COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (163)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (163)
Encore une fois, je me suis fait baiser.
Après William mon beau jardinier de la maison de repos et Brian dans son appartement face à Notre-Dame de Paris.
Notre cathédrale en reconstruction après l’incendie qui semble avoir eu lieu pendant mon coma ou ma convalescence, dans cette période, j’avais d’autres soucis que de regarder la télé.
Deux coups gratuits, car deux coups de cœur, en comparaison avec Armand le dodu fermier originaire de la région charolaise.
Lui, c’est un client comme Isaac là été avant que je rencontre Moché son père et que je règle, du moins c’est ce que je pense, les amours entre Isaac et Paula avec l’aide d’Agathe, veuve d’un garde républicain à grande moustache à la Dali.
Armand je viens de le quitter après une nuit où j’ai fini par apprécier ce grand benêt, amoureux de sa femme malgré plus du quintal qu’elle doit peser.
J’ai repris ma marche le long de la Seine, dans ce matin après qu’Armand m’est payé un petit déjeuner fait de croissance chaud et de café noir.
Je serais bien restée à me prélasser, la chambre étant louée jusqu’à dix heures et mon portable étant resté muet.
Iris devant penser qu’un rendez-vous après ma convalescence était suffisante pour me remettre le pied à l’étrier.
Dans mon sac à main, j’ai le gros billet de 200 € soutiré à Armand après ma prestation, les 500 € étant payé à notre organisation à Iris lors de la prise de rendez-vous.
Grâce aux cartes bancaires, ça évite l’enveloppe que l’on touchait avant mon accident risquant suivant les sommes d’êtres dangereux pour les filles.
Le client paye, comme ce matin, les 200 € c’est ce que l’on appelle un pourboire pour prestation réussi.
Je passe devant un distributeur, c’est drôle de penser à contrôler mon compte, moi qui suis hors de ces contraintes matérielles.
Lorsque la machine me demande mon code de sécurité, j’ai un moment de panique, mais je finis par me souvenir des quatre chiffes, ma mémoire étant bien là ce matin.
Mettez-vous à ma place, je viens de renaitre, non, de naitre il y a quelques jours à peine, ce code il aurait pu être normal que mon cerveau l’ait oublié.
Un chiffre avec assez de zéro, sans compter ce que je possède matériellement, dont l’institut vers lequel je me rends.
Une pensée pour Armand et les 200 € que je lui ai soutirée dans la salle du petit déjeuner, pardon qu’il m’a offert en pourboire satisfait de la pute que je suis redevenue.
Dès notre bain pris, sans pouvoir enlever la plus grande partie de son odeur, les taureaux et les vaches devant finir par imprégner la peau de cet éleveur de Charolaise.
Il a voulu me faire un petit cadeau avant de me quitter étant satisfait d’avoir eu dans son lit et dans sa salle de bain, une vraie pro du cul, lui ayant vidé entièrement ses couilles.
Couilles qui étaient drôle, très grosses avec en leur prolongement une bite très courte.
Pourquoi la phrase suivante m’est venue à l’esprit, encore des tours de ma mémoire ?
« Il en vaut mieux, une petite vigoureuse qu’une grande fainéante. »
Certainement l’un des nombreux proverbes dont je me souviens de leurs existences.
Armand était court, mais au fil de la nuit, chaque fois qu’il me baisait, après il s’épanchait sur sa vie de fermier.
Pour commencer, Germaine, elle avait, pardons, elle a un gros cul, mais aussi un grand appétit sexuel.
Si j’ai compris que le taureau l’ayant monté, j’ai prononcé ces mots pour détendre l’atmosphère, Armand est un cocu heureux.
Sa femme aime tellement se faire baiser, surtout après qu’elle lui ait donné un fils de huit ans, qui un jour veut faire de l’élevage comme papa.
Sa grossesse a déclenché en elle une boulimie de sexe au point qu’Armant a failli tomber malade.
Lorsqu’un jour, dans la vieille grange à foin, remplacée par des hangars ultra-modernes, il a vu sa femme se faire sauter par Jules leur commis.
Il a laissé faire, à deux, peut-être plus, ça lui a permis de retrouver la santé.
Armant, ayant sorti son portefeuille, rempli d’un bon nombre de gros billets, en bon paysan s’est permis un crime de l’aise majesté envers une femme comme moi.
• As-tu un billet de cent, je voulais te remercier de m’avoir satisfait sexuellement, je révais de sodomie, Germaine me refuse ce plaisir et tu as réalisé mon fantasme ?
