COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (165)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (165)
Comme il est souvent dit, du moins si ma mémoire fonctionne normalement aujourd’hui, les emmerdes volent en escadrille lorsqu’ils vous tombent dessus.
Je pensais avoir réglé le problème entre Agathe, Moché le père d’Isaac et maintenant Florentin, lorsque nous tombe sur le dos Jacques Dubois, le plus vachard des contrôleurs fiscaux que Bercy ait pu nous envoyer à ce que nous dit Odile venue de l’autre institut créé par Virginie.
Elles ont subi un contrôle pendant que je dormais après mon accident russe.
Perspicace comme je le suis, je sens son regard sur mes seins, que je mets toujours en valeur, semblant être le talon d’Achille de cet homme.
J’ai eu un client fétichiste des pieds, haut placé dans la hiérarchie politique, qui a fini par avoir de graves ennuis à cause de ce fantasme.
Lorsqu’il me faisait venir à un hôtel, il passait des heures à me les lécher et en leur mettant bon nombre de pommades.
Ayant avec lui tous les outils nécessaires à ce travail, il me coupait les ongles de doigts de pieds et passait des heures à me les limer.
J’ai de beaux seins et côté pied, ils sont très beaux aussi, j’étais contente lorsque Iris m’appelait pour me dire qu’il voulait que je vienne, je savais qu’en plus des billets qui arriveraient sur nos comptes, j’économiserais une pédicure.
• J’ai installé monsieur Dubois, je vous assure qu’il porte bien son nom, il est plus dur qu’un morceau de bois, il serait noir, nous pourrions le prendre pour un morceau de bois d’ébène !
• Odile, tu as fermé la porte du bureau, peut-il nous entendre ?
• Nous l’avons eue sur les bras pendant ton absence Christine, trois semaines sans savoir quoi faire, on dirait une tortue avec sa carapace.
Dès qu’il se sent attaqué, il rentre dans sa coquille, comme les tortues le font lorsqu’elles ont peur.
• Toute carapace a un point faible, je crois avoir découvert l’un de ces points faibles.
Mes amies, ici nous sommes bien pourvus pour lui faire travailler son point faible.
• Tu as raison, Christine, tu m’as fait déboutonner mon corsage, tout le temps où je lui sortir tous les documents comptables qu’il m’ai demandé.
Son regard était plongé au plus loin qu’il pouvait le faire dans mon décolleté.
• Marie-Ange, même toi, en faisant les ongles de tes clientes, tu te découvres, tes seins sont magnifiques et j’ignore s’il fantasme sur les filles de couleur, ça pourrait nous servir.
Aline, tu es là aujourd’hui, toi et Anne malgré que les vôtres ressemblent plus à des œufs sur le plat, ouvrez votre blouse, oui comme ça.
Chacun chez soi, Dubois à l’étage, les filles dans les salles de travail en bas.
Je monte un moment plus tard, j’ouvre la porte, il est plongé dans nos livres de comptes.
Agathe est partie avec son sexe sur pied, me montrant si j’avais encore des doutes, que « jamais plus jamais » ça dépend de la bite que l’on propose à une femme.
Je me paye le culot de venir dans le bureau lorsque Marie-Ange me dit que la cafetière de ces dames se trouve dans cet endroit.
Grâce à elle, la chance est de notre côté, j’ai un motif étant la première pour venir déguster un café de marque nespresso, prôné à la télé par George Clooney et Jean Dujardin rejoint dans la dernière version de la pub par Camille Cottin, le machisme a des limites.
Nous aussi les femmes nous aimons le café fort.
Bien sûr j’aime le café, mais aussi être la première, les autres vont suivent et montrer à ce monsieur ce qui semble lui plaire et le faire réagir.
Je suis dans le vrai, il cherche désespérément à les regarder.
• Inutile de vous offrir une tasse, ce serait considéré comme de la corruption, je le fais couler et je vais aller le boire dans la dépendance où nous rangeons nos produits à côté de ce bureau !
• Non, faite comme vous avez l’habitude de le faire, j’ai peut-être été un peu trop cassant lorsque je suis arrivé.
