COLLECTION ESCORTE GIRL. Fermière et pute (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Fermière et pute (1/1)
Je m’appelle Véronique, l’aventure que je vais vous raconter m’est arrivée il y a un peu plus d’un an.
À 24 ans, je suis une jolie petite blonde avec des seins faisant damner les hommes.
Avant d’épouser Luc, fermier de son état j’avais eu de nombreuses aventures depuis mes 16 ans où je me suis fait dépuceler par le beau Ludo sur le siège arrière de sa voiture.
J’ai été élevé par Jean mon père, directeur de la banque agricole de notre village.
Je sortais de chez nous par la porte sur le côté de la banque où nous habitions avec mes parents.
Notre appartement était au-dessus et j’ai percuté Luc avant qu’il me percute dans sa chambre dans sa ferme.
Il m’avait invité à voir ses poules, ses canards faisant coin-coin et vaches.
Il en possédait une cinquantaine.
J’aurais pu faire des manières, mais dès que j’ai vu cette propriété, j’en suis tombée amoureuse.
Alors quand Luc s’est agenouillé pour me demander en mariage, même si je savais que cela déplaisait à mon père, je lui ai dit « oui ».
Il y avait un an quand deux choses se sont percutées.
La vache folle, suite à des mélanges de farines animales issus des équarrissages devenant de plus en plus importantes dans notre pays et difficile à valoriser l’a déclenchée.
C’est une société de farine anglaise qui nous a vendu ces produits qui ont rendu mabouls nos animaux.
Ça c’est la première chose.
La deuxième, c’est maman qui depuis son divorce est partie vivre à Orléans dans sa maison familiale.
J’ai reçu une lettre de son médecin référant demandant de venir la voir.
J’y suis allée, les vaches étaient folles, les humains étaient frappés par Alzheimer.
C’est une voisine qui l'a retrouvée errant dans la ville d’Orléans, elle ignorait depuis combien de temps elle cherchait où elle habitait.
Le docteur m’a parlé d’une maison spécialisée non loin de son appartement.
Je l’ai inscrit, mais il fallait que je la garde si possible dans ses souvenirs.
Je la prenais le samedi à 9 heures et je la ramenais le soir à 19 heures pour qu’elle dîne avec ses copines qui avaient le même problème qu’elle.
Pend deux mois, je prenais ma voiture malgré les soucis dus à l’abattage de nos vaches.
Tout a été désinfecté et Luc était dans l’obligation de perdre sa principale source de revenus lait et veaux.
Nous devions être indemnisés par papa, mais ça passait par des commissions bruxelloises qui traînent des pieds pour nous payer.
Le vendredi suivant, départ à 15 heures de la région de Clermont-Ferrand et je m’installais dans la maison de maman.
Ça me permettait d’être à sa maison de santé le matin sans me lever aux aurores, bien que depuis mon mariage avec Luc, c’est à 6 heures que je me lève.
C’est le samedi soir que tout a débuté, après avoir ramené, maman, j’avais le blues.
Je passais devant un bar appelé Calypso, je me suis arrêtée pour boire un simple verre.
Sans alcool, j’ai toujours évité de boire ces boissons !
J’étais assez déluré avant de me ranger avec Luc, quand je voyais ce que certaines copines faisaient, l’alcool les rendant folles de leur cul, ça me dissuadait d’en boire.
- Je vous offre un verre !
- Pardon, non merci.
- Si vous êtes venue dans ce bar, c’est pour trouver l’âme sœur, vous êtes bandante, j’aimerais passer un moment avec vous.
- Je suis mariée et je suis fidèle, certes, nous avons des ennuis d’argent dans notre ferme, mais de là à tromper mon mari, vous vous fourvoyez- Croyez mon expérience, deux critères pour qu’une femme devienne une pute, sa beauté.
Vous êtes dans le top dix des plus belles filles que j’aurais eu dans mon lit et le prix qu’on est prêt à y mettre pour que vous l’allongiez les cuisses écartées.
