COLLECTION ESCORT BOY. Je me réfugie chez mon frère ainé (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORT BOY. Je me réfugie chez mon frère ainé (1/1)
• Pierre, je t’appelle de la gare Montparnasse, je me suis embrouillé avec papa et j’ai fait mon paquetage, me voilà à Paris.
Je t’appelle pour savoir si tu veux bien me recevoir et m’héberger quelques jours.
Je sais il y a cinq ans, lorsque c’était toi qui as eu une embrouille avec ce vieux con, j’avais pris sa défense, j’étais trop jeune pour comprendre que tu avais raison.
Il y avait surtout maman, la laisser seule après ton départ, c’était l’exposé à son tour à ses colères d’ivrogne.
Le faite qui m’a choqué c’est que tu sois absent lors de son enterrement après qu’elle soit morte de chagrin des divisions de notre famille, tu aurais pu faire l’effort de te déplacer.
• De chagrin, frangin, tu y va fort, cancer généralisé, si ça c’est du chagrin, il est très profond.
Quant à son enterrement, j’y étais frangin, en retrait de la famille derrière le caveau de la famille Durant.
Jean, tu avais un jean noir avec une chemise blanche et papa avait son éternel costard que nous lui avons toujours connu, tu vois, j’étais là.
Tu serais revenu le lendemain, tu aurais vu une couronne de fleurs, avec un bandeau.
« À ma chère maman. »
Des arums blancs et jaunes, c’était ses fleurs préférées.
• Tu te trompes, je suis revenu et j’ai vu la couronne, mais j’ai cru que les employés du cimetière s’étaient trompés de tombe en la posant là.
• C’est pas tout ça Jean, chacun a ses motifs pour assumer ses contradictions, que puis-je faire pour toi ?
• M’héberger le temps que je me retourne, Pierre.
Je me ferais tout petit le temps où tu étudies le temps que mon changement de fac et de demande de bourse soit accepté.
Je sais que tes études de médecine sont difficiles, manger et dormir, c’est tout que ce que je te demande.
Pour que tu aies plus de temps pour étudier, je ferais les courses, la cuisine et le ménage.
Je pense que tu as une vie sexuelle, si tu souhaites la recevoir, j’irai au ciné ou dans un bar jusqu’à ce que tu m’appelles pour que je rentre me coucher.
Je te l’ai dit, je me ferais petite souris, tu ignoreras que je suis là.
• Bien des choses sont compliquées, mais j’aurais du mal à mettre mon petit frère à la rue, surtout si tu as enfin ouvert les yeux sur celui qui nous a mis au monde.
• Sur ce sujet, j’ai appris des choses, mais je te les dirais tout à l’heure, ça peut te faire changer d’avis sur notre père.
• J’ai ton numéro de téléphone après ton coup de fil, je t’envoie l’adresse, de la gare de Montparnasse à chez moi, tu m’appelles si tu as des difficultés.
J’arrive chez mon frère une belle tour Porte de Vincennes au début du Cour de Vincennes.
Le logement est assez grand et j’ai même ma propre chambre, ça fait trois jours que je suis là.
Dès le premier soir, comme je l’ai dit au téléphone, je mets Pierre au courant des confidences de notre mère peu avant son décès.
• Pierre notre père, du moins celui que nous prenions comme tel, maman m’a dit qu’après leur mariage, elle a fauté avec le père Martin.
Tu sais le notaire qui habitait dans notre rue et qui s’occupait de nos affaires, ses affaires.
Toi et moi sommes les fruits de leur amour, papa le savait mais pour l’emmerder, il a toujours refusé de divorcer.
C’est pourquoi il buvait, car à part leur nuit de noces, plus jamais ils ont eu ensemble des rapports.
J’ai pu vérifier l’un de ses dires un soir où il est rentré saoul, je l’ai déshabillé et j’ai constaté que sa verge, au bas mot, mesurait un centimètre.