Mais reconnaissez que ce que j’ai vu, il est vrai en ouvrant la porte un peu rapidement, à de quoi interpellé un homme venant simplement faire son travail de contrôle.
Mais il a un petit cœur caché sous son air bourru, ou c’est sœur Teresa qui fait encore parler d’elle dans ce bureau où je fais deux tasses de café.
Clooney, Dujardin, non Camille Cottin, on connaît le plaisir que je prends avec les femmes et cette actrice a du chien et hélas, elle est inaccessible pour une pauvre escorte comme moi.
Une petite confidence en passant, j’en dis beaucoup sur ma vie sexuelle avec mes clients ou clientes.
Si Camille était l’une d’elles croyez-vous que je vous chanterais au fil de ces pages, ce que je serais capable de lui proposer pour que vous ruiniez sa carrière.
Vous vous mettez le doigt dans l’œil, voire autre part suivant votre degré de perversion.
Le café est prêt, je prends la tasse par son anse, monsieur Dubois s’est déjà étalé, la chance est avec moi, je la pose entre deux classeurs assez loin pour me pencher en avant de façon toute naturelle.
J’espère que mes globes sont assez mis en valeur, ils sont une grande part de ma réussite dans la prostitution.
À son regard, je sais que je vise juste, je suis à deux doigts de lui révéler que nous sommes des péripatéticiennes en dehors de cet institut.
Il doit comprendre que plus, ça va le trahir, il replonge dans ses fiches, il en a un paquet devant lui, prenant la tasse et buvant une petite gorgée.
Inutile d’insister, ça pourrait paraître suspect, ma tasse vide, je la place dans la corbeille où elles seront lavées.
• Bien, je vous laisse, la machine est à votre disposition chaque fois que vous en aurez envie.
Sans attendre sa réponse, je quitte le bureau, un dernier coup d’œil en coin de sa part me met en joie, mon plan semble fonctionner.
À midi, je suis à l’accueil avec Odile qui est restée près de moi, nous parlons d’Alain son mari qui a dirigé les travaux ici pendant que je me prélassais dans un lit pendant cinq ans.
• Je vais déjeuner, votre institut sera-t-il ouvert à 13 heures 30, j’ai le droit à une heure et demie pour déjeuner.
La rigueur poussée à cet extrême, c’est impossible, c’est maladif.
Qui a Bercy, lorsque notre contrôleur part déjeuner, viendrait voir s’il prend un peu de temps supplémentaire ?
• Soyez sans crainte, monsieur Dubois, de nombreuses femmes travaillant dans ce quartier de Paris, se font tailler les poils de leur chatte pendant leur pose de midi.
D’autres font des UV, pour être bronzés dès leur premier jour de vacances, l’institut reste ouvert de 8 heures 30 à 20 heures.
Odile, semblant s’amuser à montrer une grande partie de son soutien pigeonnant se baisse derrière le comptoir pour ramasser une brochure.
Que disais-je de son slip, nous sommes à deux doigts de le découvrir ?
Bien sûr, j’exagère un petit peu, mais en passant notre contrôleur bande-t-il dans son pantalon ?
Lorsque la porte automatique se referme, je récupère mon sac à main où se trouve le pourboire de mon éleveur de vaches et je suis celui qu’entre nous j’appellerais Jacques.
Il prend la direction du boulevard Saint-Michel, je dois avoir raison pour la passion des seins, chaque fois qu’il croise l’une de mes congénères, ses yeux bifurquent toujours à hauteur de leurs mappemondes.
Je vois qu’il entre dans une brasserie, à côté une librairie, je m’intéresse à des livres en devanture, laissant passer un peu de temps.
Je finis par entrer, je le repère installé à une table, salade eau plate, en bouteille tout de même, notre homme est à ma merci.
Je m’installe à trois tables sans chercher à ce qu’il me voit.
• Une choucroute garnie et un demi et un café, lorsque j’aurais fini mon plat et ma bière, je l’aime très chaud.
• Bien madame, je vous amène ça tout de suite.
Je mange, en surveillant moi aussi du coin de l’œil ma proie, s’il me regarde et qu’il me voit sa réaction me montrera jusqu’à ou mon piège se referme sur notre contrôleur.
Ça marche, il a dû me repérer et il avance jusqu’à ma table.
