je rejoins ma classe avec presque trente minutes de retard, j’ai été obligé de passer chez la proviseure qui m’a donné mon planning et les directives de ce lycée.
Il semblerait que j’aie de la chance, ces classes sont considérées comme faciles.
Pour l’occasion et le conseil de ma maman dont j’ai suivi la voie, j’ai mis un tailleur avec une jupe droite et des talons plats.
Chemisier fermé jusqu’à mon cou et veste assortit à la jupe.
Elle m’a dit d’être la plus neutre possible et de me méfier des derniers rangs souvent la place des perturbateurs.
Lorsque j’arrive devant ma classe, Alexandre, le pion de l’établissement surveille mes élèves avant mon arrivée.
La proviseure m’a donné un plan de la classe, Alexandre ayant une vieille expérience avait pour mission de les placer comme il avait été prévu par madame Antoinette avant son écroulement.
Je salue mon collègue, la plupart des élèves devant moi ont très peu de différences d’âge avec moi.
La porte fermée, je pose mes affaires sur le bureau et je fais face à ces monstres ayant réussi à faire flipper une collègue de plus de trente ans d’expérience.
• Je m’appelle madame Milla Flute et je serais votre prof principal, si vous avez le moindre problème venez vous confier à moi, je serais toujours à l’écoute.
• Flute comme le bois, madame ?
• Pardon !
• Oui, le bois dont on fait les flutes.
Je teins mon comique, il est vrai que je dois reconnaitre, avoir été harcelé tout au long de ma scolarité à cause de mon nom.
C’est pour faire plaisir à maman que j’ai passé mes examens pour devenir prof, jusqu’à ce que je me marie, j’aurais à le subir.
Je regarde ma feuille et à la place où cet impertinent est assis, je vois Ducobu Charles.
• Je vois que vous me prenez pour un charlot, vous avez bien lu, Ducobu Charles, Ducobu Encorevous, c’est mon cousin, mais il est bien moins marrant que moi.
• Ducobu, j’ai compris, veuillez rester à votre place, sinon vous pourriez vous retrouver chez madame la proviseure.
Je suis contente de moi, j’ai réussi à matter celui qui risque d’être l’élément perturbateur de ma première classe.
• Je sais que vous êtes des élèves de première, mais à la fin de l’année vous aurez à passer le bac de Français.
Je veux voir votre niveau et savoir où je devrais appuyer mes cours afin que vous réussissiez la première étape avant votre passage en terminale et votre examen du bac qui vous ouvrira les portes de la faculté.
Nous allons faire une dictée !
• Madame, pour qui nous prenez-vous, certains d’entre nous ont plus de dix-huit ans, alors votre dictée, vous pouvez vous la mettre ou la décence me force à me taire...
• Encore vous Ducobu, si vous avez suivi les aventures de votre cousin, je pense que si je vous envoie chez la proviseure, vous savez pourquoi je vous dis « encorevous ».
Vous êtes prêt, je commence.
« Maître Corbeau, sur un arbre perché, tenait en son bec un fromage. »
• Vous nous prenez pour des débiles, j’ai appris le corbeau et le renard en 6ème.
• Ducobu !
Le calme revient, je commence à faire le tour de la classe regardant l’écriture de chacun.
Ducobu est au dernier rang, seul dans sa rangée du fond, cette classe est prévue pour 35 élèves et ils sont 28, cette année, là encore j’ai de la chance.
J’arrive près de mon perturbateur, je me penche sur sa feuille, maman avait raison.
Si j’avais mis une de mes blouses amples, ducobu aurais eu une vue plongeante sur mes seins.
Mes seins sont protégés, mais ma jambe non, je sens une main se poser au niveau de mon mollet et remonter jusqu’à passer mon ourlet, ma jupe est courte et sa main atteint ma chatte.
Je sens que je me mets à mouiller, est-ce possible bien que j’aie perdu mon pucelage à l’âge de ducobu que cet élève impertinent prenne du pouvoir sur moi ?
Je m’échappe, précipitamment je retourne à mon bureau, je m’assieds, mes jambes flageolantes, j’étais à deux doigts de m’écrouler lorsqu’une décharge a commencé à me frapper.
Je sais que chez moi, il m’arrive de me doigter depuis que je suis sèche de verges ou de chattes.
J’aime avoir des expériences lesbiennes depuis que je l’ai faite avec la petite Alice lorsque nous préparions notre propre bac de Français.
Je finis tant bien que mal cette dictée, mais j’y arrive au prix de ma chaise qui doit récolter ma mouille continuant à couler à chaque fois que je regarde ducobu.
Continuant son impertinence chaque fois il met son stylo dans sa bouche et me fait des mouvements de fellation.
• Maintenant, expliquez-moi ce que Jean de la Fontaine a voulu passer comme message dans cette fable.
