COLLECTION ESCORTE. L’assurance de ma voiture (1/1) - histoire érotique

Trois jours que je n’ai pas mangés, mais quand on veut quelque chose, il faut savoir souffrir, je fais des études pour devenir chercheur en biologie, j’ai 22 ans et il me reste plusieurs années à souffrir pour obtenir mon master.
Il fait beau dans la banlieue de Montpellier quand je me rends à la fac, je suis de plus en plus fatiguée à cause de mon abstinence et de la chaleur, ma voiture étant en panne de climatisation.
La circulation est fluide, ma voiture roule toute seule, j’ai réussi à mettre de l’essence au prix de plusieurs repas avant que mes parents habitant Aix-en-Provence m’envoient mon mois.

Tiens, la mer, je la longe pendant quelques centaines de mètres entre mon logement et l’entrée de la fac.
Tiens, je me baigne, je suis con de souffrir du chaud alors je cours vers l’eau.
Je reprends conscience que je conduis, que je suis dans l’arrière de la voiture de devant et que j’ai eu avoir un moment de faiblesse, je suis debout sur mes freins.
Hélas, j’ai appuyé trop tard et je percute l’arrière d’une grosse Audi sport.
Catastrophe, le chauffeur dans lequel je suis rentré me gare sur le côté, j’ai envie d’embrayer, mais les propos de mon papa me viennent aux oreilles, si tu as un problème en voiture, n’envenime pas les choses avec un délit de fuite.

• Alors mademoiselle, vous vous croyez dans les sous doués et vous vouliez récupérer mon adresse, je sais que je suis beau gosse, vous auriez pu attendre d’être arrêté au feu à cause duquel j’ai freiné.
• J’ai eu un coup de fatigue et j’ai freiné trop tard.
• Reconnaissez-vous vos torts, vous avez votre assurance ?
• Oui, je vais la sortir.

J’ouvre mon sac à dos, je récupère mes papiers et la feuille verte de l’assurance.

• Nous allons faire un constat à l’amiable puisque vous reconnaissez vos torts.

Il sort un formulaire et le pose sur le capot de sa grosse voiture.

• Vous avez votre nouvelle feuille verte d’assurance, celle-ci est périmée.

Catastrophe, il y a un mois que j’ai reçu le rappel que j’ai mis sur mon frigo vide et sans courant, car j’ai été coupé, je dois rouler sans assurance depuis ce jour.
Je tombe en larmes.

• Arrêtez de pleurer mademoiselle, séchez vos si jolis yeux, une belle fille comme vous doit toujours avoir le sourire, ce n’est que de la tôle froissée, j’ai un ami qui est dans le métier, il va nous réparer nos voitures.

C’est à ce moment que j’ai un nouveau malaise et que je m’affaisse sur le trottoir.

• Que vous arrive-t-il, Mademoiselle ?

Il m’aide à me relever.

• Il y a trois jours que je n’ai pas mangé, j’ai eu le même malaise quand je vous suis rentré dedans.
• Laissez votre voiture, récupérez vos affaires, je vous amène chez un ami restaurateur.

Manger, oui, manger, je prends mon sac et sans hésiter le garçon m’ouvrant la porte de sa voiture, je m’assois à ses côtés, il démarre et dix minutes après il entre dans une hostellerie à trois fourchettes.
Il sort de la voiture et vient me récupérer, gentleman jusqu’au bout des doigts.
Celui qui vient vers nous doit être le patron, la cinquantaine, aussi bien habillée que le garçon qui m’a amené ici.

• Carlos, il y a si longtemps que tu m’as abandonné, que me vaut ta visite !
• Donne-nous une table bien à l’ombre, amène-nous très vite tes meilleures tapas, mademoiselle à une faim de loup, elle mangerait un cheval.
• Un bon tournedos foie gras avec petites pommes soufflées sera plus efficace.
Je vous mets un petit rosé de Provence que j’ai moi-même sélectionné dans l’arrière-pays.

Le repas que Carlos m’offre est fabuleux, j’ai un peu honte, toutes les femmes sont dans des robes sorties des meilleurs magasins de couture, je connais bien les boutiques du centre-ville, la plupart de ces merveilles s’achètent à Paris.
Il me fait la conversation, j’ai loupé mes cours, mais j’ai le ventre qui a doublé de volume après le fromage et la coupe glacée servie de la grandeur d’un vase.
Dès que nous sommes arrivés, il m’a laissé cinq minutes avant de revenir à table.

• Je viens d’appeler mon ami, un de ses gars va venir chercher les clefs de votre voiture pour faire les réparations.

Nous sommes au plat principal quand un garçon arrive, je lui donne les clefs et il repart.
Nous sommes au dessert quand le téléphone de Carlos sonne, il le démarre.

• C’est Loulou, mon copain certainement pour ta voiture, il a dû l’expertiser pour voir les travaux à faire.
• Mais, je n’ai pas d’argent, vous avez vu, je roule sans assurance.

Il me fait un signe d’attendre.

• Oui Loulou, les freins sont morts, bien sûr que tu les changes, le pare-brise fendu, tu en mets un neuf et non pas, d’occasion que tu peux récupérer.
La climatisation ici, c’est primordial, mais dit moi, tu n’as pas une voiture d’occasion en état ça irait plus vite.
Une Peugeot, coupé sport ou une Citroën C3 Picasso, attend, je demande.
• Jennifer, laquelle veux-tu, je te l’offre, il vient de me dire que le moteur de la tienne va lâcher, elle a presque 200 000 kilomètres.

