COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Rentrée scolaire 2023 (2/5)
Maman m’a appellé Milla, j’étais très satisfaite de recevoir une affectation, même provisoire, comme prof de Français dans ce lycée à quelque trente kilomètres de chez moi pour le jour de la rentrée des élèves.
J’ai rejoint mon poste, étant dans l’équipe pédagogique de réserve pour remplacer madame Antoinette, victime d’un burnout poste rentrée des élèves le jour de la réunion des professeurs le 1er septembre 2023.
Je voulais être fière de mon travail pour faire plaisir à ma maman ayant été elle aussi une excellente professeure pendant de nombreuses années avant de partir à la retraite.
C’était sans compter sur l’élève Ducobu, pas celui des films, mais Charles Ducobu cousin de ce dernier, lorsqu’il s’en prend à moi.
Flute, c’est mon nom de famille, c’est lui que j’ai supporté tout au long de ma scolarité.
Le harcèlement d’élèves bien moins intelligente que moi, je connais.
Je loupe mon approche des choses lorsqu’il se fiche de mon nom, j’aurais dû dès cette première fois l’envoyer au bureau de madame la proviseure.
Je leur fais faire une dictée suivie d’un exercice de réflexion sur cette fable de la Fontaine « Le corbeau et le renard » lorsque je sens la main de cette élève me caresser la jambe remontant même jusqu’à ma petite culotte.
Je voulais voir le niveau en orthographe, puis leur niveau de réflexion, je suis servie, j’ai devant moi des ados boutonneux bien que Ducobu soit majeur en cette classe de première.
Je dois reconnaitre que cet élève du fond de ma classe a déclenché en moi une forte sensation au point que je dois mouiller ma chaise ou je me suis réfugiée pour éviter d’avoir un orgasme en classe.
Lorsqu’il m’a passé sa main, il en a même profité pour m’arracher ma petite culotte qui présentement se retrouve dans sa poche.
Je me crois protégée étant à ma place de prof, lorsque mon portable que j’ai posé sur mon bureau, se met à vibrer.
Discrètement j’appuie lorsque je vois le message m’intimant l’ordre de le rejoindre sinon, il montrera ma culotte aux élèves de terminales qui sauront me prendre dans un gang bang.
Je suis très peu expérimentée en sexualité, mais dans des textes que j’aime lire, j’ai entendu parler de gang bang.
Me faire prendre par une floppée de jeunes mâles en chaleur me fait flipper.
C’est de façon naturelle que je m’approche de ce garçon juvénile, mais déjà bien avancé dans sa sexualité.
Pour donner le change et faire croire que, tout est normal, je m’arrête près de deux ou trois d’entre eux avant de rejoint mon harceleur.
En place, comme pour les autres, je recommence à faire semblant de regarder son devoir.
Est-ce bien moi qui écarte mes jambes pour qu’il ait un accès plus facile à mon vagin lieu de ma soumission.
Je l’ai fait, j’ai un orgasme devant ces jeunes boutonneux, le cours ce finissant, je rejoins les toilettes plus pour me cacher que pour répondre à l’injonction de celui qui a pris possession de moi.
L’ordre que je reçois est strict, il me donne rendez-vous dans la salle des profs dès la reprise des cours ayant moi-même un battement d’une heure avant la cantine.
Il me demande de fermer la porte à clef.
Je m’exécute, je suis seule dans la pièce, pourquoi me donner rendez-vous dans cette salle, s’il est ailleurs dans l’établissement.
• Tu es venue, tu as pris ma menace au sérieux, dès que tu es entré dans notre classe, j’ai su que tu étais de nature soumise et te voilà.
Je sursaute, je me retourne, il est dans mon dos, une question fuse de ma part.
• Ducobu comment as-tu eu mon numéro de portable !
Il s’approche, je recule, mais la table de travail des profs et des réunions du comité de l’école me bloque.
Je pose mes fesses sur le bord et mes mains sur le plateau, il vient se coller à moi.
