COLLECTION ESCORTE. Vacances de rêves (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. Vacances de rêves (3/3)
Incroyable, j’ai été dépucelé par une pute, même si je le savais, quand elle est venue me mettre sa chatte sur la bouche dans mon lit à son retour, malgré qu’elle se fasse défoncer par ses clients, je l’ai sucée avec beaucoup de plaisirs.
Elle m’avoue aimer le sadomasochisme adepte des flagellations avec un chat à sept queues, cette pratique lui rapporte un maximum, hier elle a empoché 3 000 € qu’elle me met dans la main.
Autant de pognons d’un coup, net d’impôt, je comprends qu’ayant embrassé ce métier, quand je vois son train de vie, elle se fasse régulièrement des clients.
• Ton carnet t’appartient, range-le, j’accepte ce que tu fais, je ne suis pas là pour te juger, tu es si gentil avec moi.
• Merci, ce sera notre secret et toi, tu seras mon bébé d’amour.
• Je vais continuer à mettre ton baume, j’adore te caresser les fesses.
Elle est devant moi la croupe relevée, je glisse deux doigts dans sa fente, elle est trempée, je m’agenouille et je lui mets ma verge dans le vagin, j’espère qu’elle prend un moyen de contraception l’enfilant comme tout à l’heure sans capote.
• Thierry, sodomise-moi, je l’accepte rarement de mes clients.
Je sors ma verge de sa chatte et la place sur son anus, même si elle le fait rarement, j’entre sans aucune difficulté, mes couilles touchant ses fesses.
Entre ma main et son vagin, ma verge est bien au chaud dans son fondement, surtout quand je me sens massé par son trou de balle, comment fait-elle ça pourquoi chercher à comprendre ?
C’est tellement bon que je suis au sommet de ce que ma queue peut donner, j’ignorais qu’une femme pouvait jouir prise comme ça, mais je suis fière d’avoir séduit une telle femme.
Nous venons de terminer, j’ai déchargé pour la première fois au fond de son conduit anal, nous sommes dans la cuisine où nous mangeons les acras de poisson que Roberta nous a préparé, je comprends qu’elle est portugaise.
• Dis-moi sincèrement Julia, maman depuis qu’elle est seule à changer de look, elle s'habile comme toi, aussi sexy.
• Je te vois venir bébé, n’ait aucune crainte, je n’ai pas pollué ta mère, mieux même Benoit avec lequel, elle file le parfait amour est mon ex, quand je l’ai retrouvée et qu’ils se sont vus, ça été le coup de foudre, pour nous c’était la fin et je savais qu’il aspirait à changer de vie.
Je leur ai donné ma bénédiction.
Nous mangeons les pêches que la femme de service a laissé dans un compotier, je suis heureux, maman est heureuse et c’est bien là l’essentiel surtout que lorsque je viens m’asseoir sur ses genoux et que je l’embrasse goulûment, j’oublie tout ce que j’ai pensé d’elle négativement.
C’est à ce moment où la sonnerie du portail se déclenche alors que je recommence à bander.
• Va mettre un maillot de bain, Jennifer est loin d’être prude, tu le constateras, mais Gustave, même s’il n’est pas jaloux risque de ne pas aimer être accueilli par ta bite pointant en avant, tu es mieux monté que lui.
Jennifer m’embrasse me déposant deux grosses bises sur ma joue.
• Gustave, défais nos bagages, tu es Thierry, Aude n’arrête pas de parler de toi, elle a une crainte, elle se doute que tu es puceau, on va voir pour remédier à ce petit inconvénient.
Maman a parlé de ma vie sexuelle avec ses amis, je veux marquer un grand coup.
• J’étais puceau.
• Bien, je vois que Julia dès la première nuit a dû faire sauter ton petit problème, viens te baigner.
En me disant ces mots, elle déboutonne son petit short enlève son débardeur se montrant nue, nous sommes sur la terrasse et j’ai à peine le temps de voir qu’elle est blonde naturelle qu’elle descend mon maillot et qu’elle me prend la main pour courir vers la piscine.