J’ignore si elle était plus grande lorsqu’il était excité, je me voyais mal le masturber pour voir sa taille réelle en érection.
Ils ont eu leur nuit de noces, maman en est sortie aussi vierge que lors de son entrée dans leur chambre.
Elle m’a dit avoir attendu presque six mois pour céder à Jean-Philippe le notaire et dès cette première fois tu es venu au monde neuf mois plus tard.
Leur relation a duré et trois ans plus tard, c’est moi qui suis venu au monde.
• Frangin, c’est sympa de me mettre au parfum pour notre père, mais j’ignorais la taille de son quiqui.
Si j’étais à Carnac pour son enterrement, c’est que j’ai reçu une lettre de maman m’expliquant la situation pour notre naissance.
En plus de la couronne, j’ai rencontré Jean-Philippe.
Au départ, il refusait de me rencontrer, mais j’ai campé devant son étude et comme ça faisait mauvais genre il m’a reçu.
Il tient à sa tranquillité et refuse de nous reconnaitre.
Je vais te faire une confidence, si notre père est un vieux con, l’autre notre géniteur est encore plus con.
Pour lui maman était un plan cul gratuit qui l’aidait dans ses affaires en lui classant des papiers et en s’allongeant sur son canapé simplement pour qu’il la baise.
• C’est un vrai salopard, que peut-on faire, pour venger sa mémoire ?
• C’est déjà fait, j’ai chargé une vieille amie avocate de faire le nécessaire pour que nous soyons reconnus.
L’ADN, son ADN et le nôtre prouvant sa paternité, mais seul un juge peut décider cette comparaison, mais j’ai été plus malin que lui.
J’ai réussi à lui prendre un mug et que j’ai envoyé en Allemagne où ils font ce genre de recherche avec une mèche de mes cheveux, nous attendons les résultats pour le travailler au corps.
Ça vaut le coup, ce vieux porc est riche à millions grâce à des viagers qu’il a faits avec plusieurs vieilles femmes qui depuis sont mortes.
De plus, le lendemain, Pierre m’a emmené à sa salle de sport, il m’a pris un abonnement, la salle est presque ouverte matin et soir.
Le matin de bonne heure de 8 heures et jusqu’au soir elle ferme après 23 heures.
Je courrais à Carnac non loin des menhirs, ici c’est sur un tapis roulant.
Pierre en rigolant m’a dit que s’il me le demandait, de disparaitre lorsqu’il voit une copine, j’aurais toujours loisir de venir faire du sport.
Il a ajouté que pour les filles, il était loin de donner l’exclusivité à l’une ou l’autre.
Il avait des goûts très éclectiques.
Aujourd’hui, il est parti sapé comme un prince, alors que d’habitude il est comme moi dans une tenue décontractée.
Il était trop bien habillé pour aller à la fac, je me suis demandé ou il pouvait aller, chez Geneviève sa copine de fac étudiante en médecine !
Hier, j’ai fait le ménage comme je lui avais proposé alors qu’il se soit absenté, quand on étudie, il y a des bouquins et des notes écrites comme j’en prenais en Bretagne alors que j’étais en fac de droit.
Ici pas la moindre trace de ce genre de document ce qui a eu lieu de m’intriguer.
J’aurais pu lui poser la question le soir, mais je connais assez mon frère, surtout lorsqu’il était encore à la maison, il a horreur que je lui pose ce genre de question.
Je regarde la télé, avachi sur le canapé, vers 14 heures, je dois me rentre à une fac pour voir s’il est possible de s’inscrire en cours d’année.
Là encore des choses sont suspectes pour un étudiant simplement l’écran télé presque 2 mètres, j’en ai rarement vu d’aussi grand.
Et que dire du canapé et des fauteuils en cuir blanc, leurs prix doivent être exorbitants pour un gars faisant des études.
C’est à ce moment que l’Interphone de la porte d’entrée principale se rappelle à mon bon souvenir, je pense que c’est Pierre qui revient ayant oublié ses clefs.