Pour la première fois, je sens son sexe me frotter, je suis déjà à deux doigts de défaillir.
À ce que je sens, malgré ses dix-huit ans, il est déjà fort bien monté.
• Pour ton portable, je vais tout t’expliquer, mais avant suce.
Il se recule, ouvre sa braguette, dans le même temps, je m’agenouille pour être à la bonne hauteur.
Je lis des livres certains un peu cochons, les tablettes ça sert à ça.
Mais je regarde aussi de petits films en me masturbant avec Porcinet.
Porcinet, c’est le gode que je me suis fait livrer à la suite de ma dernière séparation.
Mon gode est gros, mais Ducobu l’est encore plus, j’ouvre ma bouche au maxi, mais il a du mal à entrer.
Je finis par le sucer sur toute sa longueur tout en le masturbant mes deux mains étant justes assez grandes pour l’entourer.
• C’est parfait, on va faire de belle chose ensemble, je vais te prendre sur cette table.
Dans ces films, de nombreuses salopes se font baiser sur des canapés, sur des tables de cuisine ou de salle à manger.
Il m’aide à me redresser et je retrouve mes fesses touchant le plateau.
C’est lui qui s’agenouille et sa langue approche de ma chatte.
• Je vois que tu te rases, Antoinette, elle avait un vrai tablier de sapeur, j’avais du mal à trouver son clito.
• Tu baisais avec ma prédécesseure !
• J’ai mis du temps, c’est pas comme toi, mais un jour, j’ai trouvé la faille et ma bite s’y est engouffrée.
Elle a bien fait de faire son burnout certainement à cause de moi, elle était bigote et tous les dimanches elle allait à confesse pour raconter nos parties de baise avec son curé.
Redresser, il a conduit sa langue vers mon vagin me pénétrant sans s’occuper de mes envies.
Mon dieu, quelle langue, il me lèche de mon clito qu’il enflamme jusqu’à mon anus qu’il semble apprécier.
J’ai vu des scènes de sodomie, ayant mal pour celle qui se faisait enculer.
Un soir, chaude comme la braise, j’ai essayé de faire entrer Porcinet dans ce petit trou.
J’ignore comment font ces filles, mais moi j’ai reculé le centimètre entré, je criais déjà ma douleur.
Il se redresse et se colle de nouveau contre moi.
Sa bouche approche ma bouche, je suis à deux doigts de lui refuser ma langue, mais la façon dont elle force le passage est sans équivoque, il veut tout de moi.
Je sens qu’il m’embrasse en cherchant quelque chose dans sa poche.
Je suis tellement estomaquée d’un tel sang-froid de ce jeune homme, tous juste sortie de l’adolescence que j’allais oublier le principal que ma maman m’a dit la première fois où je suis sortie seule.
« Pas de pénétration sans capote. »
Ducobu devait être sûr de sa force de persuasion, car lui en sort une, me met un morceau dans ma bouche à la place de sa langue et m’intime l’ordre de la déchirer.
• Avec les salopes mieux vaut sortir couvert, tu sembles d’une approche facile.
Et sans attendre, dès qu’elle est en place, il me plante.
Aucune considération pour la femme que je suis surtout sa prof, mais quelque part je préfère qu’il fasse de moi une soumise, plutôt que ce soit moi qui me donne.
Rapidement sa bouche reprend sa place sur la mienne jusqu’à être obligé de me bâillonner de sa main au moment où un orgasme est à deux doigts de me faire hurler de plaisir.
Je reprends pieds sur terre, c’est lui qui est appuyé à la table et c’est moi qui entièrement débraillé ma jupe tirebouchonnée autour de ma taille, mon chemisier entièrement ouvert, je suis lové dans ses bras.
• Veux-tu que je te dise pour ton téléphone ?
• Oui, et aussi comment tu es entré alors que j’avais fermé la porte à clef.
Il part dans un grand éclat de rire.
