COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (148)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (148)
Retrouver ma mémoire, je m’interroge, car je découvre que toute ma vie a tourné autour du sexe.
Dès que Virginie m’a pris en main après mon divorce, faisant de moi une prostituer, même de haut rang, j’ai dû aimer ce qu’elle me faisait faire.
À ce que l’on m’a dit, étant encore obligée de rester au centre de rééducation, Véronique comme Odile, sans oublier Katia ont développé les biens que j’avais commencé à accumuler.
J’ai hâte d’aller voir ma maison de Chennevières, j’avais prévu des travaux après que les hommes aient ouvert une brèche, de chez moi à chez ma marraine.
Il paraît que j’étais là lorsque le mur est tombé.
Au fond de moi, un mur qui tombe, je dois confondre avec celui vu l’autre soir à la télé à Berlin.
Je fais la confusion entre ce grand mur séparant deux morceaux de la même ville et nos deux terrains à Virginie et à moi.
De plus, en plus de la rénovation intégrale de mon bien, nous aurions convenu d’implanté un terrain de tennis sur l’arrière de ma maison, ce serait chose faite.
Piscine et sauna pour Virginie et terrain de tennis sur le mien.
Il va falloir que je réapprenne tous cela, c’est tout nouveau pour moi.
J’ai eu des rapports avec le docteur Françoise et l’infirmière Lauriane, femme fontaine, Françoise est une femme fontaine.
Ma chatte, joli mot pour définir la vulve ou le vagin d’une femme au choix.
Ce sont les mots que mon cerveau a retenus, ma chatte coule lorsque je me masturbe, ce que j’ai fait dès que j’ai rejoint ma chambre afin que Lauriane refasse le lit.
Masturbation, fellation, mon cerveau a bien retenu ces mots plus facilement que certains que j’emploie depuis que la lumière m’est revenue.
Il va falloir que je vous parle de marraine.
En attendant je suis là à lire mon livre, les misérables d’un certain Victor Hugo lorsque je vois sortir d’une cabane l’homme que j’ai vu par la fenêtre de ma chambre.
Je me suis interrogée pour savoir s’il avait une bite.
Je me sais maintenant assez amoral au point de prostituer d’autres jeunes filles, mais je me vois mal aller lui dire.
« Montre-moi ta bite, est-elle plus grosse que celle d’Alain que j’ai sucé l’autre après-midi. »
Il a une espèce de pelle, mais avec des dents, il commence à nettoyer un massif de fleurs à quelques mètres de moi.
Grâce à lui, le parc est magnifique, je devais beaucoup aimer les fleurs dans mon passé.
Si c’est possible, j’en mettrais partout dans ma maison à Chennevières, je veux que ma vie présente soit entourée de toutes ces espèces aux couleurs variées.
« Craque... boom ».
C’est la première fois que j’entends un bruit pareil, ma tête manque d’exploser.
Je vais décevoir dire, à ceux qui pensent que cette grande peur va me faire retrouver mon passé, qu’ils seront déçus, j’ai simplement mouillé ma culotte.
Les premières grosses gouttes de pluie commencent à tomber, je vois l’homme me regarder, mon dieu qu’il est beau.
Je vois qu’il regarde vers la porte de l’institut, environ quatre-vingt à cent mètres et la porte de sa cabane, vingt mètres.
Il vient me prendre par mon bras et alors que des trombes d’eau s’abattent sur nous, nous marchons rapidement vers l’endroit le plus proche ou nous serons au sec.
• Je m’appelle Wiliam, enlevez ces vêtements mouillés, vous allez attraper la mort.
La mort, je connais, je viens d’en prendre pendant cinq ans, oui j’étais vivante, mais le coma, c’est une forme de mort qui s’ignore.
Il est compréhensible que sans le connaitre, j’enlève mes vêtements.
• Moi, c’est Christine...
J’ai failli lui dire, je suis une pute ayant eu un accident à Moscou en recevant à la tête l’une des balles, qu’Igor mon amant, a essayé d’intercepter en en recevant un très grand nombre. »
Je voudrais le faire fuir, je lui dirais tout cela, mais j’ai promis à Françoise de modérer mes propos sur mon passé.
• Toi aussi, tu vas attraper la mort, viens que je t’enlève ça !
Je pourrais douter d’avoir été pute, je me souviens de rien, on pourrait vouloir abuser de moi en me faisant croire cela.
Mais là, l’initiative que je prends de m’agenouiller devant lui, de tirer la double fermeture pour faire tomber sa combinaison, ce doit être par grande habitude que je le fais.
