COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison II (6/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison II (6/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison II (6/8)
Aurélie vient de se faire ses deux premiers clients avec moi et nous venons de monter dans le taxi nous emmenant vers notre lit douillet.
Nos bouches se rejoignent et voyant le conducteur tourner son rétro, je lui offre une petite prime en plus du coût de la course.
J’écarte les jambes de mon amie et sans hésiter, je lui montre qu’elle est repartie de l’hôtel sa chatte sans aucun voile.
Ce geste va me permettre de lui offrir des dessous affriolants dans le quartier de l’opéra où je suis devenue une habituée d’une boutique où les 2 000 € gagnés cette nuit vont disparaître rapidement.
Nous faisons d’une pierre deux coups, nous nous arrêtons dans deux hôtels où je travaille afin de déposer les cartes de Véronique afin qu’elle travaille régulièrement.
On peut penser que je joue contre moi, mais les réceptionnistes savent mieux que nous ce que veulent nos clients et je sais que j’aie des cheveux de couleurs différentes d’Aurélie et qu’il y a du travail pour tout le monde, sans compter les duos que j’espère former avec elle.

En ce moment sa chatte que je pénètre de trois doigts caressant son point G est offerte au regard de notre chauffeur au risque que nous ayons un accident.
Il conduit de la main droite sa gauche devant être celle qui lui sert régulièrement à se masturber.

- Merci mesdames, voici ma carte, je suis toujours de service de nuit cela me permet de m’occuper de mes enfants pendants que ma femme va à son collège faire ses cours où elle est prof de math.
Passez-moi un coup de téléphone quand vous partez travailler, je viendrais vous chercher et je vous reconduirais dès que vous aurez satisfait nos clients.
Avez-vous des cartes, certains clients nous demandent si nous connaissons des filles à emmener dans leurs hôtels pour finir la nuit !
Je vous appellerais et je passerais vous chercher.

C’est comme cela que j'ai tissé un réseau de clients depuis que j’ai commencé sans jamais racoler et risquer de me trouver sous le coup de la loi.
Nous dormons jusqu’à 11 heures et comme prévu nous sortons faire nos emplettes, le soir à l’heure où les réceptionnistes de nuit ont pris leurs postes nous passons dans leurs hôtels et à chacun, je leur donne une carte avec un billet bien plus petit que celui que je leur donne quand je descends d’une chambre.

Le lendemain matin ayant récupéré nous passons rue des Ursulines et après avoir chargé toutes nos affaires encore dans le petit meublé nous passons à l’agence pour résilier le bail.
C’est le cœur gros que je donne les clefs à la jeune femme ayant moi-même fermée la porte du lieu ou ma vie s’est révélée.

- Cela tombe bien, votre proprio est mort et les enfants souhaitent vendre, j’allais vous appeler pour vous proposer un autre studio.
- Combien en demandent-ils ?
- 150 000 € mais il semble presser et je pense pouvoir vous le négocier à 120 000 frais de notaire compris.
- Dite leur qu’ils ont des acheteuses à 100 000.
- Vous êtes dure en affaires, je vais voir ce que je peux faire.

Les leçons de mathématiques quand on veut rentrer dans la fonction publique me permettent de faire un calcul rapide.
100 000 € divisés par 2 000 € chaque passe, divisé par deux si Aurélie fait le même calcul que moi et adhère à mon programme, 50 passes, soit 25 chacune et le studio sera à nous.
Il faut ajouter le loyer quand nous louerons, plus l’inflation si nous revendons dans quelques années, pour moi inutile d’hésiter.
Il faut bien investir pour écouler l’argent que je mets dans un coffre ouvert à ma banque et qui va finir par être trop petit et me coûter de l’argent, si j’en loue un plus grand.

- Guénaelle, je voudrais bien acheter avec toi ce studio qui nous a permis de nous rencontrer, mais tu sais que l’argent que je vais gagner est prévu pour que j’achète ma pharmacie.
- Oui ma chérie, mais comment vas-tu faire le jour où tu auras les moyens de l’acheter.
Tu débarqueras chez le notaire avec une valise de billets en liquide qui t’enverra vers la case prison pour avoir gagné de l’argent non déclaré.
Nous sommes des masseuses et non des putes pour le fisc.
Je ferais comme l’an passé nous allons faire nos feuilles d’impôts comme profession libérale.
Quant au liquide que j’accumule moi aussi, je sais qui nous allons aller voir et qui va s’occuper de nos affaires !
Es-tu d’accord, si tout va bien ce sera une opération blanche pour nos moyens ?
- Tout va trop vite pour moi, mais je t’ai fait confiance pour aller voir nos premiers clients, alors je te suis, c’est toi qui fais des études qui vont t’amener à gérer le pays.

C’est à ce moment que le portable d’Aurélie sonne, elle décroche et écoute.

- Attendez.

Elle enclenche le haut-parleur.

- Aurélie as-tu une tenue de bonne sœur.
- Qui c’est,- Un des hôtels où tu as déposé une carte au réceptionniste près de l’Opéra.
- C’est oui, on a, ce sera 3 000 au lieu de 2 000.
21 heures ce soir, c’est d’accord pour moi aussi.

