COLLECTION ESCORTE. Pute programmée (1/1) - histoire érotique

1er Client : faire des études afin d’arriver à être prof à la fac est un long parcours, même si je dois me prostituer pour y arriver.
Je suis prête à franchir cette étape, malgré ma faible expérience du sexe et de ce métier si écarter ses cuisses pour se faire baiser pour la somme de 150 € est un métier.

Sur mon tableur, tout est inscrit, 30 000 € par an sur cinq ans à 150 € la passe ou 300 € la nuit, je vais devoir trouver 200 clients chaque année, étant dans l’impossibilité de prévoir le nombre de ceux qui pourront se payer la nuit à 300.
30 000 € qui comprennent mon loyer, mes produits de beauté, au bien sûr à vingt ans, je pourrais économiser sur ce poste, mais une pute doit savoir se mettre en valeur, si elle veut avoir une réputation suffisante pour qu’un client refile son numéro de téléphone à un autre et que l’approche à ces autres clients soit de plus en plus facile et rapide.
Sur mon tableur, il y a les frais mensuels d’habilement, sentir ce que veut le client au moment du coup de fil et mettre la tenue qu’il attend même si quelquefois, je serais contrainte d’aller en urgence compléter ma garde-robe.
Pour vivre, il faut aussi manger, même si j’ai un appétit d’oiseau et que certaines fois le client m’invitera au restaurant, je dois prévoir un budget.
J’oubliais les frais que j’ai faits cette après-midi, rouge de honte, quand j’ai reçu le colis où se trouvent à l’intérieur des objets utiles à mes clients, certains ayant des goûts particuliers.

Comment ai-je pu me laisser entraîner sans grandes difficultés par Odile, ma copine d’enfance qui part pour l’Espagne pour sa deuxième année d’échange et qui sans avoir fait un tableur prévisionnel tapine vers Barcelone.
C’est avec elle que je l’ai établi prenant bien en compte tous les renseignements qu’elle pouvait m’apporter.
Le plus dur reste à prévoir, avoir mon premier rapport tarifé, c’est maintenant, que cela va se passer, je viens d’arriver à l’hôtel où j’ai rendez-vous avec un certain monsieur Albert, j’ai senti qu’il avait un certain âge et j’ai opté pour le tailleur bon chic bon genre, ayant dû à apprendre à marcher avec des talons hauts.

Cette étape franchie, il en reste une de taille, l’été dernier le 14 juillet, j’ai eu un rapport sexuel avec un garçon, qui est-il, comment était-il, peu m’importe, j’étais bourré, Odile fêtant son départ pour ses études ibériques.
Deux garçons deux filles, un carré d’herbe tendre par une nuit de pleine lune, c'est ainsi que l’affaire s'est conclue, la petite Véronique qui rêvait d’avoir son bac l’année suivante perd son pucelage sans savoir au matin, quel garçon avait été et où il est parti.
Son pucelage et ses illusions, car elle s’était jurée de se présenter vierge le jour de son mariage.

Premier client, premier souci, à la réception le jeune réceptionniste me fait comprendre que dans son hôtel une pute devait lui graisser la patte sinon je prendrais le risque qu’il me dise que monsieur Albert est descendu dans un autre hôtel.
20 € après que je lui ai donné 10 € qu’il a refusés d’un air dédaigneux et voilà comment demain matin, je vais devoir reprendre mes comptes en incluant 4 000 € dans une colonne « Réceptionniste ».

1er client : première chambre ou monsieur Albert me fait comprendre ou je dois mettre le sexe qu’il vient de sortir de son pantalon, après qu’il m’est donné mes premiers émoluments de prostituée.
Sucer un client, même si c’est la première bite, Odile m’a tellement briffé sur les fellations qui plaisent tellement aux hommes leur donnant l’impression de nous dominer, se passe bien même si Albert doit avoir trois fois mon âge.
Je ferme les yeux, je le prends en bouche, dans les confidences de mon amie, tâter les couilles de l’homme aide à le faire bander surtout comme en ce moment, Albert a du retard à l’allumage.
Je dois être douée, car après 20 minutes d’effort la bite pénétrant de plus en plus profondément dans ma gorge, je suis prêt à l’ultime étape, le recevoir dans mon temple d’amour bêtement dévirginisé un soir de pleine lune.
J’enlève mes vêtements, les pliants du mieux possible sur la chaise à côté du lit et dans la glace de la porte de l’armoire, c’est une tout autre jeune fille qui se présente en porte-jarretelles avec bas, perchée sur ses hauts talons.
Un dernier regard à ma chatte qui va être perforée, cette après-midi, je suis allée dans l’institut de beauté près de chez moi pour me faire épiler pour la première fois de ma vie, j’aimais bien ma toison blonde, mais là encore Odile a voulu que je m’en sépare.
100 € pour cette opération renouvelable tous les mois, c’est prévu 1 200 € au total sur le tableur.

