COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (3/4)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2612 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 816 511 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 296 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (3/4)
• Bruno, que fais-tu dans nos bureaux !
• Je venais voir si Véronique était à la hauteur des espoirs que je mets en elle.
Arrêter ses études pour prendre le poste de secrétaire dans tes bureaux d’architecte, il fallait y penser, papa.
Ça va nous permettre de penser à nous installer dès que j’aurais obtenu mon diplôme d’architecture, papa !
Comment ai-je eu l’idée d’embaucher Véronique, Lady pour les intimes, comme ma secrétaire ?
Revenons à Malaga dans cette chambre d’hôtel où j’ai baisé la petite amie de mon fils, ce grand corniaud qui se fait berner par ma petite salope blonde.
Baiser et aussi enculer sa petite amie et je dois le reconnaître de nombreuses fois.
À Malaga, pendant les quatre jours de notre séjour, dont deux avec celui qu’elle a fini par appeler « Nounours. »
Quatre jours, ou dans un premier temps, j’ai refusé de me faire la pute que j’avais fait venir de Paris comme je le fais à chaque fois que je voyage à l’étranger.
Refus balayé par la rencontre dans le bar de l’hôtel de Catherine, femme mariée en quête de queues pour tromper son vieux mari.
Nous avons rejoint ma chambre et j’ai franchi le pas avec Véronique se faisant appeler Lady comme escorte des filles de Michelle me fournissant mes putes depuis des années.
Jeunes et blondes, il a fallu que la copine, presque fiancée de mon fils, rentre dans cette catégorie.
Je suis obligé de regarder la réalité en face.
Après l’avoir baisé par tous les trous de son joli corps, je suis enclin à ne rien lui refuser.
• Jacques, je voudrais venir avec toi à ce rendez-vous.
Tu pourrais me présenter comme ta secrétaire, je ferais semblant de prendre des notes et si je peux t’être utile, je ne m’en priverais pas.
Oui, c’est cette demande qui m’a fait penser à l’embaucher comme ma secrétaire.
• Bruno, tu es là !
Pourquoi cette visite inopinée ?
J’espère que tu ne me surveilles pas, j’ai horreur de la jalousie des hommes !
• Mais non, ma biche, je passais dans le coin et l’envie de vous voir, papa et toi, sur votre lieu de travail, c’est imposé à moi.
• Je t’aime, mon chéri, mais je suis au boulot et ce n’est pas l’endroit pour des effusions.
Nous verrons cela ce soir.
Patron, je pars à notre rendez-vous, apporter les papiers que nous venons de finaliser avec Josette au secrétariat !
• Dépêche-toi, ils les attendent et tout retard pourrait faire capoter notre affaire.
• Soyez sans crainte, j’ai un taxi qui m’attend et je vais à l’hôtel Mercure près de la place de la République pour les apporter.
Lorsqu’elle s’est présentée à la porte de mon bureau en tenue de secrétaire, je savais qu’elle allait voir un client.
Mais un client comme escorte, et non pas comme la secrétaire de nos bureaux. Michelle a dû l’appeler pour lui donner un contrat à honorer.
Je connais le périple, vu l’heure.
Lady va prendre ce taxi que je vois de la fenêtre de mon bureau, qui l’attend pour la conduire à l’autre bout de Paris.
Je sais, elle se vend et de plus en plus, mais comme je suis tombé amoureux de ce petit brin de femme, j’accepte en l’aidant même à vivre sa double vie.
Tant que moi aussi, j’en profite, même si intérieurement, je suis un peu jaloux, je suis bien obligé de m’y plier.
Avec son taxi, elle va se rendre dans un appartement d’une tour de la Défense dont je parlerai plus tard.
Véritable nid d’amours pour elle et moi.
Mais aussi le lieu où elle reçoit ses clients ne voulant pas la recevoir chez eux ou encore dans un hôtel.
Elle va se changer, se changer en jeune fille fatale, quoique j’aime beaucoup sa tenue d’écolière.
