COLLECTION ESCORTE. Double vie (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. Double vie (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Double vie (1/1)
• Jessica, quand pourras-tu t’arranger pour que nous puissions passer un week-end ensemble ?
• Christina, je t’aime bien et j’aime lorsque nous nous éclatons dans des boîtes, mais tu sais que chaque samedi, je descends chez maman.
Depuis son attaque cérébrale, ces deux jours que je passe près d’elle, sont les seuls moments où je peux lui faire voir que je suis une fille qui l’aime.
• Je le sais, mais te savoir vivant comme une none pendant ces quarante-huit heures où tu pars en province me fait de la peine.
• Mais le lundi, nous nous retrouvons à l’hôpital et jusqu’au vendredi suivant nous couchons même ensemble.
Dis-moi qu’est-ce que cette crise de jalousie, tu crois qu’au lieu de m’occuper de ma mère, je vais faire la fête à Valence ?
• Non, excuse, mais devoir te conduire au TGV le matin à 6 h 30, pour faire la garde malade, ça me navre, j’aimerais que 7 jours sur 7 nous soyons ensemble.
• Allez, buvons un coup, regarde le beau blond au bar, il te dévore des yeux.
• Quelle horreur, un homme, le jour où l’un d’eux arrivera à tremper son biscuit sans ma chatte, les poules auront des dents.
Seule ta langue ou à la rigueur nos godes lorsque c’est toi qui les fais coulisser ont mon approbation.
Alors, je vais moi-même m’atteler à l’amener dans notre lit ce soir.
• Si tu fais ça, je lui coupe les couilles.
• Bon, mais la belle brune là-bas, je sens qu’elle a envie que tu ailles l’inviter, j’ai envie de te voir lui sucer la chatte et l’éclater avec ton gode ceinture.
• Parle des godes, tu aimes quand tu prends une de nos conquêtes que je te rentre le mien au fond de ton cul cochonne.
• Toi, le lendemain matin tu prends, ton TGV de 7 heures gare de Lyon, pour aller jouer les mères Térésa.
Bon je vais l’inviter, mais demain quand tu seras parti, c’est moi qui aurai la corvée de lui apprendre que les trois s’étaient pour une seule nuit.
• Christina, qui me dit que tu les fais partir dès le lendemain matin et que pendant comme tu le dis je vais jouer les mères Térésa, tes jolies lèves restes collés à leur clito.
La brune, épiler ou grosse toison, moi je pense épilée.
• Ça tombe bien je joue grosse toison.
• C’est facile pour moi, tu as toujours aimé les chattes poilues que les chattes épilées, je vais encore gagner notre prochain resto du vendredi soir.
D’ailleurs, je me demande pourquoi tu m’aimes, avant d’emménager ensemble en co-location, je m’étais fait épiler au laser.
• Oui, je t’aime, malgré que tu te sois fait ôter ta toison blonde, c’est une ineptie quand on a la chance de naître blonde de tout enlever.
• Toi tu aimes les grosses touffes, car avec ta chevelure rousse, ta chatte garde toute sa saveur lorsque ma langue va tout au fond de ton intimité.

Voilà, il est cinq heures, mon portable à vibrer alors que nous sommes toutes les trois dans notre lit de notre appartement parisien.
À 6 heures, Lionel mon taxi va venir me prendre au bas du boulevard Saint-Michel.
Il vient tous les samedis à cette heure.
S’il a un empêchement, c’est lui qui se chargera de se faire remplacer.
Lundi matin 9 h 30, je le retrouverais à la sortie de la gare et il me déposera là où il me prend afin que je retrouve Christina pour que nous prenions notre poste auprès de nos malades dans l’hôpital où nous travaillerons jusqu’à 20 heures.

« Lyon-Perrache, les voyageurs pour... »

Je sais, j’ai dit à Christina que j’allais chez ma mère à Valence, mais lorsque je sors de la gare, c’est un autre taxi qui m’attend.

• Bonjour, mademoiselle Jessica, vous avez fait bon voyage !
• Serge, je suis habituée depuis deux ans que je fais le trajet, Jacinthe, vous a fait parvenir votre chèque mensuel !
• Comme d’habitude, mademoiselle, si tous les clients étaient aussi sérieux que vous, même si la course est courte, je serais le plus heureux des taxis lyonnais.

