COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (150)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (150)
J’ai nettement l’impression qu’une nouvelle phase s’ouvre pour moi me rapprochant de ma délivrance de cette maison de repos où j’ai été conduite après mon passage à l’hôpital à mon retour de Moscou.
Certes, j’ai pris conscience qu’il y avait ou qu’il y aurait deux phases bien distinctes dans ma vie.
L’avant Moscou où il semble, mais pourquoi en douter, les éléments qui me sont rapportés sont si nombreux et semblent précis et l’après Moscou où je dois retrouver l’usage de mon corps.
Renaissance, découverte de mon corps et celui des autres et surtout découvertes des sexes féminins et masculins.
Féminin, il suffit de me regarder dans la glace de la salle de bains de ma chambre et où je vois deux éléments servant à nous différencier les uns des autres.
Mes seins, fort beaux d’ailleurs lorsque je les compare à ceux des femmes que j’ai rencontrées depuis mon réveil et avec qui j’ai eu des rapports semblant s’appeler lesbiens ou encore saphique.
Saphique qui a prononcé ce mot ?
Je peux me poser la question, saphique adepte de Saphos, mais qui est cette personne si s’en est une.
Nom d’avant revenue au-devant de la scène sans pour autant que j’en cerne la signification réelle, si j’avais le droit de me servir des techniques modernes que sont les portables, téléphones ou ordinateurs !
Sexes femelles donc, mais aussi sexes mâles.
Impossible de confondre, la bite que les hommes ont entre leurs jambes, j’ai eu facile à comprendre que leur longueur et leur forme avaient été conçues par la nature pour s’emboiter parfaitement les uns au fond des autres.
J’aurais pu m’arrêter à ma bouche, réceptacle là aussi assez profond pour avoir du plaisir comme je l’ai fait avec Alain, mari d’Odile.
Couple qui dans ma vie antérieure, j’aurais eu des rapports intimes avec ce couple ce disant libertin.
Libertin, libertine, libertinage, c’est facile pour vous de savoir tout cela, votre vie s’étant déroulée de façon harmonieuse alors que la mienne redémarre à plus de...
Tiens, c’est vrai, quel âge j’ai ?
Je me souviens de marraine parlant qu’elle m’avait récupéré pauvre petite fille abandonnée à vingt-six ans et ayant fait de moi une escorte donc une prostituée donc plus communément une pute.
À y bien y comprendre, je vis une troisième vie.
Celle d’avant mon aventure avec Valérie ou j’étais une femme mariée avec Pierre pilote de ligne, tiens, pourquoi ce qui doit être un nom Véronique, si c’en est un, vient de m’apparaitre venue de nulle part ?
Chaque chose en son temps.
• Dites-moi, quel âge ai-je ?
Aussi bien, Wiliam que Valérie éclate de rire.
• Ma chérie, quelle question insolite au moment où nous faisons une fellation à ton ami dans cette cabane au fond du parc de la maison de repos où tu cherches à retrouver ta mémoire.
Je sais bien que certaines choses doivent ou peuvent te revenir dans ton cerveau, du moins je l’espère.
Mais chaque chose en son temps bien que ce soit facile, j’ai trente-huit ans, tu as cinq ans de moins que moi, donc trente-trois ans.
Trente-trois, moins cinq de coma vingt-huit ans, vingt-six ans lorsque j’ai connu Valérie.
Deux ans, je me serais prostitué environ deux ans et si ma nouvelle mémoire est très bonne deux ans où j’ai connu tellement de bites en tout genre m’ayant fait gagner des masses de fric.
• Suce et garde tes questions pour plus tard.
Tu as la chance d’avoir découvert au fond de ce parc une bite sur pied aussi expert que nous côté sexe.
Il serait fou de tout gâcher par des questions qui vont trouver réponse au fur et à mesure de ce que tu vas découvrir et dont on va t’aider à le retrouver.
Quand je dis qu’il me faut être patiente afin de retrouver ma mémoire perdue lors de mon voyage à Moscou !
Au cours duquel je me serais fait sodomiser pour 10 000 € par ce putain d’Igor, qui voulait m’entrainer dans sa vie de bigame du moins s’il m’avait épousé !
