COLLECTION ESCORTE. La prostitution en France (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 037 440 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 096 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ESCORTE. La prostitution en France (1/1)
- Sylvain c’est Claude ton patron.
- J’ai vu, j’ai failli laisser sonner.
- Mais tu t’es souvenu que tu avais de la déontologie et que si je t’appelais c’est pour une chose importante.
- Il y a un conflit qui a démarré aux îles vierges et il faut que je parte sous les cocotiers pendant mes dix derniers jours de mes congés.
- Aux îles vierges, certainement pas vierges quand je t’aurais dit de quoi il ressort.
- Dis-moi, j’ai rencard avec une poulette dans une heure et je dois aller me laver la queue.
- Es-tu au Cap ?
- Comme dab quand je rentre de trois mois de terrain au Mali où j’ai surfé avec les vilains djihadistes de Boko Haram.
- Si tu es déjà sur la côte tu vas pouvoir me rendre le service dont j’ai besoin.
- Dis toujours !
- J’avais mis Jean le vieux comme vous dites sur une enquête parlant de la prostitution en France.
- Tu comprends le rapport avec les îles vierges ?
Nous éclatons de rire.
- Les putes en France, le Jean a dû s’éclater.
Il l’a dit à sa femme !
- Arrête, c’est pour ça que je t’appelle.
Tu sais comme elle est jalouse et tu connais Alice la petite stagiaire.
Je crois qu’avant de partir en vacances, certains de tes collèges, t’on vu la serrer de près !
- Bonjour les collègues, heureusement que c’est d’Alice qu’ils parlent, j’ai discuté avec le gros Georges, j’ai peut-être baisé avec lui.
- Si tu étais PD ça se saurait, tu sais qu’avec tous les fouilles merdes du journal, tout se sait en cinq minutes, montre en main.
Alice a appelé sur son fixe pour un papier qui pouvait attendre.
C’est sa femme qui a décroché et lui a demandé où il était et ce qu’il faisait.
La petite dinde lui a dit qu’il était à Metz pour rencontrer une pute pour un article.
- C’est vrai qu’Alice est une petite dinde mais avec de gros et beaux seins.
- Oui dans la main il entre juste comme il faut.
- Parce que toi aussi tu manges de la dinde.
Qu’en dirait ta femme ?
- C’est bon, tu sais comme je sais, qu’un petit coup de canif de temps en temps j’aime et Alice est loin d’être farouche.
- Dans la pièce à côté de ton bureau !
- Pardon ?
- Alice comme les autres tu les sautes dans la petite pièce mitoyenne de ton bureau où Lucien le concierge est venu poser un verrou quand tu es devenu notre chef.
- Je vois, tu as raison, impossible d’avoir des secrets dans notre journal.
- Bref quand il est rentré, en plus du coquard qu’il a à l’œil, s’il retourne sur le terrain pour le même motif, il devra apprendre à faire la cuisine.
- Et il faut le remplacer pour finir d’aller voir les putes.
- Exact, il en reste deux.
Deux non loin de ton lieu de villégiature.
Deux qui vont te permettre de faire ta petite fête ce soir car la première est à Nice.
C’est une pute de luxe, elle se fait appeler Lucrécia.
Ce sera la pute de luxe de l’article.
Tu as du pot, Jean à Metz a ramassé un coquard pour une péripatéticienne de 65 ans faisant 90 kilos.
Les renseignements que nous en avions c’est que sa spécialité quand elle reçoit ses clients c’est de jouer avec sa petite culotte taille 62.
Toi, la Niçoise à 42 ans mais dit à tous qu’elle en a 35.
La deuxième c’est Babette, elle tapine à Bordeaux.
Elle a 28 ans, le reste à toi de le découvrir.
Nous avons téléphoné à 23 d’entre elles pour qu’elle accepte de raconter son histoire.
Je t’envoie les coordonnés des deux filles avec l’endroit et l’heure du rendez-vous.
Tu me dépannes ?
- Si je prends un râteau ce soir, la prime que tu vas me verser pourra largement payer la passe que je me payerais avec elles si elles sont bandantes.
- Essaye d’éviter les sentiments avec moi surtout que ce sera toi qui offriras cette prime à Jean sans que sa femme l’apprenne bien sûr.
Il a un manque de vu pour son deuxième œil.
Sylvain, je te quitte, un petit cul que tu connais arrive.
- Met bien le verrou.
Je reçois les renseignements.
Je tairais le nom du palace sur le front de mer de Nice où j’entre avec mon Audi sport.
J’ai bien sauté Anabelle, la jeune femme avec qui j’avais rendez-vous au Cap.