• Tu veux me remercier de m’avoir sodomisé et tu pinailles pour 100 €, merci pour ce joli pourboire.
Avant que mon client ait pu se reprendre, profitant de son trouble, j’ai saisi le billet que j’ai mis dans mon sac.
• Tu as raison, tu les vaux bien, bon on me fait signe que mon taxi est là.
L’an prochain j’appèlerais, comme cette année et je demanderais que l’on m’envoie Christine, à moins que tu veuilles venir visiter ma ferme.
C’est facile, je suis le seul Armand éleveur à Paray-le Monial.
• Je sais, il me suffit de trouver une ferme avec des hangars et une vieille grange en faisant attention à Germaine, se faisant sauter par ton commis.
Il s’est levé et m’a quitté, à la table non loin de la nôtre, une femme a certainement tout vu de l’échange de billets me ramenant à ma condition de pute.
J’ai fini mon café, sous son regard dédaigneux, en son fort intérieure, elle doit se dire comment peut-on se vendre pour un billet de 200 €, ignorant les 400 € que je vois versés sur mon compte par ma banque pendant que je me faisais baiser.
En une nuit, vu ses fringues, bon marché, soit elle est anglaise, soit c’est une caissière de super-marcher venue à Paris avec le garçon boucher de ce même super-marcher.
Un bâtiment m’attire l’œil, « Académie Française », je sors de mes pensées souvent au ralenti depuis mon coma, pour m’apercevoir de deux choses.
La première, c’est de voir de si près ce pilier de notre démocratie où se trouvent des hommes et des femmes en habit vert travaillant principalement pour le dictionnaire.
J’ai souvent vu cette honorable maison lorsque je passais avec ma voiture ou des taxis me rendant dans des hôtels près de la tour Effel pour rencontrer mes clients.
D’aussi près, c’est la première fois que je peux admirer cet édifice.
J’ai dû louper le boulevard Saint-Michel pour rejoindre mon institut.
Je reviens sur mes pas, il est presque onze heures lorsque j’y pénètre, une jeune femme inconnue se trouve à l’accueil, elle a un collier avec des pierres dont j’ai oublié le nom.
• Marie-Ange, tu es toujours parmi nous !
On va penser qu’il est incongru de parler d’une jeune femme inconnue pour finir l’instant d’après par l’appeler par son nom.
C’est là une particularité de mon cerveau depuis que j’ai repris pied sur terre.
Trou de mémoire et l’instant d’après la lumière ce fait, c’est le cas à cet instant.
Marie-Ange est la jeune femme de peau noire que j’avais invitée à rejoindre mon escadre d’escorte girl.
• Comment se fait-il que tu es ici ?
• Avant de t’éclairer sur moi, vient dans mes bras, si tu savais comme j’ai trouvé le temps long lorsque j’ai su que l’on t’avait tiré dessus et que tu étais dans le coma.
J’aurais voulu venir te voir plus tôt, mais Odile qui est un peu la superviseure de nos deux instituts nous avait recommandé de limiter nos visites.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, nous sommes serrées poitrines contre poitrine.
La sienne semble encore plus ferme que la mienne, bien que cette nuit, Armand mon éleveur de charolaise, m’ait tété pour me montrer comment un petit veau faisait pour se nourrir du lait de sa maman la vache.
Je suis hypersensible de mes mamelles, je sentais ma chatte dégoulinée de plaisir, un moment il a repris son souffle, hélas, j’étais à deux doigts de jouir.
Au-dessus de son épaule, une porte est ouverte, des sièges, certainement la salle d’attente.
Un jeune garçon est là, Florentin que j’ai laissé dans les mains d’Agathe pour qu’elle le fasse dîner, le jeune homme semblant mourir de faim.
• Excuse-moi, Marie-Ange, il faut que je parle à ce jeune homme, je suis de retour, nous aurons l’occasion de nous retrouver plus longtemps.
Que fais-tu là, Florentin ?
Tu viens faire des soins de beauté alors que je croyais que tu étais incapable de payer une partie de ton loyer !
Lorsqu’on est jeune, il faut savoir choisir ses priorités !
Tu me déçois fortement Florentin, je te croyais plus mature et responsable que ça.
Dire que j’ai fait la leçon à Agathe !
• Vous vous trompez madame, Agathe est là, elle a voulu que je l’accompagne, une jeune chinoise est venue la chercher pour lui faire des soins nécessaires pour les femmes.
• Ce jeune homme a raison Christine, il a accompagné sa maman qui avait pris rendez-vous avec nous pour des soins intimes.
Anne l’a pris en main et lorsque tu es entrée, j’allais les rejoindre pour lui faire une manucure.