Je la regarde faire deux longueurs, l’eau est divine, la chaleur montant à plus de midi.
Elle vient s’accrocher à mon cou et ses seins viennent en contact avec ma poitrine.
• Il y a plus de deux heures que je rêve de ce bain, la chaleur était étouffante sur l’autoroute sans compter les bouchons.
Mais tu bandes, tu es jeune c’est normal, tu sais que Gustave le frère du copain de ta maman est très jaloux, s’il nous voit, tu risques de passer un sale quart d’heure.
J’essaye de me dégager.
• Reste ici bêta, il n’est pas jaloux, tu vas t’en apercevoir.
C’est ainsi que je baise ma deuxième femme, Jennifer profite de l’eau, qu’elle me tient par le cou, son bassin se soulève et ses jambes viennent enserrer mes reins, sans que j’aie besoin de la moindre aide, elle se laisse glisser et ma verge entre en elle.
Dans le même temps, je l’embrase, nous baisons dans la piscine, la fraîcheur de l’eau est loin de me poser problème, mieux même quand je vois Gustave, mains dans la main avec la maîtresse de maison, je remarque que lui aussi commence à débander.
Il a dû la baiser dans sa chambre, me montrant l’étendue des pratiques sexuelles du couple avec leurs amis.
• Je vois que vos faîtes connaissance, j'ai retrouvé Julia, tu n’es pas jaloux Thierry, elle m’a dit pour hier au soir, gouttons de cette eau.
Que lui a-t-elle dit, simplement mon dépucelage où aussi la passe qu’elle a été faire.
Un peu plus tard, après que j’ai rempli le vagin de Jennifer d’une légère quantité de sperme, il va en cuisine et revient avec quatre coupes et une bouteille de champagne.
• Il est frappé à point, je l’avais mis dans une glacière pour le trajet, Thierry une coupe.
Je suis allongé sur un matelas, Jennifer me passe de la crème solaire sur le tort, elle se met à cheval les jambes de chaque côté de mon corps, sa chatte mouille ma verge qui recommence à bander.
Elle se soulève et la place dans sa chatte, je commence à baiser une nouvelle fois, d’ici peu, j’aurais du mal à compter le nombre de fois où mon pieu aura rencontré une minette.
Je vois Gustave venir derrière sa femme, est-ce en la voyant se faire baiser, qu’il bande, il s’agenouille, je sens le gland se présenter sur la rosette de sa femme et entrer comme dans du beurre.
Jusqu’à ou entre il, je ne saurais le dire, ce qu’il y a de sûr, c’est que millimètres par millimètre, je sens la verge entrer dans ce réduit, cette pénétration me va directement dans mon cerveau et j’ai l’impression que c'est dans mon rectum qu’il entre.
• Être prise en double pénétration, j’adore, allez-y défoncer moi, Thierry, tu es un merveilleux amant, j’espère que tu donneras le maximum de plaisirs à un maximum de femmes.
Je suis heureux, surtout quand elle émet le plaisir qu’elle ressent à être prise par nos deux verges.
Le lendemain, c’est Julia qui connaît la double pénétration, c’est moi une nouvelle fois qui la sodomise.
Le soir Julia a un contrat à Marseille, elle a rendez-vous sur un yot, je l’aide à faire sa valise, son client est un peu spécial, sans qu’elle me parle des détails quand elle sort son gode ceinture.
Est-ce une femme ou un homme aimant se faire enculer comme nous enculons nos deux femmes présentes au bord de notre piscine qu’elle va rejoindre.
Au matin, comme la première fois, Julia vient vers moi, elle se place la chatte sur ma bouche pour que je lui lèche le clito, est-ce un rite qu’elle veut instaurer entre nous, cherche telle à ce que ma langue la lave des souillures apportées par les verges qui la payent.
Ce qui a de sur, c’est que ce matin, les questions que je me posais hier ont disparu, c’est ma maîtresse que je baise et non pas l’escorte.
Notre plaisir pris, nous dormons, comme dorment Gustave et Jennifer.
