COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison I (2/3)
Quarante ans aujourd’hui, une fille Julie de 20 ans qui est née le même jour que moi.
Tous les ans depuis quatre ans nous fêtons notre anniversaire entre filles.
L’an passé, c’est au sommet de la tour Eiffel au restaurant panoramique que je l’ai emmené.
Ce soir après un repas dans un petit bouchon lyonnais de Paris où nous avons fort bien dîné quelques m’a emmené.
Quelques minutes après c’est à pied qu’elle m’a fait entrer dans un lieu de perdition pour la femme fidèle à Yves mon mari.
Lui comme tous les mois fait sa troisième mi-temps avec ses copains après avoir joué un match de rugby vétéran.
Je me suis déshabillé comme Julie et c’est avec un paréo transparent montrant ma poitrine généreuse et mon sexe à la toison brune, refusant la mode de l’épilation intégrale.
J’entre avec Pedro un immense black que ma fille m’a dit être l’étalon du club vers le jardin des plaisirs.
La porte s’ouvre sur un lieu extraordinaire, un réel jardin carré d’environ 20 mètres de côté avec fleurs, pelouse, banc et même une cascade qui coule dans un petit Jacuzzi avec une échelle pour y entrer.
De chaque côté de cette cour intérieur que le concepteur des lieux à placer avec goût des fausses fenêtres donne l’impression que dans les étages des personnes y habite sur plusieurs étages.
• Regarde jolie fille, des capteurs permettent automatiquement de fermer une verrière si par malheur il pleut quand le club est ouvert.
Ce soir, heureusement il fait beau, si tu m’acceptes comme partenaire d’un moment nous ferons l’amour sous les étoiles.
Pour le moment, viens t’asseoir sur le banc, mais permet que je t’enlève ton paréo, les étoiles ont bien le droit d’avoir la chance que j’aie d’être maintenant seul avec toi.
Étalon mais enjôleur, je me retrouve entièrement nue devant lui si t’enté que le voile qui me recouvrait évitait de me voir dans mon intégralité.
Le concepteur des lieux a tout prévu même le banc où je m’assoie.
Il est chauffé même si la température est agréable.
Présentement ce sont mes seins qui ont l’attention de cet homme que j’ai accepté de suivre.
Sachant bien que je meurs d’envie dès que je l’ai vu près de moi de lui céder.
Aussi pour éviter d’être prise pour une pucelle je me glisse devant lui et comme il écarte les jambes faisant sauter sa serviette, son mandrin me saute aux yeux à moitié développé.
• Bien ma belle, je vois que tu es prête à t’occuper de Prosper qui t’attend depuis que tu es entré ici.
Je manque de rire au nom que Pedro a donné à son sexe qu’il est vrai semble autonome de son corps.
• Il est gros, mais je sens que tu vas pouvoir arriver à le prendre en bouche.
C’est avec de la difficulté contrairement au sexe d’Yves que j’avale.
Le gland passé, je fais pénétrer Prosper de 20 centimètres.
Je suis une oie blanche dans l’échangisme, mais je sais très bien pomper, sucer, caresser avec ma langue le seul sexe que j’ai eu à ce jour à ma disposition.
C’est ainsi que celui de Pedro est rapidement à la plénitude de sa tension, ce qui a tendance à me faire un peu peur.
Savoir que si je lui cède entièrement, je vais l’avoir en moi.
Mon amant car pour moi à partir du moment où j’ai accepté de le sucer, je suis devenue sa maîtresse.
Mon amant, au bout de quelques minutes il me fait relever pour m’allonger sur le banc les jambes pendantes au sol laissant ma chatte béante d’envie à sa disposition.
Je sens que je mouille comme jamais et quand il se place à l’entrée de ma chatte, pour une première fois, c’est un coup de sa grosse langue qu’il m’attaque le clitoris.
La décharge qui irradie mon corps est d’une tout autre teneur que celle que me procure mon mari.
Est-ce l’interdit que je brave qui est la cause du frisson qui part du bas de mes reins.
Ça éclate sur mon bouton ou cette langue qui le trouve et qui le caresse avec insistance me procure un premier orgasme adultérin ?
Jardin des plaisirs, ici tout semble plaisirs.
Le banc chauffant des plaisirs, pourquoi pas.
