COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (1/4) - histoire érotique

• Jacques, c’est Michelle !
• Michelle, si tu m’appelles, c’est qu’il y a un problème avec mon escorte !
• Oui et non !
Oui, car il y a un problème pour qu’elle parte avec toi pour Malaga.
Non, parce que j’ai bien une fille, dix-huit ans depuis quelques jours.
J’ai vérifié plusieurs fois, elle a bien la majorité pour devenir escorte.
Soit sans crainte, tu ne te retrouveras pas avec une affaire de pédophilie sur les bras.
Dix-huit ans, blonde comme tu les aimes et de partout.
Tu sais que je vérifie ce genre de détail, un vrai bonbon dont tu vas te régaler.
Un détail, mais avec toi, pas de problème, c’est sa première prestation, je compte sur toi pour me dire, si côté sexe, elle est capable d’assumer.
C’est le seul point que je n’ai pas pu vérifier.
Elle m’a soutenu qu’elle n’était plus vierge et qu’elle savait comment contenter ses futurs clients.
• Ok, où se trouve le problème ?
• Depuis dix ans que tu es mon client, je sais que tu aimes voyager avec ton escorte, surtout une nouvelle, ça te permet de faire connaissance et de pouvoir faire ce que vous devez faire, dès votre arrivée.
Il n’y avait plus de place dans ton avion, elle prendra le vol, suivant sur une autre compagnie à Charles-de-Gaulle alors que tu pars de Roissy.
Elle sera dans ton hôtel, trois heures plus tard.
De plus, ça l’arrange, elle fait des études à la Sorbonne et ça va lui permettre de suivre ses cours sans problème.
• Problème, petit problème, Michelle !
Je serais capable de tenir trois heures sans violer la femme de ménage.
• Question prestation, tout est correct, j’ai fait une partie de son virement sur le compte qu’elle a ouvert, le reste à son retour
Puisque je t’ai, elle se fait appeler Lady, il va de soi que c’est un nom d’emprunt.
Sur ses papiers, j’ai vu son nom, tu me connais, je serai une tombe sur sa véritable identité.

Je m’appelle Jacques Demi, je suis architecte, j’ai ma propre agence à Paris.
J’ai quarante ans, j’aime ma femme, mais je me paye des putes.
Car il faut bien le reconnaitre, les escortes sont toutes des putes qui baisent pour l’argent que je leur donne.
Je suis marié, nous avons un enfant, un garçon de dix-neuf ans qui suit ma voie dans le métier, mais toujours en études.
Trois à quatre ans avant qu’il rejoigne mon agence et devienne mon bras droit.
Comme je l’ai dit à Michelle, la gestionnaire des escortes qui m’accompagne depuis dix ans, j’aime les fruits verts, mais blonde.
J’ai déjà eu trois jeunes escortes novices.
Ce n’est pas donné à toutes les jeunes filles, de vendre ses fesses.
Il est utile que Michelle sache si elles sont à la hauteur.
Celles qui ont débuté avec moi sont toutes dans le top niveau des filles demandées par les clients de Michelle.
Tout le voyage, j’ai comme voisine une mémé d’un certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain.
Je suis heureux que l’avion atterrisse à Malaga.
Tout le voyage, j’ai eu peur qu’elle ne me claque dans les doigts.
C’étaient surtout ses dentiers qui claquaient, elle avait peur en avion.
Après l’atterrissage à Malaga, son fils l’attendait et alors que je montais dans mon taxi, je les ai vus s’éloigner dans la voiture du fils.
En attendant Lady, j’ai pris un bain et je suis nu sur mon lit lorsque le téléphone sonne.

• Monsieur Demi, c’est la réception, il y a une jeune femme qui vous demande !
• Faites-la montée, je l’attendais.

Quelques minutes et l’on frappe à ma porte.
Pendant ce temps, j’ai passé un peignoir de l’hôtel sur mon dos.
Je sais que je vais recevoir une pute, mais nous avons le temps avant que je ne lui montre ma queue.

• Véronique, que fais-tu là !
Viens-tu m’annoncer une mauvaise nouvelle en ce qui concerne Bruno, mon fils ?
Je suis con, dans cette tenue et avec ta valise, tu es l’escorte que j’attendais.
Entre, tu ne vas pas rester dans le couloir.
Tu vas m’expliquer comment la copine, presque fiancée de mon fils, est une pute ?
Heureusement, une débutante à ce que m’a dit Michelle, mais, pute tout de même.

Véronique entre, Véronique ou Lady, un instant, j’ai un doute de qui je reçois.
Certes, je donne raison à Michelle, elle est blonde et comme elle, bien qu’elle ait passé plusieurs nuits sous mon toit, j’ignore si c’est de partout.

