COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (2/4)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (2/4)
• Jacques, c’est Michelle !
C’est à la suite de ce coup de fil entre Michelle et moi, Jacques Demi, que tout s’est précipité.
Michelle, depuis des années, me fournit régulièrement des escortes lors de mes déplacements professionnels.
Escortes, je devrais dire plutôt des putes, blondes et jeunes.
Lady, devait être celle-là pour mon voyage à Malaga, en Espagne, plus précisément en Andalousie.
Un remplissage d’avion m’a empêché de voyager avec cette novice en relations tarifées.
C’est trois heures plus tard, ce qui n’est pas un gros problème, je suis là pour quatre jours, que la réception, m’informe de son arrivée.
Je vais ouvrir la porte de ma chambre lorsqu’elle se présente.
Qu’elle n’est pas ma stupeur de découvrir, après un moment d’incrédulité, que la jeune femme qui se tient devant moi n’est autre que Véronique, la copine, presque fiancée de mon fils Bruno.
Je veux trouver une solution pour me sortir de ce guêpier dans lequel je me sens propulsé.
Surtout qu’il est impossible de me tromper, sa tenue montrant une grande partie de ses charges, l’attestant.
Une jeune fille normale, ne porte pas de tels vêtements, dévoilant une grande partie de son anatomie.
Merde, elle est bien foutue, je sais qu’elle couche avec Bruno, ce petit con à une chance monstrueuse de l’avoir dans son lit.
Oui, mais elle veut son indépendance et à ce titre, gagner de l’argent rapidement avec son joli petit cul.
Au premier abord, n’étant pas un salopard, j’appelle la réception pour leur demander une chambre dans laquelle elle pourra passer la nuit avant que demain, je la renvoie à sa case de départ, à Paris.
La situation qu’elle crée, j’aurai le temps de voir ce que j’en fais à mon retour.
Puis-je laisser mon fils vivre avec une pute, sans qu’il sache, quelle en est une !
Pas de chambre libre, un congrès et les premiers touristes remplissant la totalité des chambres de la ville.
Pendant qu’elle se déshabille et qu’elle se couche, je décide de lui laisser le champ libre en descendant au bar de l’hôtel le temps de faire ses ablutions.
Au bar, je suis abordée par une belle femme qui me propose de la baiser, ayant présentement la chatte en feu.
Hélas, elle aussi a un empêchement et de taille, son vieux mari, que je la suspecte de l’avoir assommée avec quelques gouttes de somnifère lui laissant le champ libre !
C’est à ce moment qu’une idée me vient.
• J’aurais bien une solution, Catherine, aimes-tu les chattes des filles ?
• J’ignore où tu veux en venir, mais sans être lesbienne, il m’est arrivé de passer des soirées avec des amies et de faire ce qu’il faut pour nous satisfaire les unes les autres.
• Je suis descendue boire un verre pendant qu’une pute, que j’ai fait venir de Paris se prépare pour que nous passions la nuit ensemble.
Je te propose de monter et de la retrouver.
J’ai la certitude qu’elle saura nous satisfaire tous les deux.
• Une escorte, tu me diras combien je te dois Jacques !
En te proposant de boire un verre entre nous, je savais que tu trouverais la solution qui va nous satisfaire tous les deux.
Nous reprenons l’ascenseur, celle avec laquelle nous nous sommes faits les présentations, se colle à moi et sans plus de difficultés me roule une pelle, me faisant commencer à bander.
• Jacques, c’est toi, quelle est cette dame avec qui tu te trouves ?
Je me suis couchée comme tu me l’avais ordonné.
• Changement de programme, petite salope, j’ai rencontré madame qui a la chatte en feu et moi qu’elle a commencé à faire bander.
Occupe-toi de nous, fais-nous voir la belle pute que tu aspires à l’être.
Véronique, non, Lady enlève drap et couverture, la petite salope, je suis sûre qu’elle avait prévu de me tendre un piège, elle est entièrement nue.
Comme Michelle me l’a demandé, je peux constater qu’elle est blonde jusqu’à son entrecuisse.