Jacuzzi des plaisirs, ce qui est sûr, c’est que je suis parti dans un nouveau monde certainement vers une de ces étoiles que je vois devant mes yeux dans la position ou je suis.
Je dois rêver jusqu’à ce que Pedro me fasse relever s’allonge au sol sur l’herbe fraîche et m’entraîne par la main vers ce baobab que je m’apprête à enfourcher en toute impudeur.
• Viens, elle est à toi, empale-toi au rythme que tu le souhaites.
Prosper est là pour toi ce soir.
Je ferme les yeux refusant de voir ce que je vais faire et quand j’ouvre mon sexe pour le situer dans l’axe de l’engin que j’avoue avoir désiré dès les premiers instants ou je l’ai vu.
Je suis si trempé que je le fais entrer aux trois quarts en moi sans aucune douleur.
Je sens l’intérieur de mon vagin, l’ignorant si profond, s’ouvrir comme les corolles de fleurs.
Fleurs qui sont dans ces massifs, gagnant encore quelques centimètres remontant rapidement vers le sommet de cette Everest qui souhaite entrer entièrement en moi.
Il faut trois allers-retours pour que je m’assoie sur son ventre fier de l’avoir entièrement avalé.
• Bien toi tu m’en diras tant, tu es l’une des seules à cacher Prosper en toi, que c’est bon, évite de bouger quelques secondes que je savoure ton exploit.
Je suis fière du compliment qu’il me fait ayant besoin moi-même de récupérer avant de m’appuyer les mains sur sa poitrine musclée pour le faire aller et venir en moi.
Combien de fois ai-je joui, combien de kilomètres ai-je montés vers le sommet de la plus haute montagne du monde.
Je suis incapable de le dire, mais j’ai ma réponse à une question, il est préférable d’avoir en soi une grande vigoureuse qu’une petite fainéante.
Épuisé je vais pour me retirer quand Pedro profitant que son gland est presque intégralement sorti pour le prendre en main et le placer sur mon anus.
Je dois perdre la raison, car au lieu de le repousser, sans me poser de questions je m’appuie dessus le sentant entrer de quelques centimètres comme il l’a fait dans ma chatte.
Pour la première fois, depuis que j’ai accepté d’entrer dans ce beau jardin de mes plaisirs ma bouche émet des sons que je me croyais incapable de prononcer.
• Continu, Prosper bourre-moi le cul comme tu viens de me bourrer la chatte.
Tu viens de faire de moi une chienne qui a compris ce qu’est le vrai plaisir.
Je reviendrais et je te donnerais mon cul comme en ce moment, putain je vais jouir par mon anneau, je sens que je pars.
C’est ainsi que le sexe de mon amant, caché dans mon vagin que mon corps s’agite dans tous les sens.
Épuisé mais comblé avec la satisfaction d’entendre l’homme qui a su me désinhiber et qui éjacule en moi.
J’aime le plaisir que j’ai avec Yves quand il décharge, de sentir mes entrailles inondées.
Un temps de repos, pour profiter de l’herbe fraîche quand je tombe à ses côtés me sentant mes trous tous ouvert quand j’entends une salve d’applaudissements.
Les fenêtres que je croyais des trompes l’œil sont ouvertes et de nombreuses personnes viennent de me regarder me faire baiser pour la première fois par un autre sexe que celui à qui j’avais promis fidélité.
Ma fille, qu’as-tu faite de moi !
• Je t’ai dit que le code permet d’éviter des intrus, mais je me suis bien gardé de te dire qu’ici prendre du plaisir et voir les autres en prendre est la devise de notre club.
À l’une d’elles, je pourrais avoir du remords, mais j’ai tellement joui que la vue de ma fille ayant constaté dans quel état de déchéance ce mandrin m’a mise m’est complétement indifférent.
Savoir que l’on me voit être une salope dans mon esprit s’envole comme se sont envolés tous mes tabous de tromper celui à qui j’avais juré fidélité.
Yves s’est éclaté sur la pelouse du PUC alors que je m’éclate sur la pelouse du jardin des plaisirs.
Je sors du jardin bien décidé de profiter de Prosper avant la fin de la soirée une nouvelle fois.
Le couloir aux trois portes identiques m’interpelle, je suis Pedro jusqu’au bar sans me rendre compte que j’ai laissé le paréo sous le banc et c’est dénudé que je trinque avec mon initiateur au libertinage.