Dans l’immeuble, on a même vu une bonne sœur quitter les lieux avant de se rendre à son point de rendez-vous pour gagner du fric avec son cul.
Mais comme je l’ai dit, revenons à Malaga.
• Il a fait un gros dodo, mon gros nounours !
Comment trouves-tu ma tenue de secrétaire, juste un peu osé pour intéresser le vieux monsieur que nous allons rencontrer tout à l’heure !
Il me reste 50 €, tu veux que je te les rende !
• 450 € pour cette tenue, tout juste moins provocante que celle que tu avais hier lorsque tu m’as rejointe.
• Oui, mais regarde, avec ces lunettes à grosse monture noire, mes escarpins et ce carnet dans lequel je serais susceptible de prendre des notes, je te jure que je ferais illusion.
• En attendant, nous avons une petite demi-heure, je sens ma queue frétiller sous les draps.
Et si ma petite pute se laissait faire par son client qui l’a payé pour quatre jours ?
Lady soulève sa jupe, la salope, elle a laissé sa chatte à nu sous sa jupe noire susceptible d’en faire ma secrétaire lors de mon rendez-vous.
• Encule-moi encore, j’ai adoré ça lorsque tu l’as fait pour la première fois après le départ de Catherine.
Lorsqu’elle s’absente, quelquefois pour plusieurs jours, je bous en pensant qu’un autre que moi va profiter de son joli corps, allant même jusqu’à l’enculer.
Au départ, j’espérais avoir le privilège de cette partie de son corps, mais j’ai dû très vite me rendre à l’évidence, car elle me raconte tout, en notre nid d’amours.
La sodomie, égale plus de fric et le fric, c’est la chose primordiale pour elle.
Neuf fois sur dix quand nous nous retrouvons, elle me parle de sa pastille, principal endroit de son anatomie que ses clients apprécient et transpercent.
Je vais être franc, dans notre nid d’amours avec vue sur une partie de Paris.
Chaque fois que je l’encule, je me sens de moins en moins à l’étroit, comme je pouvais l’être lors de nos premières sodomies.
À Malaga, une nouvelle fois, notre plaisir pris, nous avons quitté la chambre d’hôtel, pour nous rendre en taxi, au consortium où je vais devoir présenter mon projet à plusieurs étages.
Lorsque je parle d’étages, ce n’est pas le nombre de ceux qui vont être construits.
Ça je sais, les tours feront chacune 40 étages.
Je parle du projet que je présente en trois formats plus onéreux les uns que les autres, suivant le type de matériaux que nous allons employer.
Des murs en verre, même de plusieurs épaisseurs, couteront moins cher que ceux en marbre de Calabre.
Il faut considérer la livraison de plusieurs tonnes de ces matériaux venant d’Italie.
Si nous prenons du marbre espagnol de Macarel.
Plusieurs carrières espagnoles proposent des marbres colorés et originaux.
Notamment en Andalousie et autour d’Almería, nous ferons de sérieuses économies.
Il va de soi que ces immeubles en marbre de Calabre auront un autre cachet, digne des plus grandes œuvres de l’architecture contemporaine en Espagne.
J’ai expliqué à Véronique, les revenus substantiels pour notre bureau, que ce type d’immeubles nous rapportait, si le promoteur acceptait cette solution.
Hélas, il faut être réaliste, qui doublerait la mise de fonds, avec moins de revenus pour eux.
Ces investisseurs ne sont pas des fils en trope et je suis persuadé que malgré ma bonne volonté et un dossier en béton, je gagne le projet, mais avec une marge bénéficiaire bien moins grande.
Il faut savoir gagner petit pour couvrir les frais d’un bureau comme le nôtre à Paris.
Certes, le projet le plus onéreux couvrirait presque une année du budget de fonctionnement de nos services, y compris les sommes que je donne à mes putes.
Sinon, il en faudrait trois à bas revenus pour couvrir les mêmes sommes.
• Jacques, il me reste plus qu’à convaincre ton investisseur de signer la solution la plus onéreuse pour eux et que notre affaire, que je viens de rejoindre comme secrétaire, est une expansion la plus rémunératrice.