• Pierre, c’est Geneviève, je peux te voir !
Instinctivement j’appuie sur « entrée », je vais enfin connaitre Geneviève qui semble jouer un rôle important dans la vie de mon frère.
• Qui êtes-vous, je voulais voir Pierre ?
• Il doit avoir un malentendu, je suis le petit frère de Pierre, j’arrive de Bretagne.
À Paris, il doit connaitre deux femmes s’appelant Geneviève, il fait ses études de médecine avec une autre jeune femme ayant le même nom que vous.
Sans vous manquer de respect, vous êtes trop âgée pour faire des études de médecine.
• Des études de médecine, Pierre, quand pourrait-il trouvé le temps d’étudier, il est l’escorte la plus demandée sur la place de Paris.
Avez-vous vu l’appart qu’il possède et comment il est aménagé, je sais bien des choses sur lui, je suis son avocate et j’étais venue le mettre au courant d’une affaire qui vous touche aussi Jean ?
Occasionnellement j’en aurais profité pour qu’il s’occupe de moi, j’ai la chance de l’aider contre ses faveurs gratuitement.
Je suis breton, je lis Astérix, lui aussi est breton et le ciel me tombe sur la tête, mon frère est une pute, qui fait l’escorte pour vivre sa vie à Paris.
• Tu sais que tu es beau gosse, j’ai là quelques billets que je suis prête à dépenser avec toi, même si ce que j’avais prévu de dire à ton frère est aussi important pour toi.
Tu es trop beau pour que tu m’échappes, les femmes pressées et les vieilles salopes de Paris qui constitue la clientèle de ton frère vont tout faire pour te mettre dans leur lit.
Que faire, jouer la pucelle effarouchée, j’ai déjà trempé mon sexe dans deux chattes dans mon pays, c’est vrai que je suis beau gosse, j’en suis doublement certain lorsqu’elle me met la main au paquet ?
• Bien dit donc, tu promets, si tu sais te servir de ce que ton père le notaire a mis dans ton pantalon, je suis sûr que tu vas rapidement avoir ta Ferrari comme celle que ton frère vient de s’acheter.
À cette heure, il doit être au volant pour aller satisfaire une de ses clientes dans les beaux quartiers de notre capitale.
Pierre possède une Ferrari, la voiture de mes rêves, j’en avais trois en miniature à Carnac, rouge, jaune et une noire les trois avec un cheval cabré.
Geneviève descend mon short que j’ai passé sans savoir qu’une dame presque de l’âge qu’avait maman viendrait me sucer la queue, me faisant serrer les fesses pour éviter de lui éjaculer dans la bouche.
Qui la dénude, on s’en fout, ma queue entre en elle alors qu’elle est sur le canapé.
Elle hurle de plaisir, je viens de passer mon examen d’escorte avec succès.
Conclusion de notre histoire ?
Je tiens à avoir un bagage dans la vie, je viens de m’acheter ma première
Ferrari, par chance, Pierre l’a choisi jaune, je peux réaliser mon rêve, la mienne est rouge.
On, se tire la bourre entre frères, mais en bonne entente, le principal c’est que notre fratrie, est de quoi vivre jusqu’à des temps encore inconnue.
Geneviève passe de l’un à l’autre, après qu’un juge est pris en compte sa demande de paternité qui a été reconnue, nous sortons de l’hôpital ou notre deuxième père bien qu’il soit le premier avec ses spermatozoïdes.
Même si c’est un ivrogne, c’est lui qui nous a élevé une bonne partie de sa vie.
Jean-Philippe vient d’avoir un AVC qui va irrémédiablement le conduire à sa fin de vie.
Je vais pouvoir prendre sa suite et profiter de ses biens quelquefois mal acquis.
Entre le fric gagné comme escorte et les loyers des viagers.
Lorsque je rencontre Gwenaelle bonne bretonne bretonnante, je peux commander le festin de mariage de fin d’histoire comme dans les livres d’Astérix et d’Obélix les Gaulois.
