COLLECTION ÉCHANGISME. Divorce par consentement mutuel (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Divorce par consentement mutuel (4/5)
Je dois devenir fou.
Je sympathise avec le nouveau mec de mon ex, Alex instituteur comme elle, mais dans notre village.
Il est là en remplacement de la prof des écoles partie en congé de maternité et assume le CP, classe de Christian, mon fils.
Il emménage avec sa fille de 15 ans fruit de ses amours avec sa prof d’anglais alors qu’il avait le même âge 15 ans, ce quoi avait fait scandale.
Ce qui me surprend quand nous nous retrouvons le soir devant un verre de bien venu, c’est que pour une fois depuis mon divorce d’avec Isabelle, j’accepte qu’il me remplace dans son lit.
Les autres, même la fille je les voyais comme des ennemis.
Est-ce les rapports entretenues par Internet avec une jeune fille tout juste plus vieille qu’Alexis la fille d’Alex qui me permet de rester zen.
Quand j’ai accepté de dialoguer avec Susy cette jeune femme habitant non loin de chez moi, c’était par désoeuvrement.
Sur le site de rencontres où je le suis inscrit, ce sont seulement de vieilles rombières qui me draguent.
Elles sont 20 ans plus âgées que moi.
Quand je finis par lui donner mon adresse, je suis de mauvaise foi.
20 ans dans un sens, pourquoi pas, si c’est à mon avantage, 20 ans dans l’autre, hors de question.
C’est le lendemain qu’elle arrive, se trompant de corps de ferme.
Je suis dans ma cuisine quand je vois cette jolie blonde, le tee-shirt bien rempli arrêter sa vieille 4L et venir frapper chez Isabelle.
Je vois qu’elle lui montre ma porte et je la vois venir vers moi.
- Elle est bien foutue ta femme, j’en ferais bien mes quatre-heures.
- Bonjour Susy, dis-moi que tu couches avec des femmes ?
- J’ai eu quelques expériences, en un mot, je suis bisexuelle.
Dois-je m’en aller, tu es coincé !
- Non, entre.
Elle sort un sac de sport, je la conduis à sa chambre, lui montrant la salle de bains.
Avant avoir dit le moindre mot, tee-shirt et short ras la moule se retrouvent au sol.
Baignoire et douche, elle choisit la douche à l’Italienne.
Je vais pour sortir gêné de la voir naturellement nue, mais elle m’attrape par le bras et me pousse tout habillée sous la douche.
Pourtant préalablement à sa venue, aucun rapport, mais que la chair est faible quand je la plaque le long de la cloison, que je lui prends la bouche.
L’eau nous dégouline dessus trempant ma chemisette et mon pantalon de Tergal.
Une main sur sa toison aussi blonde que ses cheveux et une autre ouvrant ma braguette.
Je la plante par la chatte sans autre forme d’interrogation.
Ce que j’aime, c’est qu’elle a dit vrai.
Nul trace de sang dû à un dépucelage, j’ai une vraie femme dans mes bras toute la nuit.
Elle sait y faire la garce, mais garce dans le bon sens du mot, garce sexuellement, car au matin je suis lessivé.
Chaque fois que je suis sur le point de m’endormir, elle me réveille avec une sucette, une main sur mes couilles qui me branlent.
Une fois dans la nuit, c’est elle qui s’éteint et c’est moi qui la rallume en lui faisant un cunnilingus avant de la prendre en levrette.
Un, deux, trois quatre fois, pardon, j’oubliais le bain de nuit afin de refroidir nos partis intimes en surchauffes.
Cinq fois, j’arrive à décharger, cinq fois, je lui fais atteindre le plaisir dont toute femme a le droit.
Ai-je toujours été aussi prévenant des envies d’Isabelle au cours de nos mois de mariage ?
Le vendredi qui suit, jours des vacances des écoliers et des profs, nous sommes tous sur leur terrasse à boire le verre de l’amitié.
Demain, Alexis s’envole pour New York retrouver sa maman pour le temps des vacances.
Le dimanche, c’est moi qui pars, pour le bassin d’Arcachon, conduire mes enfants chez mes parents, jusqu’à la rentrée.
Je suis né là-bas, mais après mes études, une possibilité d’emploi s’est fait jour et comme l’on dit, je suis monté à Paris retrouvé celle que je regarde rapporter un plan vide de gougère vers sa cuisine.
Quel beau petit cul dans son maillot deux pièces.
Et dire que j’ai oublié d’écarter ses rondeurs, elle aurait peut-être aimé que je l’encule.
- Gilles, je t’accompagne, nous ferons plus ample connaissance et nous pourrons nous relayer.
Mince, c’est presque de la rage, Alex semble vouloir s’attacher à moi, j’espère qu’il veut simplement m’aider, je vois mal me faire moi-même enculer.