Alain en avait une que j’aurais bien aimé avoir dans mon con.
Tiens, j’emploie ce mot, « con » qui me l’a soufflé, je l’ignore, mais j’aime parler de mon con ou de ma chatte.
À midi, il y avait des oranges en dessert, je le pèle comme je l’ai pelé dégageant ce que je convoite.
Je me refuse à comparer, une nouvelle fois j’ignore pourquoi, mais on peut simplement dire que Wiliam est bien monté.
En parlant de la visite de Livia, j’ai parlé d’Internet, je voulais me servir de cet outil pour retrouver ma mémoire.
Les médecins qui s’occupent de moi sont unanimes, mon cerveau est comme celui d’un nouveau-né qui vient de s’ouvrir sur la vie.
Il y a tant de choses qui circulent, surtout ce que l’on appelle des Fakes et je serais dans l’impossibilité de discerner les unes des autres.
Bref, j’avance ma main suivie de ma bouche, là je suis en pays de connaissance, j’ai déjà fait une fellation à Alain le mari de ma copine Odile.
Mon travail, voilà encore un mot maltapropos lorsque je le suce.
Travail, rémunération, rémunération, pute, pute, si je suce je dois me rendre à l’évidence, j’ai bien été une pute.
Je manque de point de repaire autre qu’Alain, mais lorsque je vois cette verge se redresser, je suis heureuse d’avoir réussi toute seule à obtenir ce très beau résultat.
• Il faut arrêter, tu me plais, mais je risque de perdre mon emploi.
• Non, continuons, j’ignore si tu connais ma situation, je suis amnésique et j’ai perdu la sensation d’un sexe d’homme en moi.
Je le vois réfléchir, mon dieu, fais qu’il me plante et que mon corps recommence à vivre, même si la partie la plus haute entre mes oreilles est morte effaçant mon passé.
Il me relève, je sens son souffle chaud sur ma bouche, combien de fois des hommes et des femmes ont écarté mes lèvres pour faire tourner leur langue comme le fait William.
Sans que nos bouches soient séparées, il m’entraine sur un canapé où il doit se reposer et m’allongeant sur le dos, il me prend une jambe qu’il repose sur son épaule.
Enfin, il entre en moi, que c’est bon, c’est un deuxième dépucelage, puisque c’est la première fois dans ma nouvelle vie.
Ma jambe lui servant de point d’appui, il va et vient de plus en plus rapidement.
Ma bouche libérée commence à chanter un chant que j’ai dû souvent entonner par mon passé.
À ce moment, se pose un autre problème, j’ai peur de les accumuler, que dois-je faire pour satisfaire ce mec qui risque de cracher son sperme trop rapidement à mon goût.
C’est William qui prend l’initiative, me frustrant quelques instants.
Il sort de moi, revient à ma bouche où il plante sa verge.
Un petit instant j’ai le doute que ma bouche serve à se nettoyer la queue, mais il y fait un bref passage.
Il me prend la main, me redresse et me retourne.
C’est à quatre pattes posées sur ce vieux canapé que je sens sa queue chercher ses entrées.
Je dis « ses », car un instant sa verge se frôle à mon anus, un mouvement de surprise de mon corps l’empêche de plonger dedans.
Je trouve des réponses à mes interrogations seules.
Virginie vient demain, il va falloir que j’aie une discussion sur cette impression que j’ai eue que mon premier amant d’après coma semblait avoir l’intention de venir visiter mon petit trou.
Encore un sentiment fugace que je faisais certaines choses avant sans me souvenir si c’était bien ou mal.
J’apprends sans qu’aucun souvenir de ces pénétrations que j’ai dû accepter dans le passé revienne à mon cerveau.
Ce cerveau, me faisant défaut, bien que je sente qu’à certain moment, il est à deux doigts de se réveiller.
Dois-je crier comme je crie lorsque mon corps s’embrasse.
À ce point de mon récit, je dois rappeler ce que disait Chris71 du temps où je devais être une autre.
Lorsque William m’a couché sur le dos, je l’ai vu prendre un étui que j’ignore à quoi il peut servir.
Une peau extensible, sur sa queue récupère le sperme, ça doit servir à nous protéger de problème que j’ignore lesquelles ils sont.
Nous nous relevons, c’est à ce moment que j’entends frapper à la porte.
William va ouvrir et voir qui est là ?
