COLLECTION ESCORTE. Rencontre inattendue (2/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Rencontre inattendue (2/6)
Lentement, je sens mon sexe s’ouvrir, les sensations sont différentes de celle ressenti avec ma main, passage délicat, une légère douleur et la verge de substitution entre en moi jusqu’aux couilles.
Je suis l’avancée de mon dépucelage, mes yeux comme Ange m’ayant placé me permettant de voir le gode entrer centimètres par centimètres.
Jouissance, orgasme, comme j’ignorais levrette que je viens de découvrir.
Ces mots connus de moi simplement en les ayant entendus deviennent bien présents quand ils montent dans mon corps.
J’ai dû hurler avant de tomber dans le néant.
• J’ai attendu plusieurs bites avant de jouir la première fois.
Quand tu seras revenu sur le plancher des vaches, tu mettras le harnais, je vais placer le gros gode et tu vas me faire jouir à mon tour.
J’ai envie de lui dire « attends, je plane, j’ai un peu mal à la chatte, mais c'est divin ».
Incroyable, moi la vierge venue de mes Alpes natale vers Paris, je rencontre fortuitement à la terrasse d’un café la belle Ange femme de trente ans.
Elle est avocate et habite Boulevard Saint-Germain dans un vieil appartement, mais entièrement meublé de meubles modernes et blancs.
Elle m’invite à sa table au bas du Quartier Latin, deux malotrus m’ayant piqué celle que je convoitais.
Je lui fais, la confidence de ma virginité, ayant été élevée par mon père dans l’attente du prince charmant.
Cette femme me fascine et j’accepte de venir chez elle dès le lendemain.
C’est là qu’elle vient de sortir un gode ceinture, elle y place un des trois modèles, petite taille en rapport de celui qu’elle place avant de me fixer les sangles autour de ma taille.
Elle est folle, je vais la défoncer tellement le sexe en silicone est gros, elle se place comme je l’ai fait en levrette.
J’entre plus facilement que prévu au fond de son vagin et comme je l’ai fait il y a quelques minutes, elle jouit expulsant du liquide sur mon bas-ventre.
• Place moi le dans le cul, j’aime me faire enculer, sois sans peur, il est gros, mais j’ai l’habitude d’avoir des amants de gros calibres.
Beaucoup de mots m’échappent, mais je me place et je pousse, ça a du mal au début et dès que le gland est passé, le reste pénètre jusqu’aux couilles.
• Va ma cochonne bourre-moi, c’est gros, mais c’est bon, dommage qu’il soit si gros, j’aurais bien aimé comme pour ton hymen être la première dans ta rondelle.
Elle jouit même par l’anus, elle me parle de cochonne, c’est celle qui le dit qui y est, comme l’on disait quand j’étais petite.
Nous nous écroulons dans les bras l’une de l’autre.
Il fait nuit quand je sens que l’on me caresse le vagin, quelques secondes et je reprends pied, ma chatte me tire un peu, mais je sens que j’ai encore le gode autour de la taille.
• Enlève-moi ça, maintenant que nous l’avons fait, je te trouve ridicule avec ça autour de ton bas-ventre, je vais t’apprendre à satisfaire une fille.
C’est naturellement que j’apprends la position du 69 quand elle m’attire sur elle et me suce la chatte et surtout mon clitoris, pendant que j’en fais de même pour elle.
Je sens qu’elle me met les doigts dans la chatte.
Je l’imite, étant là pour apprendre, même si faire l’amour avec une femme était loin d’être dans mes fantasmes.
Nous jouissons encore, mon corps ayant des décharges successives.
Elle se met sur le dos et écarte ses cuisses.
• Fais entrer tes cinq doigts en moi, tu verras, tu vas entrer ta main jusqu’à ton poignet, j’adore être fisté.
Je le fais, c’est un peu dur au début.
Mais la chatte de ma maîtresse dans tous les termes du mot entre intégralement.
Mon vocabulaire s’enrichit d’un nouveau verbe, fister, à ce rythme Ange m’aura plus apporté en quelques heures que tout au long de ma jeune existence.
• Ange, bientôt, me fisteras-tu ?
• Digère déjà tout ce que nous avons fait, tu es une bonne élève.
Je suis enchanté de t’avoir proposé de t’installer à ma table et c'est un début.
• Dis-moi Ange, ce que tu souhaites, j’ai tellement appris de bonne chose avec toi en si peu de temps que je te serais toujours prête à te suivre.