Si tu savais la fureur que c’est pour les femmes d’avoir des ongles peints.
Nous avons installé ce jeune homme avec des journaux pendant que sa maman se faisait faire le tablier.
Cette dame voulait qu’il l’accompagne mais il a refusé, je comprends qu’il ait été retissant à voir sa mère se faire épiler la chatte et les sourcils.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, Marie-Ange semble avoir cru qu’Agathe était la mère de Florentin, mais pourquoi est-il avec elle.
Un reste de pudeur me retient et si Agathe avait pris sa tache trop à cœur et que le jeune homme ait dépassé le stade d’un simple repas pour se remettre en forme.
Mais c’est mon esprit pervers qui doit me jouer des tours.
• Marie-Ange, dans quelle salle, se trouve Agathe !
• Dans ce couloir, salle 3 ?
• Florentin, vient avec moi, nous allons la rejoindre.
Salle 3, je frappe et je fais glisser la porte, Florentin entre le premier.
• Bichon, tu en as eu assez d’attendre, tu as bien fait de venir.
C’est à ce moment que pénétrant, Agathe me voit, avant qu’elle dise un mot, j’ai le temps de voir ses jambes écartées et son vagin entièrement débarrassé de ce tablier de sapeur, qu’elle m’a présenté lorsque je l’ai rejointe et qu’elle baisait avec Moché.
Après Marie-Ange, je tombe dans les bras d’Anne, même si sa poitrine a grossi après la naissance de Sindy sa fille, elle reste assez plate comparée à notre jolie black.
La situation est cocasse, mais c’est Agathe qui la débloque.
• Christine, j’ai suivi ton conseil, j’ai appelé pour me faire enlever tous ces poils disgracieux.
Bichon qu’en penses-tu, tu vas aimer, viens m’embrasser.
Christine si tu savais ce que m’as fait découvrir bichon, depuis que vous m’avez laissé seule avec lui !
Je me doute, vous vous en doutez aussi, certainement du même calibre que moi cette nuit avec Armand à la différence, c’est que j’ai été payé pour me faire baiser.
Dans un à deux jours Agathe nous dévoilera, certainement, comment de maman de Florentin pour Marie-Ange, Agathe est devenue la maîtresse de ce beau jeune homme, comme je le pense...
Après William mon beau jardinier de la maison de repos et Brian dans son appartement face à Notre-Dame de Paris.
Notre cathédrale en reconstruction après l’incendie qui semble avoir eu lieu pendant mon coma ou ma convalescence, dans cette période, j’avais d’autres soucis que de regarder la télé.
Deux coups gratuits, car deux coups de cœur, en comparaison avec Armand le dodu fermier originaire de la région charolaise.
Lui, c’est un client comme Isaac là été avant que je rencontre Moché son père et que je règle, du moins c’est ce que je pense, les amours entre Isaac et Paula avec l’aide d’Agathe, veuve d’un garde républicain à grande moustache à la Dali.
Armand je viens de le quitter après une nuit où j’ai fini par apprécier ce grand benêt, amoureux de sa femme malgré plus du quintal qu’elle doit peser.
J’ai repris ma marche le long de la Seine, dans ce matin après qu’Armand m’est payé un petit déjeuner fait de croissance chaud et de café noir.
Je serais bien restée à me prélasser, la chambre étant louée jusqu’à dix heures et mon portable étant resté muet.
Iris devant penser qu’un rendez-vous après ma convalescence était suffisante pour me remettre le pied à l’étrier.
Dans mon sac à main, j’ai le gros billet de 200 € soutiré à Armand après ma prestation, les 500 € étant payé à notre organisation à Iris lors de la prise de rendez-vous.
Grâce aux cartes bancaires, ça évite l’enveloppe que l’on touchait avant mon accident risquant suivant les sommes d’êtres dangereux pour les filles.
Le client paye, comme ce matin, les 200 € c’est ce que l’on appelle un pourboire pour prestation réussi.
Je passe devant un distributeur, c’est drôle de penser à contrôler mon compte, moi qui suis hors de ces contraintes matérielles.
Lorsque la machine me demande mon code de sécurité, j’ai un moment de panique, mais je finis par me souvenir des quatre chiffes, ma mémoire étant bien là ce matin.
Mettez-vous à ma place, je viens de renaitre, non, de naitre il y a quelques jours à peine, ce code il aurait pu être normal que mon cerveau l’ait oublié.
Un chiffre avec assez de zéro, sans compter ce que je possède matériellement, dont l’institut vers lequel je me rends.