• À quatre pattes, mesdames, je voudrais bien vous satisfaire comme vus le faite avec vos deux si belles bouches, mais je suis seul avec ma bite et ma langue.
• Attendez, si je m’allongeais et que tu viennes me lécher la chatte pendant que Christine s’occupe de ta queue avec son vagin, tu pourrais même l’enculer. Elle voulait savoir si elle pratiquait la sodomie avant son accident.
Je comprends pourquoi Valérie a dû, sans problème, m’amener à me prostituer comme elle le faisait, c’est une forte femme sachant ce qu’elle veut.
Wiliam s’exécute et rapidement entre dans mon anus.
Il hésite au début, mais doit sentir que ça rentre comme dans du beurre, là encore, mon cerveau semble connaitre des faits qui se seraient produits avec du beurre.
Mais sans aucun comparatif possible dans ma vie actuelle, la troisième ou la seconde, celle de pute, je me laisse prendre sentant des petites démangeaisons de plaisir monter en moi.
• Tu vois ma chérie, ce serait la première sodomie que ton corps subirait, tu hurlerais de douleur alors qu’à tes yeux qui se révulsent, je sens que tu vas jouir par ton anus.
Je jouis, je comprends qu’en amour il faut être partageuse.
À son tour, Valérie se fait prendre par le petit trou et c’est moi qui présente la verge de mon amant à la rosette de cette grande folle qu’est ma marraine.
Si avec moi c’est rentré comme dans du beurre que dire de la poussée rectiligne de la verge de Wiliam venant taper les fesses de là, sodomite.
Là encore, je semble découvrir ce mot de sodomite venu de nulle part.
J’ai l’impression que des mots comme ceux-là surgis de nulle part, mais rapidement l’excitation de retrouver ma mémoire s’estompent.
J’ai le sentiment que jusqu’à la fin de ma vie, je vais être entre les deux rives d’un fleuve sans jamais arriver à ce qu’elle se rejoigne.
Je prends place à côté de ma marraine et alors que nos bouches se trouvent comme si elles avaient toujours fusionné, Wiliam nous prend alternativement d’un cul à l’autre.
C’est dans le même temps que nous jouissons de cette longue pénétration.
Lorsque nous avons bien pris notre pied, me montrant que la sodomie faisait partie des armes que je devais présenter à mes clients.
Madame Élisabeth directrice en remplacement de madame Isabelle partie à la retraite et dont Wiliam nous a parlé tout à l’heure me fait demander.
Valérie m’accompagne jusqu’à son bureau.
• Christine, nous arrivons au bout de ce qui est possible de faire dans notre centre afin de vous aider à retrouver la mémoire.
Le docteur Françoise est prêt à vous signer votre bon de sortie.
Je sais que vous résidez très près d’ici et elle pense que de retrouver l’atmosphère qui était la vôtre accélèrera votre remise en état.
C’est ainsi que Valérie le lendemain vient me chercher.
Chennevières, au volant de sa voiture, lorsque le portail s’ouvrant me montrant ce lieu ou à leur dire, j’ai vécu, un vague souvenir monte à mon cerveau.
Le mur abattu et ma maison qui elle a complètement disparu de mon esprit.
Ça fait partie des choses que Françoise m’a apprises.
Les moments les plus récents de ma vie sont ceux qui seront les plus longs à faire revenir et qu’il faudrait que je reparte de zéro avec eux.
Le fait que mes amis aient insisté sur la piscine où toutes et tous nous baignions nu me donne cette impression de déjà-vu.
Ma maison dernièrement acquise avant mon départ pour me prendre une balle et finit de remettre en état, jusqu’à un ravalement l’échafaudage encore en place, aucun souvenir.
Près de la piscine, plusieurs personnes sont là.
C’est dimanche et les instituts de beauté sont fermés.
Je dis les « instituts », car lors d’une des visites avec Odile pour ajuster les diverses perruques qu’elle m’a préparées principalement la blonde que je porte pour ma sortie.
Elle m’a montré des photos sur son portable de mon institut qui a été acquis et rénové et qu’elle gère avec Anne.
Anne, la petite jumelle eurasienne est là avec une petite fille dans ses jambes.