Sa chatte s’orne d’une jolie touffe blonde impeccablement taillée.
• Lève-toi et débarrasse Catherine de sa robe, après, vous viendrez vous occuper de moi.
Une bonne pute ne pose pas de question idiote.
Lady sera une bonne pute, car sans hésiter, elle saute du lit comme pourrait le faire une tigresse dans la savane et se met à embrasser Catherine tout en la déshabillant.
Je suis appuyée sur la table servant en cas de repas en chambre.
Lady glisse sa main et la passe dans la chatte de notre amie.
J’ai le temps de voir qu’elle est parfaitement épilée, comme certaines des putes que j’ai eues au fil des années.
• Jacques, ta protégée est divine, je savais lorsque je t’ai vu que tu serais me faire passer une bonne soirée.
Je sens qu’elle se sépare avec regret pour mieux venir me sortir ma queue.
Agenouillées devant moi, ce sont deux langues qui montent et qui descendent tout en me masturbant, de chaque côté de ma bite.
Dans l’ascenseur, je bandais à moitié, là avec ces deux salopes, je bande à cent pour cent.
Véronique est loin, bien qu’elle soit à mes genoux.
Seule, Lady reste à me sucer, m’obligeant un effort surhumain pour ne pas leur remplir la bouche.
Catherine, a-t-elle été une escorte avant d’épouser son vieux mari.
Peut-être l’un de ses anciens clients, mais c’est elle qui voit que je vais atteindre le point de non-retour.
Elle se redresse, belle dans sa nudité, sa robe lui étant enlevée par la petite et entraine Lady sur le lit.
Un fauteuil est à ma disposition, je m’assieds pour admirer deux salopes se faire l’amour comme deux lesbiennes savent le faire avec leurs doigts et leurs bouches.
C’est là première fois que j’assiste à un 69 entre deux femmes, loin d’être calculatrices de leurs coups de langue.
Les deux se mettant à chanter, je reconnais les intonations de l’une et de l’autre.
Lady, la première dans ses Ah ! ou ses Ho ! jouit, suivie de peu par sa compagne de luxure.
Deux générations différentes, mais deux générations aussi cochonnes l’une que l’autre.
Lady, espiègle comme ce n’est pas possible, me regarde, elle est dessus, donc peut facilement se déplacer.
Elle vient au bord du lit, se retourne et frétille de la croupe.
Je suis un vieux pratiquant des amours tarifés, je sais qu’il faut sortir couvert.
Je récupère dans ma poche une capote.
Vu l’invite de la fente de ma belle-fille, je me la place avant de laisser tomber mon pantalon et sans plus me poser de question ou le moindre scrupule, je la pénètre.
Catherine ayant eu un peu plus de mal à récupérer voit qu’on baise ensemble.
Manœuvre pour venir se placer en levrette comme Lady, me permettant de passer de l’une à l’autre.
Avant que je ne remplisse ma capote, n’y tenant plus de les limer, elles ont chacune un orgasme.
Rares sont les escortes qui jouissent avec leurs clients.
J’ignore si Lady continuera dans sa décision de se prostituer, mais il est certain que Michelle aura de nombreuses propositions pour lui faire gagner un max de fric.
• Jacques, je te laisse, je dois rejoindre mon mari.
Inutile qu’il se demande où je suis et me pose des questions embarrassantes.
Vous m’avez fait passer une soirée formidable, j’espère que l’on se rêvera.
Je vais récupérer, j’ai rendez-vous avec un architecte demain, je gère les biens de mon mari et nous devons signer un contrat pour quatre tours à l’est de la ville.
Il parait que cet architecte est très imaginatif et va nous proposer quelque chose de très moderne.
Avant que je n’aie le temps de lui dire que cet architecte, c’est moi, elle se lève passe sa robe et s’apprête à sortir.
Catherine avait tout prévu en descendant au bar, à part sa robe, elle était nue en dessous, prête à l’emploi.
• Attends, Catherine, je vais te donner ma carte, le numéro qui s’y trouve est celui de mon agent qui s’occupe de mes engagements.
