COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique infirmière et pute (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique infirmière et pute (4/6)
D’élève infirmière à prostitué pour un soir, la distance est immense, mais je l’ai franchi pour garder son client à Patricia jeune femme que j’ai secourue et qui s’est avérée être une péripatéticienne.
Après sa blessure à la jambe, je l’ai remplacé me faisant sodomiser par une verge éléphantesque.
De retour, je m’inquiète de mon anus distendu et Pat m’ausculte.
Deux doigts derrière, trois doigts devant.
Je commence à me tortiller au bout de ces cinq doigts qui contrairement à l’homme de tout à l’heure me donnent des sensations des deux côtés à la fois.
Cette nuit, j’aurai testé deux choses un gros sexe dans mon cul et dans ma chatte et des doigts vite rejoints par la langue de mon amie sur mon clitoris.
Je suis au-dessus d’elle en équilibre et si nous continuons, nul doute que je vais jouir mais aussi risqués de tomber sur sa jambe blessée.
Je m’affaisse sur le côté seul les doigts dans mon anus sorte.
L’avantage de la manière où nous sommes placés, c’est que mes doigts pour la première fois viennent se perdre dans sa chatte.
Elle écarte sa jambe valide pour que je puisse mieux la pénétrer et contrairement à moi qui sens mon plaisir monté lentement et grimper doucement vers l’orgasme, elle crie son plaisir deux minutes après que mes caresses atteignent le cœur de sa minette.
• Tais-toi, tu vas réveiller mamy.
• Embrasse-moi.
Nos bouches pour la première fois se rejoignent dans un baiser qui me bouleverse le cœur.
Jamais, l’idée me serait venue, qu’une femme réussirait à me faire tout ce que Patricia réussit à me faire en moins de vingt quatre-heures.
Lorsque nos corps repus se lovent l’un dans l’autre après qu’un orgasme commun nous anéantisse, la force nous manque pour éteindre la lumière.
• Mon cœur, mon amour, mon amour mon cœur, tu es réveillé.
• Non
• Eh bien, si, bouge-toi !
Mamy attend, il est l’heure, il faut nous faire notre café.
• Va-le faire.
• C’est impossible, je suis blessée.
Au fait, j’ai oublié de te dire, ce soir tu vas te rendre dans un palace étoilé où l’un de mes clients va te recevoir dans sa suite.
Voilà comment je passe du rôle de sosie à celui de prostituer à part entière.
Je me rends compte que je suis incapable de dire « non » à cette belle garce de Patricia.
Pour arranger le tout, l’après-midi à l’heure de la sieste, j’envenime mon cas en refaisant l’amour à cette jolie salope blonde.
Elle m’apprend à travailler son bouton avec ma langue et le rythme que je dois y mettre.
À la fin de notre échange, je suis devenue une bonne petite gougnotte très attentive à donner du plaisir à celle qui guide nos jeux.
Ma maîtresse est sévère et lorsque j’exécute un de ses ordres de travers sa main lestement vient claquer mon postérieur.
Je lui rendrai bien la pareille, hélas, ses fesses sont protégées par son plâtre.
Le soir, mon petit mac m’embrasse avant de me laisser partir avec envie vers de nouvelles découvertes rémunérées.
Elle m’a fait mettre ma tenue la plus osée et une paire de bottes cuissarde que je suis allé acheter seule en fin d’après-midi.
J’ai bien rapporté hier et ce soir le client paye bien.
Elle téléphone à un taxi pour que je récupère de la fatigue qu’elle m’a infligée depuis deux jours.
Lorsque je descends, il attend devant la porte.
Arrivé devant le palace, un portier en livrer m’ouvre la portière.
Je veux payer, mais le chauffeur me dit que tout est réglé.
• Bonsoir, madame.
Madame, c’est la première fois de ma vie que l’on me dit, madame, mademoiselle oui mais « madame » jamais.
Je passe la porte à tambour et un autre homme en livrer semble m’attendre me conduisant directement vers un ascenseur sans me demander qui je suis.
Ma surbordinatrice m’a dit d’avoir toujours sur moi des billets de dix euros pour donner des pourboires aux personnels.
Il me remercie, je suis rouge de confusion, moi qui pensais arriver discrètement.
J’ai l’impression que depuis que j’ai débarqué tout le monde, des réceptionnistes jusqu’à cette femme de ménage passant dernière moi doivent penser.
« C’est celle qui se fait appeler Patricia ou Véronique, la pute qui vient gagner son pognon avec son cul. »
Arrivé à une porte, il frappe et s’éclipse sans oublier de prendre au passage ses 10 €.
• Entrez.
J’ouvre la porte et je pénètre dans une chambre qui doit coûter une fortune rien qu’en meuble couvert de dorure.