C’est Susy qui m’insiste à accepter.
- Allez-y, je suis sûr qu’Isabelle va nettoyer de fond en comble les chambres de ses enfants, ainsi nous aurons fini deux fois plus vite et nous pourrons profiter des vacances.
Dans les heures qui suivent, elle est ardente, mais moins que la veille, il me faut récupérer avant de prendre la route.
J’ignore ce que font Alex et Isabelle dans leur chambre.
Voyez, j’évolue, je pense leur chambre et non ma chambre.
Bref, Isabelle qui semble avoir pris son indépendance étant plus folle du cul que moi, doit s’en donner à cœur joie.
- BB, Isabelle elle est toujours amoureuse de toi, il suffisait de la voir te regarder chaque fois que tu te déplaçais.
Toi aussi, tu lui matais les fesses chaque fois qu’elle se déplaçait, ça en était touchant.
- Tu sais mon cœur, il est difficile d’oublier plus de dix ans de vie commune.
Mais je commence à y arriver surtout depuis hier où tu m’as presque violé sous ma douche.
- Es-tu sûr que je t’ai violé, tu as très vite rendu les armes ?
- Et j’en suis très satisfait.
- Partez tranquille, je vais faire le nécessaire pour que vous vous retrouviez.
- Tu sais, l’autre dimanche, elle a accepté de faire l’amour avec moi, c’était avant Alex et toi, mais j’ai été maladroit et je crois que les choses sont mortes définitivement entre nous.
- Et Alex est un chic type, mais soit sûr qu’à votre retour tu auras une surprise.
Ces quelques mots se finissent comme ça doit se finir, mais prise simplement dans un bon missionnaire des familles souvent pratiquées avec mon ex.
Passons l’aller ou mes enfants passent leur temps à nous demander quand c’est qu’on arrive.
Parlons du retour.
- Gilles, j’ignore si ça va tenir entre Isabelle et moi, mais je pense que nous pourrions faire quelque chose pour que tous soient heureux.
- As-tu une idée ?
- Oui, construire une piscine entre les deux blocs de maisons, j’ai regardé il y a la place.
- J’y aie pensé, mais financièrement pour le moment c’est trop juste.
- J’ai un peu d’argent qui dort, Isabelle peut faire un petit crédit à son nom sur sa paye et si nous la construisons par nous-mêmes, c’est bien moins cher.
- Saurais-tu faire ?
- Oui, avec un ami et sa femme, nous en avons construit une l’an passé.
Si je lui demande, ils pourront nous aider.
- Que nous faudrait-il ?
Il énumère les besoins, ça colle.
Une piscine enterrée de 15 mètres sur 5 avec liner, ça colle.
- Pour creuser, il faut une petite pelle pour éviter de prendre la pioche et se crever à la tâche.
Cet engin, on l’aura gratuit, juste le gasoil, un entrepreneur de maçonnerie me doit un service après mon travail sur son site Internet, il était cour pour le modifier et je lui ai fait gratuitement.
De retour chez nous, il est seize heures.
Il fait un magnifique soleil, nos femmes sont sur les transats en topless se faisant bronzer.
Quand je passe le portail,je vois Isabelle mettre de la crème solaire à ma petite, sa main semble plus caresser ses seins que de leur mettre du produit.
- Je vois que vous vous entendez bien ça fait plaisir.
- Nous avons tous fini et nous profitons de cette fin de journée.
- BB vous voilà, nous avons eu une idée avec Isabelle, si vous nous construisiez une piscine !
Nous nous regardons avec Alex et nous éclatons de rire.
Incroyable, Isabelle qui s’est levée pour embrasser Alex, m’embrasse, moi aussi.
Susy en fait de même avec Alex qui est tout aussi surpris que moi.
- Nos hommes, soyez heureux, nous nous le sommes, la nuit dernière, Susy avait peur de rester seule et nous avons partagé le même lit.
Je m’attends à ce qu’Alex entre prendre ses affaires et se tire.
Tout autrement, il s’approche d’Isabelle et l’embrasse tendrement.
Merde, si j’avais pensé prendre ma femme dans une partie carrée, j’aurais traité celui ou celle qui m’aurait dit ça de malade, voire de grand malade.
C’est dans mon salon que la soirée se termine après les merguez et les chipolatas arrosées de vin rosé conservé dans la cave voutée enterrée.
Ce que j’apprécie le plus, c’est quand nos deux femmes nous servent un cognac, vingt ans d’âge alors que nous sommes dans mes fauteuils et qu’elles vont sur le canapé nous présenter de gracieuses figures lesbiennes.
Une fois leur plaisir pris, c’est mon ancien amour Isabelle qui vient me sucer alors que comme deux pachas Susy en fait de même avec mon copain Alex.
