COLLECTION ESCORTE. Vacances de rêves (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Vacances de rêves (2/3)
Je viens de perdre mon pucelage par la rencontre avec Julia copine de maman qui m’a emmené chez elle près d’Aix en Provence.
Je suis insensible au racisme, mais apprendre que maman essaye de refaire sa vie avec un black, même Guadeloupéen, c’est un peu dur à avaler.
Maman à quarante ans et est en état de procréer, ses sautes d’humeur chaque mois, me le fait comprendre, avoir une petite sœur chocolat, à mon âge, c’est perturbant.
Dès que nous arrivons, Julia se montre à moi, nue, je bande, même si je suis dans l’eau fraîche en rapport de la chaleur étouffante de ce début juillet, c’est en me demandant de venir lui mettre de la lotion solaire à écran totale qu’elle se donne à moi, me permettant enfin de perdre mon pucelage.
J’ai à peine fini de décharger une deuxième fois dans ma capote ultra remplie, que son portable sonne, elle semble avoir un rendez-vous.
• On est bien d’accord Thierry, enclenche l’alarme dès que je suis sortie, après n’ouvre à personnes, voici le code que tu taperas sur ce boîtier près de la porte d’entrée, bonne.
Quand je rentrerais, j’ai la télécommande, ne t’occupe de rien.
Elle va vers le garage, elle ouvre la porte avec sa télécommande, la mini avec laquelle nous sommes venus est là, certainement rangée par l’homme qui nous a reçus, elle s’installe au volant d'une Porsche carrera et démarre jusqu’au portail qui se referme derrière elle.
J’entre dans la maison et mets l’alarme, respectant les consignes que ma maîtresse m’a donnée.
« Maitresse, » pour la première fois, j’emploie ce mot, combien de fois depuis que ma queue se tend, me suis-je masturbé en espérant l’employer, alors qu’aujourd’hui, j’évite de toucher mon organe de peur demain d’être trop fatigué quand elle reviendra.
« Impossible d’enclencher le système d’alarme, fenêtre 3 ouverte.
Impossible d’enclencher le système d’alarme, fenêtre 3 ouverte. »
Le système de sécurité est sophistiqué, j’ai appuyé sur le bon bouton, mais ce message défilant, me montre qu’une fenêtre pose un problème.
La fenêtre 3, qu’elle est-elle, la maison est de plain-pied, je fais le tour par l’intérieur, la porte d’où est sorti Julia est fermée à clef, je refais le tour, tout est clin.
Je suis loin d’avoir peur alors je décide de laisser en l’état.
Elle m’a fait voir son frigo, je m’installe en regardant la télé, une fois tout rangé, l’envie de piscine vue la chaleur m’appelle.
Je suis nu depuis son départ avec sa petite valise à roulette qu’elle a placée derrière le siège de sa voiture qui doit coûter bonbon.
Je fais des longueurs, l’eau est divine, je me tiens à la lisse pour me reposer avant de recommencer, mes yeux se portent vers la maison et je vois qu’une fenêtre donnant sur la terrasse est ouverte, à y regarder, ça doit correspondre à la porte intérieure fermée.
Je sors de l’eau et je m’approche, la nuit est loin de tomber, je pousse la fenêtre, c’est bien sa chambre, je vais chercher une serviette pour essuyer l’eau afin d’éviter de tout mouiller.
J’entre et je fais le tour de la pièce, il n’y a pas de verrou intérieur de la chambre, il faut la clef qu’elle a dû emmener, impossible de fermer la fenêtre sans être bloqué, je vais pour sortir quand l’envie de visiter la chambre me prend.
J’ouvre le tiroir d’une commode, petites culottes et soutiens-gorge le remplissent, je prends un string que je porte à mon nez, l’odeur est celle de la lavande, ses dessous doivent être lavés avec une lessive de cette senteur, j’avais espéré trouver une odeur féminine, dès qu’elle reviendra, il faudra que je lui lèche la chatte pour connaître son goût.
De grands placards coulissants me montrent des tenues aussi bien soft que hard, elle est partie avec une tenue très sexy, mais il y a pire, si la guêpière qui montre les trois quarts des seins de la femme le portant est tendance à me faire bander.
Sur une étagère, deux boîtes de 1 000 capotes, trônes, pourquoi de telle réserve, je sais bien que plus on en achète en nombre et plus le prix est bas.
Je fais glisser une autre porte et un arsenal de choses bizarre est, soit sur l’étagère, soit pendu sur des supports.