Pour vous 500 € serait une somme raisonnable.
- 500 € pour que je vende mon cul, vous êtes en dessous de sa valeur.
- Combien, pensez-vous qu’il vaut ?
- J’ai de l’expérience avec les hommes, 1 000 me semblerait plus raisonnable !
Je m’amusais comme une petite folle, mes soucis avec maman s’estompaient.
Faire marner ce garçon même s’il était séduisant, m’a emporté vers un tourbillon.
- C’est d’accord, vous les valez, on va chez vous.
C’est comme ça que j’ai fait monter ce beau gosse dans ma voiture.
C’est au moment où il est monté que j’ai voulu qu’il me paye.
Cinq beaux billets de 200, c’est impressionnant surtout quand il sort une liasse en ayant deux fois plus.
Arrivé chez maman, j’ai ouvert la grille avec la télécommande nous isolant des voisins qui auraient pu trouver bizarres les allées et venues de tous ces hommes.
Ce garçon fut mon premier client, il s’appelait Marc, je l’ai sucé sans aucun problème, pour 1 000 €, j’étais prête à tout, même à me faire enculer.
Marc la fait, là encore le premier, j’ai dit oui, mais s’il me donnait 500 € de plus.
Je venais de comprendre comment une femme pouvait pratiquer les plaisirs tarifés.
Quand je suis rentrée dans notre ferme, Luc m’a accueilli avec amour.
Il m’a amené dans notre chambre et m’a pris fougueusement.
Ça me nettoyait de ce que j’avais fait le samedi soir et le dimanche soir.
Marc étant revenu le lendemain.
3 000 € ma poche était plus lourde de 3 000 €.
Comble de ce que j’avais fait, Luc quand il m’a couché sur notre lit, m’a ôté ma culotte et m’a pénétré.
Son ventre s’appuyait sur la liasse de billets gagnée avec mon cul.
La prochaine fois, il faudra que je planque l’argent avant de le rejoindre.
Être fermière et tenir la compta a été source de facilité pour blanchir l’argent que chaque semaine je gagnais avec mon sexe, ma bouche et mon cul.
En quelques mois, tout a été remis d’équerre sans que Luc ait le moindre soupçon.
Marc m’avait donné son numéro, j’ai acheté un portable anonyme avec une carte.
Je l’ai rappelé, il a donné mon numéro à ses amis, qui l’ont donné à d'autres.
Quand je regarde les contacts, j’ai plu de 100 numéros qui m’appellent les vendredis soir, samedis et dimanches.
Je viens de payer tout un troupeau à mon mari.
D’un côté il a son troupeau de bovidés tous les jours, moi j’ai mon troupeau de queues chaque week-end.
Il m’arrive même de raccompagner maman le samedi après-midi, prétextant une obligation à la ferme.
Qui pourrait penser à la maison de santé que la somme que je viens d’accepter pour me faire sodomiser par un mari dont la femme réprouve ces pratiques, va nous payer l’électricité de toutes les nouvelles machines à traire que nous venons d’acheter.
Un seul souci, maman.
Combien de temps va-t-elle rester sur terre !
Si elle disparaît, je serai obligé de vendre sa maison.
J’ai pris goût à ces pratiques tarifées.
Sucer des bites et surtout me faire sodomiser, c’est mon vice principal et en plus ça paye un max.
Voilà c’est ainsi que de jolie fermière, je suis devenue une jolie pute bien demandée dans le réseau des escortes.
Je vous quitte, je dois passer chercher un client au Calypso.
1 000, voire 1 500 € à mon retour je vais dire à Luc, après qu’il m’est baisé, ventant mon abnégation, que nous pouvons acheter un couple de moutons d’Angleterre dont il rêve de développer l’élevage dans notre ferme.
Les revenus de la ferme montant de plus en plus, mes passes étant largement lucratives, j’envisage de refaire toute la toiture, voire faire construire ce hangar à foin nécessaire à notre extension.
