COLLECTION ESCORTE. Rattrapée par mon passé (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. Rattrapée par mon passé (3/3)
Après plusieurs années où j’ai suivi Madame qui me fournissait des clients aux quatre coins du monde, mon diplôme d’avocate fiscaliste que je souhaitais acquérir en poche, malgré mes nombreux déplacements, travaillant dans les trains ou les avions, je suis même sortie deuxième de ma promotion.
Les chasseurs de têtes sont légèrement retissant quand ils voient mes origines, mais j’ai du temps, car en ce moment j’épouse le fils d’un grand patron d’un cabinet de courtage en bourse.
Quand je danse avec mon beau-père, homme d’une quarantaine d'années, la phrase qu’il prononce me disant que nous allons faire de grandes choses ensemble concernait son cabinet et qu’en plus du fils, j’allais trouver un job bien rémunéré, je suis aux anges.
Nuit de noce classique, je dépucelle mon mari sans lui faire voir que j’ai de l’expérience.
• Je croyais que les filles saignaient lorsque le garçon venait en elle la première fois.
• Christophe est-ce que l’on t’a dit qu’une fille ayant fait du sport pouvait déchirer son hymen sans le vouloir.
• Je ne le savais pas, si tu le dis, je te crois.
• Tu peux me croire, j’avais environ 16 ans, cette année-là je faisais de la gymnastique, principalement de la poutre, connais-tu cet agrès ?
• Bien sûr, même si le sport et moi cela fait deux, j’avais assez de mal avec mes études, je voulais être à la hauteur de mon père qui réussit tout avec une telle facilitée.
• Ta petite femme a ce même don, j’apprends facilement et surtout les langues, en ce moment après le russe assez ardu, je me mets au Mandarin.
Pour la poutre donc, j’ai perdu l’équilibre, j’ai voulu me rattraper et je suis tombée à califourchon, j’ai eu une douleur atroce, la monitrice est venue m’aider, nous sommes allées sous la douche, j’avais l’entrejambe en sang.
Les pompiers sont intervenus, à l’hôpital ils ont diagnostiqué la perte de ma virginité, je vais rechercher, j’ai une feuille du médecin quelque part le certifiant.
• Inutile ma chérie, je te crois, qui pourrait inventer une telle histoire, notre couple doit démarrer sur des bases de confiance, je dois te dire que pour moi cette nuit, c’était la première fois et ça a été merveilleux.
• Moi aussi mon chéri, je te crois, nous sommes des adultes maintenant.
Qu’il est facile de mentir à un homme qui vient de mettre son sperme dans votre vagin, c’est vrai, j’ai dit que je ne mentais pas, disons que je travestis la réalité.
Nous partons en voyage de noces aux Antilles, j’ai l’occasion de le tromper avec un serveur noir de l’hôtel alors qu’il s’est laissé convaincre de faire une sortie en mer pour faire de la plongée sous-marine et qu’une migraine me clouait dans la chambre.
Le monde du silence, très peu pour moi, j’ai commandé mon petit déjeuner, il faisait très chaud, j’ai nettement compris que si je le voulais, en bon serveur, il était prêt à se mettre à mon service.
Nue, je me suis levée, je suis allée dans mon sac à main prendre un billet de cinq euros et j’ai refermé la porte derrière lui.
J’ai des circonstances atténuantes, si j’ai craqué, c’est lié à la petite bite de Christophe qui ne m’a jamais satisfaite tout au long de notre séjour, demain nous rentrons en métropole.
Il y a deux jours que nous sommes de retour quand mon portable m’avertit qu’un message est arrivé.
« Je sais qui vous êtes, je sais la vie que vous avez menée avant d’épouser ce petit con venez à un rendez-vous au 43 rue des oiseaux 9ème étage à 14 heures demain mardi, Digicode U2B3, vous avez intérêt à venir ».
Je ne dors pas de la nuit, la matinée est interminable, il semblerait que quelqu’un connaisse mon passé et va certainement me faire chanter, vu la fortune de mon beau-père.