• Attention Gladys, quelques fois, les anges peuvent devenir des démonts !
• Je suis prête à aller en enfer pour toi.
• Pourquoi aller jusque-là, je prends ces mots comme une promesse, je pense te les rappeler bien vite ?
Donne-moi ton numéro de portable voici le mien !
Au matin, je retourne chez moi, Ange ayant un rendez-vous en Jamaïque, son patron s’occupant d’une affaire de succession dans ce pays avec des ressortissants du nôtre.
C’est ce qu’elle m’explique en prenant une valise qui semble déjà prête.
Rapidement, je me sens seule, mais tous les jours, elle me téléphone malgré la distance.
Elle me fait envie même si le temps ici est très beau, quand elle me décrit sa chambre et surtout la vue qu’elle a devant elle, j’en serais presque jalouse.
• Je t’ai envoyé quelques photos, regarde dans tes MMS.
• Elles doivent prendre leur temps, j’ai hâte de les recevoir.
Quelques heures plus tard de retour d’une conférence sur le métier de juge, j’ouvre mon ordi, les photos sont là.
J’espère entrer dans un cabinet aussi bien que le sien.
Je suis un peu jalouse, mais de quel droit je le serais.
Nous avons évité de nous faire des promesses de fidélité.
Surtout que ce beau mec aurait pu me convenir maintenant que j’ai perdu ma virginité grâce à elle.
Surtout que la dernière photo me remet la tête en place, elle a photographié sa bouche bien rouge en cul-de-poule avec cette dédicace « gros poutous à samedi. »
C’est avec bonheur que je reçois son coup de fil le vendredi.
• Gladys, peux-tu me dire ce que tu fais demain soir !
• Je suis libre, j’espérais que nous passerions la soirée ensemble.
J’ai hâte d’être dans tes bras, j’ai travaillé comme une dingue pendant ton absence, j’ai vachement avancé mon travail.
• C’est bien petit cœur, à 20 heures chez moi, je serais accompagnée, un vieux copain est de passage et souhaitait me voir.
Je lui ai parlé de toi, il adorera te connaître.
Rappelle-toi ta promesse de me suivre en tout point.
C'est par ces mots sibyllins qu’elle coupe.
Je l’aurais bien interrogé plus longuement, mais chaque fois que j’essaye, j’ai sa messagerie d’absence.
• Entre Ange, j’adore ta tenue, tu fais petite fille modèle.
Mon ami qui est dans la salle va être content de te voir, reste toi-même, comme tu l’étais, quand nous nous sommes rencontrés, Chris va adorer.
Chris, Gladys, Gladys, Chris, j’espère que vous serez les meilleurs amis au monde, comme nous le sommes mon cœur.
En prononçant ces mots, me tenant par les épaules, elle m’embrasse au coin des lèvres, je dois reconnaître que pour la première fois, je mouille ma petite culotte.
• Ange m’avait dit beaucoup de bien de vous et de votre beauté, elle était au-dessous de la réaliter, vous êtes divine.
• Merci monsieur, vous aussi êtes bien de votre personne, vous avez à peu près l’âge de mon papa.
• Chris, Gladys vient de te casser, ouh le vieux.
• Non, c’était un compliment, j’adore mon papa et je le trouve fort élégant dommage que la mort de maman dans la cordillère des Andes ait un peu cassé sa joie de vivre.
Sans le savoir, cette entrée en matière dégèle l’atmosphère.
Le dimanche que j’ai passé avec ma maîtresse m’avait fait voir qu’elle était loin d’être une bonne cuisinière.
Le repas est succulant, grâce à un traiteur de son boulevard.
Avec les déplacements pour son travail, elle doit gagner très bien sa vie, il est vrai.
• Bois un peu de champagne Gladys, ça te fera le plus grand bien.
Le repas terminé, je suis un peu pompette, mais je vois assez clair attendant comment la soirée va évoluer, le café bu, c’est Ange qui prend l’initiative.
• Chris, installe-toi dans ce fauteuil et regarde, tu as dit que notre amie était belle, je vais te faire voir la totalité de son anatomie, rince-toi l’œil.
La tournure que la situation prend aurait de quoi m’inquiété, mais une nouvelle coupe de champagne et surtout la foi que j’ai en mon amie me rassure.
• Gladys, déshabille-toi !
• Mais Ange !
• Souviens-toi de ta promesse, « tous ce que je te dirais de faire ! »
• Oui, Ange, tu as raison.