Lorsque Lady m’a exposé ce qu’elle pensait réussir à faire.
J’aurais parié qu’il était impossible de faire sortir autant d’argent des poches de cet homme, vieux et adipeux, qui nous reçoit dans ses bureaux de Malaga.
• En préparant ce dossier, ma femme m’a dit que vous vous appeliez Jacques et que c’est vous qui serez chargé de me convaincre quelle solution nous allons décider d’investir dans ce projet.
Je m’appelle William, je suis d’origine anglaise et ma femme française.
Catherine, avance que je te présente, c’est bien la première fois que tu sembles être timide envers nos invités.
Et pour cause, Catherine, c’est la même qui a baisé avec nous une partie de la nuit.
Savait-elle qu’elle nous recevrait le lendemain, avec lui, il est vrai, un peu vieux et qui parait bien reposé de sa nuit alors qu’elle se faisait prendre comme une salope !
• Bonjour, l’hôtel que je vous ai réservé, a-t-il répondu à votre attente.
Ça a été facile pour moi, lorsque nous sommes à Malaga.
C’est dans ce même hôtel que William et moi nous descendons.
Nous y avons passé une nuit pleine de repos et de sommeil, lui qui dort mal, ce fut un gros dodo bien réparateur en vue de notre rencontre en fin de matinée.
Le reste du temps, nous vivons à Londres ou à Bordeaux, mon mari souffre d’arthrose avec son grand âge et les bains marins lui sont nécessaires.
Aujourd’hui, le doute subsiste toujours pour moi et pour Véronique ?
Comment savait-elle qui j’étais lorsque je l’ai rencontré dans ce bar ?
Mais comment aurait-elle su que Lady ou Véronique était la copine de mon fils ?
Et comment j’étais descendu au bar pour lui laisser le champ libre pour qu’elle se couche sans pour autant provoquer mon envie de son petit cul ?
• William, je vous aime bien.
J’adore les hommes avec de l’expérience, je suis sûr que Catherine sait tirer parti d’un homme comme vous.
C’est après avoir présenté mes trois solutions, qu’au restaurant, au centre de Malaga où William nous conduit, que nous dégustons une très bonne paella.
C’est à ce moment que Véronique profère ces paroles, pleines de sous-entendu envers notre hôte et celui qu’elle semble avoir pris comme proie.
C’est elle, lorsque nous sommes arrivés, qui s’est empressée de s’asseoir à côté de William.
Pour lui susurrer cette phrase sur l’âge qu’elle dit aimer, elle se penche vers lui comme pour lui parler à l’oreille.
Je vois nettement, bien que je sois de l’autre côté de la table, qu’elle lui pose délibérément la main sur sa cuisse à quelques centimètres de sa verge.
Je pense qu’il doit commencer à bander malgré son âge.
Ses seins libres de toute entrave, que j’ai sucés et malaxés autant que Catherine les a honorés, il doit les avoir sous son nez et sa main presque sur sa verge.
C’est avec eux qu’elle paraît vouloir emporter le morceau.
De mon côté, je m’occupe de donner le change à Catherine.
La chance que nous avons, c’est d’avoir envers elle une possibilité de chantage, si nous avouons à son mari ce qu’elle a fait avec nous après l’avoir assommé avec des somnifères.
• Chérie, je me sens une âme badine et de jeune homme ce soir !
Te souviens-tu de cette boîte non loin d’ici où nous sommes allés à notre première venue à Malaga ?
• Bien sûr, mon chéri, comment aurais-je pu oublier ce moment où tu m’as dit m’aimer, malgré notre différence d’âge et où tu m’as offert cette magnifique bague de fiançailles !
Je crois que Catherine, joue de notre côté, lorsque montrant sa main avec sa bague, de l’autre, elle me pose l’autre, carrément sur ma verge profitant de la nappe.