Je suis à deux doigts de me bidonner, car il se dirige vers moi ayant gardé sa serviette coincée dans sa chemise.
• J’ai entendu vos amis vous appeler Christine, j’ai vu votre nom sur des documents, vous êtes la propriétaire de l’institut que je contrôle.
Vous venez souvent ici déjeuner !
• Monsieur Jacques, pardons monsieur Dubois, vous ici, le monde est petit.
• Vous pouvez, m’appeler Jacques, au pardon.
Sent-il le ridicule d’avoir gardé sa serviette, il l’arrache la gardant en main.
• Me permettez-vous de m’installer à votre table, je mange toujours seule, à midi au restaurant et le soir chez moi à Vincennes.
Sœur Teresa, mais aussi femme perfide, c’est à mon tour de faire tomber ma serviette, ma belle paire se met en évidence, je la ramasse.
• Bien sûr que vous pouvez, moi aussi je mange souvent seule le midi, mes filles se relayant auprès de nos clients.
• Serveur, est-il possible que vous m’apportiez mes affaires, je vais finir de déjeuner avec cette dame qui est...
Je m’éclate à le voir rougir, aux mots qu’il allait employer.
• L’amie de monsieur !
Il faut savoir taper fort, qu’aurais-je à faire avec un tel nabot autrement qu’en lui soutirant du fric afin qu’il me baise, mais ça je suis la seule à le savoir.
• Jacques, puis-je vous posez une question un peu personnelle !
• Vous pouvez, j’essayerais de vous répondre, du mieux que je peux !
• Prenez-vous votre pied à contrôler des gens honnêtes comme mes filles et moi le somme ?...
Je pensais avoir réglé le problème entre Agathe, Moché le père d’Isaac et maintenant Florentin, lorsque nous tombe sur le dos Jacques Dubois, le plus vachard des contrôleurs fiscaux que Bercy ait pu nous envoyer à ce que nous dit Odile venue de l’autre institut créé par Virginie.
Elles ont subi un contrôle pendant que je dormais après mon accident russe.
Perspicace comme je le suis, je sens son regard sur mes seins, que je mets toujours en valeur, semblant être le talon d’Achille de cet homme.
J’ai eu un client fétichiste des pieds, haut placé dans la hiérarchie politique, qui a fini par avoir de graves ennuis à cause de ce fantasme.
Lorsqu’il me faisait venir à un hôtel, il passait des heures à me les lécher et en leur mettant bon nombre de pommades.
Ayant avec lui tous les outils nécessaires à ce travail, il me coupait les ongles de doigts de pieds et passait des heures à me les limer.
J’ai de beaux seins et côté pied, ils sont très beaux aussi, j’étais contente lorsque Iris m’appelait pour me dire qu’il voulait que je vienne, je savais qu’en plus des billets qui arriveraient sur nos comptes, j’économiserais une pédicure.
• J’ai installé monsieur Dubois, je vous assure qu’il porte bien son nom, il est plus dur qu’un morceau de bois, il serait noir, nous pourrions le prendre pour un morceau de bois d’ébène !
• Odile, tu as fermé la porte du bureau, peut-il nous entendre ?
• Nous l’avons eue sur les bras pendant ton absence Christine, trois semaines sans savoir quoi faire, on dirait une tortue avec sa carapace.
Dès qu’il se sent attaqué, il rentre dans sa coquille, comme les tortues le font lorsqu’elles ont peur.
• Toute carapace a un point faible, je crois avoir découvert l’un de ces points faibles.
Mes amies, ici nous sommes bien pourvus pour lui faire travailler son point faible.
• Tu as raison, Christine, tu m’as fait déboutonner mon corsage, tout le temps où je lui sortir tous les documents comptables qu’il m’ai demandé.
Son regard était plongé au plus loin qu’il pouvait le faire dans mon décolleté.
• Marie-Ange, même toi, en faisant les ongles de tes clientes, tu te découvres, tes seins sont magnifiques et j’ignore s’il fantasme sur les filles de couleur, ça pourrait nous servir.
Aline, tu es là aujourd’hui, toi et Anne malgré que les vôtres ressemblent plus à des œufs sur le plat, ouvrez votre blouse, oui comme ça.