Gode ceinture, godes pour clitos, cravaches et autres objets S.M. comme des boules à bouches le remplissent, tout est impeccablement rangé et aligné, des espaces sont libres dans les godes, deux emplacements dans les cravaches et d’étranges fouet à neuf lanières avec des boules de buis.
Je le prends en main et je me fouette l’avant bras, je me fais mal.
Je fais le rapprochement avec la valise que Julia avait avec elle quand elle a pris sa Porsche, un doute m’assaille, que fait réellement la femme qui tout à l’heure m’a dépucelé ?
Une idée me vient, je quitte la chambre et je vais dans la maison, j’ai vu un ordinateur dans le salon, j’essaye de rentrer pour voir son historique, mot de passe, impossible de rentrer dans les pages jaunes.
Un meuble avec un vase me permet de trouver un bottin un peu ancien, « Hôtel de la gare à Aix », je compose le numéro.
• Bonjour madame, mon amie Julia est-elle chez vous, elle a une Porsche carrera grise métalliser ?
• Excusez jeune homme nous sommes dans l’impossibilité de vous donner des renseignements sur nos clients.
Je raccroche, je n’ai pas la preuve, mais je suis sûr que la copine de maman est une pute et qu’en ce moment elle se fait du fric avec un client plein au as.
Je vais me doucher ayant du chlore sur la peau, avant de me coucher sans avoir remis l’alarme.
Combien de temps ais-je dormi, je sais simplement que j’ai pensé à ce que faisait Julia en ce moment, quand je pense que j’ai eu l’idée de lui sucer la chatte pour trouver son goût, j’ai envie de vomir, j’ai perdu mon pucelage avec une pute, mais la fatigue du voyage, plus mon dépucelage, je sombre dans le sommeil.
• Bébé, c’est moi, je suis rentrée, il dort mon gentil bébé.
Je me réveille, elle est dans mon dos et a sa main posée sur ma verge, je bande rapidement, pour une première fois pas à cause d’une envie de pisser comme les matins à mon réveil.
• Bébé, mets-toi sur le dos, j’ai envie de toi.
Je devrais la repousser, elle vient certainement de se faire défoncer pour du pognon, elle sent bon, elle doit sortir de son bain et ses seins que je vois quand je me tourne, pointes fièrement et me donne envie.
La porte de ma chambre est ouverte et le couloir allumé, que fait-elle, elle est folle, elle m’enjambe et avance sa chatte vers ma bouche, elle est plus rapide que mon cerveau et elle se colle à elle.
• Suce, bébé, nettoie-moi !
C’est presque un cri qu’elle me lance, je craque, ce qui me rassure, ce sont les capotes, aucune trace de sperme n’a souillé son vagin et comme son clitoris vient sous ma langue, je m’en délecte, la faisant pénétrer le plus loin possible.
Des petits jets de cyprine sortent de sa chatte, ils m’inondent le visage, mais comme je sens que son plaisir monte, j’insiste jusqu’à ce qu’elle crie comme une louve.
• Prends-moi, Thierry, prends-moi.
• Tu as une capote s’il te plaît.
• Dépêche de me baiser, j’ai fait un test à Paris et ce soir, j’étais protégé, baise-moi sans capote, tu ne crains rien.
Elle se recule, prends ma verge en main et s’empale, ont dit qu’elle est devenue folle, elle hurle de plaisir et se défonce littéralement, par deux fois, je sors d’elle, elle me replace dans sa fente jusqu’à ce qu’ensemble, on jouisse à la fraction de seconde près.
J’ai mes mains sur ses seins, je sens la sueur dégouliner avant qu’elle s’enlève définitivement, mon sperme et ses sécrétions mélangées.
Il fait jour quand j’entends du bruit, Julia vient se lover dans mon bras, elle m’embrasse, je l’embrasse, où en est ma résolution de ne pas baiser une pute, pourtant.
• Reste, c’est Roberta, la femme de Tonio que tu as vue hier, elle vient déposer les plats qu’elle a cuisinés hier au soir et que nous n’aurons plus qu’à manger tout à l’heure, tient elle est repartie.
J’ai placé un torchon sur la table en rentrant, elle sait que je suis rentré tard et qu’il faut qu’elle me laisse dormir, entends la porte d’entrée nous sommes seules, va ouvrir les volets, il faut que nous parlions.
Je me lève, la lumière entre, Julia prend un petit carnet dans un sac à main qu’elle a apporté.
• Thierry, tu as compris comment je gagne ma vie, à Paris et ici, je fais partie d’un réseau d’escortes que les clients contact par Internet, hier, j'ai été appelé sur le portable qui me sert ici et je suis allée rencontrer un client.