Il sera peut-être possible que je monnaye ma liberté en donnant tout l’argent que j’ai en banque, argent gagné avec mes fesses grâce à Madame.
Mince, Madame, serait-elle revancharde que je l’ai quittée, dans les derniers mois, j’étais très demandée, j’ai même eu du mal à passer mes examens et à aller rencontrer ses clients, mais j’y suis arrivée.
Un moment, je pense ne pas aller au rendez-vous, mais la peur n’empêche pas le danger, je m’y rends.
Le matin Christophe m’annonce que son père souhaite qu’il se rende à leur succursale de Madrid, il reviendra demain en fin de matinée et ce toutes les semaines, je n’y vois aucune malice.
Le taxi me dépose au pied d’un immeuble à deux pas de la tour Eiffel, je suis sûr qu’on la voit du 9ème étage, immeuble moderne dans ce quartier chic de Paris, je prends l’acenseur après avoir franchi la porte en tapant U2B3.
Au 9ème, une seule porte entrouverte.
Je sonne.
• Entre et fermes derrière toi, Jennifer à moins que je doive t’appeler Magalie ?
Certaines diraient « Ciel mon mari », je pense « Ciel mon beau-père. »Il est debout appuyé de façon décontractée au chambranle de la fenêtre qui doit donner sur une terrasse.
• Alors petite pute, on croyait berner papa Louis.
Papa Louis, depuis que j’ai été présentée à mon beau-père, j’ai eu du mal à l’appeler papa, mais Louis encore moins.
• Ne crains rien, avance, j’ai baisé beaucoup de filles, mais je l’ai toujours fait avec leur consentement.
• Vous saviez ce que je faisais avant que j’épouse votre fils et vous avez laissé faire notre mariage ?
• Je l’ai su quand le détective que j’ai payé m'a fourni la preuve que mon fils allait épouser une trainée qui en voulait à mon pognon.
• Allez-vous vouloir que je divorce ?
• Pourquoi, mais je t’ai dit que les filles c'était avec leur consentement que je les baisais, j’ai toujours rêvé d’avoir une pute à disposition, viens me sucer.
• Mais je suis maintenant la femme de votre fils.
• C’est ce que tu crois, un jour un copain bien intentionné m’a prévenu que ma femme me trompait avec un ami, elle venait de m’annoncer qu’elle était enceinte.
Ses parents lui avaient laissé un petit pécule suffisant pour que je développe le cabinet que tu connais aujourd’hui avec la fortune qui s'y rattache.
À la naissance de Christophe, par l’intermédiaire d’un ami, j’ai réussi à faire des tests A.D.N., j’ai eu confirmation que j’allais élever le fils d’un autre.
Il a sorti sa queue, je m’avance, m’agenouille et je commence à titiller le bout de son gland.
• Je vois que vous n’êtes pas le père de mon mari quand je vois la belle bite que vous me présentez.
• Tu l’as remarqué, tu es ici chez toi, j’ai acheté et meublé cette garçonnière il y a des années, je savais que ce placement me servirait un jour, nous nous y retrouverons tous les mardis.
En plus, je t’embauche comme avocate fiscaliste, attention, pas d’imper dans mon cabinet.
Je libère sa queue une seconde.
• C’est bien Louis, tu viens de t’acheter une petite chienne.
Mon calcul est rapide, si je trouve un boulot à temps plein, Louis dira à son fils, du moins celui qui croit l’être, que je me suis fait défoncer tout au long de mes études, alors que si j’accepte ses conditions, je deviendrais une femme entretenue, pute c’est vrai, mais avec un seul client.
Quand il me couche sur son canapé, je pense à Madame.
Savait-elle qui est vraiment mon beau-père lorsqu’elle me mettait en garde contre lui ?
Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’elle m’avait dit que je pouvais prendre mon pied avec mes clients, ce que j’ai fait quelquefois, là, sa queue en moi est si bien manœuvrée que j’explose littéralement.
