COLLECTION ÉCHANGISME. Jonathan refuse de me baiser en club échangiste (1/1)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ÉCHANGISME. Jonathan refuse de me baiser en club échangiste (1/1)
• Raphaelle, ce soir je veux te voir te faire baiser par ce gars au bar, fais-toi inviter ma chérie.
Je m’appelle Raphaelle, j’ai 24 ans, mon mari en a 32.
C’était mon prof de math au lycée l’année de mon bac réussi avec mention bien.
Notre rencontre hors des cours de cette fin d’année, c’est fait alors qu’il était venu remplacer monsieur Robert suite à un burn-out.
Avec des copains, nous avions fait une fête le soir de notre réussite et l’organisateur l’avait invité le trouvant sympathique.
La plus sympathique ce fut moi et après quelques jours dans les premiers de mes vacances, il m’a déclaré sa flamme.
Quelques jours plus tard, il m’offrait une bague et six mois plus tard alors que j’étais en fac pour devenir prof des écoles, il m’a épousé.
Ça s’est fait avec l’adoubement de mes parents qui le trouvaient comme le mari idéal.
Mariage somme tout normal, nuit de noces, vraie nuit de noces, avec pertes de mon hymen et les douleurs qui vont avec.
Trois jours plus tard, j’avais mon premier orgasme, j’ai senti une boule monter dans mon ventre, qui a fini par éclater comme éclate le feu d’artifice du 14 juillet.
C’est deux semaines plus tard, qu’il a révélé sa véritable personnalité.
• Raymonde, samedi soir, nous recevrons quelques amis, fais-leur voir la maîtresse de maison que j’ai épousée, fais ce qu’il faut pour les étonner.
Montre leur que j’aie pris une épouse sachant si bien satisfaire leurs estomacs.
Le samedi est arrivé, j’avais tout maitrisé, dans sa préparation maman m’ayant éduqué pour que je devienne une bonne épouse, elle m’avait appris à cuisiner.
Peu importe le menu, ce fut ce qui a suivi qui a fondamentalement bousculé ma vie.
Il était quatre, un couple, Véronique et Lucas, deux hommes, Yves et Félix, mais deux hommes indépendants et non en couple.
Avec Germain et moi, nous étions six autour de la table.
Tous dans le monde de l’enseignement sauf Lucas le mari de Véronique qui se disait écrivain.
Se disait, car il vivait aux crochets de Véronique, car à ce jour, il était dans l’attente de la publication de son premier roman que personne même sa femme n’avait jamais vue.
• Véronique, as-tu apporté ce que je t’ai demandé, si oui, emmène Raphaelle dans notre chambre et prépare là pour notre fin de soirée !
Cette phrase devait bouleverser ma vie et m’amener là où je suis maintenant.
Lorsque Germain l’a prononcée dans ce au bar de ce club échangiste et m’a demandé d’inviter ce garçon afin qu’il me baise.
Mais revenons à cette soirée, ou je m’étais surpassé pour que mon mari soit fier de sa petite épouse.
• Raphaelle, enlève tes affaires et passe cette guêpière blanche, elle va mettre tes seins en valeur.
J’ai été fort étonné, mais comme c’était mon mari qui avait demandé à Véronique de venir me préparer, comme ma mère me l’avait appris, je me suis rangée sous ses ordres.
Avec la guêpière, elle m’a fait enfiler des bas blancs et remettre mes talons hauts, offert par Germain avec la robe, que je portais lors du repas.
• Attends, je me doutais que tu avais ta toison intime, je vais t’apprendre quelque chose, regarde, j’ôte mes affaires, je suis en guêpière rouge et ma chatte est entièrement rasée.
J’aurais dû me sauver en courant, mais on a compris que mon éducation avait fait de moi une soumise, comme l’était ma maman pour mon papa sans la partie exposition où je me trouvais propulsée.
• Allonge-toi, je vais te raser, j’ai avec moi tout ce qu’il me faut.