Rien que le lit aussi gigantesque que la bite de mon premier client hier au soir prend le quart de la pièce.
Si je le vendais, je pourrais vivre au moins un an, voire plus.
• Entrez, déshabillez-vous et venez vers moi.
L’homme qui m’interpelle est nu placé en levrette sur le lit et au milieu de nombreux billets de cent, deux cents et cinq cents euros.
En même temps que, je me déshabille, j’essaye de compter le nombre de billet qui jonche le lit et j’arrive presque à une vingtaine.
Je pense qu’il est inutile de demander mon enveloppe, elle est là étalée sur le lit.
Mon client doit avoir une quarantaine d’années et doit venir d’un pays du soleil car malgré la position, il a le teint hâlé.
Sur la chaise, il y a une cravache.
• J’ai été vilain, punissez-moi !
Patricia aurait dû me prévenir que j’aurais affaire à un pervers.
La vue des billets fait tomber toute pudeur et je viens m’agenouiller derrière lui.
Au moment où je vais frapper, pas trop fort au début pour éviter de faire trop mal.
Je fixe les billets de cinq cents devant moi.
• Maman, j’ai mérité d’être puni, allez y.
J’ignore pourquoi au moment de frapper, une idée me vient.
• Vous avez raison, mon fils, vous allez recevoir la correction que vous méritez pour avoir été méchant, je vous avais assez prévenu.
Je fais pleuvoir quelques coups légers qui semblent lui plaire, car il en redemande.
Une idée, 500 € cinq coups bien cinglants, 200 idem et 100 une fois.
Il en a pour son argent.
Je le fouette en pensant au cul de Pat qui depuis hier me fait faire des choses insensées pour une future petite infirmière.
Ces fesses deviennent vite rouges et d’un coup je jette la cravache.
Je saisis sa queue en passant ma main entre ses jambes.
Il me pousse sur le côté pour que je m’allonge, il bande si fort qu’il aura facile à me pénétrer.
Là encore, pourquoi je lâche ces quelques mots.
• Oui, mon fils vient baiser, maman, moi aussi j’ai été méchante, si tu savais pour ton père.
• Il te trompe maman !
• Oh ! oui, il me trompe, mais c’est car il a remarqué que je préférais ta queue à la sienne, vas-y, plante ta salope de mère.
Il me prend avec une grande fougue, j’ai l’impression qu’il veut se fondre en moi tellement, il me pilonne avec force.
Toute la nuit il me fait l’amour.
Je suis subjugué, il me demanderait de l’épouser, je serai prête à rejoindre son harem.
Nul doute qu’il en a un surtout après qu’il me prend dans ses bras pour me faire quelques confidences.
• Un jour je suis venu à Paris avec l’une de mes femmes et son fils Abdalla.
Il a voulu venir avec moi à Paris et était dans l’incompréhension que dans votre pays il est interdit de conduire sa Ferrari que je lui ai achetée pour ses dix-sept ans et qui le suit partout où il va.
Chez nous, pour mon fils aucun permis de conduire
Chez nous, il a une autoroute de trente kilomètres que j’ai fait construire pour lui et ou il roule à la vitesse qu’il désire sans risque de rencontrer qui que ce soit.
Il s’en est pris à ma mère et trois de mes femmes que j’avais fait venir pour qu’elle fasse du shoping dans votre ville.
• Vous m’excuserez d’avoir joué le rôle de votre mère, j’ignore ce qui m’a pris.
• Non, évitez de vous excuser.
Vous êtes la première à franchir ce tabou et je pense que vous avez réveillé en moi mon côté obscur.
Je pense vous l’avoir prouvé, car c’est la première fois que je prends une femme avec autant de vigueur que je l’ai fait avec vous.
Un reste de vieux fantasme du ventre d’où je suis sorti.
Préparez-vous, récupérez ces billets, vous les avez bien mérités, je vais faire appeler votre taxi.
Je reviens.
Il se lève passe une robe de chambre qu’il récupère dans une armoire d’époque et rejoint la pièce où j’ai entendu du bruit.
• Avant que vous partiez, l’an prochain, j’aurais besoin de vous.
Pour ses dix-huit ans, je voudrais offrir à Abdalla un dépucelage avec une femme de votre qualité et de votre professionnalisme.
Voici une petite avance sur ce que vous toucherez pour vous occuper de lui.
• Merci monsieur, d’accord pour l’an prochain, appelez Patricia, elle me transmettra.
Qu’est-ce que je viens de promettre, dans un an, serai-je encore la pute de ma petite salope ?
Dès qu’elle a récupéré ses jambes, elle récupère son bisness et je retourne m’occuper de mes études et apprendre à soigner mes malades.