Tu as dû entendre que j’allais à l’hôtel de la gare, tu as trouvé le numéro dans le bottin que j’ai sous le téléphone et tu as demandé Julia, quand je suis descendu de la chambre de mon client, la patronne m’attendait avec son veilleur de nuit avant de rentrer chez elle.
Elle s’inquiétait qu’un homme à la voix plutôt jeune appelle, elle sait qui est Julia, mais quand je suis dans ces hôtels et sur le site, j’ai un nom d’escorte Livia, tu ne pouvais pas le savoir.
J’ai eu peur, je suis rentrée, pour la première fois depuis mes vingt ans que je fais ce métier, c’est la première fois que mon destin basculait, j’ai eu peur d’être découverte.
Quand je suis rentrée, j’ai vu que l’alarme n’était pas en service, la fenêtre 3 étant la mienne, je me suis souvenue que je l’avais laissé ouverte pour te regarder quand tu te baignais avant de partir alors que je venais de t’enlever ton pucelage.
J’ai compris que tu étais entré par cette fenêtre et que tu avais découvert ma vie cachée, dans les armoires, en bonne pro du sexe, mes outils de travail sont rangés aux millimètres près, certains avaient bougé.
Tu as même pris mon chat à sept queues de rechange en main, certains clients payent pour me fouetter les fesses et les seins, regardent celui de ce soir s’est servi de celui que j’avais dans ma valise.
• Tu aimes !
• Le plus difficile, ce sont les traces pendant deux ou trois jours, je passe du baume adoucissant, regarde celle qu’il m’a faite ce soir, il a payé le tarif maximum, achetant par là même le droit à me fouetter au sang.
• Où est ton baume, ton fessier est massacré, je vais t’en mettre pour le soulager ?
• Va dans ma chambre, tu connais le chemin, ma porte est ouverte, dans ma table de nuit, il y en a plusieurs, dont un déjà entamé.
J’aime l’allusion à sa porte ouverte, je me rends dans sa chambre, la valise est ouverte, les objets de tortures rangées, je trouve le tube et je reviens sur mon lit, elle est la croupe en l’air, j’approche et je la caresse avec la pommade sur les doigts.
• Au bébé, tes doigts sont doux, j’espère que je ne t'ai pas choqué, j'ai commencé quand j'étais jeune, si j’ai de quoi mener mon train de vie, c’est grâce à tout l’argent que mes clients me donnent.
Ouvre mon sac, l’enveloppe avec l’argent est à l’intérieur…
Je suis insensible au racisme, mais apprendre que maman essaye de refaire sa vie avec un black, même Guadeloupéen, c’est un peu dur à avaler.
Maman à quarante ans et est en état de procréer, ses sautes d’humeur chaque mois, me le fait comprendre, avoir une petite sœur chocolat, à mon âge, c’est perturbant.
Dès que nous arrivons, Julia se montre à moi, nue, je bande, même si je suis dans l’eau fraîche en rapport de la chaleur étouffante de ce début juillet, c’est en me demandant de venir lui mettre de la lotion solaire à écran totale qu’elle se donne à moi, me permettant enfin de perdre mon pucelage.
J’ai à peine fini de décharger une deuxième fois dans ma capote ultra remplie, que son portable sonne, elle semble avoir un rendez-vous.
• On est bien d’accord Thierry, enclenche l’alarme dès que je suis sortie, après n’ouvre à personnes, voici le code que tu taperas sur ce boîtier près de la porte d’entrée, bonne.
Quand je rentrerais, j’ai la télécommande, ne t’occupe de rien.
Elle va vers le garage, elle ouvre la porte avec sa télécommande, la mini avec laquelle nous sommes venus est là, certainement rangée par l’homme qui nous a reçus, elle s’installe au volant d'une Porsche carrera et démarre jusqu’au portail qui se referme derrière elle.
J’entre dans la maison et mets l’alarme, respectant les consignes que ma maîtresse m’a donnée.
« Maitresse, » pour la première fois, j’emploie ce mot, combien de fois depuis que ma queue se tend, me suis-je masturbé en espérant l’employer, alors qu’aujourd’hui, j’évite de toucher mon organe de peur demain d’être trop fatigué quand elle reviendra.
« Impossible d’enclencher le système d’alarme, fenêtre 3 ouverte.
Impossible d’enclencher le système d’alarme, fenêtre 3 ouverte. »
Le système de sécurité est sophistiqué, j’ai appuyé sur le bon bouton, mais ce message défilant, me montre qu’une fenêtre pose un problème.
La fenêtre 3, qu’elle est-elle, la maison est de plain-pied, je fais le tour par l’intérieur, la porte d’où est sorti Julia est fermée à clef, je refais le tour, tout est clin.