• Monsieur Jacques, je suis confus, je dois vous faire une confidence.
J’aime votre fils, mais je refuse d’appartenir à un homme, je veux mon indépendance et rapidement.
Mes études de droit me rapporteront dans plusieurs années et encore dans un cabinet d’avocats ou en tant que femme, je serais la dernière roue du carrosse sans jamais avoir ma pantoufle de vair.
Je veux rapidement gagner du fric, c’est le cas aujourd’hui, 2 000 par jour pendant trois jours, net d’impôts, madame Michelle s’occupe de tous.
• Bon, voyons tout ça à tête reposée, allons manger.
Cette situation m’a donné faim et j’ai horreur de manger dans ma chambre.

Je dois plutôt admettre que j’aime exhiber celles que l’on pourrait prendre pour mes conquêtes lorsque je suis loin de chez moi.
À quarante ans, je suis un vieux beau, n’ai-je pas les tempes grisonnantes.
Vieux beau, je le suis même dans la tenue que je porte.
Chemisette bleu clair, avec foulard de soie autour du cou, tergal beige et mocassins sans les glands, il ne faut pas exagérer.

• Monsieur Jacques, vous êtes très séduisant !

Je prends ça pour un compliment.
De mon côté, lorsque je regarde son joli petit cul et les seins qu’elle montre généreusement dans son ensemble short et boléro avec petite veste en lamé blanc.
Dommage qu’elle soit la petite copine de mon fils, j’aurais passé un moment de pur plaisir avec elle dans d’autres circonstances.
Et dommage qu’elle se donne des airs de pute.
Hélas, je dois le reconnaitre, le peu qu’elle m’en a dit, pute, elle l’est déjà dans sa tête.
J’ai quelquefois parlé avec les escortes que je fais venir dans mes voyages.
Toutes celles qui réussissent sont celles qui ont murement réfléchi au pas qu’elles franchissent.

• Monsieur Jacques, pouvez-vous m’expliquer, vous qui êtes bel homme et qui avez une bonne situation qui doit vous rapporter gros, pourquoi vous vous servez d’escortes lors de vos voyages ?
J’ai bien compris que vous faisiez venir des filles dans votre chambre lorsque vous m’avez ouvert votre porte.
De plus, Michelle, m’a dit que pour ma première fois, j’allais rencontrer un de ses plus vieux clients n’ayant jamais posé un problème avec ses filles !
• C’est ma faute, ça date de la naissance de Bruno.
J’ai trompé Jacqueline le jour où mon fils est né.
Ça faisait presque neuf mois qu’elle se refusait à moi de peur que je ne fasse du mal au bébé.
Il y avait une jeune infirmière qui m’a fait de l’œil.
J’ai fauté et j’ignore comment elle l’a su.
Elle m’a fermé la porte de sa chambre.
J’ai tenu quasiment neuf ans en simplement me masturbant, mais un jour j’ai rencontré Michelle.
Je vais te faire une confidence, elle me tuerait si elle savait que j’ai dévoilé un de ses secrets.
Michelle était une…
• Dites-le mot, monsieur Jacques, une pute, comme j’aspire à le devenir.
Ce serait déjà fait si les avions avaient concordé et que le destin ne m’eût mis en présence de mon futur beau-père.
• Tu as raison Véronique, le destin est cruel, Michelle était une escorte qui aspirait à se retirer tout en créant son entreprise que tu aspires à rejoindre.
Depuis ce temps, je me paye des putes, car la pignole j’en avais soupé.

Le repas terminé, je passe à la réception.

• Auriez-vous une chambre de libre pour l’amie qui est passée me voir pour dîner avec moi et qui n’est pas en état de chercher par elle-même ?
• Je m’excuse monsieur, mais il y a un congrès d’orthodontiste et notre hôtel est complet, je doute que vous trouviez une chambre de libre dans tout Malaga.
Surtout avec le début de la saison touristique.
Je m’en excuse monsieur, je vous souhaite la bonne nuit !

Je comprends le petit sourire ironique du réceptionniste en regardant Lady, ou Véronique, comment dire.
S’il savait que c’est la copine de mon fils, il verrait dans quel dilemme je me trouve.

• Bien, remontons dans ma chambre, nous allons partager le lit, mais en tout bien tout honneur, je refuse d’avoir une relation avec ma future belle-fille.
Va dans la salle de bain, couche-toi, je retourne au bar, le temps que tu te cales au fond du lit et que tu me caches, tous ces attributs que tu me mets sous le nez.

Heureusement, Véronique entre dans la chambre que je referme derrière elle.
Je suis au bar lorsqu’une femme d’une grande classe.
Autant que Jacqueline, ma femme.

• Avez-vous du feu, beau jeune homme ?

Environ la cinquantaine, Jacqueline en a quarante comme moi.

• Ça tombe, bien, je ne fume pas.
Tu m’emmènes dans ta chambre, disons que tu me plais et que…
• Ma chambre, non, mais la tienne oui…
• Hélas, je suis une épouse, mon vieux mari vient de prendre ses gouttes pour dormir et je dirais que j’ai la chatte en feu, tu es juste le type d’homme susceptible de l’éteindre.

Dilemme, quelle solution vais-je trouver ?
En allant baiser, cette belle femme, je pensais avoir résolu mon problème de chambre et de lit…