Elle raccroche et me saute au cou me faisant de nouveau sentir sa langue sur la mienne.

- Tu as une tenue de bonne sœur, j’ai tout fouillé comme je te l’ai dit, ou est-elle ?
- Dans le magasin qui loue des costumes pour les soirées déguisées où je vais quand j’ai des demandes extravagantes.

Nous récupérons sa tenue et je veux que nous allions régler le problème de l’achat auprès de celui qui doit pouvoir nous aider quant à son tour mon téléphone sonne, je décroche.

- Dans une demi-heure à la brasserie face au Palace où tu as ton travail, j’y serais je suis très proche de toi.

Aurélie me regarde étonner.

- C’est Christian le réceptionniste qui vient de trouver une place dans le Palace qui vient de rouvrir et qui m’attend, il veut me parler, viens avec moi.

Grand quartier parisien et je repère Christian installé derrière la vitre regardant si j’arrive.

- Bonjour Anabella, je vois que mon remplaçant t’a donné mon nom.
Peu importe, nous sommes là pour parler avenir, continue de m’appelé par mon prénom et si nous tombons d’accord sur ce que je vais te proposer nous pouvons continuer à nous tutoyer.
Je peux parler devant mademoiselle.
- Oui, c’est comme si c’était ma sœur, elle est entrée dans le métier.
- Bien voilà, parles-tu l’anglais.
- Je suis bilingue.
- Parfait sinon notre projet tombait à l’eau.
Je continue, es-tu prête à continuer notre collaboration ?
- Plus que jamais.
- C’est bien, mais attention tu vas monter de catégorie en travaillant dans notre Palace.
Tes tarifs seront bien plus importants que ceux que tu percevais avant.
- Combien dois-je prendre ?
- 5 000 au minimum.
- Ouah, je comprends.
- Il va sans dire qu’à ce tarif les filles de ton calibre sont rares sur la place de Paris.
Si je t’appelle, ma commission devra suivre tes revenus supplémentaires.
- Je comprends et c’est certain, j’ai une idée de ce que je devrais te donner, mais exprime-toi pour voir si nous calculons de façon identique de manière à éviter les quiproquos.
- Tu as raison il faut que la transaction soit claire tu me donnais 5 % des 2 000 jusqu’à maintenant, ici ce sera 10 % sur les 5 000.
- Je suis d’accord, c’est ce que j’allais te proposer.
- Demain soir 20 heures, repas et soirée dans la chambre d’un gros Américain qui est là pour une conférence.
- Sans problème, je serai là à demain.
- Mademoiselle, parlez-vous anglais vous aussi ?
- Comme Guénaelle, je fais des études pour devenir pharmacienne, voici ma carte.

De retour dans la rue Aurélie semble perplexe.

- Je vois que tu penses que j’ai eu tort de lui donner 10 %.
- Oui.
- Tu as dit que tu me faisais confiance, car je vais être amenée à gérer la France si je réussis mes examens à l’E.N.A.
Calcul, 5 % de 2 000 que je lui donne soit 100 €, il me reste 1 900.
10 % de 5 000 dans ce palace, 500 € restent 4 500, j’ai bien calculé non.
Écarter mes cuisses pour 1 900 ou 4 500 pour le même temps, tu as compris.
- J’ai bien fait de te rencontrer tu es démoniaque.
- Oui ma sœur, mais une nouvelle fois tu as fait un imper, il faut apprendre, tu m’as appelé par mon vrai nom, avec Christian, c’est sans importance, mais fait attention.

Un nouveau fou rire nous prend et le taxi que j’ai appelé arrive pour nous conduire Boulevard du Palais-Royal.
Au bas de l’immeuble au lieu de monter chez Louis, je sonne en bas à une porte ou son nom est marqué sur une plaque en cuivre avec sa raison sociale que j’avais vue sur sa carte avant qu’il me fasse boire du champagne.

- Une vieille mémé au moins cinquante ans vient m’ouvrir.
- Avez-vous rendez-vous mesdames ?
- Non, mais allez dire à votre patron que Guénaelle veut le voir.
- Je vais voir s’il est disponible, entré dans la salle d’attente.

Trois minutes, Louis apparaît étonné de me voir en galante compagnie.

- Maîtresse que me vaut votre visite, Geneviève vous pouvez partir, je fermerais.

Elle est étonnée mais semble ravie de pouvoir partir plus tôt, mais surtout surprise qu’il m'appelle maîtresse.

- On monte chez moi, maîtresse.
- Non, si je viens te voir c’est professionnellement.
Nous voulons acheter l’appartement où nous habitions avant que j’aille près du champ de Mars où nous nous sommes connus.
Tu vas t’occuper de la transaction.
- Qu’est-ce que j’y gagne maîtresse ?
- Si tu réussis, une séance de fouet gratuitement par mois, donnée par l’une de nous deux.
Elle a un coup de poignet aussi fort que le mien, si tu nous fais gagner énormément, nous viendrons toutes les deux, tu auras double dose de souffrance.
Nous aurons aussi de l’argent à placer en bourse, mais là je t’aiderais.
Il nous faut des rendements plus forts que le livret d’épargne ou les assurances-vie.
- Maîtresses, l’une ou l’autre, vous pouvez me fesser, j’allais vous appeler…

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