Savon à barbe, coupe-chou et comme un barbier connaissant son métier elle m’a fait écarter les cuisses et en deux minutes je retrouvais ma chatte quittée quelques années plus tôt avant que mes premiers poils n’apparaissent.
Son travail terminé, elle m’a donné un petit baisé sur la petite bille que mon mari avait fait éclater en le frottant avec sa queue.
Queue, chatte, clitoris, je prononce ces mots, qui peuvent paraître incongrus alors que je suis une oie blanche.
Mais dès que nous avons rejoint les hommes dans le salon où Germain les avait installés, un verre de Cognac en main, j’ai vite appris qu’ils existaient.
• Chérie, tu es magnifique, merci Véronique de l’avoir préparé, surtout sa chatte, je me doutais que tu savais ce que j’aimais.
Le plus surprenant c’est que ces quatre garçons buvaient leurs digestifs entièrement nus.
Ils avaient posé leurs affaires comme moi je l’avais faite avec Véronique dans notre chambre, l’absence de petite culotte, l’attestant.
Quatre queues, pour moi qui avais simplement vu celle de Germain et des dessins de phallus la tête basse, au cours de mes études dans les rares cours d’éducation sexuelle prodiguée par l’Éducation Nationale.
• Chérie, je t’ai caché quelque chose de ma personnalité, je suis échangiste et j’ai toujours aimé voir mes partenaires faire l’amour avec d’autres que moi.
Véronique, fais-lui voir comment j’aime que tu te comportes, nous avons été ensemble pendant plus d’un an avant que tu épouses Lucas qui aime comme moi te regarder te faire baiser.
Là encore, j’aurais pu dire non et dire à mon mari « d’aller se faire foutre. »
Mais Véronique ma conduite jusqu’à Félix, me faisant m’agenouiller alors qu’elle en faisait autant avec Yves dans le fauteuil où je regardais ma télé depuis que je m’étais mariée.
• Prends-la en mains et suce là, tu vas voir tu vas aimer et moi, je serais aux anges que ma jolie épouse satisfasse nos invités.
J’ai exécuté l’ordre je venais moi-même d’entrer dans le monde de l’échangiste.
J’y suis entrée surtout lorsqu’il a enfilé une capote et que Félix m’a baisé devant mon mari alors que Véronique en faisait de même avec Yves, mais aussi son mari.
J’étais empalée sur la bite de mon deuxième homme lorsque je l’ai vue lui écarter ses fesses avec ses mains.
Là encore, j’ai mal compris ce qu’il lui faisait, mais plus tard, j’ai compris qu’il la sodomisait la faisant hurler de plaisir en double pénétration.
La soirée s’est terminée avec plein de sperme sur moi, avant d’aller prendre une douche et de m’effondrer dans mon lit repu de sexe et de sperme que j’avais avalé.
• Ma chérie, tu es une femme parfaite, juste comme j’espérais que tu le serais lorsque je t’ai rencontré et que je t’ai demandé en mariage.
Il était derrière moi au matin, me réveillant avec sa bite entre mes fesses.
Il bandait comme un homme en pleine forme et ce fut mon deuxième coup de poignard, il m'a enculé sans me demander mon avis.
Mais après ce que j’avais déjà accepté, quelle légitimité avais-je à lui refuser ce plaisir ?
C’est le samedi suivant que je faisais ma première entrée dans son club échangiste qu’il pratiquait avec tous nos invités d’un soir.
Ce fut ce soir-là que Germain me désigna mon premier partenaire, voulait-il tester le niveau de ma soumission ?
Alors que j’étais dans une alcôve avec mon partenaire, il me regardait me faire baiser par ce vieil homme ventripotent.
Ce fut le premier ce soir-là, il me collait aux fesses au point que Félix et Yves voyant ma détresse sont venus me sauver, finissant par ma première double pénétration de leur part.
J’ai compris lorsque je me suis trouvée dans la situation de Véronique pourquoi Germain m’avait bourré le cul au matin de nos premiers échanges.