Blonde, joli petit cul, combien de ces jeunes pétasses j’ai sauté depuis la trahison de Véronique qui m’avait promis de se donner à moi le soir de la fête du Carrousel dans notre village.
Nous avions 18 ans le même jour et nous nous étions promis d’être l’un à l’autre ce jour-là.
Parti la veille sans laisser d’adresse depuis je tire des filles mais chaque fois c’est son joli minois que je saute.
- Sylvain, Anabelle.
Entrez, une coupe de champagne.
- Vous vivez dans ce palace à la disposition des clients qui ont les moyens de vous payer un moment de bonheur.
Anabelle est grande, 1 mètre 80, forte poitrine ce qui l’a amené à se prostituer.
Elle a été des Blue belles et était venue à Nice pour un contrat qui l’a conduit dans les bras d’hommes riches.
Elle a un mac qui fait partie des caïds de la côte.
Pays du golf et Américain sont ses principaux clients ceux qui ont le fric.
- Cette chambre, c’est l’enturbanné qui vient de partir qui la paye.
J’habite en ville et je viens ici sur les coups de téléphone de Polo.
Un peu glauque même si la nana est canon.
Je baise des filles sans savoir quelle bite m’a précédé.
Mais sauter cette pute même à l’œil ignorant si elle s’est lavé la chatte et avec le risque d’avoir un macro qui me fait chanter, les renseignements que je vais donner à Jean son suffisant.
Je retrouve mon Audi et je prends le chemin de Bordeaux.
Hôtel 2 étoiles, c’est Alice qui a réservé et elle sait que pour Claude mon patron un sous-est un sou.
Pour une nuit ça ira.
Demain j’ai rendez-vous à 10 heures dans un studio du centre de Bordeaux.
La pute travaille avec des clients habituelles mais a un site sur Internet où de nombreuses filles viennent se vendre.
Kandi à un corps bien foutu mais aucun visage, la photo est floutée.
Je comprends que les mecs qui se payent des putes se contentent de la beauté du corps et de l’origine ethnique.
Au Mali, dans l’hôtel où j’étais avant d’aller sur le terrain avec les militaires, j’ai passé mon séjour avec Louisa une jolie black mais aux petits seins.
Elle sentait la brousse, son odeur était pour moi son atout.
À la renifler je bandais comme une bête.
Comme elle était tigresse, j’ai passé de bons moments chaque fois qu’elle venait dans ma chambre.
Le lendemain je suis à l’heure quand je sonne à la porte de l’appartement d’un immeuble tout à fait sélecte dans la banlieue de Bordeaux.
- Véronique !
- Sylvain.
- Non, pourquoi es-tu ici ?
- Je suis le journaliste avec qui tu as rendez-vous.
- On m’avait parlé d’un homme d’une cinquantaine d’années.
- Il a été victime d’un rouleau à pâtisserie.
Ta fuite m’a évité d’en prendre un sur la tête.
- Entre, ça mérite une explication.
On a compris aux prénoms, la pute qui me reçoit dans un déshabillé vaporeux et transparent c’est mon amie de toujours.
Celle qui m’avait promis son pucelage contre le mien à mal tourné après qu’elle est disparue à la mort de son père.
- Sylvain, je vais te dire l'exacte vérité entre notre séparation et la pute que je suis devenue.
Quand papa est mort, maman a appris que papa était un joueur invétéré.
Il avait fait de nombreuses dettes à des hommes peu reluisants.
- Ce sont eux qui t’ont prostitué pour récupérer leur fric ?
- Non, la prostitution s'est venue plus tard.
Nous avons fui et nous nous sommes réfugiées chez Jeanne une copine de maman près d’ici.
Nous avons vécu caché pendant un an.
Jeanne est tombée malade en même temps que maman lors de la grippe ayant décimé de nombreuses personnes.
À 19 ans il a fallu que j’assume.
J’ai trouvé un emploi dans un magasin de chaussures tout près d’ici.
Je gagnais peu et certains médicaments coûtaient chère et nous étions sans couverture sociale.
J’ai volé une paire d’escarpins c’était toujours ça d’économiser mais la patronne m'a attrapé et renvoyée.
J’ai travaillé chez Mac Do mais je gagnais peu.
Un jour un homme m’a dragué, j’étais encore vierge et il m’a dépucelé sans grand plaisir.
- Tu dis sans grand plaisir car tu veux me faire croire que lorsque tu baisais avec tes clients tu pensais à moi ?
- C’est un peu ça, longtemps je voyais ton visage mais je dois être honnête, il s’est estompé au fil des temps.