Quand je la sens bouger, j’aime sentir la fellation qu’elle me fait, je finis par lui mettre quelques gouttes de spermes sur ses amygdales.
• Bébé, j’ai besoin de toi ce soir.
• Si je peux te rendre service.
• C’est plus qu’un service, je t’ai dit que Benoit était mon ex, mais il était plus que ça, nous travaillions en duo, nous avions des clientes qui sont bi et c’est ensemble que nous nous rendions à leur rendez-vous.
• Tu as une cliente, ou c’est un client, si c’est un client, je te dis non.
• Ce soir, pas du tout, il était escorte boy comme je suis escorte girl, ce soir, j’ai une femme que nous connaissions bien et qui est à Marseille, je suis passé la voir avant mon rendez-vous.
Je lui ai parlé de toi, elle souhaiterait te voir ce soir, 2 000 € la nuit, après ce que tu as appris depuis que nous sommes ici, je pense que tu assumeras.
Si ça marche, j’ai un carnet d’adresses dans la région et bien plus important sur Paris, acceptes-tu ?
• Ce soir, je veux bien faire un essai.
• Tu verras, tu aimeras recevoir une enveloppe pleine de billets, même si certaines fois la dame n’est plus de première jeunesse.
• Est-ce le cas ce soir ?
• Oui, presque 70 ans, mais un corps de jeune fille.
• Merci de me prévenir, je vais me concentrer, dommage pour toi et Jennifer, je dois garder des réserves.
Mais dit, j’ai mon permis, mais pas de voiture, tu me conduis et tu m’attends !
• Tu prends la Porsche, ça fait toujours bien d’arriver dans une belle voiture, ça fait sérieux.
J’assume sans problème chez la cliente, il est vrai que l’enveloppe que je mets dans ma veste de sport, aide beaucoup.
Première cliente, mais pas la dernière, après avoir retrouvé maman et d’avoir été son témoin pour son mariage, je vis chez Julia, nous sommes toujours contents de nous retrouver entre deux clients ou clientes.
En ce moment, je passe l’entrée du garage Porsche 718 Boxsrer de Paris, que j’ai gagné grâce à ma queue, j’ai trouvé ma voie.
Pourquoi essayer de repasser mon bac l’année prochaine !
Elle m’avoue aimer le sadomasochisme adepte des flagellations avec un chat à sept queues, cette pratique lui rapporte un maximum, hier elle a empoché 3 000 € qu’elle me met dans la main.
Autant de pognons d’un coup, net d’impôt, je comprends qu’ayant embrassé ce métier, quand je vois son train de vie, elle se fasse régulièrement des clients.
• Ton carnet t’appartient, range-le, j’accepte ce que tu fais, je ne suis pas là pour te juger, tu es si gentil avec moi.
• Merci, ce sera notre secret et toi, tu seras mon bébé d’amour.
• Je vais continuer à mettre ton baume, j’adore te caresser les fesses.
Elle est devant moi la croupe relevée, je glisse deux doigts dans sa fente, elle est trempée, je m’agenouille et je lui mets ma verge dans le vagin, j’espère qu’elle prend un moyen de contraception l’enfilant comme tout à l’heure sans capote.
• Thierry, sodomise-moi, je l’accepte rarement de mes clients.
Je sors ma verge de sa chatte et la place sur son anus, même si elle le fait rarement, j’entre sans aucune difficulté, mes couilles touchant ses fesses.
Entre ma main et son vagin, ma verge est bien au chaud dans son fondement, surtout quand je me sens massé par son trou de balle, comment fait-elle ça pourquoi chercher à comprendre ?
C’est tellement bon que je suis au sommet de ce que ma queue peut donner, j’ignorais qu’une femme pouvait jouir prise comme ça, mais je suis fière d’avoir séduit une telle femme.
Nous venons de terminer, j’ai déchargé pour la première fois au fond de son conduit anal, nous sommes dans la cuisine où nous mangeons les acras de poisson que Roberta nous a préparé, je comprends qu’elle est portugaise.
• Dis-moi sincèrement Julia, maman depuis qu’elle est seule à changer de look, elle s'habile comme toi, aussi sexy.