Pourvu que maman reste avec moi une, voire deux années de plus.
À 24 ans, je suis une jolie petite blonde avec des seins faisant damner les hommes.
Avant d’épouser Luc, fermier de son état j’avais eu de nombreuses aventures depuis mes 16 ans où je me suis fait dépuceler par le beau Ludo sur le siège arrière de sa voiture.
J’ai été élevé par Jean mon père, directeur de la banque agricole de notre village.
Je sortais de chez nous par la porte sur le côté de la banque où nous habitions avec mes parents.
Notre appartement était au-dessus et j’ai percuté Luc avant qu’il me percute dans sa chambre dans sa ferme.
Il m’avait invité à voir ses poules, ses canards faisant coin-coin et vaches.
Il en possédait une cinquantaine.
J’aurais pu faire des manières, mais dès que j’ai vu cette propriété, j’en suis tombée amoureuse.
Alors quand Luc s’est agenouillé pour me demander en mariage, même si je savais que cela déplaisait à mon père, je lui ai dit « oui ».
Il y avait un an quand deux choses se sont percutées.
La vache folle, suite à des mélanges de farines animales issus des équarrissages devenant de plus en plus importantes dans notre pays et difficile à valoriser l’a déclenchée.
C’est une société de farine anglaise qui nous a vendu ces produits qui ont rendu mabouls nos animaux.
Ça c’est la première chose.
La deuxième, c’est maman qui depuis son divorce est partie vivre à Orléans dans sa maison familiale.
J’ai reçu une lettre de son médecin référant demandant de venir la voir.
J’y suis allée, les vaches étaient folles, les humains étaient frappés par Alzheimer.
C’est une voisine qui l'a retrouvée errant dans la ville d’Orléans, elle ignorait depuis combien de temps elle cherchait où elle habitait.
Le docteur m’a parlé d’une maison spécialisée non loin de son appartement.
Je l’ai inscrit, mais il fallait que je la garde si possible dans ses souvenirs.
Je la prenais le samedi à 9 heures et je la ramenais le soir à 19 heures pour qu’elle dîne avec ses copines qui avaient le même problème qu’elle.
Pend deux mois, je prenais ma voiture malgré les soucis dus à l’abattage de nos vaches.
Tout a été désinfecté et Luc était dans l’obligation de perdre sa principale source de revenus lait et veaux.
Nous devions être indemnisés par papa, mais ça passait par des commissions bruxelloises qui traînent des pieds pour nous payer.
Le vendredi suivant, départ à 15 heures de la région de Clermont-Ferrand et je m’installais dans la maison de maman.
Ça me permettait d’être à sa maison de santé le matin sans me lever aux aurores, bien que depuis mon mariage avec Luc, c’est à 6 heures que je me lève.
C’est le samedi soir que tout a débuté, après avoir ramené, maman, j’avais le blues.
Je passais devant un bar appelé Calypso, je me suis arrêtée pour boire un simple verre.
Sans alcool, j’ai toujours évité de boire ces boissons !
J’étais assez déluré avant de me ranger avec Luc, quand je voyais ce que certaines copines faisaient, l’alcool les rendant folles de leur cul, ça me dissuadait d’en boire.
- Je vous offre un verre !
- Pardon, non merci.
- Si vous êtes venue dans ce bar, c’est pour trouver l’âme sœur, vous êtes bandante, j’aimerais passer un moment avec vous.
- Je suis mariée et je suis fidèle, certes, nous avons des ennuis d’argent dans notre ferme, mais de là à tromper mon mari, vous vous fourvoyez- Croyez mon expérience, deux critères pour qu’une femme devienne une pute, sa beauté.
Vous êtes dans le top dix des plus belles filles que j’aurais eu dans mon lit et le prix qu’on est prêt à y mettre pour que vous l’allongiez les cuisses écartées.