C’est lui qui m’a dit de me prostituer en indépendante.
Il est toujours mon client et paye ses prestations comme les autres.
Depuis mon premier client, je baise toujours avec prestation tarifée.
Plus aucun béguin, seul le fric pour la baise.
Un jour ma mère et son amie ont mis fin à leurs jours.
Le gaz qui a failli faire sauter l’immeuble, Jeanne m’avait fait l’héritière de ses bien dont le logement où j’habite avec Jules mon fils.
- Tu me balades, Véronique, aucun béguin et un petit garçon, c’est bizarre.
- Sans vouloir te faire croire que cela peut arriver, Jules c’est une erreur professionnelle.
Je baise avec capote avec tous mes clients.
Jules est le produit du sperme et d’une capote explosant le garçon qui m’avait payé était bien monté et surpuissant.
La capote a explosé.
- C’était un noir ?
- Pourquoi, des Européens ont de grosses bites ?
- Jules est la perle de ma vie et pour l’élever seule je continue à recevoir mes clients.
Voilà, j’ai quitté Kandi, Véronique.
L’article est passé écrit par Jean.
Il devait y avoir cinq pute se confessant.
Il y en a quatre, la cinquième Kandi a refusé que je l’interview ayant changé d'avis au dernier moment.
Du moins c'est ce que j'ai fait croire à mon patron.
Je viens de rentrer de Turquie, j’ai couvert le conflit avec les Kurdes.
Dans mes bagages, j’ai officiellement présenté à tous mes collègues une jeune femme rencontrée à l’ambassade de France à Ankara où elle travaillait.
Elle s’appelle Véronique à un fils se nommant Jules qu’elle a eu avec un autre homme que moi.
Bien sûr, j’ai loué une plus grosse voiture que mon coupé sport pour la ramener de Bordeaux à Paris dans mon appartement.
Elle porte dans son ventre ma fille Lilas que nous avons conçu à la fête du Carrousel sans être présent ce jour-là.
Inutile de prendre des risques que des créanciers de son père la reconnaissent.
Un accord entre nous.
Elle accepte que je risque ma vie à travers le monde tant que je suis jeune contre une vie de femme mariée que l’ont plein des risques que je prends.
Elle a eu une seule réserve.
Jamais à tout jamais les articles sur les putes, j’en écris.
Sinon elle a acheté un rouleau à pâtisserie me disant que c’était pour me faire des tartes pour mes enfants et moi.
- J’ai vu, j’ai failli laisser sonner.
- Mais tu t’es souvenu que tu avais de la déontologie et que si je t’appelais c’est pour une chose importante.
- Il y a un conflit qui a démarré aux îles vierges et il faut que je parte sous les cocotiers pendant mes dix derniers jours de mes congés.
- Aux îles vierges, certainement pas vierges quand je t’aurais dit de quoi il ressort.
- Dis-moi, j’ai rencard avec une poulette dans une heure et je dois aller me laver la queue.
- Es-tu au Cap ?
- Comme dab quand je rentre de trois mois de terrain au Mali où j’ai surfé avec les vilains djihadistes de Boko Haram.
- Si tu es déjà sur la côte tu vas pouvoir me rendre le service dont j’ai besoin.
- Dis toujours !
- J’avais mis Jean le vieux comme vous dites sur une enquête parlant de la prostitution en France.
- Tu comprends le rapport avec les îles vierges ?
Nous éclatons de rire.
- Les putes en France, le Jean a dû s’éclater.
Il l’a dit à sa femme !
- Arrête, c’est pour ça que je t’appelle.
Tu sais comme elle est jalouse et tu connais Alice la petite stagiaire.
Je crois qu’avant de partir en vacances, certains de tes collèges, t’on vu la serrer de près !
- Bonjour les collègues, heureusement que c’est d’Alice qu’ils parlent, j’ai discuté avec le gros Georges, j’ai peut-être baisé avec lui.
- Si tu étais PD ça se saurait, tu sais qu’avec tous les fouilles merdes du journal, tout se sait en cinq minutes, montre en main.
Alice a appelé sur son fixe pour un papier qui pouvait attendre.
C’est sa femme qui a décroché et lui a demandé où il était et ce qu’il faisait.
La petite dinde lui a dit qu’il était à Metz pour rencontrer une pute pour un article.
- C’est vrai qu’Alice est une petite dinde mais avec de gros et beaux seins.
- Oui dans la main il entre juste comme il faut.
- Parce que toi aussi tu manges de la dinde.
Qu’en dirait ta femme ?
- C’est bon, tu sais comme je sais, qu’un petit coup de canif de temps en temps j’aime et Alice est loin d’être farouche.