Ça fait plus d’un an que je me fais sauter ou dans le club ou lors de soirées chez Véro ou d’autres échangistes, notre cercle s’agrandissant.
Chaque fois, Germain reste spectateur et toujours protégée alors qu’il me fait l’amour divinement dès notre retour.
Jusqu’à ce soir, ou après avoir baisé avec un couple, Solange était très active avec moi, ayant appris les amours lesbiens surtout avec Véronique qui m’a là encore initié.
Germain en veut encore et pour moi et pour lui lorsqu’il me donne l’ordre de rejoindre ce garçon au bar dégustant une coupe de champagne.
• M’offrez-vous une coupe de champagne ?
• Non et je ne vous baiserais pas, du moins sur ordre de votre mari !
• Pour qui vous prenez-vous, nous faisons bien ce que nous voulons dans notre vie de couple !
• Es-tu sur Raphaelle, que tu aimes te faire baiser suivant les ordres et choix de ton mari ?
Ça fait plusieurs fois que je te vois aller allumer des hommes ou des couples et aller avec eux dans les alcôves ou pire dans la cage aux voyeurs.
Tu es loin de nous montrer la tête d’une femme épanouie dans ces rapports sur commande.
Pour moi l’échangisme, car je suis échangiste, c’est pour ça que je suis là, c’est un partage.
Si tu étais avec moi, tu choisirais, tu me proposerais et ce serait d’un commun accord que tu irais où nous irions dans un coin tranquille pour que nous puissions ensemble nous éclater.
Ces propos m’ont remis les idées en place.
• Chérie, ce couple là-bas, si nous nous rapprochions d’eux, la femme est gracieuse, juste comme tu les aimes.
• Raphaelle, tu connais mes goûts autant que tu connais les miens, je pense que ce grand garçon venu de ses terres d’Afrique ne t’est pas indifférent.
• Jonathan dit moi que cette jolie black, tu vas la laisser nous échapper !
Jonathan et non Germain, à la suite des propos tenus au bar, j’ai accepté sa coupe de champagne, il y a eu même une derrière bouteille entière me rendant pompette.
Ce soir-là, Germain venu s’interposer avec Jonathan a fini aux urgences le nez cassé par le bourre pif que Jonathan lui a balancé, mais après avoir esquivé un coup de boule de Germain.
La proprio est intervenue et a été obligée d’admettre que c’était germain qui avait frappé le premier.
Je vais vous avouer quelque chose, si j’avais eu une petite culotte, elle aurait été trempée de voir deux hommes se battre pour moi.
Chez Jonathan le soir même je devenais sa maîtresse avant de devenir sa femme après mon divorce, de celui qui m’avait entrainé vers l’échangisme.
De cette période et après un beau garçon prénommé Hugo, nous avons repris nos soirées libertines, maman venant le garder à la maison sans savoir que sa fille était une salope.
Nous sommes deux à mener le bal de nos amours lors de ce genre de soirée ou nous recevons ou que nous nous rendons en club avec Véronique.
J’ai changé de mari, mais j’ai gardé, celle, m’ayant initié aux amours féminins.
Elle est mon témoin de mon second mariage et la marraine de Hugo.
Quel âge a-t-elle, trente-deux ans et collègue dans la même école que moi ayant décroché mes diplômes de prof des écoles.
Si je calcule bien, dix-huit plus trente-deux, je suis prof des écoles, c’est facile cinquante ans.
Juste l’âge pour apprendre à Hugo à respecter ce qu’une femme veut, surtout sexuellement.
Moi grâce à Jonathan je sais ce que ce soir je veux lorsqu’il engage la conversation avec Inalia et Adama, les deux blacks, que nous avons ensemble repérés qu’ils vont nous aider à finir notre nuit en nous éclatant.
Nous avons revu Germain un soir au club.
Il était avec une nouvelle jeune femme, il nous a repérés et certainement se souvenant du coup de boure pif, il s’est bien gardé de lui dire de venir nous inviter à un plan à quatre.
• Jonathan, et si c’était moi qui proposais à mon ex de se joindre à nous, sa petite pétasse me plait bien ?