Je dis bien libertinage, car chaque fois que je fais l’amour familialement, mon cœur participe à la fête des sens alors que là notre seul plaisir comptait même si la personne reste une personne de chair et d’os.
Parlons plutôt de pornographie consentie.
• Alors maman, que penses-tu de ce début de soirée.
• Début et fin, car je pense qu’il serait indécent de recommencer un tel moment de plaisir même si Pedro et Prosper ont été des amants merveilleux.
C’est à ce moment que la jolie blonde qui m’avait sollicité avec son mari s’approche de moi, me prends la main et m’entraîne de l’autre côté du rideau.
Sans que j’esquisse le moindre geste pour lui faire comprendre que pour moi les femmes me son inconnu.
• Viens dans l’eau je vais te masser.
Je connais bien Pedro même si comme toi, il a franchi ma porte comme tu viens de le faire.
Julie m’a dit que tu t’appelais Solange, j’adore ton prénom ancien mais si moderne comme moi qui me prénomme Éliane.
Ma fille, encore ma fille et Éliane qui a dû assister au renoncement de ma fidélité pour savoir que mon sexe a accepté ses trentaines de centimètres en lui.
Sans compter ce diamètre deux fois plus gros que ma seule référence à ce jour.
L’eau du Jacuzzi est à bonne température, c’est avec délice que je m’y plonge avec ma nouvelle amie.
C’est à ce moment qu’une des trois lampes situées au-dessus du Jacuzzi s’allume.
• Tiens, il y en a qui viennent d’entrer dans le jardin des plaisirs comme tu la fais tout à l’heure.
Je comprends que ces lampes servent à prévenir les voyeurs que quelque chose démarre dans cet espace leur permettant d’aller se rincer l’œil.
• À quoi servent ces deux autres lampes.
• Tout doux ma belle, pour le savoir il faudra que tu t’y rendes, mais pour le moment profite de ce que tu as fait avec Pedro pour ce soir sauf le massage que je vais te faire…
Tous les ans depuis quatre ans nous fêtons notre anniversaire entre filles.
L’an passé, c’est au sommet de la tour Eiffel au restaurant panoramique que je l’ai emmené.
Ce soir après un repas dans un petit bouchon lyonnais de Paris où nous avons fort bien dîné quelques m’a emmené.
Quelques minutes après c’est à pied qu’elle m’a fait entrer dans un lieu de perdition pour la femme fidèle à Yves mon mari.
Lui comme tous les mois fait sa troisième mi-temps avec ses copains après avoir joué un match de rugby vétéran.
Je me suis déshabillé comme Julie et c’est avec un paréo transparent montrant ma poitrine généreuse et mon sexe à la toison brune, refusant la mode de l’épilation intégrale.
J’entre avec Pedro un immense black que ma fille m’a dit être l’étalon du club vers le jardin des plaisirs.
La porte s’ouvre sur un lieu extraordinaire, un réel jardin carré d’environ 20 mètres de côté avec fleurs, pelouse, banc et même une cascade qui coule dans un petit Jacuzzi avec une échelle pour y entrer.
De chaque côté de cette cour intérieur que le concepteur des lieux à placer avec goût des fausses fenêtres donne l’impression que dans les étages des personnes y habite sur plusieurs étages.
• Regarde jolie fille, des capteurs permettent automatiquement de fermer une verrière si par malheur il pleut quand le club est ouvert.
Ce soir, heureusement il fait beau, si tu m’acceptes comme partenaire d’un moment nous ferons l’amour sous les étoiles.
Pour le moment, viens t’asseoir sur le banc, mais permet que je t’enlève ton paréo, les étoiles ont bien le droit d’avoir la chance que j’aie d’être maintenant seul avec toi.
Étalon mais enjôleur, je me retrouve entièrement nue devant lui si t’enté que le voile qui me recouvrait évitait de me voir dans mon intégralité.
Le concepteur des lieux a tout prévu même le banc où je m’assoie.
Il est chauffé même si la température est agréable.
Présentement ce sont mes seins qui ont l’attention de cet homme que j’ai accepté de suivre.
Sachant bien que je meurs d’envie dès que je l’ai vu près de moi de lui céder.