Une pensée pour Armand et les 200 € que je lui ai soutirée dans la salle du petit déjeuner, pardon qu’il m’a offert en pourboire satisfait de la pute que je suis redevenue.
Dès notre bain pris, sans pouvoir enlever la plus grande partie de son odeur, les taureaux et les vaches devant finir par imprégner la peau de cet éleveur de Charolaise.
Il a voulu me faire un petit cadeau avant de me quitter étant satisfait d’avoir eu dans son lit et dans sa salle de bain, une vraie pro du cul, lui ayant vidé entièrement ses couilles.
Couilles qui étaient drôle, très grosses avec en leur prolongement une bite très courte.
Pourquoi la phrase suivante m’est venue à l’esprit, encore des tours de ma mémoire ?
« Il en vaut mieux, une petite vigoureuse qu’une grande fainéante. »
Certainement l’un des nombreux proverbes dont je me souviens de leurs existences.
Armand était court, mais au fil de la nuit, chaque fois qu’il me baisait, après il s’épanchait sur sa vie de fermier.
Pour commencer, Germaine, elle avait, pardons, elle a un gros cul, mais aussi un grand appétit sexuel.
Si j’ai compris que le taureau l’ayant monté, j’ai prononcé ces mots pour détendre l’atmosphère, Armand est un cocu heureux.
Sa femme aime tellement se faire baiser, surtout après qu’elle lui ait donné un fils de huit ans, qui un jour veut faire de l’élevage comme papa.
Sa grossesse a déclenché en elle une boulimie de sexe au point qu’Armant a failli tomber malade.
Lorsqu’un jour, dans la vieille grange à foin, remplacée par des hangars ultra-modernes, il a vu sa femme se faire sauter par Jules leur commis.
Il a laissé faire, à deux, peut-être plus, ça lui a permis de retrouver la santé.
Armant, ayant sorti son portefeuille, rempli d’un bon nombre de gros billets, en bon paysan s’est permis un crime de l’aise majesté envers une femme comme moi.
• As-tu un billet de cent, je voulais te remercier de m’avoir satisfait sexuellement, je révais de sodomie, Germaine me refuse ce plaisir et tu as réalisé mon fantasme ?
• Tu veux me remercier de m’avoir sodomisé et tu pinailles pour 100 €, merci pour ce joli pourboire.
Avant que mon client ait pu se reprendre, profitant de son trouble, j’ai saisi le billet que j’ai mis dans mon sac.
• Tu as raison, tu les vaux bien, bon on me fait signe que mon taxi est là.
L’an prochain j’appèlerais, comme cette année et je demanderais que l’on m’envoie Christine, à moins que tu veuilles venir visiter ma ferme.
C’est facile, je suis le seul Armand éleveur à Paray-le Monial.
• Je sais, il me suffit de trouver une ferme avec des hangars et une vieille grange en faisant attention à Germaine, se faisant sauter par ton commis.
Il s’est levé et m’a quitté, à la table non loin de la nôtre, une femme a certainement tout vu de l’échange de billets me ramenant à ma condition de pute.
J’ai fini mon café, sous son regard dédaigneux, en son fort intérieure, elle doit se dire comment peut-on se vendre pour un billet de 200 €, ignorant les 400 € que je vois versés sur mon compte par ma banque pendant que je me faisais baiser.
En une nuit, vu ses fringues, bon marché, soit elle est anglaise, soit c’est une caissière de super-marcher venue à Paris avec le garçon boucher de ce même super-marcher.
Un bâtiment m’attire l’œil, « Académie Française », je sors de mes pensées souvent au ralenti depuis mon coma, pour m’apercevoir de deux choses.
La première, c’est de voir de si près ce pilier de notre démocratie où se trouvent des hommes et des femmes en habit vert travaillant principalement pour le dictionnaire.
J’ai souvent vu cette honorable maison lorsque je passais avec ma voiture ou des taxis me rendant dans des hôtels près de la tour Effel pour rencontrer mes clients.
D’aussi près, c’est la première fois que je peux admirer cet édifice.
J’ai dû louper le boulevard Saint-Michel pour rejoindre mon institut.
Je reviens sur mes pas, il est presque onze heures lorsque j’y pénètre, une jeune femme inconnue se trouve à l’accueil, elle a un collier avec des pierres dont j’ai oublié le nom.
• Marie-Ange, tu es toujours parmi nous !
On va penser qu’il est incongru de parler d’une jeune femme inconnue pour finir l’instant d’après par l’appeler par son nom.
C’est là une particularité de mon cerveau depuis que j’ai repris pied sur terre.