• Je te vois venir bébé, n’ait aucune crainte, je n’ai pas pollué ta mère, mieux même Benoit avec lequel, elle file le parfait amour est mon ex, quand je l’ai retrouvée et qu’ils se sont vus, ça été le coup de foudre, pour nous c’était la fin et je savais qu’il aspirait à changer de vie.
Je leur ai donné ma bénédiction.
Nous mangeons les pêches que la femme de service a laissé dans un compotier, je suis heureux, maman est heureuse et c’est bien là l’essentiel surtout que lorsque je viens m’asseoir sur ses genoux et que je l’embrasse goulûment, j’oublie tout ce que j’ai pensé d’elle négativement.
C’est à ce moment où la sonnerie du portail se déclenche alors que je recommence à bander.
• Va mettre un maillot de bain, Jennifer est loin d’être prude, tu le constateras, mais Gustave, même s’il n’est pas jaloux risque de ne pas aimer être accueilli par ta bite pointant en avant, tu es mieux monté que lui.
Jennifer m’embrasse me déposant deux grosses bises sur ma joue.
• Gustave, défais nos bagages, tu es Thierry, Aude n’arrête pas de parler de toi, elle a une crainte, elle se doute que tu es puceau, on va voir pour remédier à ce petit inconvénient.
Maman a parlé de ma vie sexuelle avec ses amis, je veux marquer un grand coup.
• J’étais puceau.
• Bien, je vois que Julia dès la première nuit a dû faire sauter ton petit problème, viens te baigner.
En me disant ces mots, elle déboutonne son petit short enlève son débardeur se montrant nue, nous sommes sur la terrasse et j’ai à peine le temps de voir qu’elle est blonde naturelle qu’elle descend mon maillot et qu’elle me prend la main pour courir vers la piscine.
Je la regarde faire deux longueurs, l’eau est divine, la chaleur montant à plus de midi.
Elle vient s’accrocher à mon cou et ses seins viennent en contact avec ma poitrine.
• Il y a plus de deux heures que je rêve de ce bain, la chaleur était étouffante sur l’autoroute sans compter les bouchons.
Mais tu bandes, tu es jeune c’est normal, tu sais que Gustave le frère du copain de ta maman est très jaloux, s’il nous voit, tu risques de passer un sale quart d’heure.
J’essaye de me dégager.
• Reste ici bêta, il n’est pas jaloux, tu vas t’en apercevoir.
C’est ainsi que je baise ma deuxième femme, Jennifer profite de l’eau, qu’elle me tient par le cou, son bassin se soulève et ses jambes viennent enserrer mes reins, sans que j’aie besoin de la moindre aide, elle se laisse glisser et ma verge entre en elle.
Dans le même temps, je l’embrase, nous baisons dans la piscine, la fraîcheur de l’eau est loin de me poser problème, mieux même quand je vois Gustave, mains dans la main avec la maîtresse de maison, je remarque que lui aussi commence à débander.
Il a dû la baiser dans sa chambre, me montrant l’étendue des pratiques sexuelles du couple avec leurs amis.
• Je vois que vos faîtes connaissance, j'ai retrouvé Julia, tu n’es pas jaloux Thierry, elle m’a dit pour hier au soir, gouttons de cette eau.
Que lui a-t-elle dit, simplement mon dépucelage où aussi la passe qu’elle a été faire.
Un peu plus tard, après que j’ai rempli le vagin de Jennifer d’une légère quantité de sperme, il va en cuisine et revient avec quatre coupes et une bouteille de champagne.
• Il est frappé à point, je l’avais mis dans une glacière pour le trajet, Thierry une coupe.
Je suis allongé sur un matelas, Jennifer me passe de la crème solaire sur le tort, elle se met à cheval les jambes de chaque côté de mon corps, sa chatte mouille ma verge qui recommence à bander.
Elle se soulève et la place dans sa chatte, je commence à baiser une nouvelle fois, d’ici peu, j’aurais du mal à compter le nombre de fois où mon pieu aura rencontré une minette.
