COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Une situation insolite (4/4)
Nous venons d’arriver dans cette boîte de Malaga.
William a la tête entre les seins de Lady, qui a rapidement pris les choses en mains.
Elle s’est fait inviter à danser, dès que nous avons rejoint la boîte de nuit, non loin du restaurant où elle a commencé à attaquer celui qu’elle appelle Nounours malgré la présence de sa femme.
Je parle de la petite en parlant de Véronique.
Véro ou Lady, suivant que je parle de la pute ou de la fille sage qu’à Paris mon fils Bruno nous a présentée à Jacqueline et à moi avant d’aller s’enfermer dans leur chambre.
Je dois être franc, chaque fois que j’ai eu l’occasion de la croiser, hélas, toujours avec lui, j’avais regretté qu’elle soit la petite copine de mon fils.
On sait déjà, que Michelle me réserve de jeunes filles blondes, toutes majeures, je ne fais pas dans les jeunes filles faisant de moi un pédophile.
Déjà, quand je la connaissais sous le nom de Véronique, elle correspondait à ce que j’aime chez une femme, surtout blonde.
Surtout, rappelons qu’elle a de beaux nichons, dont profite mon promoteur sur la piste de danse.
William a une tête de moins que notre escorte, car avec Catherine, nous pouvons voir que Véronique est en mode Lady dans sa tenue de secrétaire sage.
Arrivée dans l’atmosphère chaude de la boîte de nuit, William m’a étonné.
Il a semblé être un autre homme, notamment lors de sa déclaration à son épouse.
• Catherine, je t’autorise à danser avec Jacques, tu sais que je suis de nature jalouse, mais comme je suis avec toi, restons jeunes et profitons de nos amis même s’ils sont là dans le cadre de leur travail !
Lady, doit commencer à emporter le morceau, car il m’offre carrément sa femme, pour mieux profiter de ma petite pute.
• Au fait, Catherine, j’ai dit que je réservais ma réponse pour demain après avoir discuté avec toi des moyens que nous pouvons mettre dans le projet ambitieux que nous a présenté Jacques.
Que dirais-tu si dès maintenant, nous acceptions le projet de construction en marbre d’Italie, même si cela nous coute une somme plus élevée ?
• Mon chéri, dans notre chambre d’hôtel, avant de te donner tes gouttes pour que tu puisses passer une bonne nuit, je t’aurais suggéré de choisir celui en marbre de Calabre !
Tu sais que je suis toujours de bon conseil.
C’est l’œuvre la plus ambitieuse de ta vie mon bichon, fonçons, je suis de tout cœur avec toi.
• Ma chérie, après cette décision, inutile de parler de gouttes, tu me donneras plutôt l’une de ces petites pilules bleues dont le docteur m’a dit de ne pas abuser !
Champagne, danse avec Catherine, ma secrétaire, sûre de son fait, fait bander « Nounours » pour Lady et « bichon » pour sa femme.
Heureusement que nous avons baisé hier dans notre chambre avec les filles.
Après le bar, nous rejoignons ma chambre avec Catherine.
Lady rejoint l’autre sans que je sache si William la baise ou simplement l’encule.
Ce qui est certain, c’est que ni eux, ni nous, nous n’enfilons des perles.
Pour notre part, Catherine semble déchainée.
Est-ce l’autorisation de son mari de pouvoir passer la fin de la nuit ensemble tous les deux ?
Mais sa bouche ne parait pas assez profonde lorsqu’elle me rentre dedans.
Elle ne se contente pas de me sucer, sa chatte aussi, à une profondeur ressemblant à celui d’un gouffre.
Elle me fait jouir autant que je la fais jouir, une nuit d’enfer.
Le lendemain, c’est au petit déjeuner, alors que Catherine a hurlé son plaisir sous ma queue une bonne partie de la nuit, que nous nous sommes retrouvés.
• Et si je vous emmenais visiter le palais des Rois maures, aussi connu sous le nom d’Alcazar.
Ce splendide monument, perché sur une colline, surplombe la ville.