Nous arrivons rue Gasparin, je descends et je rentre dans un immeuble cossu.
Ascenseur, 5e et j’ouvre la porte avec mes clefs.
Jacinthe est là dans la cuisine, elle prépare mon petit déjeuner, chaque samedi matin dès que j’arrive je bois mon petit déjeuner.

• As-tu passé une bonne semaine ?
• Semaine habituelle en attendant que tu reviennes, mais depuis que tu m’as embauché, j’ai largement pris mes aises.
• À quelle heure mon premier client.
• J’en avais un qui voulait venir à 11 heures, mais je connais tes habitudes et je sais qu’avant midi tu les refuses tous.
Le premier sera à 12 h 30, le gros François, je t’ai préparé la guêpière bleue et ta tenue d’écolière, j’ai du mal à comprendre qu’un homme puisse fantasmer sur une guêpière et une collégienne.
• C’est pour ça qu’on est là, 99% du temps, ces messieurs ont des fantasmes impossibles à demander à leur femme de satisfaire.
Et après, 15 heures, un nouveau ?
• Ses envies ?
• Surtout la sodomie, comme tu l’as dit, sa femme refuse.
• Il est envoyé par qui ?
• Sofiane, c’est un client sur alors j’ai accepté, il a accepté tes tarifs sans rechigner pour les tarifs de la sodomie.
Il m’a aussi demandé, que si tu lui plait et que tu saches y faire, de revenir avec Sofiane qui était absent pour venir avec lui.
• Tu lui as dit que pour une partie à trois s’était moi qui décidais.
• Et pour le soir, j’ai quelque chose !
• Bien sûr, Cyprien ?
• Cyprien, il revient, il m’avait juré que les putes s’étaient terminées et qu’il allait se marier.
• Je lui ai fait remarquer, mais la jeune pucelle, refusais de le fesser comme tu sais le faire avec ta cravache.
J’ai tout préparé et tu auras assez de temps entre chacun d’entre eux pour te prélasser dans ton bain comme tu aimes le faire.
Pour demain, je te dirais ce soir qui vient, mais sache que là encore tu seras loin de chômer.
• Tu pourras me frotter le dos et à part ça, as-tu fait les compte sur la recette dépenser de la semaine dernière !
• J’ai payé son mois à Serge, il fera passer sa part à celui qui l’a remplacé il y a quinze jours, car il mariait sa fille.
• Je pense qu’il est venu se faire payer ici et que pour l’occasion, tu l’as reçu dans une de mes guêpières !
• Jessica, ce sont les putes qui portent des guêpières, oh ! pardon mademoiselle, je viens de vous manquer de respect, j’avais mis votre déshabillé rose, ça l’existait.

Depuis un an, je sais que Serge est l’amant de Jacinthe et j’aime la taquiner sur cet amant marié, la cinquantaine et qui a marié sa fille.
Serge a été mon client dans les premières semaines où je me suis installée et lorsque j’ai su qu’il était taxi, je lui ai demandé de s’occuper de mes trajets du samedi et du lundi matin.
Ça a été la même démarche à Paris avec Lionel, je voyage, ils m’attendent et je vis mes deux vies sans la moindre anicroche.

• Tu m’as répondu pour Serge et alors la semaine dernière, combien ?
• 4 800 €, 200 de moins que la moyenne que tu as calculée pour quitter ce travail dans six à huit ans.
J’ai fait une estimation pour ce week-end comme je le fais chaque semaine , tes rendez-vous pris, grâce aux sodomies, tu devrais te faire plus de 6 000 € sans compter les pourboires.

Jacinthe dit vrai, je veux arrêter dans ces années-là avec les deux ans que j’ai déjà fait, dix ans de prostitution avec les voyages, ce serait dangereux d’en faire plus lorsque l’on vieillit.
Faire des clients pour 100 balles, très peu pour moi, j’aurais environ nettes 2 000 000 € avec en plus cet appartement que je pourrais revendre alors que je le paye à crédit, justement sur ces dix ans.
Avec Christina qui on l’a compris ignore ma double vie, nous voulons quitter l’hôpital pour acheter un magasin de chaussures dans Paris.
J’ai tout prévu, j’enterrerais maman dans ces années-là, héritant de cette somme et d’un logement à Vienne où elle réside.
Mais comment en suis-je arrivée à me prostituer il y a deux ans ?