- Dans la pièce à côté de ton bureau !
- Pardon ?
- Alice comme les autres tu les sautes dans la petite pièce mitoyenne de ton bureau où Lucien le concierge est venu poser un verrou quand tu es devenu notre chef.
- Je vois, tu as raison, impossible d’avoir des secrets dans notre journal.
- Bref quand il est rentré, en plus du coquard qu’il a à l’œil, s’il retourne sur le terrain pour le même motif, il devra apprendre à faire la cuisine.
- Et il faut le remplacer pour finir d’aller voir les putes.
- Exact, il en reste deux.
Deux non loin de ton lieu de villégiature.
Deux qui vont te permettre de faire ta petite fête ce soir car la première est à Nice.
C’est une pute de luxe, elle se fait appeler Lucrécia.
Ce sera la pute de luxe de l’article.
Tu as du pot, Jean à Metz a ramassé un coquard pour une péripatéticienne de 65 ans faisant 90 kilos.
Les renseignements que nous en avions c’est que sa spécialité quand elle reçoit ses clients c’est de jouer avec sa petite culotte taille 62.
Toi, la Niçoise à 42 ans mais dit à tous qu’elle en a 35.
La deuxième c’est Babette, elle tapine à Bordeaux.
Elle a 28 ans, le reste à toi de le découvrir.
Nous avons téléphoné à 23 d’entre elles pour qu’elle accepte de raconter son histoire.
Je t’envoie les coordonnés des deux filles avec l’endroit et l’heure du rendez-vous.
Tu me dépannes ?
- Si je prends un râteau ce soir, la prime que tu vas me verser pourra largement payer la passe que je me payerais avec elles si elles sont bandantes.
- Essaye d’éviter les sentiments avec moi surtout que ce sera toi qui offriras cette prime à Jean sans que sa femme l’apprenne bien sûr.
Il a un manque de vu pour son deuxième œil.
Sylvain, je te quitte, un petit cul que tu connais arrive.
- Met bien le verrou.
Je reçois les renseignements.
Je tairais le nom du palace sur le front de mer de Nice où j’entre avec mon Audi sport.
J’ai bien sauté Anabelle, la jeune femme avec qui j’avais rendez-vous au Cap.
Blonde, joli petit cul, combien de ces jeunes pétasses j’ai sauté depuis la trahison de Véronique qui m’avait promis de se donner à moi le soir de la fête du Carrousel dans notre village.
Nous avions 18 ans le même jour et nous nous étions promis d’être l’un à l’autre ce jour-là.
Parti la veille sans laisser d’adresse depuis je tire des filles mais chaque fois c’est son joli minois que je saute.
- Sylvain, Anabelle.
Entrez, une coupe de champagne.
- Vous vivez dans ce palace à la disposition des clients qui ont les moyens de vous payer un moment de bonheur.
Anabelle est grande, 1 mètre 80, forte poitrine ce qui l’a amené à se prostituer.
Elle a été des Blue belles et était venue à Nice pour un contrat qui l’a conduit dans les bras d’hommes riches.
Elle a un mac qui fait partie des caïds de la côte.
Pays du golf et Américain sont ses principaux clients ceux qui ont le fric.
- Cette chambre, c’est l’enturbanné qui vient de partir qui la paye.
J’habite en ville et je viens ici sur les coups de téléphone de Polo.
Un peu glauque même si la nana est canon.
Je baise des filles sans savoir quelle bite m’a précédé.
Mais sauter cette pute même à l’œil ignorant si elle s’est lavé la chatte et avec le risque d’avoir un macro qui me fait chanter, les renseignements que je vais donner à Jean son suffisant.
Je retrouve mon Audi et je prends le chemin de Bordeaux.
Hôtel 2 étoiles, c’est Alice qui a réservé et elle sait que pour Claude mon patron un sous-est un sou.
Pour une nuit ça ira.
Demain j’ai rendez-vous à 10 heures dans un studio du centre de Bordeaux.
La pute travaille avec des clients habituelles mais a un site sur Internet où de nombreuses filles viennent se vendre.
Kandi à un corps bien foutu mais aucun visage, la photo est floutée.
Je comprends que les mecs qui se payent des putes se contentent de la beauté du corps et de l’origine ethnique.
Au Mali, dans l’hôtel où j’étais avant d’aller sur le terrain avec les militaires, j’ai passé mon séjour avec Louisa une jolie black mais aux petits seins.
Elle sentait la brousse, son odeur était pour moi son atout.
À la renifler je bandais comme une bête.
Comme elle était tigresse, j’ai passé de bons moments chaque fois qu’elle venait dans ma chambre.