Chacun chez soi, Dubois à l’étage, les filles dans les salles de travail en bas.
Je monte un moment plus tard, j’ouvre la porte, il est plongé dans nos livres de comptes.
Agathe est partie avec son sexe sur pied, me montrant si j’avais encore des doutes, que « jamais plus jamais » ça dépend de la bite que l’on propose à une femme.
Je me paye le culot de venir dans le bureau lorsque Marie-Ange me dit que la cafetière de ces dames se trouve dans cet endroit.
Grâce à elle, la chance est de notre côté, j’ai un motif étant la première pour venir déguster un café de marque nespresso, prôné à la télé par George Clooney et Jean Dujardin rejoint dans la dernière version de la pub par Camille Cottin, le machisme a des limites.
Nous aussi les femmes nous aimons le café fort.
Bien sûr j’aime le café, mais aussi être la première, les autres vont suivent et montrer à ce monsieur ce qui semble lui plaire et le faire réagir.
Je suis dans le vrai, il cherche désespérément à les regarder.
• Inutile de vous offrir une tasse, ce serait considéré comme de la corruption, je le fais couler et je vais aller le boire dans la dépendance où nous rangeons nos produits à côté de ce bureau !
• Non, faite comme vous avez l’habitude de le faire, j’ai peut-être été un peu trop cassant lorsque je suis arrivé.
Mais reconnaissez que ce que j’ai vu, il est vrai en ouvrant la porte un peu rapidement, à de quoi interpellé un homme venant simplement faire son travail de contrôle.
Mais il a un petit cœur caché sous son air bourru, ou c’est sœur Teresa qui fait encore parler d’elle dans ce bureau où je fais deux tasses de café.
Clooney, Dujardin, non Camille Cottin, on connaît le plaisir que je prends avec les femmes et cette actrice a du chien et hélas, elle est inaccessible pour une pauvre escorte comme moi.
Une petite confidence en passant, j’en dis beaucoup sur ma vie sexuelle avec mes clients ou clientes.
Si Camille était l’une d’elles croyez-vous que je vous chanterais au fil de ces pages, ce que je serais capable de lui proposer pour que vous ruiniez sa carrière.
Vous vous mettez le doigt dans l’œil, voire autre part suivant votre degré de perversion.
Le café est prêt, je prends la tasse par son anse, monsieur Dubois s’est déjà étalé, la chance est avec moi, je la pose entre deux classeurs assez loin pour me pencher en avant de façon toute naturelle.
J’espère que mes globes sont assez mis en valeur, ils sont une grande part de ma réussite dans la prostitution.
À son regard, je sais que je vise juste, je suis à deux doigts de lui révéler que nous sommes des péripatéticiennes en dehors de cet institut.
Il doit comprendre que plus, ça va le trahir, il replonge dans ses fiches, il en a un paquet devant lui, prenant la tasse et buvant une petite gorgée.
Inutile d’insister, ça pourrait paraître suspect, ma tasse vide, je la place dans la corbeille où elles seront lavées.
• Bien, je vous laisse, la machine est à votre disposition chaque fois que vous en aurez envie.
Sans attendre sa réponse, je quitte le bureau, un dernier coup d’œil en coin de sa part me met en joie, mon plan semble fonctionner.
À midi, je suis à l’accueil avec Odile qui est restée près de moi, nous parlons d’Alain son mari qui a dirigé les travaux ici pendant que je me prélassais dans un lit pendant cinq ans.
• Je vais déjeuner, votre institut sera-t-il ouvert à 13 heures 30, j’ai le droit à une heure et demie pour déjeuner.
La rigueur poussée à cet extrême, c’est impossible, c’est maladif.
Qui a Bercy, lorsque notre contrôleur part déjeuner, viendrait voir s’il prend un peu de temps supplémentaire ?
• Soyez sans crainte, monsieur Dubois, de nombreuses femmes travaillant dans ce quartier de Paris, se font tailler les poils de leur chatte pendant leur pose de midi.
D’autres font des UV, pour être bronzés dès leur premier jour de vacances, l’institut reste ouvert de 8 heures 30 à 20 heures.