Il y a un an que je suis la maîtresse de mon beau-père, avec lui j’ai accepté la sodomie ce que j’avais refusé aux clients de Madame.
Un jour j'ai trouvé un homme dans notre appartement, j’ai été obligée de m’occuper de leurs deux bites, ils m’ont prise en double pénétration.
Aucun problème, je suis ouverte à tous sauf à mon mari avec qui je ne baise plus, il faut dire qu’il n’est pas demandeur.
• Jennifer, j’aimerais avoir un enfant avec toi.
• À une seule condition, tu divorces, je divorce et tu m’épouses.
Six mois plus tard c’est fait, neuf mois plus tard, je mets Louis junior au monde, il est enchanté d’avoir un garçon qui porte son nom et qui ait les mêmes gènes que lui.
Notre fils à cinq ans, je suis de plus en plus présente dans son travail, nous faisons l’amour comme des bêtes, il aime me prendre à tout moment.
À ce petit jeu, un jour que j’étais absente, le SAMU est appelé en urgence au cabinet.
C’est le jour de ses obsèques que je revois Madame, nous renouons des relations, mais de femme épanouie à femme épanouie, nos lieux de rencontre sont les salons de thé.
Son ex est convoqué avec son fils chez le notaire avec moi, elle s’entend dire preuve A.D.N. à l’appui, que son fils n’a aucun droit sur la succession, seul mon fils né de notre union est son héritier.
Elle fait appel à la justice qui la déboute car il n’y a rien de commun entre eux.
Je passe pour la méchante, mais j’ai bien mené ma barque, en retrouvant Madame, j’ai retrouvé Julien.
Nous reprenons nos rapports, mais il sait que c’est purement physique, j’aime qu’il me baise, mais c’est moi qui reste maître de ma vie, la seule chose qu’il a droit en plus de mon corps, c’est d’une voiture de sport que je lui offre.
J’ignore ce que l’avenir va me réserver. En appel, l’ex perd encore, j’ai payé des avocats pour que le jugement soit en la faveur de la petite beurette.
Je suis mordante, à la limite de faire la pute avec elle, comme l’on dit même si dans un temps, j’ai été rattrapée par mon passé, pute un jour, pute toujours.
Les chasseurs de têtes sont légèrement retissant quand ils voient mes origines, mais j’ai du temps, car en ce moment j’épouse le fils d’un grand patron d’un cabinet de courtage en bourse.
Quand je danse avec mon beau-père, homme d’une quarantaine d'années, la phrase qu’il prononce me disant que nous allons faire de grandes choses ensemble concernait son cabinet et qu’en plus du fils, j’allais trouver un job bien rémunéré, je suis aux anges.
Nuit de noce classique, je dépucelle mon mari sans lui faire voir que j’ai de l’expérience.
• Je croyais que les filles saignaient lorsque le garçon venait en elle la première fois.
• Christophe est-ce que l’on t’a dit qu’une fille ayant fait du sport pouvait déchirer son hymen sans le vouloir.
• Je ne le savais pas, si tu le dis, je te crois.
• Tu peux me croire, j’avais environ 16 ans, cette année-là je faisais de la gymnastique, principalement de la poutre, connais-tu cet agrès ?
• Bien sûr, même si le sport et moi cela fait deux, j’avais assez de mal avec mes études, je voulais être à la hauteur de mon père qui réussit tout avec une telle facilitée.
• Ta petite femme a ce même don, j’apprends facilement et surtout les langues, en ce moment après le russe assez ardu, je me mets au Mandarin.
Pour la poutre donc, j’ai perdu l’équilibre, j’ai voulu me rattraper et je suis tombée à califourchon, j’ai eu une douleur atroce, la monitrice est venue m’aider, nous sommes allées sous la douche, j’avais l’entrejambe en sang.
Les pompiers sont intervenus, à l’hôpital ils ont diagnostiqué la perte de ma virginité, je vais rechercher, j’ai une feuille du médecin quelque part le certifiant.