Pour vous 500 € serait une somme raisonnable.
- 500 € pour que je vende mon cul, vous êtes en dessous de sa valeur.
- Combien, pensez-vous qu’il vaut ?
- J’ai de l’expérience avec les hommes, 1 000 me semblerait plus raisonnable !
Je m’amusais comme une petite folle, mes soucis avec maman s’estompaient.
Faire marner ce garçon même s’il était séduisant, m’a emporté vers un tourbillon.
- C’est d’accord, vous les valez, on va chez vous.
C’est comme ça que j’ai fait monter ce beau gosse dans ma voiture.
C’est au moment où il est monté que j’ai voulu qu’il me paye.
Cinq beaux billets de 200, c’est impressionnant surtout quand il sort une liasse en ayant deux fois plus.
Arrivé chez maman, j’ai ouvert la grille avec la télécommande nous isolant des voisins qui auraient pu trouver bizarres les allées et venues de tous ces hommes.
Ce garçon fut mon premier client, il s’appelait Marc, je l’ai sucé sans aucun problème, pour 1 000 €, j’étais prête à tout, même à me faire enculer.
Marc la fait, là encore le premier, j’ai dit oui, mais s’il me donnait 500 € de plus.
Je venais de comprendre comment une femme pouvait pratiquer les plaisirs tarifés.
Quand je suis rentrée dans notre ferme, Luc m’a accueilli avec amour.
Il m’a amené dans notre chambre et m’a pris fougueusement.
Ça me nettoyait de ce que j’avais fait le samedi soir et le dimanche soir.
Marc étant revenu le lendemain.
3 000 € ma poche était plus lourde de 3 000 €.
Comble de ce que j’avais fait, Luc quand il m’a couché sur notre lit, m’a ôté ma culotte et m’a pénétré.
Son ventre s’appuyait sur la liasse de billets gagnée avec mon cul.
La prochaine fois, il faudra que je planque l’argent avant de le rejoindre.
Être fermière et tenir la compta a été source de facilité pour blanchir l’argent que chaque semaine je gagnais avec mon sexe, ma bouche et mon cul.
En quelques mois, tout a été remis d’équerre sans que Luc ait le moindre soupçon.
Marc m’avait donné son numéro, j’ai acheté un portable anonyme avec une carte.
Je l’ai rappelé, il a donné mon numéro à ses amis, qui l’ont donné à d'autres.
Quand je regarde les contacts, j’ai plu de 100 numéros qui m’appellent les vendredis soir, samedis et dimanches.
Je viens de payer tout un troupeau à mon mari.
D’un côté il a son troupeau de bovidés tous les jours, moi j’ai mon troupeau de queues chaque week-end.
Il m’arrive même de raccompagner maman le samedi après-midi, prétextant une obligation à la ferme.
Qui pourrait penser à la maison de santé que la somme que je viens d’accepter pour me faire sodomiser par un mari dont la femme réprouve ces pratiques, va nous payer l’électricité de toutes les nouvelles machines à traire que nous venons d’acheter.
Un seul souci, maman.
Combien de temps va-t-elle rester sur terre !
Si elle disparaît, je serai obligé de vendre sa maison.
J’ai pris goût à ces pratiques tarifées.
Sucer des bites et surtout me faire sodomiser, c’est mon vice principal et en plus ça paye un max.
Voilà c’est ainsi que de jolie fermière, je suis devenue une jolie pute bien demandée dans le réseau des escortes.
Je vous quitte, je dois passer chercher un client au Calypso.
1 000, voire 1 500 € à mon retour je vais dire à Luc, après qu’il m’est baisé, ventant mon abnégation, que nous pouvons acheter un couple de moutons d’Angleterre dont il rêve de développer l’élevage dans notre ferme.
Les revenus de la ferme montant de plus en plus, mes passes étant largement lucratives, j’envisage de refaire toute la toiture, voire faire construire ce hangar à foin nécessaire à notre extension.
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