COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (157)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (157) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (157)
Je suis à quelques heures de me refaire les huit étages pour rencontrer Moché, le père d’Isaac, jeune homme voulant épouser Paula, une goy comme ils disent dans son milieu, mais qui m’a pris pour une conne.
Paula, une goy, pour ceux qui l’ignorent, ce nom est celui qu’ils donnent à des gens étrangers à la religion juive.
Il est fréquent que dans les familles étant de cette obédience, on se marie en cercle fermé.
C’est mon côté mère Teresa.
C’est aussi le nom de cette sainte femme ayant aidé les autres, je l’ai lu sur Internet. Internet, l’outil qui me devient indispensable pour retrouver plus rapidement mon avant.
Après ça va, j’ai toute ma tête, malgré le morceau qui m’a été enlevé par la balle reçue à Moscou.
En grimpant les marches derrière elle, une idée un peu conne me viens, elle va tout connaitre de moi.
Jusqu’à ce soir, elle connaissait l’intérieur de ma tête, dans cinq minutes, c’est l’intérieur de ma chatte qu’elle va découvrir donc connaître.
C’est drôle, monter des escaliers avec une personne pour faire l’amour avec envie comme moi en ce moment ou monter un autre escalier avec mon client, c’est le même mouvement de mes jambes.
La différence, il y en a une et elle est de taille, là sur mes talons mes jambes sont flageolantes alors qu’avec un client je suis pleine d’assurance surtout lorsque j’ai mes billets en mains.
Certes, je monte quelquefois des escaliers avec eux, mais la plupart du temps ce sont des ascenseurs que je prends dans les plus beaux hôtels de Paris ou dans d’autres endroits du monde.
Je dois le reconnaitre, c’est moins fatigants surtout sept étages comme l’a fait Isaac et sûrement Paula sa petite amie lorsqu’elle est venue nous surprendre lorsque je baisais avec son copain.

• Embrasse-moi, puis-je te faire une confidence ?

Je suis clouée le long de la porte, qu’elle a ouverte et refermée dès que nous sommes entrés.

• Tu peux, toute confidence est bonne à dire, si dans une relation même éphémère, nous nous cachons des choses, il y a quelque chose de faussé.

Nos corps sont étroitement enlacés, je sens ses seins que j’ai déjà eus en mains se frotter contre les miens.
Étais-je déjà aussi sensible de cette partie de mon corps avant ?
Là est la limite de mes souvenirs du temps où je devais faire la même chose avec Virginie ou Véronique.

• Attends, avant embrasse moi, tu pourrais avoir de moi une image fausse de qui je suis.

Nous nous embrassons fougueusement, comme elle me l’a dit, nous nous séparons et j’attends sa confidence.

• Christine, tu veux un verre, même si nous avons déjà pas mal picolé.
• Oui, mais soit direct, si tu dois me faire souffrir, il vaut mieux que je le sache dès le début.

Elle me sert un whisky, mon cerveau se met à fonctionner sur l’avant.
Ouf, je suis en mode « pose » côté amour personnel, sinon en mode pute, je transgraisserais la règle qui veut que les filles refusent tout alcool en service.

• J’ai déjà vu ta chatte lorsque tu étais dans le coma.
• C’est ça qui t’inquiète, c’est normal, tu es un peu mon médecin référant depuis que l’on m’a placé dans ton service et que tu m’as opéré.
• Je vais tout t’avouer, lorsque je t’ai vu sir le brancard des ambulanciers qui t’amenait, même si tu étais endormie, j’ai eu un coup de foudre pour toi.
• Heureuse d’apprendre que même inerte, j’étais capable de te faire mouiller, attention tu vas mouiller les cousins de ton canapé.
• Fiche-toi de moi, je te reconnais bien là, tout le repas tu as fait de l’humour.
• Cinq ans, cinq ans à dormir et tu reviens à la vie, souffres que je prenne la vie du bon côté surtout dans les bras d’une jolie femme.
• Arrête de me troubler, bien sûr, pour t’ausculter, je te voyais nue, mais sans pouvoir faire cette nuit ou j’étais de service et que je me suis retrouvée seule dans ta chambre.
• Tu m’as violé !
• En quelque sorte, j’étais avec les infirmières de garde à boire un café lorsqu’une alarme s’est déclenchée dans une chambre.
Nous nous sommes précipités, nous savions que c’était ta chambre et qu’à tout moment tu pouvais avoir un rejet de ton opération.
Ton cœur avait fait une embardée, ce qui avait déclenché les appareils auxquels tu étais branchée.
Tout est entré dans l’ordre, c’était le moment de leur ronde.
Je leur ai dire d’y aller et que j’allais te veiller pour voir si c’était calmé.
J’étais assise dans le fauteuil où nous vous levions, la lune éclairait ton lit où tu étais seulement recouvert d’un drap.
• C’est gentil, tu as fait ton travail en prenant soin de moi.
• La porte s’est ouverte, Germaine, une des infirmières de nuit a passé la tête, j’ai fait celle qui m’était endormie.
Je l’ai entendu dire, « chute, elle dort, laissons là, ça fait plus de vingt-quatre heures qu’elle est de service. »
Là, la porte s’est refermée et sachant que j’étais tranquille, j’ai trahi mon serment.
J’ai soulevé ton drap, j’ai caressé ta poitrine et après avoir embrassé ton nombril, j’ai couché ma tête sur ta chatte, mes lèvres à deux doigts de ton clito.
• Que tu es bête, si je comprends bien, tu t’es arrêté là, quelle jolie petite conne, tu aurais dû me le lécher, j’aurais gagné du temps pour revenir à la vie.
Viens, recommence à m’embrasser et ce coup-ci, va jusqu’au bout avec ta langue et mon clito.