C’est le témoin de la richesse de l’architecture mauresque en Andalousie.
Ça devrait t’intéresser Jacques !
Avec ses remparts, ses jardins luxuriants et ses cours intérieures baignées de lumière.
L’Alcazar offre un véritable voyage dans le temps, rappelant les fastes de l’époque médiévale où Malaga était un centre culturel et politique florissant.
Nous étions sous la domination des souverains musulmans.
Une visite incontournable pour quiconque souhaite découvrir l’âme historique de cette ville.
J’adore l’enthousiasme de William, pour ce palais magnifique, mais que je connais bien.
Je suis déjà venu en Andalousie et je l’ai visité avec ma pute du moment.
Je crois me souvenir qu’elle se faisait appeler Marine, mais nous étions dans un hôtel de Marbella.
En plus de la visite de ce palais, nous étions allées à Ronda assister à une corrida qu’elle appréciait fortement.
Je me souviens qu’au retour dans notre chambre donnant sur la plage, avec une oreille offerte par le toréro après sa victoire sur la bête de presque une tonne.
Elle m’avait fait faire le taureau, mais c’est moi qui avais gagné, l’embrochant avec ma queue.
Heureusement, j’aurais pu y perdre mes oreilles et ma queue.
Hélas, j’aurais bien emmené Véronique à Ronda, mais je m’étais renseigné avant mon départ.
Les courses de taureaux n’étaient pas à cette période de l’année.
Nous avons pris une voiture le dernier jour, nous sommes allées voir les taureaux dans leurs prés et je l’ai encorné sous les orangers sur un carré de verdure.
Le lendemain, seul à l’aller, nous étions tous les deux à notre retour dans le même avion.
Véro était blottie dans mes bras une grande partie de notre voyage de retour.
Vouloir être une escorte et avoir peur en avion, ça parait incompatible, mais être pute, ça, elle n’avait pas peur de l’être, je dirais même qu’elle est particulièrement douée.
Je suis rentré chez ma femme et mon fils, les couilles vident.
Mais ma queue s’est rapidement relevée lorsque je l’ai retrouvé dans les bras de Bruno me donnant l’impression que ce voyage en terre andalouse n’avait été qu’un simple rêve.
C’est lors de ce voyage de retour, lorsqu’elle a fini par s’endormir sur mon épaule, que j’ai eu l’idée de l’embaucher comme ma secrétaire.
Quelques heures après, quand Michelle m’a appelé pour savoir si j’avais été satisfait, c’est une note de dix sur dix que je lui ai donné pour Lady.
Parfaite petite pute blonde, sachant jouer de son corps et surtout avec un cerveau plein d’aplomb.
Tout ce qu’il faut pour réussir dans cette carrière, bien épaulé par une pro comme Michelle.
En lui donnant cette note de dix, je savais que je jouais contre l’amour que je voyais poindre entre elle et moi.
• Jacques, ces clefs que tu viens de me donner sont bien les clefs de cet appartement de rêve dans lequel nous sommes dans cette tour de la Défense !
• Oui, Véronique, il est à toi, du moins au nom de notre bureau d’architecte, ce qui va t’éviter d’en payer les charges.
Nous te faisons un bail à vie, tu en perdras le droit à ton décès, même si d’ici là tu as des héritiers.
Depuis que j’ai ouvert mes bureaux, dans mes réalisations, les promoteurs, pour avoir ma signature sur leur construction, me proposaient souvent un appartement pour que je travaille avec eux.
C’est le cas de William, qui à ce jour ignore que Lady, seul nom qu’il connaît, est une pute.
C’est dans l’immeuble que je viens de terminer pour lui à la défense, qu’il m’offre ce logement dans les conditions déjà expliquées à Lady-Véronique.
Rapidement, elle se constitue une clientèle, d’où la tenue d’écolière ou celle de bonne sœur.
En ce moment, j’ai le nez dans la robe de bonne soeur, dans sa penderie.
J’ai un code avec ma petite pute, lorsqu’elle amène un de ses clients dans l’appartement.