Si parmi mes lecteurs l’un d’eux veut tenir le rôle, vous savez, du barde Assurancetourix, elle lui tend les bras.
Je t’appelle pour savoir si tu veux bien me recevoir et m’héberger quelques jours.
Je sais il y a cinq ans, lorsque c’était toi qui as eu une embrouille avec ce vieux con, j’avais pris sa défense, j’étais trop jeune pour comprendre que tu avais raison.
Il y avait surtout maman, la laisser seule après ton départ, c’était l’exposé à son tour à ses colères d’ivrogne.
Le faite qui m’a choqué c’est que tu sois absent lors de son enterrement après qu’elle soit morte de chagrin des divisions de notre famille, tu aurais pu faire l’effort de te déplacer.
• De chagrin, frangin, tu y va fort, cancer généralisé, si ça c’est du chagrin, il est très profond.
Quant à son enterrement, j’y étais frangin, en retrait de la famille derrière le caveau de la famille Durant.
Jean, tu avais un jean noir avec une chemise blanche et papa avait son éternel costard que nous lui avons toujours connu, tu vois, j’étais là.
Tu serais revenu le lendemain, tu aurais vu une couronne de fleurs, avec un bandeau.
« À ma chère maman. »
Des arums blancs et jaunes, c’était ses fleurs préférées.
• Tu te trompes, je suis revenu et j’ai vu la couronne, mais j’ai cru que les employés du cimetière s’étaient trompés de tombe en la posant là.
• C’est pas tout ça Jean, chacun a ses motifs pour assumer ses contradictions, que puis-je faire pour toi ?
• M’héberger le temps que je me retourne, Pierre.
Je me ferais tout petit le temps où tu étudies le temps que mon changement de fac et de demande de bourse soit accepté.
Je sais que tes études de médecine sont difficiles, manger et dormir, c’est tout que ce que je te demande.
Pour que tu aies plus de temps pour étudier, je ferais les courses, la cuisine et le ménage.
Je pense que tu as une vie sexuelle, si tu souhaites la recevoir, j’irai au ciné ou dans un bar jusqu’à ce que tu m’appelles pour que je rentre me coucher.
Je te l’ai dit, je me ferais petite souris, tu ignoreras que je suis là.
• Bien des choses sont compliquées, mais j’aurais du mal à mettre mon petit frère à la rue, surtout si tu as enfin ouvert les yeux sur celui qui nous a mis au monde.
• Sur ce sujet, j’ai appris des choses, mais je te les dirais tout à l’heure, ça peut te faire changer d’avis sur notre père.
• J’ai ton numéro de téléphone après ton coup de fil, je t’envoie l’adresse, de la gare de Montparnasse à chez moi, tu m’appelles si tu as des difficultés.
J’arrive chez mon frère une belle tour Porte de Vincennes au début du Cour de Vincennes.
Le logement est assez grand et j’ai même ma propre chambre, ça fait trois jours que je suis là.
Dès le premier soir, comme je l’ai dit au téléphone, je mets Pierre au courant des confidences de notre mère peu avant son décès.
• Pierre notre père, du moins celui que nous prenions comme tel, maman m’a dit qu’après leur mariage, elle a fauté avec le père Martin.
Tu sais le notaire qui habitait dans notre rue et qui s’occupait de nos affaires, ses affaires.
Toi et moi sommes les fruits de leur amour, papa le savait mais pour l’emmerder, il a toujours refusé de divorcer.
C’est pourquoi il buvait, car à part leur nuit de noces, plus jamais ils ont eu ensemble des rapports.
J’ai pu vérifier l’un de ses dires un soir où il est rentré saoul, je l’ai déshabillé et j’ai constaté que sa verge, au bas mot, mesurait un centimètre.
J’ignore si elle était plus grande lorsqu’il était excité, je me voyais mal le masturber pour voir sa taille réelle en érection.
Ils ont eu leur nuit de noces, maman en est sortie aussi vierge que lors de son entrée dans leur chambre.
