COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (158)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (158) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (158)
Voilà, j’y suis, je suis chez le traiteur du Quartier Latin chez qui je commande un repas pour deux personnes à me livrer avant 11 heures au 8ème étage chez Issac.
Ma commande passée, je me présente au bas de l’immeuble me retrouvant devant l’ascenseur.
Hier en quittant l’appartement d’Amandine, je suis rentrée à Chennevières en taxi.
J’ai travaillé pour avoir les billes en mains qui vont me servir pour contraindre Moché à laisser son fils épouser la jolie Paula.

• Bonjour madame, vous allez à quel étage ?
• Au 7ème et vous ?

La cabine est là, les portes s’ouvrent, cette dame la cinquantaine monte avec son renard autour du cou et son affreux roquet aux yeux globuleux qu’elle tient au bout d’une laisse.
Il est si petit que je suis à deux doigts de lui poser dessus mon talon haut.

• Je monte au huitième !
• Vous savez lire, regardez cette affiche, elle est assez grande.

« Interdit aux personnes habitants ou se rendant au 8ème étage. »

• Descendez et montez à pied, ce soir je réunis le conseil de l’immeuble et je fais expulser le jeune homme qui me loue cette chambre au 8ème.
Il est au courant de ce qu’il en coute de transgresser cette injonction.

Je suis si près d’elle que je sens son odeur de vieille poule, je la bloque le long de la paroi de la cabine.
Elle doit avoir trois kilos de maquillage sur le visage.
En faisant ce geste, malencontreusement je marche sur la laisse et son chien se met à couiner.

• C’est vous qui êtes propriétaire de ces cages à poules du 8ème.
• Qu’est-ce que vous faites à Quiqui, je l’entant couiner ?
Quiqui, je suis là, la dame est méchante, je vais aller porter plainte dès que nous serons libérés de cette folle.

Je vois rouge, ma main part sous sa robe et je trouve une vieille chatte poilue.
Je sens son clito sous mon doigt.

• Arrache-moi cette affiche et je libère Quiqui, je pense qu’il doit commencer à manquer d’air au bout de sa laisse.

Elle arrache l’étiquette, j’appuie sur le chiffre 7 et l’ascenseur commence à monter.
J’ai relevé mon pied dès le début, je veux donner une leçon à sa maîtresse, mais de là tuer son chien, même s’il est laid.
Sans être pour la protection des animaux, à part lorsque je marche dans leurs déjections, j’aime ces petites bêtes.
Je me souviens d’un dicton, « qui aime les animaux, aime les hommes. »
Quel beau dicton pour une pute, même si ce matin, je suis en mode commando auprès de Moché, dont j'ignore comme il est fait.
Nous descendons, mes doigts délaissent cette chatte qui doit être à l’abandon depuis bien trop longtemps.
Même si elle est plus âgée qu’Amandine, si j’avais le temps, je lui dirais deux mots, surtout avec ma langue.
Un dernier geste, vers cette mégère, je tire Quiqui vers le haut par sa laisse, il recouine un coup.
Je le mets dans les bras de sa maîtresse qui se trouve devant sa porte où une plaque m’apprend qu’elle se nomme « Agathe Durand ».

• Il va de soi que si j’apprends par Isaac que tu as mis ton idée de le virer, je reviendrais te voir, j’ai chez moi quelques jolis martinets et je pense que ton cul t’en cuiras.
Quiqui pourrait bien finir en rôti dans ton four, je suis allée en Corée du Sud où il mange du chien, j’y ai goûté, tu verras, tu trouveras Quiqui succulant.
• Quiqui vient entrons, cette femme est un monstre, je vais te donner ton bain.

Agathe disparait de ma vue rentrant précipitamment chez elle.
Je monte le dernier étage et je me retrouve devant l’une des six portes qu’elle semble louer à des jeunes, car la porte du fond s’ouvre et un jeune homme des livres sous le bras en sort.

• Jeune homme, puis-je vous posez une question !
• Bien sûr, si j’ai la réponse !
• Vous connaissez madame Agathe, la vieille dame qui habite le septième ?
• Oh ! que oui, c’est ma proprio, si j’avais les moyens, je quitterais cet immeuble, au prix qu’elle nous loue, il nous est impossible de mettre de la musique le soir.
Un jour, elle m’a dit qu’elle allait me virer, car le bruit empêchait son horrible cabot de fermer l’œil, elle le couche à 21 heures.
• Merci, je crois que les choses vont s’améliorer d’ici quelques jours pour vous de ce côté-là.

Je sors la clef de chez Isaac et j’entre, je dois attendre la livraison, l’UBER sois prévu d’être livré dans cinq minutes.
J’avais vu un petit réchaud et surtout un micro-onde lors de ma première visite.
Est-ce Isaac ou Paula qui ont rangé la mansarde, je l’ignore, mais il me semble qu’une touche féminine s’est occupée du ménage, il y a même un vase avec un bouquet de fleurs.
Là, c’est peut-être Isaac qui l’a ramené à son aimée.
Je me souviens du temps où Pierre mon pilote de mari, m’en offrait, je devais découvrir plus tard que c’était chaque fois qu’il me trompait.
On frappe, j’ouvre, un jeune homme essoufflé ouvre son sac ou se trouve ce que j’ai commandé pour mon repas en tête à tête avec Moché dont j’ignore, comment il est fichu.
J’ai une vague description, ce que je supputais s’avérant exact, Moché s’est servi de nous pour dépuceler son fils alors qu’il est depuis bien longtemps client de notre organisation.
J’ai su que Véronique était l’une de celles qui étaient venues le satisfaire pour quelques beaux billets, je sais tous de ses penchants les plus intimes, je suis prêt à le recevoir.
À oui, elle m’a dit qu’il était à moitié chauve et qu’il avait des lunettes en écaille.