Elle s’appelle Michelle et elle te donnera mes tarifs.
Je suis sûre que tu auras bien envie de me revoir, si tu passes par Paris.
Gonflée Lady, elle profite de ce que j’ai fait monter Catherine dans ma chambre, pour fidéliser une future cliente.
Catherine part, le temps qu’elle lui donne sa carte, je me suis allongé sur mon lit.
• Jacques, j’ai encore envie, veux-tu recommencer ?
Et comment, que je veux, Véronique veut être une pute ?
Pourquoi lui refuser ce plaisir ?
Je sais, mon fils, lorsqu’elle se love près de moi et que sa bouche prend la mienne.
Sa main empoignant ma queue, pourquoi serais-je plus royaliste que le roi ?
Là encore, comme j’ai trouvé une solution pour la chambre, je réfléchis comment avoir près de moi, ma petite pute personnelle à chaque voyage, toujours gérée par Michelle.
Elle veut être pute, comment lui refuser ce plaisir, surtout lorsque sa bouche rejoint sa main et qu’elle me fait une fellation à réveiller un mort.
J’en ai un peu besoin, comme l’on dit, comparé à elle !
Je n’ai plus vingt ans.
• Jacques, tu m’as fait un cadeau en revenant avec Catherine et en acceptant de me baiser.
Je vais t’en faire un à mon tour.
J’aimerais que tu m’encules.
Avant de m’embaucher, pour ma fiche, Michelle m’a demandé si j’acceptais la sodomie.
Je lui ai répondu que « oui, » mais je suis vierge de l’anus, j’aimerais que tu sois le premier !
Je suis à deux doigts de lui demander si Bruno lui a déjà demandé de la sodomiser. Mais, je me contente de lui mettre un doigt dans le cul, sa rosette étant à la portée de ma main.
• Jacques, je voudrais venir avec toi, à ton rendez-vous, je vais m’ennuyer ici, je suis sûr que je peux être utile dans tes tractations !
Comment refuser à La petite Lady dont vous venez de lui pénétrer le cul le moindre de ses désirs ?
• Véronique, tu viens de me donner une idée…
C’est à la suite de ce coup de fil entre Michelle et moi, Jacques Demi, que tout s’est précipité.
Michelle, depuis des années, me fournit régulièrement des escortes lors de mes déplacements professionnels.
Escortes, je devrais dire plutôt des putes, blondes et jeunes.
Lady, devait être celle-là pour mon voyage à Malaga, en Espagne, plus précisément en Andalousie.
Un remplissage d’avion m’a empêché de voyager avec cette novice en relations tarifées.
C’est trois heures plus tard, ce qui n’est pas un gros problème, je suis là pour quatre jours, que la réception, m’informe de son arrivée.
Je vais ouvrir la porte de ma chambre lorsqu’elle se présente.
Qu’elle n’est pas ma stupeur de découvrir, après un moment d’incrédulité, que la jeune femme qui se tient devant moi n’est autre que Véronique, la copine, presque fiancée de mon fils Bruno.
Je veux trouver une solution pour me sortir de ce guêpier dans lequel je me sens propulsé.
Surtout qu’il est impossible de me tromper, sa tenue montrant une grande partie de ses charges, l’attestant.
Une jeune fille normale, ne porte pas de tels vêtements, dévoilant une grande partie de son anatomie.
Merde, elle est bien foutue, je sais qu’elle couche avec Bruno, ce petit con à une chance monstrueuse de l’avoir dans son lit.
Oui, mais elle veut son indépendance et à ce titre, gagner de l’argent rapidement avec son joli petit cul.
Au premier abord, n’étant pas un salopard, j’appelle la réception pour leur demander une chambre dans laquelle elle pourra passer la nuit avant que demain, je la renvoie à sa case de départ, à Paris.
La situation qu’elle crée, j’aurai le temps de voir ce que j’en fais à mon retour.
Puis-je laisser mon fils vivre avec une pute, sans qu’il sache, quelle en est une !
Pas de chambre libre, un congrès et les premiers touristes remplissant la totalité des chambres de la ville.