• Bonjour Christine, tu reconnais Sindy, ma fille, elle va avir six ans dans quelques jours ?
Embrasse Christine, ma chérie, avec ma sœur et mes parents, nous avons fait de nombreuses prières pour que notre Dieu te redonne vie.
Je vois que nous avons été entendus.
• Je comprends que tu aies Anne, sœur d’Aline, Virginie m’a parlé de toi et de ta fille, qu’est-ce qu’elle a grandi !
Cette phrase me vient naturellement à l’esprit alors qu’il me semble que c’est la première fois que je la vois.
• C’est drôle, la plupart des filles ici ont un collier en cuir autour du cou, avec des pierres de couleur.
Un même collier avec des pierres blanches ça vous dit quelque chose !
• C’est le collier que t’a offert Igor pour ton anniversaire.
Tu devais aller le retrouver à Moscou où il devait t’offrir une laisse blanche sur ce mousqueton.
Il est dans le coffre que j’ai fait installer chez toi, je vais le chercher.
La jeune fille qui vient de partir avant que je l’arrête, c’est Katia, elle je la connais, elle est venue à la maison de repos.
C’est elle à qui j’ai réussi de vendre son hymen 500 000 €.
Elle est rapide, cinq minutes après elle est de retour.
Igor, personnage bizarre qui a su me séduire au point que j’étais prête à l’épouser, mais personnage trouble sur lequel on a tiré alors que j’étais dans la ligne de mire.
Elle me place le collier autour du cou, ça me fait comme un électrochoc.
• Valérie, les filles, la mémoire me revient, vous êtes formidables, je suis la femme la plus heureuse au monde.
Je compte sur vous pour m’aider à la retrouver complètement et qu’ainsi je puisse reprendre mes activités auprès de vous...
Certes, j’ai pris conscience qu’il y avait ou qu’il y aurait deux phases bien distinctes dans ma vie.
L’avant Moscou où il semble, mais pourquoi en douter, les éléments qui me sont rapportés sont si nombreux et semblent précis et l’après Moscou où je dois retrouver l’usage de mon corps.
Renaissance, découverte de mon corps et celui des autres et surtout découvertes des sexes féminins et masculins.
Féminin, il suffit de me regarder dans la glace de la salle de bains de ma chambre et où je vois deux éléments servant à nous différencier les uns des autres.
Mes seins, fort beaux d’ailleurs lorsque je les compare à ceux des femmes que j’ai rencontrées depuis mon réveil et avec qui j’ai eu des rapports semblant s’appeler lesbiens ou encore saphique.
Saphique qui a prononcé ce mot ?
Je peux me poser la question, saphique adepte de Saphos, mais qui est cette personne si s’en est une.
Nom d’avant revenue au-devant de la scène sans pour autant que j’en cerne la signification réelle, si j’avais le droit de me servir des techniques modernes que sont les portables, téléphones ou ordinateurs !
Sexes femelles donc, mais aussi sexes mâles.
Impossible de confondre, la bite que les hommes ont entre leurs jambes, j’ai eu facile à comprendre que leur longueur et leur forme avaient été conçues par la nature pour s’emboiter parfaitement les uns au fond des autres.
J’aurais pu m’arrêter à ma bouche, réceptacle là aussi assez profond pour avoir du plaisir comme je l’ai fait avec Alain, mari d’Odile.
Couple qui dans ma vie antérieure, j’aurais eu des rapports intimes avec ce couple ce disant libertin.
Libertin, libertine, libertinage, c’est facile pour vous de savoir tout cela, votre vie s’étant déroulée de façon harmonieuse alors que la mienne redémarre à plus de...
Tiens, c’est vrai, quel âge j’ai ?
Je me souviens de marraine parlant qu’elle m’avait récupéré pauvre petite fille abandonnée à vingt-six ans et ayant fait de moi une escorte donc une prostituée donc plus communément une pute.
À y bien y comprendre, je vis une troisième vie.
Celle d’avant mon aventure avec Valérie ou j’étais une femme mariée avec Pierre pilote de ligne, tiens, pourquoi ce qui doit être un nom Véronique, si c’en est un, vient de m’apparaitre venue de nulle part ?
Chaque chose en son temps.
• Dites-moi, quel âge ai-je ?