La fellation était facile à y bien regarder, vais-je accepter cette verge en moi ou vais-je récupérer mes affaires, ma valise avec mes godes et mes fouets que j’espère n’avoir jamais à me servir.
Je me laisse coucher sur le lit, j’ai un moment de plaisir sans le faire voir quand la langue d’Albert vient ouvrir mes grandes lèvres, s’attaquant à mon clitoris, mes cours d'éducation sexuelle me revenant en mémoire pour ce qui en est de tous ses noms.

Il entre en moi, même s’il m’a léché, je suis un peu sèche, Odile m’avait dit qu’elle se mettait une sorte de gel dans le vagin afin d’être bien lubrifié, mais je dois faire avec le simple lubrifiant de la capote que j’ai un peu de mal à enfiler pour gagner mes 150 premiers euros.
C’est fait, je repasse devant le réceptionniste me montrant un petit rire narquois, mais je bombe mes poumons et tête haute, lui montrant la magnifique poitrine que ma mère a mise à ma disposition, si les passes sont régulières dans son établissement, mes études seront assurées.

10e client : 10 passes dont une à 300 € en huit jours, c’est un bon début, je tiens mon plan de marche, sur mon tableur, je suis même en léger bénéfice.
Pour fêter cette bonne nouvelle, je me paye un petit bouchon repéré lors de mes deux visites à mon premier hôtel, à la table voisine un jeune homme un peu boutonneux, dîne seul le nez dans son assiette.
Je lui demande du feu, il se propose d’aller m’acheter des allumettes, je l’en dissuade, mais je me présente devant le réceptionniste lui demandant une chambre à son grand étonnement sachant surtout qu’il pourra s’asseoir sur sa commission.
J’ai fait ce qu’il faut pour lui enlever son acné comprenant dès le début que j’ai affaire à un puceau, à la fin de la nuit que je lui offre, j’ai un amant très efficace, dommage, il servira à d'autres que moi, car sur mon tableur aucune colonne amant ou liaison durable n’y figure.
Dans mes passes suivantes je me sers de ma valise, certains clients un peu tordus aiment que je leur passe les menottes surtout quand je vais chez Lucien « vieux beau, » habitant près de la butte Montmartre qui aime que je les passe à ces poignets, l’attachant aux barreaux de son lit.
Cette première fois, j’ai eu du mal à le flageller surtout sur sa verge, mais quand j’ai vu qu’elle se déployait à vitesse grand V, j’ai frappé plus que de raison jusqu’à ce qu’il éjacule.

21e client : là encore, je me rends à l’adresse indiquée, l’homme dans la quarantaine me place en levrette et veut me sodomiser, je me laisse tomber sur le côté alors que juste son gland est entré en moi.
Je lui demande une rallonge de 100 €, dans un premier temps, il me prend la chatte avant de se raviser, prendre son portefeuille et me donne l’argent réclamé.
J’avais essayé avec mon jeune puceau qu’il me pénètre l’anus, Odile m’ayant dit que quelques clients aimaient la sodomiser et c’est elle qui m’a parlé du dépassement d’honoraire à demander.
Manque de chance, le puceau a essayé, mais son sexe débandait chaque fois qu’il poussait pour entrer, j’ai donc dû attendre ce 21e client pour que ma rondelle saute, dur au début, car l’homme est bien monté, mais rentrant comme dans du beurre quand le 33e client m’a demandé payant rubis sur l’ongle d’emprunter cette voie bien ouverte maintenant.