Elle m’a dit avoir attendu presque six mois pour céder à Jean-Philippe le notaire et dès cette première fois tu es venu au monde neuf mois plus tard.
Leur relation a duré et trois ans plus tard, c’est moi qui suis venu au monde.
• Frangin, c’est sympa de me mettre au parfum pour notre père, mais j’ignorais la taille de son quiqui.
Si j’étais à Carnac pour son enterrement, c’est que j’ai reçu une lettre de maman m’expliquant la situation pour notre naissance.
En plus de la couronne, j’ai rencontré Jean-Philippe.
Au départ, il refusait de me rencontrer, mais j’ai campé devant son étude et comme ça faisait mauvais genre il m’a reçu.
Il tient à sa tranquillité et refuse de nous reconnaitre.
Je vais te faire une confidence, si notre père est un vieux con, l’autre notre géniteur est encore plus con.
Pour lui maman était un plan cul gratuit qui l’aidait dans ses affaires en lui classant des papiers et en s’allongeant sur son canapé simplement pour qu’il la baise.
• C’est un vrai salopard, que peut-on faire, pour venger sa mémoire ?
• C’est déjà fait, j’ai chargé une vieille amie avocate de faire le nécessaire pour que nous soyons reconnus.
L’ADN, son ADN et le nôtre prouvant sa paternité, mais seul un juge peut décider cette comparaison, mais j’ai été plus malin que lui.
J’ai réussi à lui prendre un mug et que j’ai envoyé en Allemagne où ils font ce genre de recherche avec une mèche de mes cheveux, nous attendons les résultats pour le travailler au corps.
Ça vaut le coup, ce vieux porc est riche à millions grâce à des viagers qu’il a faits avec plusieurs vieilles femmes qui depuis sont mortes.
De plus, le lendemain, Pierre m’a emmené à sa salle de sport, il m’a pris un abonnement, la salle est presque ouverte matin et soir.
Le matin de bonne heure de 8 heures et jusqu’au soir elle ferme après 23 heures.
Je courrais à Carnac non loin des menhirs, ici c’est sur un tapis roulant.
Pierre en rigolant m’a dit que s’il me le demandait, de disparaitre lorsqu’il voit une copine, j’aurais toujours loisir de venir faire du sport.
Il a ajouté que pour les filles, il était loin de donner l’exclusivité à l’une ou l’autre.
Il avait des goûts très éclectiques.
Aujourd’hui, il est parti sapé comme un prince, alors que d’habitude il est comme moi dans une tenue décontractée.
Il était trop bien habillé pour aller à la fac, je me suis demandé ou il pouvait aller, chez Geneviève sa copine de fac étudiante en médecine !
Hier, j’ai fait le ménage comme je lui avais proposé alors qu’il se soit absenté, quand on étudie, il y a des bouquins et des notes écrites comme j’en prenais en Bretagne alors que j’étais en fac de droit.
Ici pas la moindre trace de ce genre de document ce qui a eu lieu de m’intriguer.
J’aurais pu lui poser la question le soir, mais je connais assez mon frère, surtout lorsqu’il était encore à la maison, il a horreur que je lui pose ce genre de question.
Je regarde la télé, avachi sur le canapé, vers 14 heures, je dois me rentre à une fac pour voir s’il est possible de s’inscrire en cours d’année.
Là encore des choses sont suspectes pour un étudiant simplement l’écran télé presque 2 mètres, j’en ai rarement vu d’aussi grand.
Et que dire du canapé et des fauteuils en cuir blanc, leurs prix doivent être exorbitants pour un gars faisant des études.
C’est à ce moment que l’Interphone de la porte d’entrée principale se rappelle à mon bon souvenir, je pense que c’est Pierre qui revient ayant oublié ses clefs.
• Pierre, c’est Geneviève, je peux te voir !
Instinctivement j’appuie sur « entrée », je vais enfin connaitre Geneviève qui semble jouer un rôle important dans la vie de mon frère.