Hélas, j’ai oublié de charger mon portable, et je n’ai pas eu l’information lorsque j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir.
Comme l’amant surpris par son mari, je me suis réfugié dans la penderie pour ne pas me retrouver nez à nez avec l’un de ses clients.
Par les fentes, je peux voir la chambre et Lady entrer avec William sans Catherine, il va de soi.
Lui a-t-elle dit qu’elle est une escorte, ou est-ce pour le remercier de son appartement qu’elle le reçoit ?
Je l’ignore, mais pour la première fois, je vois ma petite nue.
Non ça, c’est souvent, du moins chaque fois que je le peux.
Mais se faisant enculer par notre anglais vieux et au gros ventre, c’est une première.
J’ai envie de hurler, mais le mal est fait.
• Nounours, qu’est-ce qui t’arrive ?
Tu es tout bleu, au secours, il fait un malaise !
Véronique qui m’appelle au secours, comme le loup de son repère, je sors de la penderie.
Rapidement, je vois ce qu’il se passe.
Les petites pilules bleues ont joué un mauvais tour à William, au moment où il a joui dans l’anus de Lady.
Son cœur l’a lâché, le transformant en cadavre.
• Véronique, évite de poser des questions !
Tu dois te demander comment je me suis retrouvé dans notre penderie.
Habille-toi et quitte l’appartement, va chez nous rejoindre ma femme et mon fils et fait comme si de rien n’était, je m’occupe de tout.
Elle a remis sa tenue de jeune fille sérieuse et m’a quitté sans plus me poser de questions.
• Allo, le SAMU, mon ami vient d’avoir un malaise, je n’arrive pas à le faire reprendre vie.
J’ignore comment faire un massage cardiaque, venez vite au…
Le SAMU vient, la police vient aussi m’interroger sur les circonstances qui ont entraîné la mort de notre promoteur.
L’un des deux homos jouant à des jeux contre-nature, ayant abusé de petites pilules bleues que le policier trouve dans la poche de son pantalon.
Il a fait un infarctus, décédant sur-le-champ, sans espoir de lui faire reprendre vie.
Que vaut une réputation pour sauver celle qui a choisi de vivre de ses charmes ?
Par mon action et une réputation d’homosexuel, je sauve celle à qui en ce moment je dis je t’aime.
Elle me répond, je t’aime aussi.
• Chéri, va voir pourquoi Ludivine pleure, je me suis levé la dernière fois pour lui donner son biberon.
Est-ce Jacqueline, qui m’a enfin pardonné mon incartade à la naissance de Bruno ?
Oh ! Que non, Jacqueline, lorsqu’elle a su que j’étais un homo ayant une garçonnière dans une tour de la Défense, a demandé le divorce.
Hélas, pour elle, le jour où j’ai joué les suceurs de bites avec William, de retour chez nous, Véronique l’a surpris se faisant monter par Julien, son chauffeur.
Elle avait son portable et a fait quelques belles photos qu’elle m’a données pour finaliser mon dossier lors du jugement.
Robert, mon avocat, s’est fait un malin plaisir d’en monter quelques clichés au juge qui a prononcé mon divorce.
De victime, elle est devenue inculpée d’adultère et le divorce a été tranché en ma faveur, à part le fait que nous étions nus, William et moi, dans cet appartement.
Son avocat n’a pas pu prouver qu’il y avait eu consommation entre nous, malgré le Viagra qu’il avait avalé.
Je vous quitte, je viens de revenir de la chambre de notre fille et Véronique m’attend les jambes écartées me montrant son abricot doré.
Si Lady, aimait se faire enculer par ses clients, maintenant c’est moi qui suis le seul à profiter de sa petite rondelle, lorsqu’elle s’empale sur moi.
Une dernière chose, on va me parler de notre différence d’âge et des conséquences à long terme.
Pas plus d’écart qu’entre William et Catherine.
Dans le futur, à mon tour, j’aurais besoin de petites pilules bleues, avec en plus les risques que cela comporte.
Je suis prêt à les courir pour l’amour de ma petite pute blonde et de notre fille tout aussi blonde que sa maman.