Mais ce sentiment s’estompe lorsque j’ouvre l’enveloppe où je vois un nombre de grosses coupures s’y trouvant, ajouté à ceux sur le lit, j’ai fait une nuit phénoménale…
Après sa blessure à la jambe, je l’ai remplacé me faisant sodomiser par une verge éléphantesque.
De retour, je m’inquiète de mon anus distendu et Pat m’ausculte.
Deux doigts derrière, trois doigts devant.
Je commence à me tortiller au bout de ces cinq doigts qui contrairement à l’homme de tout à l’heure me donnent des sensations des deux côtés à la fois.
Cette nuit, j’aurai testé deux choses un gros sexe dans mon cul et dans ma chatte et des doigts vite rejoints par la langue de mon amie sur mon clitoris.
Je suis au-dessus d’elle en équilibre et si nous continuons, nul doute que je vais jouir mais aussi risqués de tomber sur sa jambe blessée.
Je m’affaisse sur le côté seul les doigts dans mon anus sorte.
L’avantage de la manière où nous sommes placés, c’est que mes doigts pour la première fois viennent se perdre dans sa chatte.
Elle écarte sa jambe valide pour que je puisse mieux la pénétrer et contrairement à moi qui sens mon plaisir monté lentement et grimper doucement vers l’orgasme, elle crie son plaisir deux minutes après que mes caresses atteignent le cœur de sa minette.
• Tais-toi, tu vas réveiller mamy.
• Embrasse-moi.
Nos bouches pour la première fois se rejoignent dans un baiser qui me bouleverse le cœur.
Jamais, l’idée me serait venue, qu’une femme réussirait à me faire tout ce que Patricia réussit à me faire en moins de vingt quatre-heures.
Lorsque nos corps repus se lovent l’un dans l’autre après qu’un orgasme commun nous anéantisse, la force nous manque pour éteindre la lumière.
• Mon cœur, mon amour, mon amour mon cœur, tu es réveillé.
• Non
• Eh bien, si, bouge-toi !
Mamy attend, il est l’heure, il faut nous faire notre café.
• Va-le faire.
• C’est impossible, je suis blessée.
Au fait, j’ai oublié de te dire, ce soir tu vas te rendre dans un palace étoilé où l’un de mes clients va te recevoir dans sa suite.
Voilà comment je passe du rôle de sosie à celui de prostituer à part entière.
Je me rends compte que je suis incapable de dire « non » à cette belle garce de Patricia.
Pour arranger le tout, l’après-midi à l’heure de la sieste, j’envenime mon cas en refaisant l’amour à cette jolie salope blonde.
Elle m’apprend à travailler son bouton avec ma langue et le rythme que je dois y mettre.
À la fin de notre échange, je suis devenue une bonne petite gougnotte très attentive à donner du plaisir à celle qui guide nos jeux.
Ma maîtresse est sévère et lorsque j’exécute un de ses ordres de travers sa main lestement vient claquer mon postérieur.
Je lui rendrai bien la pareille, hélas, ses fesses sont protégées par son plâtre.
Le soir, mon petit mac m’embrasse avant de me laisser partir avec envie vers de nouvelles découvertes rémunérées.
Elle m’a fait mettre ma tenue la plus osée et une paire de bottes cuissarde que je suis allé acheter seule en fin d’après-midi.
J’ai bien rapporté hier et ce soir le client paye bien.
Elle téléphone à un taxi pour que je récupère de la fatigue qu’elle m’a infligée depuis deux jours.
Lorsque je descends, il attend devant la porte.
Arrivé devant le palace, un portier en livrer m’ouvre la portière.
Je veux payer, mais le chauffeur me dit que tout est réglé.
• Bonsoir, madame.
Madame, c’est la première fois de ma vie que l’on me dit, madame, mademoiselle oui mais « madame » jamais.
Je passe la porte à tambour et un autre homme en livrer semble m’attendre me conduisant directement vers un ascenseur sans me demander qui je suis.
Ma surbordinatrice m’a dit d’avoir toujours sur moi des billets de dix euros pour donner des pourboires aux personnels.
Il me remercie, je suis rouge de confusion, moi qui pensais arriver discrètement.
J’ai l’impression que depuis que j’ai débarqué tout le monde, des réceptionnistes jusqu’à cette femme de ménage passant dernière moi doivent penser.
« C’est celle qui se fait appeler Patricia ou Véronique, la pute qui vient gagner son pognon avec son cul. »
Arrivé à une porte, il frappe et s’éclipse sans oublier de prendre au passage ses 10 €.
• Entrez.
J’ouvre la porte et je pénètre dans une chambre qui doit coûter une fortune rien qu’en meuble couvert de dorure.
Rien que le lit aussi gigantesque que la bite de mon premier client hier au soir prend le quart de la pièce.
Si je le vendais, je pourrais vivre au moins un an, voire plus.