• William, nous cherchons madame Christine, ses problèmes à la tête ont pu l’entrainer à fuir à cause du tonnerre.
Elle risque d’avoir eu un accident et être cachée dans un fourré !
L’as-tu vu ?
J’avance dans la cabane, Lauriane me voir, je suis en train de refermer ma jupe.
C’est de façon naturelle qu’elle me parle.
Il semble qu’elle doive avoir l’habitude de voir femmes ou hommes de cet institut pour les plus valides de prendre du bon temps.
Depuis que l’on m’a fait venir ici, je dois constater que du côté sexe, j’ignore si ça fait partie de la thérapie.
Maintenant que je sais que je suis capable de jouir en faisant jouir l’autre, je sais que je vais continuer.
• Je vous laisse, je vais dire aux autres que tout va bien pour vous.
Je la vois partir, le centre va-t-il savoir que je suis une fille facile, je dirais bien un mot, mais mon cerveau ce con est incapable de me donner.
Je rejoins ma chambre, je croise du personnel, on me salut toujours aussi respectueusement, lorsque j’ouvre ma porte, le téléphone sur ma table de nuit sonne.
• Bonjour, madame Christine, vous connaissez ma voix, sans jamais nous être physiquement rencontré.
Je suis Iris, la voix que vous avez au bout du fil lorsque vous décrochez et que je vous donne vos rendez-vous avec vos clients.
Nous aurions dû nous voir à votre retour de Moscou, mais les circonstances en ont décidé autrement.
Virginie m’a permis de vous appeler, je vous souhaite un prompt rétablissement.
Merci, madame Iris, j’ignore qui vous êtes et de quoi vous me parlez.
Je sais qui j’étais sans m’en souvenir, j’espère vous rencontrer lorsque mes problèmes seront derrière moi.
Nous nous saluons, je raccroche, un jour vais-je l’avoir au téléphone pour qu’elle me donne un rendez-vous pour aller rencontrer des clients !...
Encore un chapitre terminé bientôt sur notre site.
Voici les problèmes que je rencontre à reprendre un texte comme celui-ci !
Cette femme que je nomme Iris à ce moment de l’histoire, dans les 144 autres chapitres, j’ai cherché deux heures sans trouver si je lui ai déjà donné un nom.
Je m’excuse si c’est le cas, madame Iris, ce sera pour la nouvelle vie de Christine...
Dès que Virginie m’a pris en main après mon divorce, faisant de moi une prostituer, même de haut rang, j’ai dû aimer ce qu’elle me faisait faire.
À ce que l’on m’a dit, étant encore obligée de rester au centre de rééducation, Véronique comme Odile, sans oublier Katia ont développé les biens que j’avais commencé à accumuler.
J’ai hâte d’aller voir ma maison de Chennevières, j’avais prévu des travaux après que les hommes aient ouvert une brèche, de chez moi à chez ma marraine.
Il paraît que j’étais là lorsque le mur est tombé.
Au fond de moi, un mur qui tombe, je dois confondre avec celui vu l’autre soir à la télé à Berlin.
Je fais la confusion entre ce grand mur séparant deux morceaux de la même ville et nos deux terrains à Virginie et à moi.
De plus, en plus de la rénovation intégrale de mon bien, nous aurions convenu d’implanté un terrain de tennis sur l’arrière de ma maison, ce serait chose faite.
Piscine et sauna pour Virginie et terrain de tennis sur le mien.
Il va falloir que je réapprenne tous cela, c’est tout nouveau pour moi.
J’ai eu des rapports avec le docteur Françoise et l’infirmière Lauriane, femme fontaine, Françoise est une femme fontaine.
Ma chatte, joli mot pour définir la vulve ou le vagin d’une femme au choix.
Ce sont les mots que mon cerveau a retenus, ma chatte coule lorsque je me masturbe, ce que j’ai fait dès que j’ai rejoint ma chambre afin que Lauriane refasse le lit.
Masturbation, fellation, mon cerveau a bien retenu ces mots plus facilement que certains que j’emploie depuis que la lumière m’est revenue.
Il va falloir que je vous parle de marraine.
En attendant je suis là à lire mon livre, les misérables d’un certain Victor Hugo lorsque je vois sortir d’une cabane l’homme que j’ai vu par la fenêtre de ma chambre.
Je me suis interrogée pour savoir s’il avait une bite.
Je me sais maintenant assez amoral au point de prostituer d’autres jeunes filles, mais je me vois mal aller lui dire.