Trou de mémoire et l’instant d’après la lumière ce fait, c’est le cas à cet instant.
Marie-Ange est la jeune femme de peau noire que j’avais invitée à rejoindre mon escadre d’escorte girl.
• Comment se fait-il que tu es ici ?
• Avant de t’éclairer sur moi, vient dans mes bras, si tu savais comme j’ai trouvé le temps long lorsque j’ai su que l’on t’avait tiré dessus et que tu étais dans le coma.
J’aurais voulu venir te voir plus tôt, mais Odile qui est un peu la superviseure de nos deux instituts nous avait recommandé de limiter nos visites.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, nous sommes serrées poitrines contre poitrine.
La sienne semble encore plus ferme que la mienne, bien que cette nuit, Armand mon éleveur de charolaise, m’ait tété pour me montrer comment un petit veau faisait pour se nourrir du lait de sa maman la vache.
Je suis hypersensible de mes mamelles, je sentais ma chatte dégoulinée de plaisir, un moment il a repris son souffle, hélas, j’étais à deux doigts de jouir.
Au-dessus de son épaule, une porte est ouverte, des sièges, certainement la salle d’attente.
Un jeune garçon est là, Florentin que j’ai laissé dans les mains d’Agathe pour qu’elle le fasse dîner, le jeune homme semblant mourir de faim.
• Excuse-moi, Marie-Ange, il faut que je parle à ce jeune homme, je suis de retour, nous aurons l’occasion de nous retrouver plus longtemps.
Que fais-tu là, Florentin ?
Tu viens faire des soins de beauté alors que je croyais que tu étais incapable de payer une partie de ton loyer !
Lorsqu’on est jeune, il faut savoir choisir ses priorités !
Tu me déçois fortement Florentin, je te croyais plus mature et responsable que ça.
Dire que j’ai fait la leçon à Agathe !
• Vous vous trompez madame, Agathe est là, elle a voulu que je l’accompagne, une jeune chinoise est venue la chercher pour lui faire des soins nécessaires pour les femmes.
• Ce jeune homme a raison Christine, il a accompagné sa maman qui avait pris rendez-vous avec nous pour des soins intimes.
Anne l’a pris en main et lorsque tu es entrée, j’allais les rejoindre pour lui faire une manucure.
Si tu savais la fureur que c’est pour les femmes d’avoir des ongles peints.
Nous avons installé ce jeune homme avec des journaux pendant que sa maman se faisait faire le tablier.
Cette dame voulait qu’il l’accompagne mais il a refusé, je comprends qu’il ait été retissant à voir sa mère se faire épiler la chatte et les sourcils.
Je suis à deux doigts d’éclater de rire, Marie-Ange semble avoir cru qu’Agathe était la mère de Florentin, mais pourquoi est-il avec elle.
Un reste de pudeur me retient et si Agathe avait pris sa tache trop à cœur et que le jeune homme ait dépassé le stade d’un simple repas pour se remettre en forme.
Mais c’est mon esprit pervers qui doit me jouer des tours.
• Marie-Ange, dans quelle salle, se trouve Agathe !
• Dans ce couloir, salle 3 ?
• Florentin, vient avec moi, nous allons la rejoindre.
Salle 3, je frappe et je fais glisser la porte, Florentin entre le premier.
• Bichon, tu en as eu assez d’attendre, tu as bien fait de venir.
C’est à ce moment que pénétrant, Agathe me voit, avant qu’elle dise un mot, j’ai le temps de voir ses jambes écartées et son vagin entièrement débarrassé de ce tablier de sapeur, qu’elle m’a présenté lorsque je l’ai rejointe et qu’elle baisait avec Moché.
Après Marie-Ange, je tombe dans les bras d’Anne, même si sa poitrine a grossi après la naissance de Sindy sa fille, elle reste assez plate comparée à notre jolie black.
La situation est cocasse, mais c’est Agathe qui la débloque.
• Christine, j’ai suivi ton conseil, j’ai appelé pour me faire enlever tous ces poils disgracieux.
Bichon qu’en penses-tu, tu vas aimer, viens m’embrasser.
Christine si tu savais ce que m’as fait découvrir bichon, depuis que vous m’avez laissé seule avec lui !
Je me doute, vous vous en doutez aussi, certainement du même calibre que moi cette nuit avec Armand à la différence, c’est que j’ai été payé pour me faire baiser.
Dans un à deux jours Agathe nous dévoilera, certainement, comment de maman de Florentin pour Marie-Ange, Agathe est devenue la maîtresse de ce beau jeune homme, comme je le pense...
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