Je me déshabille pour la première fois devant un homme, même les docteurs que j’ai vus tout au long de ma jeunesse étaient des femmes y compris ma gynécologue à Paris.
• Gladys, je vais continuer ton apprentissage du sexe des hommes, Chris sort ta queue.
Heureusement, que l’alcool du champagne m’aide, Chris me sort un engin entre l’olisbos moyen et le gros, mais plus long.
• Agenouille-toi entre ses jambes et prends-le en bouche, je vais te montrer comment faire une fellation à un homme, je suis sûr que Chris sera enchanté !
Ange me rejoint à mes côtés, elle me prend la main et la place sur la tige à moitié dressée.
• Regarde le miracle des hommes, ta main et ta bouche, chaque fois que tu feras une fellation à un homme, cela te permettra d’admirer quand elle se redresse pour monter haut, très haut.
Allez, branle-le bien, le gland attend ta bouche, soit sans crainte, gais moi confiance.
Voilà, fait descendre lentement tes lèvres le long de sa tige.
Chris apprécies-tu ?
• Vous êtes divines, savoir que Gladys fait cela pour la première fois à un homme, c’est grandiose, vous me faite un cadeau inestimable mesdames.
• C’est le début, mon amie est vierge de la bite d’un homme, Gladys, veux-tu ce sexe en toi.
• Elle est vierge, c’est certain !
C’est cela le cadeau que tu disais vouloir me faire quand je suis arrivé chez toi ?
• Non, le cadeau il a commencé avec la fellation qu’elle te fait.
Son pucelage, je lui ai enlevé avec mon gode ceinture l’autre après-midi avant mon voyage en Jamaïque, toi tu seras la première vraie verge qui entrera en elle.
Es-tu d’accord Gladys, je te rappelle... ?
• Je t’ai promis de faire intégralement ce que tu voudras que je fasse.
Je suis satisfaite jusqu’à ce moment.
Chris, vous bandez assez pour me prendre, faite de moi votre objet.
Je devais devenir folle, je parlais comme une salope, mieux une pute, mais que c’était bon de me sentir utile envers cet homme et surtout sentant que je faisais plaisir à mon amie.
Un seul point négatif, son âge, un instant j’ai l’impression de me donner à mon père.
• Relève-toi, enjambe ce sceptre et empale-toi, tu verras, cela va être divin.
Je le fais ignorant dans quel monde, je viens d’entrer...
Je suis l’avancée de mon dépucelage, mes yeux comme Ange m’ayant placé me permettant de voir le gode entrer centimètres par centimètres.
Jouissance, orgasme, comme j’ignorais levrette que je viens de découvrir.
Ces mots connus de moi simplement en les ayant entendus deviennent bien présents quand ils montent dans mon corps.
J’ai dû hurler avant de tomber dans le néant.
• J’ai attendu plusieurs bites avant de jouir la première fois.
Quand tu seras revenu sur le plancher des vaches, tu mettras le harnais, je vais placer le gros gode et tu vas me faire jouir à mon tour.
J’ai envie de lui dire « attends, je plane, j’ai un peu mal à la chatte, mais c'est divin ».
Incroyable, moi la vierge venue de mes Alpes natale vers Paris, je rencontre fortuitement à la terrasse d’un café la belle Ange femme de trente ans.
Elle est avocate et habite Boulevard Saint-Germain dans un vieil appartement, mais entièrement meublé de meubles modernes et blancs.
Elle m’invite à sa table au bas du Quartier Latin, deux malotrus m’ayant piqué celle que je convoitais.
Je lui fais, la confidence de ma virginité, ayant été élevée par mon père dans l’attente du prince charmant.
Cette femme me fascine et j’accepte de venir chez elle dès le lendemain.
C’est là qu’elle vient de sortir un gode ceinture, elle y place un des trois modèles, petite taille en rapport de celui qu’elle place avant de me fixer les sangles autour de ma taille.
Elle est folle, je vais la défoncer tellement le sexe en silicone est gros, elle se place comme je l’ai fait en levrette.
J’entre plus facilement que prévu au fond de son vagin et comme je l’ai fait il y a quelques minutes, elle jouit expulsant du liquide sur mon bas-ventre.
• Place moi le dans le cul, j’aime me faire enculer, sois sans peur, il est gros, mais j’ai l’habitude d’avoir des amants de gros calibres.