William a la tête entre les seins de Lady, qui a rapidement pris les choses en mains.
Elle s’est fait inviter à danser, dès que nous avons rejoint la boîte de nuit, non loin du restaurant où elle a commencé à attaquer celui qu’elle appelle Nounours malgré la présence de sa femme.
Je parle de la petite en parlant de Véronique.
Véro ou Lady, suivant que je parle de la pute ou de la fille sage qu’à Paris mon fils Bruno nous a présentée à Jacqueline et à moi avant d’aller s’enfermer dans leur chambre.
Je dois être franc, chaque fois que j’ai eu l’occasion de la croiser, hélas, toujours avec lui, j’avais regretté qu’elle soit la petite copine de mon fils.
On sait déjà, que Michelle me réserve de jeunes filles blondes, toutes majeures, je ne fais pas dans les jeunes filles faisant de moi un pédophile.
Déjà, quand je la connaissais sous le nom de Véronique, elle correspondait à ce que j’aime chez une femme, surtout blonde.
Surtout, rappelons qu’elle a de beaux nichons, dont profite mon promoteur sur la piste de danse.
William a une tête de moins que notre escorte, car avec Catherine, nous pouvons voir que Véronique est en mode Lady dans sa tenue de secrétaire sage.
Arrivée dans l’atmosphère chaude de la boîte de nuit, William m’a étonné.
Il a semblé être un autre homme, notamment lors de sa déclaration à son épouse.
• Catherine, je t’autorise à danser avec Jacques, tu sais que je suis de nature jalouse, mais comme je suis avec toi, restons jeunes et profitons de nos amis même s’ils sont là dans le cadre de leur travail !
Lady, doit commencer à emporter le morceau, car il m’offre carrément sa femme, pour mieux profiter de ma petite pute.
• Au fait, Catherine, j’ai dit que je réservais ma réponse pour demain après avoir discuté avec toi des moyens que nous pouvons mettre dans le projet ambitieux que nous a présenté Jacques.
Que dirais-tu si dès maintenant, nous acceptions le projet de construction en marbre d’Italie, même si cela nous coute une somme plus élevée ?
• Mon chéri, dans notre chambre d’hôtel, avant de te donner tes gouttes pour que tu puisses passer une bonne nuit, je t’aurais suggéré de choisir celui en marbre de Calabre !
Tu sais que je suis toujours de bon conseil.
C’est l’œuvre la plus ambitieuse de ta vie mon bichon, fonçons, je suis de tout cœur avec toi.
• Ma chérie, après cette décision, inutile de parler de gouttes, tu me donneras plutôt l’une de ces petites pilules bleues dont le docteur m’a dit de ne pas abuser !
Champagne, danse avec Catherine, ma secrétaire, sûre de son fait, fait bander « Nounours » pour Lady et « bichon » pour sa femme.
Heureusement que nous avons baisé hier dans notre chambre avec les filles.
Après le bar, nous rejoignons ma chambre avec Catherine.
Lady rejoint l’autre sans que je sache si William la baise ou simplement l’encule.
Ce qui est certain, c’est que ni eux, ni nous, nous n’enfilons des perles.
Pour notre part, Catherine semble déchainée.
Est-ce l’autorisation de son mari de pouvoir passer la fin de la nuit ensemble tous les deux ?
Mais sa bouche ne parait pas assez profonde lorsqu’elle me rentre dedans.
Elle ne se contente pas de me sucer, sa chatte aussi, à une profondeur ressemblant à celui d’un gouffre.
Elle me fait jouir autant que je la fais jouir, une nuit d’enfer.
Le lendemain, c’est au petit déjeuner, alors que Catherine a hurlé son plaisir sous ma queue une bonne partie de la nuit, que nous nous sommes retrouvés.
• Et si je vous emmenais visiter le palais des Rois maures, aussi connu sous le nom d’Alcazar.
Ce splendide monument, perché sur une colline, surplombe la ville.
C’est le témoin de la richesse de l’architecture mauresque en Andalousie.