Pendant qu’elle se déshabille et qu’elle se couche, je décide de lui laisser le champ libre en descendant au bar de l’hôtel le temps de faire ses ablutions.
Au bar, je suis abordée par une belle femme qui me propose de la baiser, ayant présentement la chatte en feu.
Hélas, elle aussi a un empêchement et de taille, son vieux mari, que je la suspecte de l’avoir assommée avec quelques gouttes de somnifère lui laissant le champ libre !
C’est à ce moment qu’une idée me vient.
• J’aurais bien une solution, Catherine, aimes-tu les chattes des filles ?
• J’ignore où tu veux en venir, mais sans être lesbienne, il m’est arrivé de passer des soirées avec des amies et de faire ce qu’il faut pour nous satisfaire les unes les autres.
• Je suis descendue boire un verre pendant qu’une pute, que j’ai fait venir de Paris se prépare pour que nous passions la nuit ensemble.
Je te propose de monter et de la retrouver.
J’ai la certitude qu’elle saura nous satisfaire tous les deux.
• Une escorte, tu me diras combien je te dois Jacques !
En te proposant de boire un verre entre nous, je savais que tu trouverais la solution qui va nous satisfaire tous les deux.
Nous reprenons l’ascenseur, celle avec laquelle nous nous sommes faits les présentations, se colle à moi et sans plus de difficultés me roule une pelle, me faisant commencer à bander.
• Jacques, c’est toi, quelle est cette dame avec qui tu te trouves ?
Je me suis couchée comme tu me l’avais ordonné.
• Changement de programme, petite salope, j’ai rencontré madame qui a la chatte en feu et moi qu’elle a commencé à faire bander.
Occupe-toi de nous, fais-nous voir la belle pute que tu aspires à l’être.
Véronique, non, Lady enlève drap et couverture, la petite salope, je suis sûre qu’elle avait prévu de me tendre un piège, elle est entièrement nue.
Comme Michelle me l’a demandé, je peux constater qu’elle est blonde jusqu’à son entrecuisse.
Sa chatte s’orne d’une jolie touffe blonde impeccablement taillée.
• Lève-toi et débarrasse Catherine de sa robe, après, vous viendrez vous occuper de moi.
Une bonne pute ne pose pas de question idiote.
Lady sera une bonne pute, car sans hésiter, elle saute du lit comme pourrait le faire une tigresse dans la savane et se met à embrasser Catherine tout en la déshabillant.
Je suis appuyée sur la table servant en cas de repas en chambre.
Lady glisse sa main et la passe dans la chatte de notre amie.
J’ai le temps de voir qu’elle est parfaitement épilée, comme certaines des putes que j’ai eues au fil des années.
• Jacques, ta protégée est divine, je savais lorsque je t’ai vu que tu serais me faire passer une bonne soirée.
Je sens qu’elle se sépare avec regret pour mieux venir me sortir ma queue.
Agenouillées devant moi, ce sont deux langues qui montent et qui descendent tout en me masturbant, de chaque côté de ma bite.
Dans l’ascenseur, je bandais à moitié, là avec ces deux salopes, je bande à cent pour cent.
Véronique est loin, bien qu’elle soit à mes genoux.
Seule, Lady reste à me sucer, m’obligeant un effort surhumain pour ne pas leur remplir la bouche.
Catherine, a-t-elle été une escorte avant d’épouser son vieux mari.
Peut-être l’un de ses anciens clients, mais c’est elle qui voit que je vais atteindre le point de non-retour.
Elle se redresse, belle dans sa nudité, sa robe lui étant enlevée par la petite et entraine Lady sur le lit.
Un fauteuil est à ma disposition, je m’assieds pour admirer deux salopes se faire l’amour comme deux lesbiennes savent le faire avec leurs doigts et leurs bouches.
C’est là première fois que j’assiste à un 69 entre deux femmes, loin d’être calculatrices de leurs coups de langue.
Les deux se mettant à chanter, je reconnais les intonations de l’une et de l’autre.
Lady, la première dans ses Ah ! ou ses Ho ! jouit, suivie de peu par sa compagne de luxure.