Beaucoup de mots m’échappent, mais je me place et je pousse, ça a du mal au début et dès que le gland est passé, le reste pénètre jusqu’aux couilles.
• Va ma cochonne bourre-moi, c’est gros, mais c’est bon, dommage qu’il soit si gros, j’aurais bien aimé comme pour ton hymen être la première dans ta rondelle.
Elle jouit même par l’anus, elle me parle de cochonne, c’est celle qui le dit qui y est, comme l’on disait quand j’étais petite.
Nous nous écroulons dans les bras l’une de l’autre.
Il fait nuit quand je sens que l’on me caresse le vagin, quelques secondes et je reprends pied, ma chatte me tire un peu, mais je sens que j’ai encore le gode autour de la taille.
• Enlève-moi ça, maintenant que nous l’avons fait, je te trouve ridicule avec ça autour de ton bas-ventre, je vais t’apprendre à satisfaire une fille.
C’est naturellement que j’apprends la position du 69 quand elle m’attire sur elle et me suce la chatte et surtout mon clitoris, pendant que j’en fais de même pour elle.
Je sens qu’elle me met les doigts dans la chatte.
Je l’imite, étant là pour apprendre, même si faire l’amour avec une femme était loin d’être dans mes fantasmes.
Nous jouissons encore, mon corps ayant des décharges successives.
Elle se met sur le dos et écarte ses cuisses.
• Fais entrer tes cinq doigts en moi, tu verras, tu vas entrer ta main jusqu’à ton poignet, j’adore être fisté.
Je le fais, c’est un peu dur au début.
Mais la chatte de ma maîtresse dans tous les termes du mot entre intégralement.
Mon vocabulaire s’enrichit d’un nouveau verbe, fister, à ce rythme Ange m’aura plus apporté en quelques heures que tout au long de ma jeune existence.
• Ange, bientôt, me fisteras-tu ?
• Digère déjà tout ce que nous avons fait, tu es une bonne élève.
Je suis enchanté de t’avoir proposé de t’installer à ma table et c'est un début.
• Dis-moi Ange, ce que tu souhaites, j’ai tellement appris de bonne chose avec toi en si peu de temps que je te serais toujours prête à te suivre.
• Attention Gladys, quelques fois, les anges peuvent devenir des démonts !
• Je suis prête à aller en enfer pour toi.
• Pourquoi aller jusque-là, je prends ces mots comme une promesse, je pense te les rappeler bien vite ?
Donne-moi ton numéro de portable voici le mien !
Au matin, je retourne chez moi, Ange ayant un rendez-vous en Jamaïque, son patron s’occupant d’une affaire de succession dans ce pays avec des ressortissants du nôtre.
C’est ce qu’elle m’explique en prenant une valise qui semble déjà prête.
Rapidement, je me sens seule, mais tous les jours, elle me téléphone malgré la distance.
Elle me fait envie même si le temps ici est très beau, quand elle me décrit sa chambre et surtout la vue qu’elle a devant elle, j’en serais presque jalouse.
• Je t’ai envoyé quelques photos, regarde dans tes MMS.
• Elles doivent prendre leur temps, j’ai hâte de les recevoir.
Quelques heures plus tard de retour d’une conférence sur le métier de juge, j’ouvre mon ordi, les photos sont là.
J’espère entrer dans un cabinet aussi bien que le sien.
Je suis un peu jalouse, mais de quel droit je le serais.
Nous avons évité de nous faire des promesses de fidélité.
Surtout que ce beau mec aurait pu me convenir maintenant que j’ai perdu ma virginité grâce à elle.
Surtout que la dernière photo me remet la tête en place, elle a photographié sa bouche bien rouge en cul-de-poule avec cette dédicace « gros poutous à samedi. »
C’est avec bonheur que je reçois son coup de fil le vendredi.
• Gladys, peux-tu me dire ce que tu fais demain soir !
• Je suis libre, j’espérais que nous passerions la soirée ensemble.
J’ai hâte d’être dans tes bras, j’ai travaillé comme une dingue pendant ton absence, j’ai vachement avancé mon travail.
• C’est bien petit cœur, à 20 heures chez moi, je serais accompagnée, un vieux copain est de passage et souhaitait me voir.
Je lui ai parlé de toi, il adorera te connaître.
Rappelle-toi ta promesse de me suivre en tout point.
C'est par ces mots sibyllins qu’elle coupe.