50 e client : de nouveau une fête bien que je sois en équilibre sans trop de gras, le 54e étant une cliente, j’entre dans un bar de lécheuse de chatte, je passe ma nuit à perfectionner mes connaissances en rapport lesbien, Arlette ma cliente ayant bien vu que j’étais inexpérimentée.
Si pour mes cours malgré le nombre de fois où je dois jongler entre l’amphi et les clients, mes partielles se passent bien et dès février, je sais que j’ai de fortes chances d’accéder à la deuxième année.
Un changement, l’un de mes profs avec qui j’ai des rapports non tarifés de temps en temps, souhaite que je m’oriente vers l’expertise comptable, l’un de ses amis ayant un cabinet avec pignon sur rue, il n’aurait aucun mal à ce que je trouve une place, le patron ayant une dette envers lui.
Que dire des semaines qui suivent, rien de spécial, mon carnet d’adresses s’allonge concernant les prénoms féminins, c’est incroyable le nombre de femmes d'affaires plus fortes que les hommes dans leur travail devenant de vraies petites filles timides dans mes bras ?

230 clients : première année, mon tableur est satisfait, j’ai pris de l’avance sur mon tableau de marche, si les clients mâles m’emmerdent un peu, j’aime brouter et être brouté par les femmes.
Pour prendre quelques jours de vacances, je rejoins Odile dans son logement à Barcelone, vacances, car je peux dormir dans la chambre et le lit de ma copine à qui j’apprends ce que j’ai appris du plaisir qu’une femme peut apporter à une autre femme.
J’en fais une parfaite gouine.

Dès mon retour, je tapine comme une folle au point qu’à la fin de ma troisième année comme pute, j’ai assez gagné pour couvrir l’année suivante, je devrais relâcher mes passes, mais je suis devenue accro au sexe surtout tarifé et plus mon chiffre augmente à ma banque et plus j’ai envie qu’il augmente.
J’ai refusé plus de cinq prétendants les quittant par un simple S.M.S « Adieu », j’ai reprogrammé mon tableur, car ce n’est plus cinq, mais huit années qu’il faut pour avoir mon D.E.C, diplôme d’expertise comptable.
De 30 000 €, mon besoin passe à 55 000 €, je suis sûr d’y arriver surtout que j’ai un client généreux ayant une maison à Deauville, qui me paye la plus belle chambre de la ville préférant sa pute attitrée que je suis devenue à sa femme à la peau tellement tirée qu’elle a du mal à fermer son anus quand elle cligne des yeux.
Vanne facile, en ce moment, un humoriste parlant de sa propre femme, il est vrai qu’elle ressemble à la femme de mon client.
L’institut de beauté, j’y vais un peu moins, car je me suis fait épiler au laser, à partir de mai chaque fois, je place 1 000 € sur un plan d’épargne-logement.

C’est la fête, j’ai mon diplôme Odile aussi en informatique de gestion, je viens de quitter Paris pour Perpignan ou je viens d’ouvrir mon cabinet d’expertise comptable, cela démarre doucement, Odile s’occupe du site Internet et de toute la partie technique de notre cabinet.
Nous avons mis notre argent aussi bien dans notre cabinet que dans l’appartement que nous occupons, pourquoi Perpignan et non pas le cabinet parisien où un poste bien plus lucratif m’attendait.
Deux raisons, j’aime Odile plus que tout au monde, nous avons des rapports fusionnels, chaque nuit, les murs vibrent des orgasmes que nos bouches nous apportent.
Après, le nombre de bites ou de chattes qui m’ont payé au fil des années, resté à Paris risquait de m’apporter des déboires dans mon travail, si l’une d’elles reconnaissait la pute qu’elle avait payée pour la baiser.

1er client : ce soir, je pars pour l’Espagne, nous sommes samedi et j’ai rendez-vous grâce à Odile avec un homme qui va me donner 2 000 € pour notre nuit de petite pute, nous avons créé un site d’escorte où nous sommes les têtes d’affiche surtout que le floutage artistique mis sur nos visages par Odile nous laisse un certain anonymat.
Je pensais tapiner pendant cinq ans pour payer mes études, tant que nous sommes belles et jeunes pourquoi laisser à d’autres, le fric que nos culs peuvent encore nous rapporter, la vie est si courte et je suis une pro tellement folle du cul.
J’ai reprogrammé mon tableur.