Odile, semblant s’amuser à montrer une grande partie de son soutien pigeonnant se baisse derrière le comptoir pour ramasser une brochure.
Que disais-je de son slip, nous sommes à deux doigts de le découvrir ?
Bien sûr, j’exagère un petit peu, mais en passant notre contrôleur bande-t-il dans son pantalon ?
Lorsque la porte automatique se referme, je récupère mon sac à main où se trouve le pourboire de mon éleveur de vaches et je suis celui qu’entre nous j’appellerais Jacques.
Il prend la direction du boulevard Saint-Michel, je dois avoir raison pour la passion des seins, chaque fois qu’il croise l’une de mes congénères, ses yeux bifurquent toujours à hauteur de leurs mappemondes.
Je vois qu’il entre dans une brasserie, à côté une librairie, je m’intéresse à des livres en devanture, laissant passer un peu de temps.
Je finis par entrer, je le repère installé à une table, salade eau plate, en bouteille tout de même, notre homme est à ma merci.
Je m’installe à trois tables sans chercher à ce qu’il me voit.
• Une choucroute garnie et un demi et un café, lorsque j’aurais fini mon plat et ma bière, je l’aime très chaud.
• Bien madame, je vous amène ça tout de suite.
Je mange, en surveillant moi aussi du coin de l’œil ma proie, s’il me regarde et qu’il me voit sa réaction me montrera jusqu’à ou mon piège se referme sur notre contrôleur.
Ça marche, il a dû me repérer et il avance jusqu’à ma table.
Je suis à deux doigts de me bidonner, car il se dirige vers moi ayant gardé sa serviette coincée dans sa chemise.
• J’ai entendu vos amis vous appeler Christine, j’ai vu votre nom sur des documents, vous êtes la propriétaire de l’institut que je contrôle.
Vous venez souvent ici déjeuner !
• Monsieur Jacques, pardons monsieur Dubois, vous ici, le monde est petit.
• Vous pouvez, m’appeler Jacques, au pardon.
Sent-il le ridicule d’avoir gardé sa serviette, il l’arrache la gardant en main.
• Me permettez-vous de m’installer à votre table, je mange toujours seule, à midi au restaurant et le soir chez moi à Vincennes.
Sœur Teresa, mais aussi femme perfide, c’est à mon tour de faire tomber ma serviette, ma belle paire se met en évidence, je la ramasse.
• Bien sûr que vous pouvez, moi aussi je mange souvent seule le midi, mes filles se relayant auprès de nos clients.
• Serveur, est-il possible que vous m’apportiez mes affaires, je vais finir de déjeuner avec cette dame qui est...
Je m’éclate à le voir rougir, aux mots qu’il allait employer.
• L’amie de monsieur !
Il faut savoir taper fort, qu’aurais-je à faire avec un tel nabot autrement qu’en lui soutirant du fric afin qu’il me baise, mais ça je suis la seule à le savoir.
• Jacques, puis-je vous posez une question un peu personnelle !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonsoir,.
J'espère qu'il y a une suite à cette histoire ; ce que je regrette, c'est le manque de 10 chapitres : Comme les n° 7 ; 13 ; 20 ; 42 ; 45 ; 102 ; 104 ; 107 ; 115 ; 126 ; le manque de ces chapitres cassent un peu le déroulement des faits. Que s'est-il passé ? Le concert a-t-il eut lieu à Saint-Pétersbourg ? Katia a bien reçu 150 mille euros pour son dépucelage (devant - derrière) et non 500.000 € comme il est indiqué dans deux chapitres après le retour à la normale de Christine de son coma.
Cordialement.
J. Langon.
J'espère qu'il y a une suite à cette histoire ; ce que je regrette, c'est le manque de 10 chapitres : Comme les n° 7 ; 13 ; 20 ; 42 ; 45 ; 102 ; 104 ; 107 ; 115 ; 126 ; le manque de ces chapitres cassent un peu le déroulement des faits. Que s'est-il passé ? Le concert a-t-il eut lieu à Saint-Pétersbourg ? Katia a bien reçu 150 mille euros pour son dépucelage (devant - derrière) et non 500.000 € comme il est indiqué dans deux chapitres après le retour à la normale de Christine de son coma.
Cordialement.
J. Langon.