Jennifer, il a dû voir mon nom sur ma feuille verte d’assurance périmée.

• Tu me fais peur, tout va trop vite, je n’aurais pas les moyens de te rembourser avant des lustres, quand j’aurais fini mes études.
• Aucun problème, suis-moi, on va passer à ma boîte de nuit, tu verras par toi-même que ces petits cadeaux ne me coûtent pas grand-chose et ça me fait plaisir, je vais l’assurer si tu recommences à t’endormir au volant.

Il m’emmène dans sa boîte, je rencontre une femme qui prépare le bar.

• Mets-toi en rapport avec Loulou et voyez mon assurance pour la voiture que j’achète à Jennifer, Valérie, si tu as besoin de moi, nous montons dans mon appartement.

Je dois paraître pour une nunuche, je vois bien qu’il veut me sauter, j’ai perdu mon pucelage, il y a quelques années avec un copain de mon âge dans une soirée à Aix et j’ai eu quelques amants depuis.

• Va dans la salle de bains prendre un bain, tu trouveras peignoir et serviette dans le meuble à côté du lavabo.

L’appartement est à la hauteur de la voiture et du restaurant où il m’a emmené, la baignoire est plus près du Jacuzzi que de la poire de douche de mon logement, je suis dans la mousse depuis un certain temps quand il arrive nu.
Il saute à mes côtés, il bande, quand il est assis, j’avance mon bassin et je m’empale en lui entourant mes bras autour de son cou et de l’embrasser.
Je n’ai jamais été si bien embrassée, il fait partie des champions du monde.
Il me soulève de l’eau sans effort, il m’emmène dégoulinant l’un l’autre sur son balcon où il me dépose sur un transat sans avoir quitté ma chatte, le soleil est atténué par un store.
Pendant plus d’une demi-heure, il me prend allant même jusqu’à me placer en levrette les seins qu’il me malaxe sans me faire mal, les faisant reposer sur la partie haute du dossier.
Il me fait jouir deux fois avant qu’un orgasme dévastateur me submerge.

• Tu viens bébé, je t’emmène au centre-ville, ce soir, je vais te présenter à des amis, nous allons acheter quelques vêtements dans le style que portent les filles qui travaillent dans mon club.

Quand je reviens, j’ai de nombreux paquets dont l’un ou mes vieilles frusques sont placés.
J’ai une tenue très jeune et assez sport à leur place, le soir nous faisons dînette avant de descendre, je me suis changé et mis les affaires qui me font ressembler à une fille facile, j’hésite à dire que je ressemble à une pute.
Dans la salle, je me sens plus à l’aise, quatre filles plus la barmaid vue cette après-midi ont la même tenue de couleurs différentes.

• Jennifer, nous sommes tous là pour faire fonctionner la boîte, certains hommes voudront te payer à boire, tu resteras près d’eux et tu feras le nécessaire pour qu’ils consomment.

À la fermeture, comme il l’a fait plusieurs fois, Carlos vient m’embrasser satisfait de mon travail, j’ai fait boire plusieurs bouteilles de champagne à ces hommes.
Quand nous entrons dans sa chambre, malgré l’heure et la fatigue, Carlos me fait l’amour.
C’est le deuxième jour que je constate une chose étrange, Lola une belle Espagnole boit une coupe avec un homme, il part comme s’il sortait et la copine passe un rideau de velours rouge sur le mur opposé.
C’est bizarre, à part les toilettes où nous pouvons nous rendre en cas de besoin, il n’y a rien d’autre derrière ce rideau.

C’est le cinquième jour que Carlos vient me voir alors qu’un client vient de partir.

• Bébé, l’homme avec qui tu viens de boire voudrait que tu le rejoignes, suis-moi, je lui dois une grosse somme.

Je vois mal où il veut en venir surtout que nous franchissons le rideau menant vers les toilettes, sur la droite il y a un autre rideau et une porte que je n’avais pas vue, il l’ouvre et nous montons un escalier.
Je vous ai dit que sur ce coup-là, j’ai été un peu nunuche, mais quand il a ouvert une porte à l’étage et que nous sommes entrés dans une pièce transformée en chambres, l’homme était là nu.
J’ai dû sucer puis baiser avec cet homme, Carlos au début regardant que j’étais docile, j’étais à califourchon sur la bite du mec quand j’ai senti son sexe sur ma rosette et qu’il m’a enculé, j’étais prise en double pénétration.
Ça fait deux mois que je tapine pour lui, j’ai arrêté mes études, j’ai quitté son appartement pour un logement où je vis avec ses autres putes, il dit que nous sommes des escortes, mais nous nous savons que nous sommes des prostitués.
Les autres filles ont suivi le même chemin que moi, ce soir, Carlos est arrivé avec une belle blonde, Ondine, elle est habillée comme nous et dans trois-quatre jours nous verrons arriver le premier client que j’ai eu, c’est un comparse.
Carlos la fera passer derrière le rideau pendant que son client passera par l’autre chemin pour brouiller les pistes, il l’emmènera faire sa première passe et notre mac l’enculera comme il m’a enculé.
J’ai demandé aux filles pourquoi elles ne se rebellent pas, elles m’ont expliqué que la troisième pute qui s’appelait Amanda l’a fait, ils l’ont attrapé, tirés par les cheveux jusque dans la cour où ils l’ont embarqué dans une camionnette la labourant de coup de pied, depuis plus de nouvelle d’elle.
Depuis que je suis sa pute, je n’ai jamais manqué de nourriture, la voiture, disparue, je pense qu’elle est retournée chez Loulou.