C’était avant que je me mette en colocation avec Christina, j’étais en école d’infirmières à Lyon, c’était ma mère qui subvenait à mes besoins.
Je venais de finir ces études et j’attendais d’avoir mon diplôme pour rejoindre Paris et l’hôpital où je suis depuis.
Ma mère avait un nouvel amant et un jour où elle était à son travail, ce mec a essayé de me violer.
J’avais déjà eu des amants, oh ! pas beaucoup deux, mais c’était le mec de ma mère et je voyais mal coucher avec lui.
À son retour, je lui ai dit ce qui s’était passé et contre toute attente elle l’a défendu en me traitant de salope vue les tenues que je portais.
Je haïs l’injustice alors j’ai pris quelques affaires et j’ai pris la porte je l’ai entendu dire qu’elle me coupait les vivre, je dirais le mot entendu, « démerde-toi. »
Je me suis rendue à l’entrée de l’autoroute tous proche et en cinq minutes et un homme dans une grosse voiture dont j’ignore la marque m’a pris me ramenant vers Lyon.
Je devais attendre la fin des vacances pour rejoindre mon poste, l’homme se nommait Hubert et venait à Lyon pour ses affaires.
Comme l’avait dit ma mère, il est vrai que j’aimais les tenues légères et rapidement je me suis retrouvée dans sa chambre d’hôtel.
Une semaine a écarté mes cuisses, mais surtout une semaine où je couchais sous un toi.
Au moment de partir rejoindre sa femme, il m’a donné 1 000 € pour que je me débrouille après que je lui ai expliqué que je devais prendre un travail à Paris à la fin de septembre.
Nous étions fin juin et il me fallait tenir jusque-là.
J’ai pris une chambre d’hôtel et j’ai trainé dans les milieux louches de la ville.
Étant mignonne, j’ai trouvé mes premiers clients.
L’argent facile a commencé à entrer, je suis montée à Paris, j’avais de nombreux appelle sur mon portable.
Comme je l’ai dit, le poste que j’ai pris se tenait du lundi après midi au vendredi.
L’idée de venir voir ces clients le week-end a germé en moi et quelques week-ends j’ai eu assez de mise de fonds pour acheter l’appartement ou j’habite.
Mon crédit m’a été refusé, car mon salaire légal outre d’être à Paris était loin d’être suffisant et il m’était impossible de leur dire, que l’argent gagné avec mes fesses était plus que suffisant.
J’avais compris qu’Hubert était dans l’immobilier, il m’avait donné son numéro sous couvert que je sois discrète.
Un pett SMS et il m’a rappelé et s’est porté caution pour moi et j’ai acheté.
C’est dans ces moments-là que je me suis mis en coloc à Paris avec Christina et que nous sommes devenues amantes.
Je me suis rapidement rendu compte que gérer ma vie à Paris en semaine et à Lyon les week-ends devenaient impossibles alors que j’avais de gros moyens.
Un week-end un client m’avait emmené en boîte avant de rentrer dans mon appartement lui soutirer quelques billets contre l’une de mes premières sodomies. Quand j’ai rencontré Jacinthe, elle cherchait du travail, je lui ai fourni avec en prime un logement où elle vit, gérant mes affaires.
Voilà comment on se retrouve à vivre une double vie.

J’aime Christina, mais je veux vivre et la prostitution va me permettre sans lui dire de réaliser son rêve de sa boutique.
On sonne à la porte, il est 12 h 30 tapant.
J’ai pris mon bain et j’ai mis ma guêpière et ma tenue d’écolière.
Ce qui est drôle, c’est quand un client demande que je m’habille en infirmière pendant deux heures, j’ai l’impression de faire des heures supplémentaires auprès de mes clients.
La différence tout de même c’est qu’à la fin de la séance, ce sont de beaux billets de 100 ou 200 € que Jacinthe place sur mon compte.

• Jessica, tu es prête, monsieur François est arrivé !
• Fais entrer, je suis prête à le recevoir.

Que ma double vie à Lyon pour ce week-end commence.

Les avis des lecteurs

Pas de quoi toujours à votre service à ton service Cyrille

Histoire Erotique
Quel pouvoir de narration...
On se laisse emporter par ton histoire mon cher Chris...
Merci

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION ESCORTE. Double vie (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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