• Entrez, déshabillez-vous et venez vers moi.
L’homme qui m’interpelle est nu placé en levrette sur le lit et au milieu de nombreux billets de cent, deux cents et cinq cents euros.
En même temps que, je me déshabille, j’essaye de compter le nombre de billet qui jonche le lit et j’arrive presque à une vingtaine.
Je pense qu’il est inutile de demander mon enveloppe, elle est là étalée sur le lit.
Mon client doit avoir une quarantaine d’années et doit venir d’un pays du soleil car malgré la position, il a le teint hâlé.
Sur la chaise, il y a une cravache.
• J’ai été vilain, punissez-moi !
Patricia aurait dû me prévenir que j’aurais affaire à un pervers.
La vue des billets fait tomber toute pudeur et je viens m’agenouiller derrière lui.
Au moment où je vais frapper, pas trop fort au début pour éviter de faire trop mal.
Je fixe les billets de cinq cents devant moi.
• Maman, j’ai mérité d’être puni, allez y.
J’ignore pourquoi au moment de frapper, une idée me vient.
• Vous avez raison, mon fils, vous allez recevoir la correction que vous méritez pour avoir été méchant, je vous avais assez prévenu.
Je fais pleuvoir quelques coups légers qui semblent lui plaire, car il en redemande.
Une idée, 500 € cinq coups bien cinglants, 200 idem et 100 une fois.
Il en a pour son argent.
Je le fouette en pensant au cul de Pat qui depuis hier me fait faire des choses insensées pour une future petite infirmière.
Ces fesses deviennent vite rouges et d’un coup je jette la cravache.
Je saisis sa queue en passant ma main entre ses jambes.
Il me pousse sur le côté pour que je m’allonge, il bande si fort qu’il aura facile à me pénétrer.
Là encore, pourquoi je lâche ces quelques mots.
• Oui, mon fils vient baiser, maman, moi aussi j’ai été méchante, si tu savais pour ton père.
• Il te trompe maman !
• Oh ! oui, il me trompe, mais c’est car il a remarqué que je préférais ta queue à la sienne, vas-y, plante ta salope de mère.
Il me prend avec une grande fougue, j’ai l’impression qu’il veut se fondre en moi tellement, il me pilonne avec force.
Toute la nuit il me fait l’amour.
Je suis subjugué, il me demanderait de l’épouser, je serai prête à rejoindre son harem.
Nul doute qu’il en a un surtout après qu’il me prend dans ses bras pour me faire quelques confidences.
• Un jour je suis venu à Paris avec l’une de mes femmes et son fils Abdalla.
Il a voulu venir avec moi à Paris et était dans l’incompréhension que dans votre pays il est interdit de conduire sa Ferrari que je lui ai achetée pour ses dix-sept ans et qui le suit partout où il va.
Chez nous, pour mon fils aucun permis de conduire
Chez nous, il a une autoroute de trente kilomètres que j’ai fait construire pour lui et ou il roule à la vitesse qu’il désire sans risque de rencontrer qui que ce soit.
Il s’en est pris à ma mère et trois de mes femmes que j’avais fait venir pour qu’elle fasse du shoping dans votre ville.
• Vous m’excuserez d’avoir joué le rôle de votre mère, j’ignore ce qui m’a pris.
• Non, évitez de vous excuser.
Vous êtes la première à franchir ce tabou et je pense que vous avez réveillé en moi mon côté obscur.
Je pense vous l’avoir prouvé, car c’est la première fois que je prends une femme avec autant de vigueur que je l’ai fait avec vous.
Un reste de vieux fantasme du ventre d’où je suis sorti.
Préparez-vous, récupérez ces billets, vous les avez bien mérités, je vais faire appeler votre taxi.
Je reviens.
Il se lève passe une robe de chambre qu’il récupère dans une armoire d’époque et rejoint la pièce où j’ai entendu du bruit.
• Avant que vous partiez, l’an prochain, j’aurais besoin de vous.
Pour ses dix-huit ans, je voudrais offrir à Abdalla un dépucelage avec une femme de votre qualité et de votre professionnalisme.
Voici une petite avance sur ce que vous toucherez pour vous occuper de lui.
• Merci monsieur, d’accord pour l’an prochain, appelez Patricia, elle me transmettra.
Qu’est-ce que je viens de promettre, dans un an, serai-je encore la pute de ma petite salope ?
Dès qu’elle a récupéré ses jambes, elle récupère son bisness et je retourne m’occuper de mes études et apprendre à soigner mes malades.
Mais ce sentiment s’estompe lorsque j’ouvre l’enveloppe où je vois un nombre de grosses coupures s’y trouvant, ajouté à ceux sur le lit, j’ai fait une nuit phénoménale…
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