Je vois Gustave venir derrière sa femme, est-ce en la voyant se faire baiser, qu’il bande, il s’agenouille, je sens le gland se présenter sur la rosette de sa femme et entrer comme dans du beurre.
Jusqu’à ou entre il, je ne saurais le dire, ce qu’il y a de sûr, c’est que millimètres par millimètre, je sens la verge entrer dans ce réduit, cette pénétration me va directement dans mon cerveau et j’ai l’impression que c'est dans mon rectum qu’il entre.
• Être prise en double pénétration, j’adore, allez-y défoncer moi, Thierry, tu es un merveilleux amant, j’espère que tu donneras le maximum de plaisirs à un maximum de femmes.
Je suis heureux, surtout quand elle émet le plaisir qu’elle ressent à être prise par nos deux verges.
Le lendemain, c’est Julia qui connaît la double pénétration, c’est moi une nouvelle fois qui la sodomise.
Le soir Julia a un contrat à Marseille, elle a rendez-vous sur un yot, je l’aide à faire sa valise, son client est un peu spécial, sans qu’elle me parle des détails quand elle sort son gode ceinture.
Est-ce une femme ou un homme aimant se faire enculer comme nous enculons nos deux femmes présentes au bord de notre piscine qu’elle va rejoindre.
Au matin, comme la première fois, Julia vient vers moi, elle se place la chatte sur ma bouche pour que je lui lèche le clito, est-ce un rite qu’elle veut instaurer entre nous, cherche telle à ce que ma langue la lave des souillures apportées par les verges qui la payent.
Ce qui a de sur, c’est que ce matin, les questions que je me posais hier ont disparu, c’est ma maîtresse que je baise et non pas l’escorte.
Notre plaisir pris, nous dormons, comme dorment Gustave et Jennifer.
Quand je la sens bouger, j’aime sentir la fellation qu’elle me fait, je finis par lui mettre quelques gouttes de spermes sur ses amygdales.
• Bébé, j’ai besoin de toi ce soir.
• Si je peux te rendre service.
• C’est plus qu’un service, je t’ai dit que Benoit était mon ex, mais il était plus que ça, nous travaillions en duo, nous avions des clientes qui sont bi et c’est ensemble que nous nous rendions à leur rendez-vous.
• Tu as une cliente, ou c’est un client, si c’est un client, je te dis non.
• Ce soir, pas du tout, il était escorte boy comme je suis escorte girl, ce soir, j’ai une femme que nous connaissions bien et qui est à Marseille, je suis passé la voir avant mon rendez-vous.
Je lui ai parlé de toi, elle souhaiterait te voir ce soir, 2 000 € la nuit, après ce que tu as appris depuis que nous sommes ici, je pense que tu assumeras.
Si ça marche, j’ai un carnet d’adresses dans la région et bien plus important sur Paris, acceptes-tu ?
• Ce soir, je veux bien faire un essai.
• Tu verras, tu aimeras recevoir une enveloppe pleine de billets, même si certaines fois la dame n’est plus de première jeunesse.
• Est-ce le cas ce soir ?
• Oui, presque 70 ans, mais un corps de jeune fille.
• Merci de me prévenir, je vais me concentrer, dommage pour toi et Jennifer, je dois garder des réserves.
Mais dit, j’ai mon permis, mais pas de voiture, tu me conduis et tu m’attends !
• Tu prends la Porsche, ça fait toujours bien d’arriver dans une belle voiture, ça fait sérieux.
J’assume sans problème chez la cliente, il est vrai que l’enveloppe que je mets dans ma veste de sport, aide beaucoup.
Première cliente, mais pas la dernière, après avoir retrouvé maman et d’avoir été son témoin pour son mariage, je vis chez Julia, nous sommes toujours contents de nous retrouver entre deux clients ou clientes.
En ce moment, je passe l’entrée du garage Porsche 718 Boxsrer de Paris, que j’ai gagné grâce à ma queue, j’ai trouvé ma voie.
Pourquoi essayer de repasser mon bac l’année prochaine !
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