Aussi pour éviter d’être prise pour une pucelle je me glisse devant lui et comme il écarte les jambes faisant sauter sa serviette, son mandrin me saute aux yeux à moitié développé.
• Bien ma belle, je vois que tu es prête à t’occuper de Prosper qui t’attend depuis que tu es entré ici.
Je manque de rire au nom que Pedro a donné à son sexe qu’il est vrai semble autonome de son corps.
• Il est gros, mais je sens que tu vas pouvoir arriver à le prendre en bouche.
C’est avec de la difficulté contrairement au sexe d’Yves que j’avale.
Le gland passé, je fais pénétrer Prosper de 20 centimètres.
Je suis une oie blanche dans l’échangisme, mais je sais très bien pomper, sucer, caresser avec ma langue le seul sexe que j’ai eu à ce jour à ma disposition.
C’est ainsi que celui de Pedro est rapidement à la plénitude de sa tension, ce qui a tendance à me faire un peu peur.
Savoir que si je lui cède entièrement, je vais l’avoir en moi.
Mon amant car pour moi à partir du moment où j’ai accepté de le sucer, je suis devenue sa maîtresse.
Mon amant, au bout de quelques minutes il me fait relever pour m’allonger sur le banc les jambes pendantes au sol laissant ma chatte béante d’envie à sa disposition.
Je sens que je mouille comme jamais et quand il se place à l’entrée de ma chatte, pour une première fois, c’est un coup de sa grosse langue qu’il m’attaque le clitoris.
La décharge qui irradie mon corps est d’une tout autre teneur que celle que me procure mon mari.
Est-ce l’interdit que je brave qui est la cause du frisson qui part du bas de mes reins.
Ça éclate sur mon bouton ou cette langue qui le trouve et qui le caresse avec insistance me procure un premier orgasme adultérin ?
Jardin des plaisirs, ici tout semble plaisirs.
Le banc chauffant des plaisirs, pourquoi pas.
Jacuzzi des plaisirs, ce qui est sûr, c’est que je suis parti dans un nouveau monde certainement vers une de ces étoiles que je vois devant mes yeux dans la position ou je suis.
Je dois rêver jusqu’à ce que Pedro me fasse relever s’allonge au sol sur l’herbe fraîche et m’entraîne par la main vers ce baobab que je m’apprête à enfourcher en toute impudeur.
• Viens, elle est à toi, empale-toi au rythme que tu le souhaites.
Prosper est là pour toi ce soir.
Je ferme les yeux refusant de voir ce que je vais faire et quand j’ouvre mon sexe pour le situer dans l’axe de l’engin que j’avoue avoir désiré dès les premiers instants ou je l’ai vu.
Je suis si trempé que je le fais entrer aux trois quarts en moi sans aucune douleur.
Je sens l’intérieur de mon vagin, l’ignorant si profond, s’ouvrir comme les corolles de fleurs.
Fleurs qui sont dans ces massifs, gagnant encore quelques centimètres remontant rapidement vers le sommet de cette Everest qui souhaite entrer entièrement en moi.
Il faut trois allers-retours pour que je m’assoie sur son ventre fier de l’avoir entièrement avalé.
• Bien toi tu m’en diras tant, tu es l’une des seules à cacher Prosper en toi, que c’est bon, évite de bouger quelques secondes que je savoure ton exploit.
Je suis fière du compliment qu’il me fait ayant besoin moi-même de récupérer avant de m’appuyer les mains sur sa poitrine musclée pour le faire aller et venir en moi.
Combien de fois ai-je joui, combien de kilomètres ai-je montés vers le sommet de la plus haute montagne du monde.
Je suis incapable de le dire, mais j’ai ma réponse à une question, il est préférable d’avoir en soi une grande vigoureuse qu’une petite fainéante.
Épuisé je vais pour me retirer quand Pedro profitant que son gland est presque intégralement sorti pour le prendre en main et le placer sur mon anus.
Je dois perdre la raison, car au lieu de le repousser, sans me poser de questions je m’appuie dessus le sentant entrer de quelques centimètres comme il l’a fait dans ma chatte.
Pour la première fois, depuis que j’ai accepté d’entrer dans ce beau jardin de mes plaisirs ma bouche émet des sons que je me croyais incapable de prononcer.
• Continu, Prosper bourre-moi le cul comme tu viens de me bourrer la chatte.