• Va jusqu’à ce rideau au fond de la pièce.
Je me déplace, ma jupe autour de mes reins doit lui montrer ma chatte dégoulinante de la mouille que mon orgasme a déclenchée
Je fais bouger le rideau, derrière je découvre une porte.
• Tu es entré par là, tu as la clef.
• Ce lycée est un ancien couvent, c’est pour cela qu’il y a une chapelle, lorsque le département a été obligé de l’acheter, ils ont décidé d’en faire un lycée.
Cette porte donne sur l’arrière dans une petite rue toujours tranquille.
Antoinette me convoquait souvent, lorsque Ducobu faisaient des conneries et un jour, elle était en retard.
Je me suis promené dans cette salle et j’ai découvert cette porte cachée.
• Pour la clef ?
• Je suis comme Louis XVI, j’aime bricoler et j’ai réussi à me faire une clef.
Ces vieilles serrures on dirait qu’elles attendent qu’on leur force la main.
J’aime venir ici pendant les vacances, j’aime être seul et si tu as regardé lorsque je te doigtais, j’aime les mots et les livres et je suis sûr que j’aurais une excellente note lorsque tu auras fait tes corrections.
À part Lucien, le concierge, vieux garçon étant porté sur la bouteille, je peux circuler comme bon me semble dans toutes les pièces.
Ici, il reste une grande bibliothèque et je viens lire pour m’instruire.
Je vais régulièrement dans le bureau de la proviseure, j’ai su avant toi que tu allais remplacer Antoinette et sur ta fiche j’ai su où tu habitais et ton numéro de portable.
On a encore un peu de temps, j’ai mis ma capote dans la poubelle, tes connards de collègues ont trouvé l’une d’elles que je me servais avec la momie.
Ils ont cherché pendant des jours lesquelles venaient baiser dans cette salle.
Je pense que ça a contribué au burnout d’Antoinette, elle a dû avoir peur d’être découverte
Nettoie-moi ma queue, j’ai adoré lorsque tu m’as sucé.
Je m’agenouille, ou ceci va-t-il nous conduire...
J’ai rejoint mon poste, étant dans l’équipe pédagogique de réserve pour remplacer madame Antoinette, victime d’un burnout poste rentrée des élèves le jour de la réunion des professeurs le 1er septembre 2023.
Je voulais être fière de mon travail pour faire plaisir à ma maman ayant été elle aussi une excellente professeure pendant de nombreuses années avant de partir à la retraite.
C’était sans compter sur l’élève Ducobu, pas celui des films, mais Charles Ducobu cousin de ce dernier, lorsqu’il s’en prend à moi.
Flute, c’est mon nom de famille, c’est lui que j’ai supporté tout au long de ma scolarité.
Le harcèlement d’élèves bien moins intelligente que moi, je connais.
Je loupe mon approche des choses lorsqu’il se fiche de mon nom, j’aurais dû dès cette première fois l’envoyer au bureau de madame la proviseure.
Je leur fais faire une dictée suivie d’un exercice de réflexion sur cette fable de la Fontaine « Le corbeau et le renard » lorsque je sens la main de cette élève me caresser la jambe remontant même jusqu’à ma petite culotte.
Je voulais voir le niveau en orthographe, puis leur niveau de réflexion, je suis servie, j’ai devant moi des ados boutonneux bien que Ducobu soit majeur en cette classe de première.
Je dois reconnaitre que cet élève du fond de ma classe a déclenché en moi une forte sensation au point que je dois mouiller ma chaise ou je me suis réfugiée pour éviter d’avoir un orgasme en classe.
Lorsqu’il m’a passé sa main, il en a même profité pour m’arracher ma petite culotte qui présentement se retrouve dans sa poche.
Je me crois protégée étant à ma place de prof, lorsque mon portable que j’ai posé sur mon bureau, se met à vibrer.