Cela me fait immédiatement bander le sexe alors que j’ai baisé avec Lady comme une bête de nombreuses fois en très peu de temps…
• Je venais voir si Véronique était à la hauteur des espoirs que je mets en elle.
Arrêter ses études pour prendre le poste de secrétaire dans tes bureaux d’architecte, il fallait y penser, papa.
Ça va nous permettre de penser à nous installer dès que j’aurais obtenu mon diplôme d’architecture, papa !
Comment ai-je eu l’idée d’embaucher Véronique, Lady pour les intimes, comme ma secrétaire ?
Revenons à Malaga dans cette chambre d’hôtel où j’ai baisé la petite amie de mon fils, ce grand corniaud qui se fait berner par ma petite salope blonde.
Baiser et aussi enculer sa petite amie et je dois le reconnaître de nombreuses fois.
À Malaga, pendant les quatre jours de notre séjour, dont deux avec celui qu’elle a fini par appeler « Nounours. »
Quatre jours, ou dans un premier temps, j’ai refusé de me faire la pute que j’avais fait venir de Paris comme je le fais à chaque fois que je voyage à l’étranger.
Refus balayé par la rencontre dans le bar de l’hôtel de Catherine, femme mariée en quête de queues pour tromper son vieux mari.
Nous avons rejoint ma chambre et j’ai franchi le pas avec Véronique se faisant appeler Lady comme escorte des filles de Michelle me fournissant mes putes depuis des années.
Jeunes et blondes, il a fallu que la copine, presque fiancée de mon fils, rentre dans cette catégorie.
Je suis obligé de regarder la réalité en face.
Après l’avoir baisé par tous les trous de son joli corps, je suis enclin à ne rien lui refuser.
• Jacques, je voudrais venir avec toi à ce rendez-vous.
Tu pourrais me présenter comme ta secrétaire, je ferais semblant de prendre des notes et si je peux t’être utile, je ne m’en priverais pas.
Oui, c’est cette demande qui m’a fait penser à l’embaucher comme ma secrétaire.
• Bruno, tu es là !
Pourquoi cette visite inopinée ?
J’espère que tu ne me surveilles pas, j’ai horreur de la jalousie des hommes !
• Mais non, ma biche, je passais dans le coin et l’envie de vous voir, papa et toi, sur votre lieu de travail, c’est imposé à moi.
• Je t’aime, mon chéri, mais je suis au boulot et ce n’est pas l’endroit pour des effusions.
Nous verrons cela ce soir.
Patron, je pars à notre rendez-vous, apporter les papiers que nous venons de finaliser avec Josette au secrétariat !
• Dépêche-toi, ils les attendent et tout retard pourrait faire capoter notre affaire.
• Soyez sans crainte, j’ai un taxi qui m’attend et je vais à l’hôtel Mercure près de la place de la République pour les apporter.
Lorsqu’elle s’est présentée à la porte de mon bureau en tenue de secrétaire, je savais qu’elle allait voir un client.
Mais un client comme escorte, et non pas comme la secrétaire de nos bureaux. Michelle a dû l’appeler pour lui donner un contrat à honorer.
Je connais le périple, vu l’heure.
Lady va prendre ce taxi que je vois de la fenêtre de mon bureau, qui l’attend pour la conduire à l’autre bout de Paris.
Je sais, elle se vend et de plus en plus, mais comme je suis tombé amoureux de ce petit brin de femme, j’accepte en l’aidant même à vivre sa double vie.
Tant que moi aussi, j’en profite, même si intérieurement, je suis un peu jaloux, je suis bien obligé de m’y plier.
Avec son taxi, elle va se rendre dans un appartement d’une tour de la Défense dont je parlerai plus tard.
Véritable nid d’amours pour elle et moi.
Mais aussi le lieu où elle reçoit ses clients ne voulant pas la recevoir chez eux ou encore dans un hôtel.
Elle va se changer, se changer en jeune fille fatale, quoique j’aime beaucoup sa tenue d’écolière.
Dans l’immeuble, on a même vu une bonne sœur quitter les lieux avant de se rendre à son point de rendez-vous pour gagner du fric avec son cul.