Elle va jusqu’au bout, je passe une nuit divine, experte de la langue et de ses doigts, mon corps se cabre plusieurs fois lorsqu’elle me fait jouir.
Le sien en profite aussi, j’arrive à lui faire atteindre l’orgasme trois fois dont un qui était sans fin alors qu’ayant rejoint sa chambre, une vraie bonbonnière, nous nous sommes endormis dans les bras l’une de l’autre.
Lorsque j’émerge, elle est partie, près de moi un petit mot.

« Je te laisse avec regret, mais le devoir m’appelle, je dois reprendre mon service à huit heures avec mon premier rendez-vous.
Je te laisse dormir, tu m’as fait passer une nuit merveilleuse.
J’ai encore honte, d’avoir été à quelques centimètres de faire l’impardonnable avec toi cette nuit de folie pour moi.
Mais ta langue sur mon clito et nos clitos se frottant lorsque nous nous sommes mélangé les jambes, m’a prouvé que tu m’avais pardonné, voici mon numéro personnel de portable.
Rentre bien après t’être servie de ma salle de bains, je pense qu’il y a tout ce qu’il faut pour reprendre forme humaine.
Si tu le désir, prends une de mes petites culottes dans la commode de ma chambre, comme ça je serais encore un long moment avec toi avant de décider de l’enlever ce soir.
Au fait j’avais envie de te parler de ce que j’ai entendu un jour avant que tu te réveilles !
Ton amie Virginie parlait dans le couloir sur son portable avec quelqu’un, les mots ont été très clairs, elle parlait à l’un de vos clients.
J’ai cru un moment qu’elle était infirmière, mais j’ai vite compris qu’elle parlait de clients pour des prostituées.
Les mots qu’elle a employés étaient sans ambiguïté, tu faisais partie de son réseau et sa correspondante demandais si un jour, tu avais une chance de retourner te prostituer.
Sache que comme tu l’as faite pour moi sur ma confidence avec toi dans le coma, je suis loin de te juger.
Mille baisers.
Amandine. »

Je suis surprise, mais aussi soulager qu’elle sache que je suis une pute, de mon côté toute la soirée à notre table, j’ai essayé de lui dire sans y parvenir.
Ce doit être l’autre médecin, Françoise lors de mon séjour au centre de rééducation. Lorsqu’elle m’a mise en garde et qu’il fallait éviter de dire, comment je gagnais ma vie trop fréquemment, a dû bloquer mon cerveau malade.
La seule chose que je pense en m’étirant dans les draps qui sentent son parfum, c’est qu’il faut que je m’interroge jusqu’à où vont mes sentiments pour elle !
J’ai l’impression d’avoir un cœur d’artichaut.
Tiens, « cœur d’artichaut » encore quelque chose que je découvre ou que je redécouvre, puisque je prononce ces mots, sans savoir de quoi je parle.
Je prends mon portable, « coeur d’artichaut », « personne tombant facilement amoureux ».
À bien y regarder, ces expressions me vont bien, « sœur Teresa » avec « un cœur d’artichaut. »
Il va falloir que j’en mange, je les adorais étant petite sans pour autant me souvenir de leur saveur.
À oui, maman les faisait avec de la vinaigrette, elle mettait de la mayonnaise dedans.
Ça la rendait plus onctueuse, tient cette vinaigrette, elle en faisait aussi avec des asperges au mois de juin.
Je m’amusais à couper les pointes et je les mangeais après avoir récupéré en les tirant dans ma bouche, sur les tiges.
Mais si j’ai un souvenir de tout ce que ma maman me faisait manger, on y sera encore dans des heures.
Regardons plutôt ce que j’ai appelé la bonbonnière.
La chambre serait classique, pourquoi en parler, mais là tout est rose.
On dirait la chambre de Barbie, comment à l’âge qu’elle a, on peut être fan de cette poupée, là encore dans mon jeune âge, j’ai eu une telle poupée pour mon anniversaire.
Wiki, « poupée Barbie, 9 mars 1959 », bon, je me suis trompée, ma poupée devait être plus jeune, car sinon j’aurai soixante-quatre ans, je me vieillis un peu trop.
Je passe dans la salle de bains, je vois un drôle d’engin, je le prends en photo et je l’envoie à Virginie.
Sa réponse est rapide.

« Ma chérie, ou as-tu trouvé un « bidet », ça servait à se laver la chatte.
Tu t’assieds, tu ouvres l’eau, tu la règles afin d’éviter de te brûler.
Tu te savonnes, après tu te rinces et tu t’essuies, ton vagin est de nouveau en état de recevoir la bite d’un de tes clients. »

Je fais ce que dit Virginie, pourquoi a-t-on supprimé ces engins dans les salles de bains modernes ?
Mes doigts caressant mon clito, je continue et grâce à l’eau chaude légèrement tiède, une décharge traverse tout le bas de mon corps.
Je me rhabille, je laisse un mot à Amandine et claquant la porte, je rejoins le taxi que j’ai appelé.
Il faut dès aujourd’hui, que je prépare ma rencontre avec Moché, il faut que j’arrive avec des billes devant lui demain...

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