« Montre-moi ta bite, est-elle plus grosse que celle d’Alain que j’ai sucé l’autre après-midi. »
Il a une espèce de pelle, mais avec des dents, il commence à nettoyer un massif de fleurs à quelques mètres de moi.
Grâce à lui, le parc est magnifique, je devais beaucoup aimer les fleurs dans mon passé.
Si c’est possible, j’en mettrais partout dans ma maison à Chennevières, je veux que ma vie présente soit entourée de toutes ces espèces aux couleurs variées.
« Craque... boom ».
C’est la première fois que j’entends un bruit pareil, ma tête manque d’exploser.
Je vais décevoir dire, à ceux qui pensent que cette grande peur va me faire retrouver mon passé, qu’ils seront déçus, j’ai simplement mouillé ma culotte.
Les premières grosses gouttes de pluie commencent à tomber, je vois l’homme me regarder, mon dieu qu’il est beau.
Je vois qu’il regarde vers la porte de l’institut, environ quatre-vingt à cent mètres et la porte de sa cabane, vingt mètres.
Il vient me prendre par mon bras et alors que des trombes d’eau s’abattent sur nous, nous marchons rapidement vers l’endroit le plus proche ou nous serons au sec.
• Je m’appelle Wiliam, enlevez ces vêtements mouillés, vous allez attraper la mort.
La mort, je connais, je viens d’en prendre pendant cinq ans, oui j’étais vivante, mais le coma, c’est une forme de mort qui s’ignore.
Il est compréhensible que sans le connaitre, j’enlève mes vêtements.
• Moi, c’est Christine...
J’ai failli lui dire, je suis une pute ayant eu un accident à Moscou en recevant à la tête l’une des balles, qu’Igor mon amant, a essayé d’intercepter en en recevant un très grand nombre. »
Je voudrais le faire fuir, je lui dirais tout cela, mais j’ai promis à Françoise de modérer mes propos sur mon passé.
• Toi aussi, tu vas attraper la mort, viens que je t’enlève ça !
Je pourrais douter d’avoir été pute, je me souviens de rien, on pourrait vouloir abuser de moi en me faisant croire cela.
Mais là, l’initiative que je prends de m’agenouiller devant lui, de tirer la double fermeture pour faire tomber sa combinaison, ce doit être par grande habitude que je le fais.
Alain en avait une que j’aurais bien aimé avoir dans mon con.
Tiens, j’emploie ce mot, « con » qui me l’a soufflé, je l’ignore, mais j’aime parler de mon con ou de ma chatte.
À midi, il y avait des oranges en dessert, je le pèle comme je l’ai pelé dégageant ce que je convoite.
Je me refuse à comparer, une nouvelle fois j’ignore pourquoi, mais on peut simplement dire que Wiliam est bien monté.
En parlant de la visite de Livia, j’ai parlé d’Internet, je voulais me servir de cet outil pour retrouver ma mémoire.
Les médecins qui s’occupent de moi sont unanimes, mon cerveau est comme celui d’un nouveau-né qui vient de s’ouvrir sur la vie.
Il y a tant de choses qui circulent, surtout ce que l’on appelle des Fakes et je serais dans l’impossibilité de discerner les unes des autres.
Bref, j’avance ma main suivie de ma bouche, là je suis en pays de connaissance, j’ai déjà fait une fellation à Alain le mari de ma copine Odile.
Mon travail, voilà encore un mot maltapropos lorsque je le suce.
Travail, rémunération, rémunération, pute, pute, si je suce je dois me rendre à l’évidence, j’ai bien été une pute.
Je manque de point de repaire autre qu’Alain, mais lorsque je vois cette verge se redresser, je suis heureuse d’avoir réussi toute seule à obtenir ce très beau résultat.
• Il faut arrêter, tu me plais, mais je risque de perdre mon emploi.
• Non, continuons, j’ignore si tu connais ma situation, je suis amnésique et j’ai perdu la sensation d’un sexe d’homme en moi.
Je le vois réfléchir, mon dieu, fais qu’il me plante et que mon corps recommence à vivre, même si la partie la plus haute entre mes oreilles est morte effaçant mon passé.
Il me relève, je sens son souffle chaud sur ma bouche, combien de fois des hommes et des femmes ont écarté mes lèvres pour faire tourner leur langue comme le fait William.
Sans que nos bouches soient séparées, il m’entraine sur un canapé où il doit se reposer et m’allongeant sur le dos, il me prend une jambe qu’il repose sur son épaule.