Le lendemain je suis à l’heure quand je sonne à la porte de l’appartement d’un immeuble tout à fait sélecte dans la banlieue de Bordeaux.
- Véronique !
- Sylvain.
- Non, pourquoi es-tu ici ?
- Je suis le journaliste avec qui tu as rendez-vous.
- On m’avait parlé d’un homme d’une cinquantaine d’années.
- Il a été victime d’un rouleau à pâtisserie.
Ta fuite m’a évité d’en prendre un sur la tête.
- Entre, ça mérite une explication.
On a compris aux prénoms, la pute qui me reçoit dans un déshabillé vaporeux et transparent c’est mon amie de toujours.
Celle qui m’avait promis son pucelage contre le mien à mal tourné après qu’elle est disparue à la mort de son père.
- Sylvain, je vais te dire l'exacte vérité entre notre séparation et la pute que je suis devenue.
Quand papa est mort, maman a appris que papa était un joueur invétéré.
Il avait fait de nombreuses dettes à des hommes peu reluisants.
- Ce sont eux qui t’ont prostitué pour récupérer leur fric ?
- Non, la prostitution s'est venue plus tard.
Nous avons fui et nous nous sommes réfugiées chez Jeanne une copine de maman près d’ici.
Nous avons vécu caché pendant un an.
Jeanne est tombée malade en même temps que maman lors de la grippe ayant décimé de nombreuses personnes.
À 19 ans il a fallu que j’assume.
J’ai trouvé un emploi dans un magasin de chaussures tout près d’ici.
Je gagnais peu et certains médicaments coûtaient chère et nous étions sans couverture sociale.
J’ai volé une paire d’escarpins c’était toujours ça d’économiser mais la patronne m'a attrapé et renvoyée.
J’ai travaillé chez Mac Do mais je gagnais peu.
Un jour un homme m’a dragué, j’étais encore vierge et il m’a dépucelé sans grand plaisir.
- Tu dis sans grand plaisir car tu veux me faire croire que lorsque tu baisais avec tes clients tu pensais à moi ?
- C’est un peu ça, longtemps je voyais ton visage mais je dois être honnête, il s’est estompé au fil des temps.
C’est lui qui m’a dit de me prostituer en indépendante.
Il est toujours mon client et paye ses prestations comme les autres.
Depuis mon premier client, je baise toujours avec prestation tarifée.
Plus aucun béguin, seul le fric pour la baise.
Un jour ma mère et son amie ont mis fin à leurs jours.
Le gaz qui a failli faire sauter l’immeuble, Jeanne m’avait fait l’héritière de ses bien dont le logement où j’habite avec Jules mon fils.
- Tu me balades, Véronique, aucun béguin et un petit garçon, c’est bizarre.
- Sans vouloir te faire croire que cela peut arriver, Jules c’est une erreur professionnelle.
Je baise avec capote avec tous mes clients.
Jules est le produit du sperme et d’une capote explosant le garçon qui m’avait payé était bien monté et surpuissant.
La capote a explosé.
- C’était un noir ?
- Pourquoi, des Européens ont de grosses bites ?
- Jules est la perle de ma vie et pour l’élever seule je continue à recevoir mes clients.
Voilà, j’ai quitté Kandi, Véronique.
L’article est passé écrit par Jean.
Il devait y avoir cinq pute se confessant.
Il y en a quatre, la cinquième Kandi a refusé que je l’interview ayant changé d'avis au dernier moment.
Du moins c'est ce que j'ai fait croire à mon patron.
Je viens de rentrer de Turquie, j’ai couvert le conflit avec les Kurdes.
Dans mes bagages, j’ai officiellement présenté à tous mes collègues une jeune femme rencontrée à l’ambassade de France à Ankara où elle travaillait.
Elle s’appelle Véronique à un fils se nommant Jules qu’elle a eu avec un autre homme que moi.
Bien sûr, j’ai loué une plus grosse voiture que mon coupé sport pour la ramener de Bordeaux à Paris dans mon appartement.
Elle porte dans son ventre ma fille Lilas que nous avons conçu à la fête du Carrousel sans être présent ce jour-là.
Inutile de prendre des risques que des créanciers de son père la reconnaissent.
Un accord entre nous.
Elle accepte que je risque ma vie à travers le monde tant que je suis jeune contre une vie de femme mariée que l’ont plein des risques que je prends.
Elle a eu une seule réserve.
Jamais à tout jamais les articles sur les putes, j’en écris.
Sinon elle a acheté un rouleau à pâtisserie me disant que c’était pour me faire des tartes pour mes enfants et moi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...