• Inutile ma chérie, je te crois, qui pourrait inventer une telle histoire, notre couple doit démarrer sur des bases de confiance, je dois te dire que pour moi cette nuit, c’était la première fois et ça a été merveilleux.
• Moi aussi mon chéri, je te crois, nous sommes des adultes maintenant.
Qu’il est facile de mentir à un homme qui vient de mettre son sperme dans votre vagin, c’est vrai, j’ai dit que je ne mentais pas, disons que je travestis la réalité.
Nous partons en voyage de noces aux Antilles, j’ai l’occasion de le tromper avec un serveur noir de l’hôtel alors qu’il s’est laissé convaincre de faire une sortie en mer pour faire de la plongée sous-marine et qu’une migraine me clouait dans la chambre.
Le monde du silence, très peu pour moi, j’ai commandé mon petit déjeuner, il faisait très chaud, j’ai nettement compris que si je le voulais, en bon serveur, il était prêt à se mettre à mon service.
Nue, je me suis levée, je suis allée dans mon sac à main prendre un billet de cinq euros et j’ai refermé la porte derrière lui.
J’ai des circonstances atténuantes, si j’ai craqué, c’est lié à la petite bite de Christophe qui ne m’a jamais satisfaite tout au long de notre séjour, demain nous rentrons en métropole.
Il y a deux jours que nous sommes de retour quand mon portable m’avertit qu’un message est arrivé.
« Je sais qui vous êtes, je sais la vie que vous avez menée avant d’épouser ce petit con venez à un rendez-vous au 43 rue des oiseaux 9ème étage à 14 heures demain mardi, Digicode U2B3, vous avez intérêt à venir ».
Je ne dors pas de la nuit, la matinée est interminable, il semblerait que quelqu’un connaisse mon passé et va certainement me faire chanter, vu la fortune de mon beau-père.
Il sera peut-être possible que je monnaye ma liberté en donnant tout l’argent que j’ai en banque, argent gagné avec mes fesses grâce à Madame.
Mince, Madame, serait-elle revancharde que je l’ai quittée, dans les derniers mois, j’étais très demandée, j’ai même eu du mal à passer mes examens et à aller rencontrer ses clients, mais j’y suis arrivée.
Un moment, je pense ne pas aller au rendez-vous, mais la peur n’empêche pas le danger, je m’y rends.
Le matin Christophe m’annonce que son père souhaite qu’il se rende à leur succursale de Madrid, il reviendra demain en fin de matinée et ce toutes les semaines, je n’y vois aucune malice.
Le taxi me dépose au pied d’un immeuble à deux pas de la tour Eiffel, je suis sûr qu’on la voit du 9ème étage, immeuble moderne dans ce quartier chic de Paris, je prends l’acenseur après avoir franchi la porte en tapant U2B3.
Au 9ème, une seule porte entrouverte.
Je sonne.
• Entre et fermes derrière toi, Jennifer à moins que je doive t’appeler Magalie ?
Certaines diraient « Ciel mon mari », je pense « Ciel mon beau-père. »Il est debout appuyé de façon décontractée au chambranle de la fenêtre qui doit donner sur une terrasse.
• Alors petite pute, on croyait berner papa Louis.
Papa Louis, depuis que j’ai été présentée à mon beau-père, j’ai eu du mal à l’appeler papa, mais Louis encore moins.
• Ne crains rien, avance, j’ai baisé beaucoup de filles, mais je l’ai toujours fait avec leur consentement.
• Vous saviez ce que je faisais avant que j’épouse votre fils et vous avez laissé faire notre mariage ?
• Je l’ai su quand le détective que j’ai payé m'a fourni la preuve que mon fils allait épouser une trainée qui en voulait à mon pognon.
• Allez-vous vouloir que je divorce ?
• Pourquoi, mais je t’ai dit que les filles c'était avec leur consentement que je les baisais, j’ai toujours rêvé d’avoir une pute à disposition, viens me sucer.
• Mais je suis maintenant la femme de votre fils.