Aussi bien, Wiliam que Valérie éclate de rire.
• Ma chérie, quelle question insolite au moment où nous faisons une fellation à ton ami dans cette cabane au fond du parc de la maison de repos où tu cherches à retrouver ta mémoire.
Je sais bien que certaines choses doivent ou peuvent te revenir dans ton cerveau, du moins je l’espère.
Mais chaque chose en son temps bien que ce soit facile, j’ai trente-huit ans, tu as cinq ans de moins que moi, donc trente-trois ans.
Trente-trois, moins cinq de coma vingt-huit ans, vingt-six ans lorsque j’ai connu Valérie.
Deux ans, je me serais prostitué environ deux ans et si ma nouvelle mémoire est très bonne deux ans où j’ai connu tellement de bites en tout genre m’ayant fait gagner des masses de fric.
• Suce et garde tes questions pour plus tard.
Tu as la chance d’avoir découvert au fond de ce parc une bite sur pied aussi expert que nous côté sexe.
Il serait fou de tout gâcher par des questions qui vont trouver réponse au fur et à mesure de ce que tu vas découvrir et dont on va t’aider à le retrouver.
Quand je dis qu’il me faut être patiente afin de retrouver ma mémoire perdue lors de mon voyage à Moscou !
Au cours duquel je me serais fait sodomiser pour 10 000 € par ce putain d’Igor, qui voulait m’entrainer dans sa vie de bigame du moins s’il m’avait épousé !
• À quatre pattes, mesdames, je voudrais bien vous satisfaire comme vus le faite avec vos deux si belles bouches, mais je suis seul avec ma bite et ma langue.
• Attendez, si je m’allongeais et que tu viennes me lécher la chatte pendant que Christine s’occupe de ta queue avec son vagin, tu pourrais même l’enculer. Elle voulait savoir si elle pratiquait la sodomie avant son accident.
Je comprends pourquoi Valérie a dû, sans problème, m’amener à me prostituer comme elle le faisait, c’est une forte femme sachant ce qu’elle veut.
Wiliam s’exécute et rapidement entre dans mon anus.
Il hésite au début, mais doit sentir que ça rentre comme dans du beurre, là encore, mon cerveau semble connaitre des faits qui se seraient produits avec du beurre.
Mais sans aucun comparatif possible dans ma vie actuelle, la troisième ou la seconde, celle de pute, je me laisse prendre sentant des petites démangeaisons de plaisir monter en moi.
• Tu vois ma chérie, ce serait la première sodomie que ton corps subirait, tu hurlerais de douleur alors qu’à tes yeux qui se révulsent, je sens que tu vas jouir par ton anus.
Je jouis, je comprends qu’en amour il faut être partageuse.
À son tour, Valérie se fait prendre par le petit trou et c’est moi qui présente la verge de mon amant à la rosette de cette grande folle qu’est ma marraine.
Si avec moi c’est rentré comme dans du beurre que dire de la poussée rectiligne de la verge de Wiliam venant taper les fesses de là, sodomite.
Là encore, je semble découvrir ce mot de sodomite venu de nulle part.
J’ai l’impression que des mots comme ceux-là surgis de nulle part, mais rapidement l’excitation de retrouver ma mémoire s’estompent.
J’ai le sentiment que jusqu’à la fin de ma vie, je vais être entre les deux rives d’un fleuve sans jamais arriver à ce qu’elle se rejoigne.
Je prends place à côté de ma marraine et alors que nos bouches se trouvent comme si elles avaient toujours fusionné, Wiliam nous prend alternativement d’un cul à l’autre.
C’est dans le même temps que nous jouissons de cette longue pénétration.
Lorsque nous avons bien pris notre pied, me montrant que la sodomie faisait partie des armes que je devais présenter à mes clients.
Madame Élisabeth directrice en remplacement de madame Isabelle partie à la retraite et dont Wiliam nous a parlé tout à l’heure me fait demander.
Valérie m’accompagne jusqu’à son bureau.
• Christine, nous arrivons au bout de ce qui est possible de faire dans notre centre afin de vous aider à retrouver la mémoire.
Le docteur Françoise est prêt à vous signer votre bon de sortie.