• Qui êtes-vous, que faite vous chez mon fils ?
• Entre Moché, je t’ai préparé un bon repas, je commence à avoir faim, je vais tout t’expliquer.
• Tu es la jeune femme dont on m’a parlé et qui veut être la petite amie de mon fils, pour récupérer la belle vie avec mon pognon ?
• Tu as tout faux, du pognon j’en ai plus que mes besoins, non, je suis la pute que tu as commandée sous couvert de dépuceler ton fils.
Enlève ton manteau et assied toi à table, tu vas tout savoir !
• La pute, tu as été payé et tu viens me faire du chantage, j’ai le bras long, tu ignores à qui tu t’attaques, j’ai de très bonnes relations et avocats.
• Si j’étais venue te faire la caisse, crois-tu que je te servirais ce très bon coq au vin avec des petites pommes de terre, mais avant ce bon foie gras directement venu du Périgord, Moché !
• Je dois reconnaitre que c’est surprenant mon fils ayant changé nos habitudes, en temps normal nous allions au restaurant.
Apprendre qu’il voulait me faire à manger m’a surpris, j’ai même et flatté, j’ignorais que tu étais derrière tout ça !
Ou est-il ?
• Au restaurant, mais avec une jolie fille qui s’appelle Paula.
• Au resto, avec quel argent, avec sa mère on lui donne juste de quoi vivre, il faut savoir élever les garçons à la dure, comme je l’ai été et je crois que ça m’a très bien réussi.
• Je me doute que tu as épousé la femme parfaite, mais que tu trompes régulièrement avec des putes comme moi.
Ton fils, il offre le restaurant à sa petite amie avec une partie des mille euros que tu m’as fait donner pour lui monter un piège.
Tu sais les cartes bancaires avec ton nom qui s’affiche chaque fois que tu te payes une de mes jeunes collègues, Véronique par exemple, Katia, la dernière, le 3 septembre 2023, tu te souviens de Katia ma filleule.
Jolie petite fleur à qui tu lui as demandé de te mettre un doigt dans le cul, il paraît que c’est ton truc pour bander plus facilement et plus fortement.
• Salope, tu m’as coupé l’appétit, me faire du chantage à moi.
• Tu prends ça comme çà et là, tu te trompes, je me tais à deux conditions.
• Dis-les toujours, mais sache que ma femme sait que je paye des professionnelles.
• Ton nez bouge Moché, la dernière fois après avoir bien baisé avec Katia, tu lui as dit que si ta femme savait que tu lui étais infidèle, tu te retrouverais à la rue sans un sou.
J’ai appelé des relations, tu as nib, un contrat de mariage stipule qu’en cas d’infidélité ta femme aura tous les biens.
C’est Abraham ton beau-père qui a rédigé le contrat de mariage avant de décéder et ça tu le savais.
Si tu épousais une fille, juive de mème religion que la tienne alors à toi la belle vie, bien que l’on m’ait dit que tu étais très doué pour les affaires.
La chaîne de magasins « RECORD » est à deux doigts de rentrer en bourse, ce qui est un grand risque lorsqu’on aime le cul, la tienne étant un peu réticente à écarter ses cuisses, d’où les putes.
• Je sens en toi, une femme d’affaires, que me veux-tu ?
• Qui êtes-vous monsieur ?
• Pardon, tu dérailles, ça fait trois jours que tu sais qui je suis.

Merde, deux fils ont dû se toucher dans ma tête et par chance mon amnésie a été d’une courte durée.
Je comprends que je suis loin d’être guérie, le principal, c’est de reprendre là ou mon cerveau s’est mis à pédaler dans la semoule.

• Laisse tomber, ton fils est loin d’être puceau, mais ça tu le savais déjà, mais, hélas, il a flaché sur une goy et ça tu as du mal à le digérer.
Ce que tu lui reproches, c’est que tu as été obligé d’épouser une fille de ta religion pour pouvoir atteindre tes ambitions, alors que lui se fiche littéralement de toutes ces conneries.
• Je dois avouer que tu as entièrement raison, sans qu’il le sache, un jour, je les ai vus tous les deux au bas du Boulevard Saint-Michel.
J’ai été jaloux qu’il embrasse une si belle fille.
Je me suis renseigné comme toi tu sembles l’avoir fait et lorsque j’ai su qu’elle se rendait près de sa mère, j’ai su ce qu’il me restait à faire.
J’ai tout à perdre si ma femme le sait, si tu voyais sa laideur et son manque d’entrain au lit, tu comprendrais que les moments passés avec des filles comme toi sont des moments de joie intense.
• Je comprends, au moins, elles savent baiser comme vous les hommes aiment que les femmes baisent.
• Que veux-tu pour me faire pardonner ?

C’est fait, je l’ai à ma pogne, je vais pouvoir terminer mon plan surtout qu’il a légèrement évolué depuis qu'Agathe m’a emmerdé pour monter par l’ascenseur...

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