Deux générations différentes, mais deux générations aussi cochonnes l’une que l’autre.
Lady, espiègle comme ce n’est pas possible, me regarde, elle est dessus, donc peut facilement se déplacer.
Elle vient au bord du lit, se retourne et frétille de la croupe.
Je suis un vieux pratiquant des amours tarifés, je sais qu’il faut sortir couvert.
Je récupère dans ma poche une capote.
Vu l’invite de la fente de ma belle-fille, je me la place avant de laisser tomber mon pantalon et sans plus me poser de question ou le moindre scrupule, je la pénètre.
Catherine ayant eu un peu plus de mal à récupérer voit qu’on baise ensemble.
Manœuvre pour venir se placer en levrette comme Lady, me permettant de passer de l’une à l’autre.
Avant que je ne remplisse ma capote, n’y tenant plus de les limer, elles ont chacune un orgasme.
Rares sont les escortes qui jouissent avec leurs clients.
J’ignore si Lady continuera dans sa décision de se prostituer, mais il est certain que Michelle aura de nombreuses propositions pour lui faire gagner un max de fric.
• Jacques, je te laisse, je dois rejoindre mon mari.
Inutile qu’il se demande où je suis et me pose des questions embarrassantes.
Vous m’avez fait passer une soirée formidable, j’espère que l’on se rêvera.
Je vais récupérer, j’ai rendez-vous avec un architecte demain, je gère les biens de mon mari et nous devons signer un contrat pour quatre tours à l’est de la ville.
Il parait que cet architecte est très imaginatif et va nous proposer quelque chose de très moderne.
Avant que je n’aie le temps de lui dire que cet architecte, c’est moi, elle se lève passe sa robe et s’apprête à sortir.
Catherine avait tout prévu en descendant au bar, à part sa robe, elle était nue en dessous, prête à l’emploi.
• Attends, Catherine, je vais te donner ma carte, le numéro qui s’y trouve est celui de mon agent qui s’occupe de mes engagements.
Elle s’appelle Michelle et elle te donnera mes tarifs.
Je suis sûre que tu auras bien envie de me revoir, si tu passes par Paris.
Gonflée Lady, elle profite de ce que j’ai fait monter Catherine dans ma chambre, pour fidéliser une future cliente.
Catherine part, le temps qu’elle lui donne sa carte, je me suis allongé sur mon lit.
• Jacques, j’ai encore envie, veux-tu recommencer ?
Et comment, que je veux, Véronique veut être une pute ?
Pourquoi lui refuser ce plaisir ?
Je sais, mon fils, lorsqu’elle se love près de moi et que sa bouche prend la mienne.
Sa main empoignant ma queue, pourquoi serais-je plus royaliste que le roi ?
Là encore, comme j’ai trouvé une solution pour la chambre, je réfléchis comment avoir près de moi, ma petite pute personnelle à chaque voyage, toujours gérée par Michelle.
Elle veut être pute, comment lui refuser ce plaisir, surtout lorsque sa bouche rejoint sa main et qu’elle me fait une fellation à réveiller un mort.
J’en ai un peu besoin, comme l’on dit, comparé à elle !
Je n’ai plus vingt ans.
• Jacques, tu m’as fait un cadeau en revenant avec Catherine et en acceptant de me baiser.
Je vais t’en faire un à mon tour.
J’aimerais que tu m’encules.
Avant de m’embaucher, pour ma fiche, Michelle m’a demandé si j’acceptais la sodomie.
Je lui ai répondu que « oui, » mais je suis vierge de l’anus, j’aimerais que tu sois le premier !
Je suis à deux doigts de lui demander si Bruno lui a déjà demandé de la sodomiser. Mais, je me contente de lui mettre un doigt dans le cul, sa rosette étant à la portée de ma main.
• Jacques, je voudrais venir avec toi, à ton rendez-vous, je vais m’ennuyer ici, je suis sûr que je peux être utile dans tes tractations !
Comment refuser à La petite Lady dont vous venez de lui pénétrer le cul le moindre de ses désirs ?
• Véronique, tu viens de me donner une idée…
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