• Qui êtes-vous, je voulais voir Pierre ?
• Il doit avoir un malentendu, je suis le petit frère de Pierre, j’arrive de Bretagne.
À Paris, il doit connaitre deux femmes s’appelant Geneviève, il fait ses études de médecine avec une autre jeune femme ayant le même nom que vous.
Sans vous manquer de respect, vous êtes trop âgée pour faire des études de médecine.
• Des études de médecine, Pierre, quand pourrait-il trouvé le temps d’étudier, il est l’escorte la plus demandée sur la place de Paris.
Avez-vous vu l’appart qu’il possède et comment il est aménagé, je sais bien des choses sur lui, je suis son avocate et j’étais venue le mettre au courant d’une affaire qui vous touche aussi Jean ?
Occasionnellement j’en aurais profité pour qu’il s’occupe de moi, j’ai la chance de l’aider contre ses faveurs gratuitement.
Je suis breton, je lis Astérix, lui aussi est breton et le ciel me tombe sur la tête, mon frère est une pute, qui fait l’escorte pour vivre sa vie à Paris.
• Tu sais que tu es beau gosse, j’ai là quelques billets que je suis prête à dépenser avec toi, même si ce que j’avais prévu de dire à ton frère est aussi important pour toi.
Tu es trop beau pour que tu m’échappes, les femmes pressées et les vieilles salopes de Paris qui constitue la clientèle de ton frère vont tout faire pour te mettre dans leur lit.
Que faire, jouer la pucelle effarouchée, j’ai déjà trempé mon sexe dans deux chattes dans mon pays, c’est vrai que je suis beau gosse, j’en suis doublement certain lorsqu’elle me met la main au paquet ?
• Bien dit donc, tu promets, si tu sais te servir de ce que ton père le notaire a mis dans ton pantalon, je suis sûr que tu vas rapidement avoir ta Ferrari comme celle que ton frère vient de s’acheter.
À cette heure, il doit être au volant pour aller satisfaire une de ses clientes dans les beaux quartiers de notre capitale.
Pierre possède une Ferrari, la voiture de mes rêves, j’en avais trois en miniature à Carnac, rouge, jaune et une noire les trois avec un cheval cabré.
Geneviève descend mon short que j’ai passé sans savoir qu’une dame presque de l’âge qu’avait maman viendrait me sucer la queue, me faisant serrer les fesses pour éviter de lui éjaculer dans la bouche.
Qui la dénude, on s’en fout, ma queue entre en elle alors qu’elle est sur le canapé.
Elle hurle de plaisir, je viens de passer mon examen d’escorte avec succès.
Conclusion de notre histoire ?
Je tiens à avoir un bagage dans la vie, je viens de m’acheter ma première
Ferrari, par chance, Pierre l’a choisi jaune, je peux réaliser mon rêve, la mienne est rouge.
On, se tire la bourre entre frères, mais en bonne entente, le principal c’est que notre fratrie, est de quoi vivre jusqu’à des temps encore inconnue.
Geneviève passe de l’un à l’autre, après qu’un juge est pris en compte sa demande de paternité qui a été reconnue, nous sortons de l’hôpital ou notre deuxième père bien qu’il soit le premier avec ses spermatozoïdes.
Même si c’est un ivrogne, c’est lui qui nous a élevé une bonne partie de sa vie.
Jean-Philippe vient d’avoir un AVC qui va irrémédiablement le conduire à sa fin de vie.
Je vais pouvoir prendre sa suite et profiter de ses biens quelquefois mal acquis.
Entre le fric gagné comme escorte et les loyers des viagers.
Lorsque je rencontre Gwenaelle bonne bretonne bretonnante, je peux commander le festin de mariage de fin d’histoire comme dans les livres d’Astérix et d’Obélix les Gaulois.
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Superbe histoire.
Vous vous souvenez de moi ? Il y a quelques années.
Vous me recontactez?
anne
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