Avec tous ces éléments, je saurais ce que je devrais vous apprendre pour être sûr d’avoir votre bac.
Je regarde mon portable que j’ai pris le temps de mettre sur silencieux, encore un conseil de maman sachant qu’à tout moment je l’aurais près de moi.
Il vibre, j’ai reçu un SMS.
« Salope, viens près de moi, je veux vérifier que Charles Ducobu te fait mouiller. »
Je suis interloquée, comment cet élève, même un garçon majeur a pu récupérer mon numéro de portable.
Je vois mon tortionnaire taper d’une main sur sa table alors qu’il écrit de l’autre.
« Dépêche-toi, sinon à la fin de ce premier de cour, je dirais à quelques-uns de mes potes de terminales, que tu aimes te faire doigter.
Pendant que tu seras notre prof, ils te rendront la vie impossible.
Ceux de terminales, ils raffolent de petites salopes comme toi, eux sont tous majeurs et ils feront un très bon gang bang avec ton petit cul. »
Je suis piégée, en moins d’une heure, je me sens à la merci de cet élève effronté et comme j’ai loupé la première décision l’envoyant chez la proviseure, je sais que je dois m’exécuter.
Je me lève, et je recommence à regarder par-dessus les épaules des différents élèves avant de m’approcher naturellement de ducobu.
Une seconde et ma chatte retrouve sa main et ses doigts qui carrément tirent sur ma petite culotte.
J’ai un regard d’anxiété, ses voisins et voisines les plus proches ont-ils entendu l’élastique craqué.
Je me sens libéré et ma culotte finit dans la poche de ducobu.
Je reprends mon chemin, pour mieux revenir près de mon suborneur, sa main s’insinuant, j’écarte légèrement mes cuisses.
Je sens que ça dégouline comme un torrent ayant brisé son barrage.
Je me mords la lèvre, tellement les doigts qui me fouillent m’apportent un orgasme jamais atteint depuis que ma chatte a été dépucelée.
C’est d’une toute petite voix que je décide de la fin du devoir et que chacun, d'entre eux, dépose leur feuille en sortant de la salle sur mon bureau.
Ai-je passé ma pire heure de cours ou mon meilleur moment de soumission ?
Ce que je sais c’est que maman serait outrée d’apprendre qu’un de mes élèves m’a doigté pendant mon premier cours.
Un instant, je comprends mieux le burnout survenu à Antoinette.
Ducobu la doigtait-elle comme il l’a faite avec moi ?
Ducobu me quitte le dernier.
• Tu es une bonne soumise, je crois que l’on va bien s’amuser tous les deux, attends mes ordres.
Je continue ma journée, ma deuxième heure se déroulant avec des élèves de secondes.
Je reste sagement assise à mon bureau.
Mes élèves pourraient-ils découvrir que je me promène entre leurs rangs ma chatte libre de toute entrave ma culotte ayant flanché dès la première heure ?
Je vais être libre dans dix minutes, c’est tout ce que j’ai comme présence devant les élèves jusqu’à la pause de midi.
Ça vibre, négligemment du coin de l’œil j’appuie et je lis.
« Dans dix minutes, au changement de classe, va dans la salle des profs.
Lorsque tout se sera calmé, tu fermeras la salle à clef, je m’occupe du reste. »
C’est la récré, je vois ducobu appuyer, seul, contre un platane.
Heureusement, qu’il est interdit de fumer dans l’établissement, je le verrais bien la clope au bec, jouant les machos devant les autres.
Le temps de la récré, plutôt oui, mais plutôt non pour me rendre salle des profs.
Lorsque la reprise sonne, je me dirige vers les toilettes qui nous sont réservées à nous les profs.
Lorsque je remonte ma jupe, je dois me rendre à l’évidence, ma chatte épilée est bien nue et ma petite culotte dans la poche de mon suborneur.
Je vide ma vessie, ma chatte est si exacerbée que lorsque mon urine traverse mes grandes lèvres, je suis à deux doigts de jouir.
Je regarde ma montre, comme ducobu l’avais prédit, le calme est revenu, ils sont tous retournés à leurs diverses cours.
Je sors de ma cachette où j’aurais pu rester et j’entre dans la salle des profs.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Cyrille de ton entousiasme j'écris toujours sur le même format quatre pages A4 avec si possible une coupure créant l'envie de la suite du lecteur.
Certes j'ai une amie qui discute avec moi et je lui dis que j'adore lui faire subir le suplice de Tantale mais vous au moins un à deux jours plus tard vous avez la suite
Certes j'ai une amie qui discute avec moi et je lui dis que j'adore lui faire subir le suplice de Tantale mais vous au moins un à deux jours plus tard vous avez la suite
Aaaaarrrggghhhhh....
Pourquoi couper aussi tôt l'histoire......
Vite vite
Cyrille
Pourquoi couper aussi tôt l'histoire......
Vite vite
Cyrille