Enfin, il entre en moi, que c’est bon, c’est un deuxième dépucelage, puisque c’est la première fois dans ma nouvelle vie.
Ma jambe lui servant de point d’appui, il va et vient de plus en plus rapidement.
Ma bouche libérée commence à chanter un chant que j’ai dû souvent entonner par mon passé.
À ce moment, se pose un autre problème, j’ai peur de les accumuler, que dois-je faire pour satisfaire ce mec qui risque de cracher son sperme trop rapidement à mon goût.
C’est William qui prend l’initiative, me frustrant quelques instants.
Il sort de moi, revient à ma bouche où il plante sa verge.
Un petit instant j’ai le doute que ma bouche serve à se nettoyer la queue, mais il y fait un bref passage.
Il me prend la main, me redresse et me retourne.
C’est à quatre pattes posées sur ce vieux canapé que je sens sa queue chercher ses entrées.
Je dis « ses », car un instant sa verge se frôle à mon anus, un mouvement de surprise de mon corps l’empêche de plonger dedans.
Je trouve des réponses à mes interrogations seules.
Virginie vient demain, il va falloir que j’aie une discussion sur cette impression que j’ai eue que mon premier amant d’après coma semblait avoir l’intention de venir visiter mon petit trou.
Encore un sentiment fugace que je faisais certaines choses avant sans me souvenir si c’était bien ou mal.
J’apprends sans qu’aucun souvenir de ces pénétrations que j’ai dû accepter dans le passé revienne à mon cerveau.
Ce cerveau, me faisant défaut, bien que je sente qu’à certain moment, il est à deux doigts de se réveiller.
Dois-je crier comme je crie lorsque mon corps s’embrasse.
À ce point de mon récit, je dois rappeler ce que disait Chris71 du temps où je devais être une autre.
Lorsque William m’a couché sur le dos, je l’ai vu prendre un étui que j’ignore à quoi il peut servir.
Une peau extensible, sur sa queue récupère le sperme, ça doit servir à nous protéger de problème que j’ignore lesquelles ils sont.
Nous nous relevons, c’est à ce moment que j’entends frapper à la porte.
William va ouvrir et voir qui est là ?
• William, nous cherchons madame Christine, ses problèmes à la tête ont pu l’entrainer à fuir à cause du tonnerre.
Elle risque d’avoir eu un accident et être cachée dans un fourré !
L’as-tu vu ?
J’avance dans la cabane, Lauriane me voir, je suis en train de refermer ma jupe.
C’est de façon naturelle qu’elle me parle.
Il semble qu’elle doive avoir l’habitude de voir femmes ou hommes de cet institut pour les plus valides de prendre du bon temps.
Depuis que l’on m’a fait venir ici, je dois constater que du côté sexe, j’ignore si ça fait partie de la thérapie.
Maintenant que je sais que je suis capable de jouir en faisant jouir l’autre, je sais que je vais continuer.
• Je vous laisse, je vais dire aux autres que tout va bien pour vous.
Je la vois partir, le centre va-t-il savoir que je suis une fille facile, je dirais bien un mot, mais mon cerveau ce con est incapable de me donner.
Je rejoins ma chambre, je croise du personnel, on me salut toujours aussi respectueusement, lorsque j’ouvre ma porte, le téléphone sur ma table de nuit sonne.
• Bonjour, madame Christine, vous connaissez ma voix, sans jamais nous être physiquement rencontré.
Je suis Iris, la voix que vous avez au bout du fil lorsque vous décrochez et que je vous donne vos rendez-vous avec vos clients.
Nous aurions dû nous voir à votre retour de Moscou, mais les circonstances en ont décidé autrement.
Virginie m’a permis de vous appeler, je vous souhaite un prompt rétablissement.
Merci, madame Iris, j’ignore qui vous êtes et de quoi vous me parlez.
Je sais qui j’étais sans m’en souvenir, j’espère vous rencontrer lorsque mes problèmes seront derrière moi.
Nous nous saluons, je raccroche, un jour vais-je l’avoir au téléphone pour qu’elle me donne un rendez-vous pour aller rencontrer des clients !...
Encore un chapitre terminé bientôt sur notre site.
Voici les problèmes que je rencontre à reprendre un texte comme celui-ci !
Cette femme que je nomme Iris à ce moment de l’histoire, dans les 144 autres chapitres, j’ai cherché deux heures sans trouver si je lui ai déjà donné un nom.
Je m’excuse si c’est le cas, madame Iris, ce sera pour la nouvelle vie de Christine...
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