Ça devrait t’intéresser Jacques !
Avec ses remparts, ses jardins luxuriants et ses cours intérieures baignées de lumière.
L’Alcazar offre un véritable voyage dans le temps, rappelant les fastes de l’époque médiévale où Malaga était un centre culturel et politique florissant.
Nous étions sous la domination des souverains musulmans.
Une visite incontournable pour quiconque souhaite découvrir l’âme historique de cette ville.
J’adore l’enthousiasme de William, pour ce palais magnifique, mais que je connais bien.
Je suis déjà venu en Andalousie et je l’ai visité avec ma pute du moment.
Je crois me souvenir qu’elle se faisait appeler Marine, mais nous étions dans un hôtel de Marbella.
En plus de la visite de ce palais, nous étions allées à Ronda assister à une corrida qu’elle appréciait fortement.
Je me souviens qu’au retour dans notre chambre donnant sur la plage, avec une oreille offerte par le toréro après sa victoire sur la bête de presque une tonne.
Elle m’avait fait faire le taureau, mais c’est moi qui avais gagné, l’embrochant avec ma queue.
Heureusement, j’aurais pu y perdre mes oreilles et ma queue.
Hélas, j’aurais bien emmené Véronique à Ronda, mais je m’étais renseigné avant mon départ.
Les courses de taureaux n’étaient pas à cette période de l’année.
Nous avons pris une voiture le dernier jour, nous sommes allées voir les taureaux dans leurs prés et je l’ai encorné sous les orangers sur un carré de verdure.
Le lendemain, seul à l’aller, nous étions tous les deux à notre retour dans le même avion.
Véro était blottie dans mes bras une grande partie de notre voyage de retour.
Vouloir être une escorte et avoir peur en avion, ça parait incompatible, mais être pute, ça, elle n’avait pas peur de l’être, je dirais même qu’elle est particulièrement douée.
Je suis rentré chez ma femme et mon fils, les couilles vident.
Mais ma queue s’est rapidement relevée lorsque je l’ai retrouvé dans les bras de Bruno me donnant l’impression que ce voyage en terre andalouse n’avait été qu’un simple rêve.
C’est lors de ce voyage de retour, lorsqu’elle a fini par s’endormir sur mon épaule, que j’ai eu l’idée de l’embaucher comme ma secrétaire.
Quelques heures après, quand Michelle m’a appelé pour savoir si j’avais été satisfait, c’est une note de dix sur dix que je lui ai donné pour Lady.
Parfaite petite pute blonde, sachant jouer de son corps et surtout avec un cerveau plein d’aplomb.
Tout ce qu’il faut pour réussir dans cette carrière, bien épaulé par une pro comme Michelle.
En lui donnant cette note de dix, je savais que je jouais contre l’amour que je voyais poindre entre elle et moi.
• Jacques, ces clefs que tu viens de me donner sont bien les clefs de cet appartement de rêve dans lequel nous sommes dans cette tour de la Défense !
• Oui, Véronique, il est à toi, du moins au nom de notre bureau d’architecte, ce qui va t’éviter d’en payer les charges.
Nous te faisons un bail à vie, tu en perdras le droit à ton décès, même si d’ici là tu as des héritiers.
Depuis que j’ai ouvert mes bureaux, dans mes réalisations, les promoteurs, pour avoir ma signature sur leur construction, me proposaient souvent un appartement pour que je travaille avec eux.
C’est le cas de William, qui à ce jour ignore que Lady, seul nom qu’il connaît, est une pute.
C’est dans l’immeuble que je viens de terminer pour lui à la défense, qu’il m’offre ce logement dans les conditions déjà expliquées à Lady-Véronique.
Rapidement, elle se constitue une clientèle, d’où la tenue d’écolière ou celle de bonne sœur.
En ce moment, j’ai le nez dans la robe de bonne soeur, dans sa penderie.
J’ai un code avec ma petite pute, lorsqu’elle amène un de ses clients dans l’appartement.
Hélas, j’ai oublié de charger mon portable, et je n’ai pas eu l’information lorsque j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir.