Je suis loin d’avoir peur alors je décide de laisser en l’état.
Elle m’a fait voir son frigo, je m’installe en regardant la télé, une fois tout rangé, l’envie de piscine vue la chaleur m’appelle.
Je suis nu depuis son départ avec sa petite valise à roulette qu’elle a placée derrière le siège de sa voiture qui doit coûter bonbon.
Je fais des longueurs, l’eau est divine, je me tiens à la lisse pour me reposer avant de recommencer, mes yeux se portent vers la maison et je vois qu’une fenêtre donnant sur la terrasse est ouverte, à y regarder, ça doit correspondre à la porte intérieure fermée.
Je sors de l’eau et je m’approche, la nuit est loin de tomber, je pousse la fenêtre, c’est bien sa chambre, je vais chercher une serviette pour essuyer l’eau afin d’éviter de tout mouiller.
J’entre et je fais le tour de la pièce, il n’y a pas de verrou intérieur de la chambre, il faut la clef qu’elle a dû emmener, impossible de fermer la fenêtre sans être bloqué, je vais pour sortir quand l’envie de visiter la chambre me prend.
J’ouvre le tiroir d’une commode, petites culottes et soutiens-gorge le remplissent, je prends un string que je porte à mon nez, l’odeur est celle de la lavande, ses dessous doivent être lavés avec une lessive de cette senteur, j’avais espéré trouver une odeur féminine, dès qu’elle reviendra, il faudra que je lui lèche la chatte pour connaître son goût.
De grands placards coulissants me montrent des tenues aussi bien soft que hard, elle est partie avec une tenue très sexy, mais il y a pire, si la guêpière qui montre les trois quarts des seins de la femme le portant est tendance à me faire bander.
Sur une étagère, deux boîtes de 1 000 capotes, trônes, pourquoi de telle réserve, je sais bien que plus on en achète en nombre et plus le prix est bas.
Je fais glisser une autre porte et un arsenal de choses bizarre est, soit sur l’étagère, soit pendu sur des supports.
Gode ceinture, godes pour clitos, cravaches et autres objets S.M. comme des boules à bouches le remplissent, tout est impeccablement rangé et aligné, des espaces sont libres dans les godes, deux emplacements dans les cravaches et d’étranges fouet à neuf lanières avec des boules de buis.
Je le prends en main et je me fouette l’avant bras, je me fais mal.
Je fais le rapprochement avec la valise que Julia avait avec elle quand elle a pris sa Porsche, un doute m’assaille, que fait réellement la femme qui tout à l’heure m’a dépucelé ?
Une idée me vient, je quitte la chambre et je vais dans la maison, j’ai vu un ordinateur dans le salon, j’essaye de rentrer pour voir son historique, mot de passe, impossible de rentrer dans les pages jaunes.
Un meuble avec un vase me permet de trouver un bottin un peu ancien, « Hôtel de la gare à Aix », je compose le numéro.
• Bonjour madame, mon amie Julia est-elle chez vous, elle a une Porsche carrera grise métalliser ?
• Excusez jeune homme nous sommes dans l’impossibilité de vous donner des renseignements sur nos clients.
Je raccroche, je n’ai pas la preuve, mais je suis sûr que la copine de maman est une pute et qu’en ce moment elle se fait du fric avec un client plein au as.
Je vais me doucher ayant du chlore sur la peau, avant de me coucher sans avoir remis l’alarme.
Combien de temps ais-je dormi, je sais simplement que j’ai pensé à ce que faisait Julia en ce moment, quand je pense que j’ai eu l’idée de lui sucer la chatte pour trouver son goût, j’ai envie de vomir, j’ai perdu mon pucelage avec une pute, mais la fatigue du voyage, plus mon dépucelage, je sombre dans le sommeil.
• Bébé, c’est moi, je suis rentrée, il dort mon gentil bébé.
Je me réveille, elle est dans mon dos et a sa main posée sur ma verge, je bande rapidement, pour une première fois pas à cause d’une envie de pisser comme les matins à mon réveil.
• Bébé, mets-toi sur le dos, j’ai envie de toi.
Je devrais la repousser, elle vient certainement de se faire défoncer pour du pognon, elle sent bon, elle doit sortir de son bain et ses seins que je vois quand je me tourne, pointes fièrement et me donne envie.
La porte de ma chambre est ouverte et le couloir allumé, que fait-elle, elle est folle, elle m’enjambe et avance sa chatte vers ma bouche, elle est plus rapide que mon cerveau et elle se colle à elle.
• Suce, bébé, nettoie-moi !