Discrètement j’appuie lorsque je vois le message m’intimant l’ordre de le rejoindre sinon, il montrera ma culotte aux élèves de terminales qui sauront me prendre dans un gang bang.
Je suis très peu expérimentée en sexualité, mais dans des textes que j’aime lire, j’ai entendu parler de gang bang.
Me faire prendre par une floppée de jeunes mâles en chaleur me fait flipper.
C’est de façon naturelle que je m’approche de ce garçon juvénile, mais déjà bien avancé dans sa sexualité.
Pour donner le change et faire croire que, tout est normal, je m’arrête près de deux ou trois d’entre eux avant de rejoint mon harceleur.
En place, comme pour les autres, je recommence à faire semblant de regarder son devoir.
Est-ce bien moi qui écarte mes jambes pour qu’il ait un accès plus facile à mon vagin lieu de ma soumission.
Je l’ai fait, j’ai un orgasme devant ces jeunes boutonneux, le cours ce finissant, je rejoins les toilettes plus pour me cacher que pour répondre à l’injonction de celui qui a pris possession de moi.
L’ordre que je reçois est strict, il me donne rendez-vous dans la salle des profs dès la reprise des cours ayant moi-même un battement d’une heure avant la cantine.
Il me demande de fermer la porte à clef.
Je m’exécute, je suis seule dans la pièce, pourquoi me donner rendez-vous dans cette salle, s’il est ailleurs dans l’établissement.
• Tu es venue, tu as pris ma menace au sérieux, dès que tu es entré dans notre classe, j’ai su que tu étais de nature soumise et te voilà.
Je sursaute, je me retourne, il est dans mon dos, une question fuse de ma part.
• Ducobu comment as-tu eu mon numéro de portable !
Il s’approche, je recule, mais la table de travail des profs et des réunions du comité de l’école me bloque.
Je pose mes fesses sur le bord et mes mains sur le plateau, il vient se coller à moi.
Pour la première fois, je sens son sexe me frotter, je suis déjà à deux doigts de défaillir.
À ce que je sens, malgré ses dix-huit ans, il est déjà fort bien monté.
• Pour ton portable, je vais tout t’expliquer, mais avant suce.
Il se recule, ouvre sa braguette, dans le même temps, je m’agenouille pour être à la bonne hauteur.
Je lis des livres certains un peu cochons, les tablettes ça sert à ça.
Mais je regarde aussi de petits films en me masturbant avec Porcinet.
Porcinet, c’est le gode que je me suis fait livrer à la suite de ma dernière séparation.
Mon gode est gros, mais Ducobu l’est encore plus, j’ouvre ma bouche au maxi, mais il a du mal à entrer.
Je finis par le sucer sur toute sa longueur tout en le masturbant mes deux mains étant justes assez grandes pour l’entourer.
• C’est parfait, on va faire de belle chose ensemble, je vais te prendre sur cette table.
Dans ces films, de nombreuses salopes se font baiser sur des canapés, sur des tables de cuisine ou de salle à manger.
Il m’aide à me redresser et je retrouve mes fesses touchant le plateau.
C’est lui qui s’agenouille et sa langue approche de ma chatte.
• Je vois que tu te rases, Antoinette, elle avait un vrai tablier de sapeur, j’avais du mal à trouver son clito.
• Tu baisais avec ma prédécesseure !
• J’ai mis du temps, c’est pas comme toi, mais un jour, j’ai trouvé la faille et ma bite s’y est engouffrée.
Elle a bien fait de faire son burnout certainement à cause de moi, elle était bigote et tous les dimanches elle allait à confesse pour raconter nos parties de baise avec son curé.
Redresser, il a conduit sa langue vers mon vagin me pénétrant sans s’occuper de mes envies.
Mon dieu, quelle langue, il me lèche de mon clito qu’il enflamme jusqu’à mon anus qu’il semble apprécier.
J’ai vu des scènes de sodomie, ayant mal pour celle qui se faisait enculer.