Comme l’amant surpris par son mari, je me suis réfugié dans la penderie pour ne pas me retrouver nez à nez avec l’un de ses clients.
Par les fentes, je peux voir la chambre et Lady entrer avec William sans Catherine, il va de soi.
Lui a-t-elle dit qu’elle est une escorte, ou est-ce pour le remercier de son appartement qu’elle le reçoit ?
Je l’ignore, mais pour la première fois, je vois ma petite nue.
Non ça, c’est souvent, du moins chaque fois que je le peux.
Mais se faisant enculer par notre anglais vieux et au gros ventre, c’est une première.
J’ai envie de hurler, mais le mal est fait.
• Nounours, qu’est-ce qui t’arrive ?
Tu es tout bleu, au secours, il fait un malaise !
Véronique qui m’appelle au secours, comme le loup de son repère, je sors de la penderie.
Rapidement, je vois ce qu’il se passe.
Les petites pilules bleues ont joué un mauvais tour à William, au moment où il a joui dans l’anus de Lady.
Son cœur l’a lâché, le transformant en cadavre.
• Véronique, évite de poser des questions !
Tu dois te demander comment je me suis retrouvé dans notre penderie.
Habille-toi et quitte l’appartement, va chez nous rejoindre ma femme et mon fils et fait comme si de rien n’était, je m’occupe de tout.
Elle a remis sa tenue de jeune fille sérieuse et m’a quitté sans plus me poser de questions.
• Allo, le SAMU, mon ami vient d’avoir un malaise, je n’arrive pas à le faire reprendre vie.
J’ignore comment faire un massage cardiaque, venez vite au…
Le SAMU vient, la police vient aussi m’interroger sur les circonstances qui ont entraîné la mort de notre promoteur.
L’un des deux homos jouant à des jeux contre-nature, ayant abusé de petites pilules bleues que le policier trouve dans la poche de son pantalon.
Il a fait un infarctus, décédant sur-le-champ, sans espoir de lui faire reprendre vie.
Que vaut une réputation pour sauver celle qui a choisi de vivre de ses charmes ?
Par mon action et une réputation d’homosexuel, je sauve celle à qui en ce moment je dis je t’aime.
Elle me répond, je t’aime aussi.
• Chéri, va voir pourquoi Ludivine pleure, je me suis levé la dernière fois pour lui donner son biberon.
Est-ce Jacqueline, qui m’a enfin pardonné mon incartade à la naissance de Bruno ?
Oh ! Que non, Jacqueline, lorsqu’elle a su que j’étais un homo ayant une garçonnière dans une tour de la Défense, a demandé le divorce.
Hélas, pour elle, le jour où j’ai joué les suceurs de bites avec William, de retour chez nous, Véronique l’a surpris se faisant monter par Julien, son chauffeur.
Elle avait son portable et a fait quelques belles photos qu’elle m’a données pour finaliser mon dossier lors du jugement.
Robert, mon avocat, s’est fait un malin plaisir d’en monter quelques clichés au juge qui a prononcé mon divorce.
De victime, elle est devenue inculpée d’adultère et le divorce a été tranché en ma faveur, à part le fait que nous étions nus, William et moi, dans cet appartement.
Son avocat n’a pas pu prouver qu’il y avait eu consommation entre nous, malgré le Viagra qu’il avait avalé.
Je vous quitte, je viens de revenir de la chambre de notre fille et Véronique m’attend les jambes écartées me montrant son abricot doré.
Si Lady, aimait se faire enculer par ses clients, maintenant c’est moi qui suis le seul à profiter de sa petite rondelle, lorsqu’elle s’empale sur moi.
Une dernière chose, on va me parler de notre différence d’âge et des conséquences à long terme.
Pas plus d’écart qu’entre William et Catherine.
Dans le futur, à mon tour, j’aurais besoin de petites pilules bleues, avec en plus les risques que cela comporte.
Je suis prêt à les courir pour l’amour de ma petite pute blonde et de notre fille tout aussi blonde que sa maman.
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