C’est presque un cri qu’elle me lance, je craque, ce qui me rassure, ce sont les capotes, aucune trace de sperme n’a souillé son vagin et comme son clitoris vient sous ma langue, je m’en délecte, la faisant pénétrer le plus loin possible.
Des petits jets de cyprine sortent de sa chatte, ils m’inondent le visage, mais comme je sens que son plaisir monte, j’insiste jusqu’à ce qu’elle crie comme une louve.
• Prends-moi, Thierry, prends-moi.
• Tu as une capote s’il te plaît.
• Dépêche de me baiser, j’ai fait un test à Paris et ce soir, j’étais protégé, baise-moi sans capote, tu ne crains rien.
Elle se recule, prends ma verge en main et s’empale, ont dit qu’elle est devenue folle, elle hurle de plaisir et se défonce littéralement, par deux fois, je sors d’elle, elle me replace dans sa fente jusqu’à ce qu’ensemble, on jouisse à la fraction de seconde près.
J’ai mes mains sur ses seins, je sens la sueur dégouliner avant qu’elle s’enlève définitivement, mon sperme et ses sécrétions mélangées.
Il fait jour quand j’entends du bruit, Julia vient se lover dans mon bras, elle m’embrasse, je l’embrasse, où en est ma résolution de ne pas baiser une pute, pourtant.
• Reste, c’est Roberta, la femme de Tonio que tu as vue hier, elle vient déposer les plats qu’elle a cuisinés hier au soir et que nous n’aurons plus qu’à manger tout à l’heure, tient elle est repartie.
J’ai placé un torchon sur la table en rentrant, elle sait que je suis rentré tard et qu’il faut qu’elle me laisse dormir, entends la porte d’entrée nous sommes seules, va ouvrir les volets, il faut que nous parlions.
Je me lève, la lumière entre, Julia prend un petit carnet dans un sac à main qu’elle a apporté.
• Thierry, tu as compris comment je gagne ma vie, à Paris et ici, je fais partie d’un réseau d’escortes que les clients contact par Internet, hier, j'ai été appelé sur le portable qui me sert ici et je suis allée rencontrer un client.
Tu as dû entendre que j’allais à l’hôtel de la gare, tu as trouvé le numéro dans le bottin que j’ai sous le téléphone et tu as demandé Julia, quand je suis descendu de la chambre de mon client, la patronne m’attendait avec son veilleur de nuit avant de rentrer chez elle.
Elle s’inquiétait qu’un homme à la voix plutôt jeune appelle, elle sait qui est Julia, mais quand je suis dans ces hôtels et sur le site, j’ai un nom d’escorte Livia, tu ne pouvais pas le savoir.
J’ai eu peur, je suis rentrée, pour la première fois depuis mes vingt ans que je fais ce métier, c’est la première fois que mon destin basculait, j’ai eu peur d’être découverte.
Quand je suis rentrée, j’ai vu que l’alarme n’était pas en service, la fenêtre 3 étant la mienne, je me suis souvenue que je l’avais laissé ouverte pour te regarder quand tu te baignais avant de partir alors que je venais de t’enlever ton pucelage.
J’ai compris que tu étais entré par cette fenêtre et que tu avais découvert ma vie cachée, dans les armoires, en bonne pro du sexe, mes outils de travail sont rangés aux millimètres près, certains avaient bougé.
Tu as même pris mon chat à sept queues de rechange en main, certains clients payent pour me fouetter les fesses et les seins, regardent celui de ce soir s’est servi de celui que j’avais dans ma valise.
• Tu aimes !
• Le plus difficile, ce sont les traces pendant deux ou trois jours, je passe du baume adoucissant, regarde celle qu’il m’a faite ce soir, il a payé le tarif maximum, achetant par là même le droit à me fouetter au sang.
• Où est ton baume, ton fessier est massacré, je vais t’en mettre pour le soulager ?
• Va dans ma chambre, tu connais le chemin, ma porte est ouverte, dans ma table de nuit, il y en a plusieurs, dont un déjà entamé.
J’aime l’allusion à sa porte ouverte, je me rends dans sa chambre, la valise est ouverte, les objets de tortures rangées, je trouve le tube et je reviens sur mon lit, elle est la croupe en l’air, j’approche et je la caresse avec la pommade sur les doigts.
• Au bébé, tes doigts sont doux, j’espère que je ne t'ai pas choqué, j'ai commencé quand j'étais jeune, si j’ai de quoi mener mon train de vie, c’est grâce à tout l’argent que mes clients me donnent.
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Une histoire doit pouvoir faire rêver... Moi, dès que je vois le mot capote ou préservatif, je décroche...