Mais comme je l’ai dit, revenons à Malaga.
• Il a fait un gros dodo, mon gros nounours !
Comment trouves-tu ma tenue de secrétaire, juste un peu osé pour intéresser le vieux monsieur que nous allons rencontrer tout à l’heure !
Il me reste 50 €, tu veux que je te les rende !
• 450 € pour cette tenue, tout juste moins provocante que celle que tu avais hier lorsque tu m’as rejointe.
• Oui, mais regarde, avec ces lunettes à grosse monture noire, mes escarpins et ce carnet dans lequel je serais susceptible de prendre des notes, je te jure que je ferais illusion.
• En attendant, nous avons une petite demi-heure, je sens ma queue frétiller sous les draps.
Et si ma petite pute se laissait faire par son client qui l’a payé pour quatre jours ?
Lady soulève sa jupe, la salope, elle a laissé sa chatte à nu sous sa jupe noire susceptible d’en faire ma secrétaire lors de mon rendez-vous.
• Encule-moi encore, j’ai adoré ça lorsque tu l’as fait pour la première fois après le départ de Catherine.
Lorsqu’elle s’absente, quelquefois pour plusieurs jours, je bous en pensant qu’un autre que moi va profiter de son joli corps, allant même jusqu’à l’enculer.
Au départ, j’espérais avoir le privilège de cette partie de son corps, mais j’ai dû très vite me rendre à l’évidence, car elle me raconte tout, en notre nid d’amours.
La sodomie, égale plus de fric et le fric, c’est la chose primordiale pour elle.
Neuf fois sur dix quand nous nous retrouvons, elle me parle de sa pastille, principal endroit de son anatomie que ses clients apprécient et transpercent.
Je vais être franc, dans notre nid d’amours avec vue sur une partie de Paris.
Chaque fois que je l’encule, je me sens de moins en moins à l’étroit, comme je pouvais l’être lors de nos premières sodomies.
À Malaga, une nouvelle fois, notre plaisir pris, nous avons quitté la chambre d’hôtel, pour nous rendre en taxi, au consortium où je vais devoir présenter mon projet à plusieurs étages.
Lorsque je parle d’étages, ce n’est pas le nombre de ceux qui vont être construits.
Ça je sais, les tours feront chacune 40 étages.
Je parle du projet que je présente en trois formats plus onéreux les uns que les autres, suivant le type de matériaux que nous allons employer.
Des murs en verre, même de plusieurs épaisseurs, couteront moins cher que ceux en marbre de Calabre.
Il faut considérer la livraison de plusieurs tonnes de ces matériaux venant d’Italie.
Si nous prenons du marbre espagnol de Macarel.
Plusieurs carrières espagnoles proposent des marbres colorés et originaux.
Notamment en Andalousie et autour d’Almería, nous ferons de sérieuses économies.
Il va de soi que ces immeubles en marbre de Calabre auront un autre cachet, digne des plus grandes œuvres de l’architecture contemporaine en Espagne.
J’ai expliqué à Véronique, les revenus substantiels pour notre bureau, que ce type d’immeubles nous rapportait, si le promoteur acceptait cette solution.
Hélas, il faut être réaliste, qui doublerait la mise de fonds, avec moins de revenus pour eux.
Ces investisseurs ne sont pas des fils en trope et je suis persuadé que malgré ma bonne volonté et un dossier en béton, je gagne le projet, mais avec une marge bénéficiaire bien moins grande.
Il faut savoir gagner petit pour couvrir les frais d’un bureau comme le nôtre à Paris.
Certes, le projet le plus onéreux couvrirait presque une année du budget de fonctionnement de nos services, y compris les sommes que je donne à mes putes.
Sinon, il en faudrait trois à bas revenus pour couvrir les mêmes sommes.
• Jacques, il me reste plus qu’à convaincre ton investisseur de signer la solution la plus onéreuse pour eux et que notre affaire, que je viens de rejoindre comme secrétaire, est une expansion la plus rémunératrice.