Tu viens de faire de moi une chienne qui a compris ce qu’est le vrai plaisir.
Je reviendrais et je te donnerais mon cul comme en ce moment, putain je vais jouir par mon anneau, je sens que je pars.
C’est ainsi que le sexe de mon amant, caché dans mon vagin que mon corps s’agite dans tous les sens.
Épuisé mais comblé avec la satisfaction d’entendre l’homme qui a su me désinhiber et qui éjacule en moi.
J’aime le plaisir que j’ai avec Yves quand il décharge, de sentir mes entrailles inondées.
Un temps de repos, pour profiter de l’herbe fraîche quand je tombe à ses côtés me sentant mes trous tous ouvert quand j’entends une salve d’applaudissements.
Les fenêtres que je croyais des trompes l’œil sont ouvertes et de nombreuses personnes viennent de me regarder me faire baiser pour la première fois par un autre sexe que celui à qui j’avais promis fidélité.
Ma fille, qu’as-tu faite de moi !
• Je t’ai dit que le code permet d’éviter des intrus, mais je me suis bien gardé de te dire qu’ici prendre du plaisir et voir les autres en prendre est la devise de notre club.
À l’une d’elles, je pourrais avoir du remords, mais j’ai tellement joui que la vue de ma fille ayant constaté dans quel état de déchéance ce mandrin m’a mise m’est complétement indifférent.
Savoir que l’on me voit être une salope dans mon esprit s’envole comme se sont envolés tous mes tabous de tromper celui à qui j’avais juré fidélité.
Yves s’est éclaté sur la pelouse du PUC alors que je m’éclate sur la pelouse du jardin des plaisirs.
Je sors du jardin bien décidé de profiter de Prosper avant la fin de la soirée une nouvelle fois.
Le couloir aux trois portes identiques m’interpelle, je suis Pedro jusqu’au bar sans me rendre compte que j’ai laissé le paréo sous le banc et c’est dénudé que je trinque avec mon initiateur au libertinage.
Je dis bien libertinage, car chaque fois que je fais l’amour familialement, mon cœur participe à la fête des sens alors que là notre seul plaisir comptait même si la personne reste une personne de chair et d’os.
Parlons plutôt de pornographie consentie.
• Alors maman, que penses-tu de ce début de soirée.
• Début et fin, car je pense qu’il serait indécent de recommencer un tel moment de plaisir même si Pedro et Prosper ont été des amants merveilleux.
C’est à ce moment que la jolie blonde qui m’avait sollicité avec son mari s’approche de moi, me prends la main et m’entraîne de l’autre côté du rideau.
Sans que j’esquisse le moindre geste pour lui faire comprendre que pour moi les femmes me son inconnu.
• Viens dans l’eau je vais te masser.
Je connais bien Pedro même si comme toi, il a franchi ma porte comme tu viens de le faire.
Julie m’a dit que tu t’appelais Solange, j’adore ton prénom ancien mais si moderne comme moi qui me prénomme Éliane.
Ma fille, encore ma fille et Éliane qui a dû assister au renoncement de ma fidélité pour savoir que mon sexe a accepté ses trentaines de centimètres en lui.
Sans compter ce diamètre deux fois plus gros que ma seule référence à ce jour.
L’eau du Jacuzzi est à bonne température, c’est avec délice que je m’y plonge avec ma nouvelle amie.
C’est à ce moment qu’une des trois lampes situées au-dessus du Jacuzzi s’allume.
• Tiens, il y en a qui viennent d’entrer dans le jardin des plaisirs comme tu la fais tout à l’heure.
Je comprends que ces lampes servent à prévenir les voyeurs que quelque chose démarre dans cet espace leur permettant d’aller se rincer l’œil.
• À quoi servent ces deux autres lampes.
• Tout doux ma belle, pour le savoir il faudra que tu t’y rendes, mais pour le moment profite de ce que tu as fait avec Pedro pour ce soir sauf le massage que je vais te faire…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une suite sage même si Prosper m’a l’air d’etre Un beau morceau
Allez la suite
Bise
Mikel
Allez la suite
Bise
Mikel
Merci, je vous aime moi aussi...
C'est pour vous que j'écris...
C'est pour vous que j'écris...
Magnifique histoire, on attend la suite avec impatience.
Bisous et à très vite.
Bisous et à très vite.