Qui de moi ou des autres suis-je devenue une parfaite salope libertine ?
Dois-je me poser la question !
Je m’appelle Raphaelle, j’ai 24 ans, mon mari en a 32.
C’était mon prof de math au lycée l’année de mon bac réussi avec mention bien.
Notre rencontre hors des cours de cette fin d’année, c’est fait alors qu’il était venu remplacer monsieur Robert suite à un burn-out.
Avec des copains, nous avions fait une fête le soir de notre réussite et l’organisateur l’avait invité le trouvant sympathique.
La plus sympathique ce fut moi et après quelques jours dans les premiers de mes vacances, il m’a déclaré sa flamme.
Quelques jours plus tard, il m’offrait une bague et six mois plus tard alors que j’étais en fac pour devenir prof des écoles, il m’a épousé.
Ça s’est fait avec l’adoubement de mes parents qui le trouvaient comme le mari idéal.
Mariage somme tout normal, nuit de noces, vraie nuit de noces, avec pertes de mon hymen et les douleurs qui vont avec.
Trois jours plus tard, j’avais mon premier orgasme, j’ai senti une boule monter dans mon ventre, qui a fini par éclater comme éclate le feu d’artifice du 14 juillet.
C’est deux semaines plus tard, qu’il a révélé sa véritable personnalité.
• Raymonde, samedi soir, nous recevrons quelques amis, fais-leur voir la maîtresse de maison que j’ai épousée, fais ce qu’il faut pour les étonner.
Montre leur que j’aie pris une épouse sachant si bien satisfaire leurs estomacs.
Le samedi est arrivé, j’avais tout maitrisé, dans sa préparation maman m’ayant éduqué pour que je devienne une bonne épouse, elle m’avait appris à cuisiner.
Peu importe le menu, ce fut ce qui a suivi qui a fondamentalement bousculé ma vie.
Il était quatre, un couple, Véronique et Lucas, deux hommes, Yves et Félix, mais deux hommes indépendants et non en couple.
Avec Germain et moi, nous étions six autour de la table.
Tous dans le monde de l’enseignement sauf Lucas le mari de Véronique qui se disait écrivain.
Se disait, car il vivait aux crochets de Véronique, car à ce jour, il était dans l’attente de la publication de son premier roman que personne même sa femme n’avait jamais vue.
• Véronique, as-tu apporté ce que je t’ai demandé, si oui, emmène Raphaelle dans notre chambre et prépare là pour notre fin de soirée !
Cette phrase devait bouleverser ma vie et m’amener là où je suis maintenant.
Lorsque Germain l’a prononcée dans ce au bar de ce club échangiste et m’a demandé d’inviter ce garçon afin qu’il me baise.
Mais revenons à cette soirée, ou je m’étais surpassé pour que mon mari soit fier de sa petite épouse.
• Raphaelle, enlève tes affaires et passe cette guêpière blanche, elle va mettre tes seins en valeur.
J’ai été fort étonné, mais comme c’était mon mari qui avait demandé à Véronique de venir me préparer, comme ma mère me l’avait appris, je me suis rangée sous ses ordres.
Avec la guêpière, elle m’a fait enfiler des bas blancs et remettre mes talons hauts, offert par Germain avec la robe, que je portais lors du repas.
• Attends, je me doutais que tu avais ta toison intime, je vais t’apprendre quelque chose, regarde, j’ôte mes affaires, je suis en guêpière rouge et ma chatte est entièrement rasée.
J’aurais dû me sauver en courant, mais on a compris que mon éducation avait fait de moi une soumise, comme l’était ma maman pour mon papa sans la partie exposition où je me trouvais propulsée.
• Allonge-toi, je vais te raser, j’ai avec moi tout ce qu’il me faut.
Savon à barbe, coupe-chou et comme un barbier connaissant son métier elle m’a fait écarter les cuisses et en deux minutes je retrouvais ma chatte quittée quelques années plus tôt avant que mes premiers poils n’apparaissent.