Lorsque Lady m’a exposé ce qu’elle pensait réussir à faire.
J’aurais parié qu’il était impossible de faire sortir autant d’argent des poches de cet homme, vieux et adipeux, qui nous reçoit dans ses bureaux de Malaga.
• En préparant ce dossier, ma femme m’a dit que vous vous appeliez Jacques et que c’est vous qui serez chargé de me convaincre quelle solution nous allons décider d’investir dans ce projet.
Je m’appelle William, je suis d’origine anglaise et ma femme française.
Catherine, avance que je te présente, c’est bien la première fois que tu sembles être timide envers nos invités.
Et pour cause, Catherine, c’est la même qui a baisé avec nous une partie de la nuit.
Savait-elle qu’elle nous recevrait le lendemain, avec lui, il est vrai, un peu vieux et qui parait bien reposé de sa nuit alors qu’elle se faisait prendre comme une salope !
• Bonjour, l’hôtel que je vous ai réservé, a-t-il répondu à votre attente.
Ça a été facile pour moi, lorsque nous sommes à Malaga.
C’est dans ce même hôtel que William et moi nous descendons.
Nous y avons passé une nuit pleine de repos et de sommeil, lui qui dort mal, ce fut un gros dodo bien réparateur en vue de notre rencontre en fin de matinée.
Le reste du temps, nous vivons à Londres ou à Bordeaux, mon mari souffre d’arthrose avec son grand âge et les bains marins lui sont nécessaires.
Aujourd’hui, le doute subsiste toujours pour moi et pour Véronique ?
Comment savait-elle qui j’étais lorsque je l’ai rencontré dans ce bar ?
Mais comment aurait-elle su que Lady ou Véronique était la copine de mon fils ?
Et comment j’étais descendu au bar pour lui laisser le champ libre pour qu’elle se couche sans pour autant provoquer mon envie de son petit cul ?
• William, je vous aime bien.
J’adore les hommes avec de l’expérience, je suis sûr que Catherine sait tirer parti d’un homme comme vous.
C’est après avoir présenté mes trois solutions, qu’au restaurant, au centre de Malaga où William nous conduit, que nous dégustons une très bonne paella.
C’est à ce moment que Véronique profère ces paroles, pleines de sous-entendu envers notre hôte et celui qu’elle semble avoir pris comme proie.
C’est elle, lorsque nous sommes arrivés, qui s’est empressée de s’asseoir à côté de William.
Pour lui susurrer cette phrase sur l’âge qu’elle dit aimer, elle se penche vers lui comme pour lui parler à l’oreille.
Je vois nettement, bien que je sois de l’autre côté de la table, qu’elle lui pose délibérément la main sur sa cuisse à quelques centimètres de sa verge.
Je pense qu’il doit commencer à bander malgré son âge.
Ses seins libres de toute entrave, que j’ai sucés et malaxés autant que Catherine les a honorés, il doit les avoir sous son nez et sa main presque sur sa verge.
C’est avec eux qu’elle paraît vouloir emporter le morceau.
De mon côté, je m’occupe de donner le change à Catherine.
La chance que nous avons, c’est d’avoir envers elle une possibilité de chantage, si nous avouons à son mari ce qu’elle a fait avec nous après l’avoir assommé avec des somnifères.
• Chérie, je me sens une âme badine et de jeune homme ce soir !
Te souviens-tu de cette boîte non loin d’ici où nous sommes allés à notre première venue à Malaga ?
• Bien sûr, mon chéri, comment aurais-je pu oublier ce moment où tu m’as dit m’aimer, malgré notre différence d’âge et où tu m’as offert cette magnifique bague de fiançailles !
Je crois que Catherine, joue de notre côté, lorsque montrant sa main avec sa bague, de l’autre, elle me pose l’autre, carrément sur ma verge profitant de la nappe.
Cela me fait immédiatement bander le sexe alors que j’ai baisé avec Lady comme une bête de nombreuses fois en très peu de temps…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