Je l’aurais bien interrogé plus longuement, mais chaque fois que j’essaye, j’ai sa messagerie d’absence.
• Entre Ange, j’adore ta tenue, tu fais petite fille modèle.
Mon ami qui est dans la salle va être content de te voir, reste toi-même, comme tu l’étais, quand nous nous sommes rencontrés, Chris va adorer.
Chris, Gladys, Gladys, Chris, j’espère que vous serez les meilleurs amis au monde, comme nous le sommes mon cœur.
En prononçant ces mots, me tenant par les épaules, elle m’embrasse au coin des lèvres, je dois reconnaître que pour la première fois, je mouille ma petite culotte.
• Ange m’avait dit beaucoup de bien de vous et de votre beauté, elle était au-dessous de la réaliter, vous êtes divine.
• Merci monsieur, vous aussi êtes bien de votre personne, vous avez à peu près l’âge de mon papa.
• Chris, Gladys vient de te casser, ouh le vieux.
• Non, c’était un compliment, j’adore mon papa et je le trouve fort élégant dommage que la mort de maman dans la cordillère des Andes ait un peu cassé sa joie de vivre.
Sans le savoir, cette entrée en matière dégèle l’atmosphère.
Le dimanche que j’ai passé avec ma maîtresse m’avait fait voir qu’elle était loin d’être une bonne cuisinière.
Le repas est succulant, grâce à un traiteur de son boulevard.
Avec les déplacements pour son travail, elle doit gagner très bien sa vie, il est vrai.
• Bois un peu de champagne Gladys, ça te fera le plus grand bien.
Le repas terminé, je suis un peu pompette, mais je vois assez clair attendant comment la soirée va évoluer, le café bu, c’est Ange qui prend l’initiative.
• Chris, installe-toi dans ce fauteuil et regarde, tu as dit que notre amie était belle, je vais te faire voir la totalité de son anatomie, rince-toi l’œil.
La tournure que la situation prend aurait de quoi m’inquiété, mais une nouvelle coupe de champagne et surtout la foi que j’ai en mon amie me rassure.
• Gladys, déshabille-toi !
• Mais Ange !
• Souviens-toi de ta promesse, « tous ce que je te dirais de faire ! »
• Oui, Ange, tu as raison.
Je me déshabille pour la première fois devant un homme, même les docteurs que j’ai vus tout au long de ma jeunesse étaient des femmes y compris ma gynécologue à Paris.
• Gladys, je vais continuer ton apprentissage du sexe des hommes, Chris sort ta queue.
Heureusement, que l’alcool du champagne m’aide, Chris me sort un engin entre l’olisbos moyen et le gros, mais plus long.
• Agenouille-toi entre ses jambes et prends-le en bouche, je vais te montrer comment faire une fellation à un homme, je suis sûr que Chris sera enchanté !
Ange me rejoint à mes côtés, elle me prend la main et la place sur la tige à moitié dressée.
• Regarde le miracle des hommes, ta main et ta bouche, chaque fois que tu feras une fellation à un homme, cela te permettra d’admirer quand elle se redresse pour monter haut, très haut.
Allez, branle-le bien, le gland attend ta bouche, soit sans crainte, gais moi confiance.
Voilà, fait descendre lentement tes lèvres le long de sa tige.
Chris apprécies-tu ?
• Vous êtes divines, savoir que Gladys fait cela pour la première fois à un homme, c’est grandiose, vous me faite un cadeau inestimable mesdames.
• C’est le début, mon amie est vierge de la bite d’un homme, Gladys, veux-tu ce sexe en toi.
• Elle est vierge, c’est certain !
C’est cela le cadeau que tu disais vouloir me faire quand je suis arrivé chez toi ?
• Non, le cadeau il a commencé avec la fellation qu’elle te fait.
Son pucelage, je lui ai enlevé avec mon gode ceinture l’autre après-midi avant mon voyage en Jamaïque, toi tu seras la première vraie verge qui entrera en elle.
Es-tu d’accord Gladys, je te rappelle... ?
• Je t’ai promis de faire intégralement ce que tu voudras que je fasse.
Je suis satisfaite jusqu’à ce moment.
Chris, vous bandez assez pour me prendre, faite de moi votre objet.
Je devais devenir folle, je parlais comme une salope, mieux une pute, mais que c’était bon de me sentir utile envers cet homme et surtout sentant que je faisais plaisir à mon amie.
Un seul point négatif, son âge, un instant j’ai l’impression de me donner à mon père.
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