Son travail terminé, elle m’a donné un petit baisé sur la petite bille que mon mari avait fait éclater en le frottant avec sa queue.
Queue, chatte, clitoris, je prononce ces mots, qui peuvent paraître incongrus alors que je suis une oie blanche.
Mais dès que nous avons rejoint les hommes dans le salon où Germain les avait installés, un verre de Cognac en main, j’ai vite appris qu’ils existaient.
• Chérie, tu es magnifique, merci Véronique de l’avoir préparé, surtout sa chatte, je me doutais que tu savais ce que j’aimais.
Le plus surprenant c’est que ces quatre garçons buvaient leurs digestifs entièrement nus.
Ils avaient posé leurs affaires comme moi je l’avais faite avec Véronique dans notre chambre, l’absence de petite culotte, l’attestant.
Quatre queues, pour moi qui avais simplement vu celle de Germain et des dessins de phallus la tête basse, au cours de mes études dans les rares cours d’éducation sexuelle prodiguée par l’Éducation Nationale.
• Chérie, je t’ai caché quelque chose de ma personnalité, je suis échangiste et j’ai toujours aimé voir mes partenaires faire l’amour avec d’autres que moi.
Véronique, fais-lui voir comment j’aime que tu te comportes, nous avons été ensemble pendant plus d’un an avant que tu épouses Lucas qui aime comme moi te regarder te faire baiser.
Là encore, j’aurais pu dire non et dire à mon mari « d’aller se faire foutre. »
Mais Véronique ma conduite jusqu’à Félix, me faisant m’agenouiller alors qu’elle en faisait autant avec Yves dans le fauteuil où je regardais ma télé depuis que je m’étais mariée.
• Prends-la en mains et suce là, tu vas voir tu vas aimer et moi, je serais aux anges que ma jolie épouse satisfasse nos invités.
J’ai exécuté l’ordre je venais moi-même d’entrer dans le monde de l’échangiste.
J’y suis entrée surtout lorsqu’il a enfilé une capote et que Félix m’a baisé devant mon mari alors que Véronique en faisait de même avec Yves, mais aussi son mari.
J’étais empalée sur la bite de mon deuxième homme lorsque je l’ai vue lui écarter ses fesses avec ses mains.
Là encore, j’ai mal compris ce qu’il lui faisait, mais plus tard, j’ai compris qu’il la sodomisait la faisant hurler de plaisir en double pénétration.
La soirée s’est terminée avec plein de sperme sur moi, avant d’aller prendre une douche et de m’effondrer dans mon lit repu de sexe et de sperme que j’avais avalé.
• Ma chérie, tu es une femme parfaite, juste comme j’espérais que tu le serais lorsque je t’ai rencontré et que je t’ai demandé en mariage.
Il était derrière moi au matin, me réveillant avec sa bite entre mes fesses.
Il bandait comme un homme en pleine forme et ce fut mon deuxième coup de poignard, il m'a enculé sans me demander mon avis.
Mais après ce que j’avais déjà accepté, quelle légitimité avais-je à lui refuser ce plaisir ?
C’est le samedi suivant que je faisais ma première entrée dans son club échangiste qu’il pratiquait avec tous nos invités d’un soir.
Ce fut ce soir-là que Germain me désigna mon premier partenaire, voulait-il tester le niveau de ma soumission ?
Alors que j’étais dans une alcôve avec mon partenaire, il me regardait me faire baiser par ce vieil homme ventripotent.
Ce fut le premier ce soir-là, il me collait aux fesses au point que Félix et Yves voyant ma détresse sont venus me sauver, finissant par ma première double pénétration de leur part.
J’ai compris lorsque je me suis trouvée dans la situation de Véronique pourquoi Germain m’avait bourré le cul au matin de nos premiers échanges.
Ça fait plus d’un an que je me fais sauter ou dans le club ou lors de soirées chez Véro ou d’autres échangistes, notre cercle s’agrandissant.