Et si notre divorce avait été bénéfique pour nous retrouver avec ma femme, grâce à ma petite salope de Susy ?...
Je sympathise avec le nouveau mec de mon ex, Alex instituteur comme elle, mais dans notre village.
Il est là en remplacement de la prof des écoles partie en congé de maternité et assume le CP, classe de Christian, mon fils.
Il emménage avec sa fille de 15 ans fruit de ses amours avec sa prof d’anglais alors qu’il avait le même âge 15 ans, ce quoi avait fait scandale.
Ce qui me surprend quand nous nous retrouvons le soir devant un verre de bien venu, c’est que pour une fois depuis mon divorce d’avec Isabelle, j’accepte qu’il me remplace dans son lit.
Les autres, même la fille je les voyais comme des ennemis.
Est-ce les rapports entretenues par Internet avec une jeune fille tout juste plus vieille qu’Alexis la fille d’Alex qui me permet de rester zen.
Quand j’ai accepté de dialoguer avec Susy cette jeune femme habitant non loin de chez moi, c’était par désoeuvrement.
Sur le site de rencontres où je le suis inscrit, ce sont seulement de vieilles rombières qui me draguent.
Elles sont 20 ans plus âgées que moi.
Quand je finis par lui donner mon adresse, je suis de mauvaise foi.
20 ans dans un sens, pourquoi pas, si c’est à mon avantage, 20 ans dans l’autre, hors de question.
C’est le lendemain qu’elle arrive, se trompant de corps de ferme.
Je suis dans ma cuisine quand je vois cette jolie blonde, le tee-shirt bien rempli arrêter sa vieille 4L et venir frapper chez Isabelle.
Je vois qu’elle lui montre ma porte et je la vois venir vers moi.
- Elle est bien foutue ta femme, j’en ferais bien mes quatre-heures.
- Bonjour Susy, dis-moi que tu couches avec des femmes ?
- J’ai eu quelques expériences, en un mot, je suis bisexuelle.
Dois-je m’en aller, tu es coincé !
- Non, entre.
Elle sort un sac de sport, je la conduis à sa chambre, lui montrant la salle de bains.
Avant avoir dit le moindre mot, tee-shirt et short ras la moule se retrouvent au sol.
Baignoire et douche, elle choisit la douche à l’Italienne.
Je vais pour sortir gêné de la voir naturellement nue, mais elle m’attrape par le bras et me pousse tout habillée sous la douche.
Pourtant préalablement à sa venue, aucun rapport, mais que la chair est faible quand je la plaque le long de la cloison, que je lui prends la bouche.
L’eau nous dégouline dessus trempant ma chemisette et mon pantalon de Tergal.
Une main sur sa toison aussi blonde que ses cheveux et une autre ouvrant ma braguette.
Je la plante par la chatte sans autre forme d’interrogation.
Ce que j’aime, c’est qu’elle a dit vrai.
Nul trace de sang dû à un dépucelage, j’ai une vraie femme dans mes bras toute la nuit.
Elle sait y faire la garce, mais garce dans le bon sens du mot, garce sexuellement, car au matin je suis lessivé.
Chaque fois que je suis sur le point de m’endormir, elle me réveille avec une sucette, une main sur mes couilles qui me branlent.
Une fois dans la nuit, c’est elle qui s’éteint et c’est moi qui la rallume en lui faisant un cunnilingus avant de la prendre en levrette.
Un, deux, trois quatre fois, pardon, j’oubliais le bain de nuit afin de refroidir nos partis intimes en surchauffes.
Cinq fois, j’arrive à décharger, cinq fois, je lui fais atteindre le plaisir dont toute femme a le droit.
Ai-je toujours été aussi prévenant des envies d’Isabelle au cours de nos mois de mariage ?
Le vendredi qui suit, jours des vacances des écoliers et des profs, nous sommes tous sur leur terrasse à boire le verre de l’amitié.
Demain, Alexis s’envole pour New York retrouver sa maman pour le temps des vacances.
Le dimanche, c’est moi qui pars, pour le bassin d’Arcachon, conduire mes enfants chez mes parents, jusqu’à la rentrée.
Je suis né là-bas, mais après mes études, une possibilité d’emploi s’est fait jour et comme l’on dit, je suis monté à Paris retrouvé celle que je regarde rapporter un plan vide de gougère vers sa cuisine.
Quel beau petit cul dans son maillot deux pièces.
Et dire que j’ai oublié d’écarter ses rondeurs, elle aurait peut-être aimé que je l’encule.
- Gilles, je t’accompagne, nous ferons plus ample connaissance et nous pourrons nous relayer.
Mince, c’est presque de la rage, Alex semble vouloir s’attacher à moi, j’espère qu’il veut simplement m’aider, je vois mal me faire moi-même enculer.
C’est Susy qui m’insiste à accepter.