• C’est ce que tu crois, un jour un copain bien intentionné m’a prévenu que ma femme me trompait avec un ami, elle venait de m’annoncer qu’elle était enceinte.
Ses parents lui avaient laissé un petit pécule suffisant pour que je développe le cabinet que tu connais aujourd’hui avec la fortune qui s'y rattache.
À la naissance de Christophe, par l’intermédiaire d’un ami, j’ai réussi à faire des tests A.D.N., j’ai eu confirmation que j’allais élever le fils d’un autre.
Il a sorti sa queue, je m’avance, m’agenouille et je commence à titiller le bout de son gland.
• Je vois que vous n’êtes pas le père de mon mari quand je vois la belle bite que vous me présentez.
• Tu l’as remarqué, tu es ici chez toi, j’ai acheté et meublé cette garçonnière il y a des années, je savais que ce placement me servirait un jour, nous nous y retrouverons tous les mardis.
En plus, je t’embauche comme avocate fiscaliste, attention, pas d’imper dans mon cabinet.
Je libère sa queue une seconde.
• C’est bien Louis, tu viens de t’acheter une petite chienne.
Mon calcul est rapide, si je trouve un boulot à temps plein, Louis dira à son fils, du moins celui qui croit l’être, que je me suis fait défoncer tout au long de mes études, alors que si j’accepte ses conditions, je deviendrais une femme entretenue, pute c’est vrai, mais avec un seul client.
Quand il me couche sur son canapé, je pense à Madame.
Savait-elle qui est vraiment mon beau-père lorsqu’elle me mettait en garde contre lui ?
Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’elle m’avait dit que je pouvais prendre mon pied avec mes clients, ce que j’ai fait quelquefois, là, sa queue en moi est si bien manœuvrée que j’explose littéralement.
Il y a un an que je suis la maîtresse de mon beau-père, avec lui j’ai accepté la sodomie ce que j’avais refusé aux clients de Madame.
Un jour j'ai trouvé un homme dans notre appartement, j’ai été obligée de m’occuper de leurs deux bites, ils m’ont prise en double pénétration.
Aucun problème, je suis ouverte à tous sauf à mon mari avec qui je ne baise plus, il faut dire qu’il n’est pas demandeur.
• Jennifer, j’aimerais avoir un enfant avec toi.
• À une seule condition, tu divorces, je divorce et tu m’épouses.
Six mois plus tard c’est fait, neuf mois plus tard, je mets Louis junior au monde, il est enchanté d’avoir un garçon qui porte son nom et qui ait les mêmes gènes que lui.
Notre fils à cinq ans, je suis de plus en plus présente dans son travail, nous faisons l’amour comme des bêtes, il aime me prendre à tout moment.
À ce petit jeu, un jour que j’étais absente, le SAMU est appelé en urgence au cabinet.
C’est le jour de ses obsèques que je revois Madame, nous renouons des relations, mais de femme épanouie à femme épanouie, nos lieux de rencontre sont les salons de thé.
Son ex est convoqué avec son fils chez le notaire avec moi, elle s’entend dire preuve A.D.N. à l’appui, que son fils n’a aucun droit sur la succession, seul mon fils né de notre union est son héritier.
Elle fait appel à la justice qui la déboute car il n’y a rien de commun entre eux.
Je passe pour la méchante, mais j’ai bien mené ma barque, en retrouvant Madame, j’ai retrouvé Julien.
Nous reprenons nos rapports, mais il sait que c’est purement physique, j’aime qu’il me baise, mais c’est moi qui reste maître de ma vie, la seule chose qu’il a droit en plus de mon corps, c’est d’une voiture de sport que je lui offre.
J’ignore ce que l’avenir va me réserver. En appel, l’ex perd encore, j’ai payé des avocats pour que le jugement soit en la faveur de la petite beurette.
Je suis mordante, à la limite de faire la pute avec elle, comme l’on dit même si dans un temps, j’ai été rattrapée par mon passé, pute un jour, pute toujours.
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