Je sais que vous résidez très près d’ici et elle pense que de retrouver l’atmosphère qui était la vôtre accélèrera votre remise en état.
C’est ainsi que Valérie le lendemain vient me chercher.
Chennevières, au volant de sa voiture, lorsque le portail s’ouvrant me montrant ce lieu ou à leur dire, j’ai vécu, un vague souvenir monte à mon cerveau.
Le mur abattu et ma maison qui elle a complètement disparu de mon esprit.
Ça fait partie des choses que Françoise m’a apprises.
Les moments les plus récents de ma vie sont ceux qui seront les plus longs à faire revenir et qu’il faudrait que je reparte de zéro avec eux.
Le fait que mes amis aient insisté sur la piscine où toutes et tous nous baignions nu me donne cette impression de déjà-vu.
Ma maison dernièrement acquise avant mon départ pour me prendre une balle et finit de remettre en état, jusqu’à un ravalement l’échafaudage encore en place, aucun souvenir.
Près de la piscine, plusieurs personnes sont là.
C’est dimanche et les instituts de beauté sont fermés.
Je dis les « instituts », car lors d’une des visites avec Odile pour ajuster les diverses perruques qu’elle m’a préparées principalement la blonde que je porte pour ma sortie.
Elle m’a montré des photos sur son portable de mon institut qui a été acquis et rénové et qu’elle gère avec Anne.
Anne, la petite jumelle eurasienne est là avec une petite fille dans ses jambes.
• Bonjour Christine, tu reconnais Sindy, ma fille, elle va avir six ans dans quelques jours ?
Embrasse Christine, ma chérie, avec ma sœur et mes parents, nous avons fait de nombreuses prières pour que notre Dieu te redonne vie.
Je vois que nous avons été entendus.
• Je comprends que tu aies Anne, sœur d’Aline, Virginie m’a parlé de toi et de ta fille, qu’est-ce qu’elle a grandi !
Cette phrase me vient naturellement à l’esprit alors qu’il me semble que c’est la première fois que je la vois.
• C’est drôle, la plupart des filles ici ont un collier en cuir autour du cou, avec des pierres de couleur.
Un même collier avec des pierres blanches ça vous dit quelque chose !
• C’est le collier que t’a offert Igor pour ton anniversaire.
Tu devais aller le retrouver à Moscou où il devait t’offrir une laisse blanche sur ce mousqueton.
Il est dans le coffre que j’ai fait installer chez toi, je vais le chercher.
La jeune fille qui vient de partir avant que je l’arrête, c’est Katia, elle je la connais, elle est venue à la maison de repos.
C’est elle à qui j’ai réussi de vendre son hymen 500 000 €.
Elle est rapide, cinq minutes après elle est de retour.
Igor, personnage bizarre qui a su me séduire au point que j’étais prête à l’épouser, mais personnage trouble sur lequel on a tiré alors que j’étais dans la ligne de mire.
Elle me place le collier autour du cou, ça me fait comme un électrochoc.
• Valérie, les filles, la mémoire me revient, vous êtes formidables, je suis la femme la plus heureuse au monde.
Je compte sur vous pour m’aider à la retrouver complètement et qu’ainsi je puisse reprendre mes activités auprès de vous...
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite le 21 janvier
Plusieurs épisodes sont écris et son régulièrement par la suite publier
Merci cher lecteur d'aimer cette série...
Plusieurs épisodes sont écris et son régulièrement par la suite publier
Merci cher lecteur d'aimer cette série...
Bonjour, oui vivement le chapitre 151 ... j'ai lu plusieurs fois le récit de Christine Virginie et de tous les personnages qui composent cette histoire
Cordialement
Cordialement
Vivement le chapitre 151
Très vivement intéressé par un échange épistolaire avec l'auteur "CHRIS71"
Très vivement intéressé par un échange épistolaire avec l'auteur "CHRIS71"
Le chapitre 151 sera publier dans quelques semaines soyez patient
MPa jeunesse...
Merci de la deuxième phrase...
Merci de la deuxième phrase...
Une excellente connaissance de Saint-Palais et du pays Royannais !
L'auteur très prolifique serait intéressant à connaitre !
L'auteur très prolifique serait intéressant à connaitre !