- Allez-y, je suis sûr qu’Isabelle va nettoyer de fond en comble les chambres de ses enfants, ainsi nous aurons fini deux fois plus vite et nous pourrons profiter des vacances.
Dans les heures qui suivent, elle est ardente, mais moins que la veille, il me faut récupérer avant de prendre la route.
J’ignore ce que font Alex et Isabelle dans leur chambre.
Voyez, j’évolue, je pense leur chambre et non ma chambre.
Bref, Isabelle qui semble avoir pris son indépendance étant plus folle du cul que moi, doit s’en donner à cœur joie.
- BB, Isabelle elle est toujours amoureuse de toi, il suffisait de la voir te regarder chaque fois que tu te déplaçais.
Toi aussi, tu lui matais les fesses chaque fois qu’elle se déplaçait, ça en était touchant.
- Tu sais mon cœur, il est difficile d’oublier plus de dix ans de vie commune.
Mais je commence à y arriver surtout depuis hier où tu m’as presque violé sous ma douche.
- Es-tu sûr que je t’ai violé, tu as très vite rendu les armes ?
- Et j’en suis très satisfait.
- Partez tranquille, je vais faire le nécessaire pour que vous vous retrouviez.
- Tu sais, l’autre dimanche, elle a accepté de faire l’amour avec moi, c’était avant Alex et toi, mais j’ai été maladroit et je crois que les choses sont mortes définitivement entre nous.
- Et Alex est un chic type, mais soit sûr qu’à votre retour tu auras une surprise.
Ces quelques mots se finissent comme ça doit se finir, mais prise simplement dans un bon missionnaire des familles souvent pratiquées avec mon ex.
Passons l’aller ou mes enfants passent leur temps à nous demander quand c’est qu’on arrive.
Parlons du retour.
- Gilles, j’ignore si ça va tenir entre Isabelle et moi, mais je pense que nous pourrions faire quelque chose pour que tous soient heureux.
- As-tu une idée ?
- Oui, construire une piscine entre les deux blocs de maisons, j’ai regardé il y a la place.
- J’y aie pensé, mais financièrement pour le moment c’est trop juste.
- J’ai un peu d’argent qui dort, Isabelle peut faire un petit crédit à son nom sur sa paye et si nous la construisons par nous-mêmes, c’est bien moins cher.
- Saurais-tu faire ?
- Oui, avec un ami et sa femme, nous en avons construit une l’an passé.
Si je lui demande, ils pourront nous aider.
- Que nous faudrait-il ?
Il énumère les besoins, ça colle.
Une piscine enterrée de 15 mètres sur 5 avec liner, ça colle.
- Pour creuser, il faut une petite pelle pour éviter de prendre la pioche et se crever à la tâche.
Cet engin, on l’aura gratuit, juste le gasoil, un entrepreneur de maçonnerie me doit un service après mon travail sur son site Internet, il était cour pour le modifier et je lui ai fait gratuitement.
De retour chez nous, il est seize heures.
Il fait un magnifique soleil, nos femmes sont sur les transats en topless se faisant bronzer.
Quand je passe le portail,je vois Isabelle mettre de la crème solaire à ma petite, sa main semble plus caresser ses seins que de leur mettre du produit.
- Je vois que vous vous entendez bien ça fait plaisir.
- Nous avons tous fini et nous profitons de cette fin de journée.
- BB vous voilà, nous avons eu une idée avec Isabelle, si vous nous construisiez une piscine !
Nous nous regardons avec Alex et nous éclatons de rire.
Incroyable, Isabelle qui s’est levée pour embrasser Alex, m’embrasse, moi aussi.
Susy en fait de même avec Alex qui est tout aussi surpris que moi.
- Nos hommes, soyez heureux, nous nous le sommes, la nuit dernière, Susy avait peur de rester seule et nous avons partagé le même lit.
Je m’attends à ce qu’Alex entre prendre ses affaires et se tire.
Tout autrement, il s’approche d’Isabelle et l’embrasse tendrement.
Merde, si j’avais pensé prendre ma femme dans une partie carrée, j’aurais traité celui ou celle qui m’aurait dit ça de malade, voire de grand malade.
C’est dans mon salon que la soirée se termine après les merguez et les chipolatas arrosées de vin rosé conservé dans la cave voutée enterrée.
Ce que j’apprécie le plus, c’est quand nos deux femmes nous servent un cognac, vingt ans d’âge alors que nous sommes dans mes fauteuils et qu’elles vont sur le canapé nous présenter de gracieuses figures lesbiennes.
Une fois leur plaisir pris, c’est mon ancien amour Isabelle qui vient me sucer alors que comme deux pachas Susy en fait de même avec mon copain Alex.
Et si notre divorce avait été bénéfique pour nous retrouver avec ma femme, grâce à ma petite salope de Susy ?...
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