Un soir, chaude comme la braise, j’ai essayé de faire entrer Porcinet dans ce petit trou.
J’ignore comment font ces filles, mais moi j’ai reculé le centimètre entré, je criais déjà ma douleur.
Il se redresse et se colle de nouveau contre moi.
Sa bouche approche ma bouche, je suis à deux doigts de lui refuser ma langue, mais la façon dont elle force le passage est sans équivoque, il veut tout de moi.
Je sens qu’il m’embrasse en cherchant quelque chose dans sa poche.
Je suis tellement estomaquée d’un tel sang-froid de ce jeune homme, tous juste sortie de l’adolescence que j’allais oublier le principal que ma maman m’a dit la première fois où je suis sortie seule.
« Pas de pénétration sans capote. »
Ducobu devait être sûr de sa force de persuasion, car lui en sort une, me met un morceau dans ma bouche à la place de sa langue et m’intime l’ordre de la déchirer.
• Avec les salopes mieux vaut sortir couvert, tu sembles d’une approche facile.
Et sans attendre, dès qu’elle est en place, il me plante.
Aucune considération pour la femme que je suis surtout sa prof, mais quelque part je préfère qu’il fasse de moi une soumise, plutôt que ce soit moi qui me donne.
Rapidement sa bouche reprend sa place sur la mienne jusqu’à être obligé de me bâillonner de sa main au moment où un orgasme est à deux doigts de me faire hurler de plaisir.
Je reprends pieds sur terre, c’est lui qui est appuyé à la table et c’est moi qui entièrement débraillé ma jupe tirebouchonnée autour de ma taille, mon chemisier entièrement ouvert, je suis lové dans ses bras.
• Veux-tu que je te dise pour ton téléphone ?
• Oui, et aussi comment tu es entré alors que j’avais fermé la porte à clef.
Il part dans un grand éclat de rire.
• Va jusqu’à ce rideau au fond de la pièce.
Je me déplace, ma jupe autour de mes reins doit lui montrer ma chatte dégoulinante de la mouille que mon orgasme a déclenchée
Je fais bouger le rideau, derrière je découvre une porte.
• Tu es entré par là, tu as la clef.
• Ce lycée est un ancien couvent, c’est pour cela qu’il y a une chapelle, lorsque le département a été obligé de l’acheter, ils ont décidé d’en faire un lycée.
Cette porte donne sur l’arrière dans une petite rue toujours tranquille.
Antoinette me convoquait souvent, lorsque Ducobu faisaient des conneries et un jour, elle était en retard.
Je me suis promené dans cette salle et j’ai découvert cette porte cachée.
• Pour la clef ?
• Je suis comme Louis XVI, j’aime bricoler et j’ai réussi à me faire une clef.
Ces vieilles serrures on dirait qu’elles attendent qu’on leur force la main.
J’aime venir ici pendant les vacances, j’aime être seul et si tu as regardé lorsque je te doigtais, j’aime les mots et les livres et je suis sûr que j’aurais une excellente note lorsque tu auras fait tes corrections.
À part Lucien, le concierge, vieux garçon étant porté sur la bouteille, je peux circuler comme bon me semble dans toutes les pièces.
Ici, il reste une grande bibliothèque et je viens lire pour m’instruire.
Je vais régulièrement dans le bureau de la proviseure, j’ai su avant toi que tu allais remplacer Antoinette et sur ta fiche j’ai su où tu habitais et ton numéro de portable.
On a encore un peu de temps, j’ai mis ma capote dans la poubelle, tes connards de collègues ont trouvé l’une d’elles que je me servais avec la momie.
Ils ont cherché pendant des jours lesquelles venaient baiser dans cette salle.
Je pense que ça a contribué au burnout d’Antoinette, elle a dû avoir peur d’être découverte
Nettoie-moi ma queue, j’ai adoré lorsque tu m’as sucé.
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Quelle imagination extraordinaire mon cher Chris...
Cyrille
Cyrille