Chaque fois, Germain reste spectateur et toujours protégée alors qu’il me fait l’amour divinement dès notre retour.
Jusqu’à ce soir, ou après avoir baisé avec un couple, Solange était très active avec moi, ayant appris les amours lesbiens surtout avec Véronique qui m’a là encore initié.
Germain en veut encore et pour moi et pour lui lorsqu’il me donne l’ordre de rejoindre ce garçon au bar dégustant une coupe de champagne.
• M’offrez-vous une coupe de champagne ?
• Non et je ne vous baiserais pas, du moins sur ordre de votre mari !
• Pour qui vous prenez-vous, nous faisons bien ce que nous voulons dans notre vie de couple !
• Es-tu sur Raphaelle, que tu aimes te faire baiser suivant les ordres et choix de ton mari ?
Ça fait plusieurs fois que je te vois aller allumer des hommes ou des couples et aller avec eux dans les alcôves ou pire dans la cage aux voyeurs.
Tu es loin de nous montrer la tête d’une femme épanouie dans ces rapports sur commande.
Pour moi l’échangisme, car je suis échangiste, c’est pour ça que je suis là, c’est un partage.
Si tu étais avec moi, tu choisirais, tu me proposerais et ce serait d’un commun accord que tu irais où nous irions dans un coin tranquille pour que nous puissions ensemble nous éclater.
Ces propos m’ont remis les idées en place.
• Chérie, ce couple là-bas, si nous nous rapprochions d’eux, la femme est gracieuse, juste comme tu les aimes.
• Raphaelle, tu connais mes goûts autant que tu connais les miens, je pense que ce grand garçon venu de ses terres d’Afrique ne t’est pas indifférent.
• Jonathan dit moi que cette jolie black, tu vas la laisser nous échapper !
Jonathan et non Germain, à la suite des propos tenus au bar, j’ai accepté sa coupe de champagne, il y a eu même une derrière bouteille entière me rendant pompette.
Ce soir-là, Germain venu s’interposer avec Jonathan a fini aux urgences le nez cassé par le bourre pif que Jonathan lui a balancé, mais après avoir esquivé un coup de boule de Germain.
La proprio est intervenue et a été obligée d’admettre que c’était germain qui avait frappé le premier.
Je vais vous avouer quelque chose, si j’avais eu une petite culotte, elle aurait été trempée de voir deux hommes se battre pour moi.
Chez Jonathan le soir même je devenais sa maîtresse avant de devenir sa femme après mon divorce, de celui qui m’avait entrainé vers l’échangisme.
De cette période et après un beau garçon prénommé Hugo, nous avons repris nos soirées libertines, maman venant le garder à la maison sans savoir que sa fille était une salope.
Nous sommes deux à mener le bal de nos amours lors de ce genre de soirée ou nous recevons ou que nous nous rendons en club avec Véronique.
J’ai changé de mari, mais j’ai gardé, celle, m’ayant initié aux amours féminins.
Elle est mon témoin de mon second mariage et la marraine de Hugo.
Quel âge a-t-elle, trente-deux ans et collègue dans la même école que moi ayant décroché mes diplômes de prof des écoles.
Si je calcule bien, dix-huit plus trente-deux, je suis prof des écoles, c’est facile cinquante ans.
Juste l’âge pour apprendre à Hugo à respecter ce qu’une femme veut, surtout sexuellement.
Moi grâce à Jonathan je sais ce que ce soir je veux lorsqu’il engage la conversation avec Inalia et Adama, les deux blacks, que nous avons ensemble repérés qu’ils vont nous aider à finir notre nuit en nous éclatant.
Nous avons revu Germain un soir au club.
Il était avec une nouvelle jeune femme, il nous a repérés et certainement se souvenant du coup de boure pif, il s’est bien gardé de lui dire de venir nous inviter à un plan à quatre.
• Jonathan, et si c’était moi qui proposais à mon ex de se joindre à nous, sa petite pétasse me plait bien ?
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Les avis des lecteurs
Très belle chute Chris.
La chipie
La chipie

