COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (1/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (1/6)
L’Everest il y a deux ans, certes, par les 8 848 mètres, à cause du mauvais temps persistant alors que la météo prévoyait une amélioration, nous avons atteint environ 6 200 mètres avant d’être obligés de renoncer, plusieurs sommets les plus hauts au monde, l’Annapurna 7 555 en Asie, la Kilimandjaro 5 892 Afrique.
Je m’appelle Jennifer, j’ai trente-deux ans mariés sans enfant, il serait trop dur de recommencer l’Everest avec un sac à dos et un enfant à l’intérieur, c’est le prochain défi que je prépare avec mon mari Robin, trente-huit ans, père d’un garçon de dix-neuf ans.
Il a épousé Véronique, mon amie de trente-six ans qui court les sommets avec nous épisodiquement avant de la quitter et de divorcer pour m’épouser avant d’aller s’installer à Saint-Julien-en-Genevois entre Annecy et Genève.
J’étais vierge quand Robin m’a séduite bien que je sache qu’il était marié, mais trop fleur bleue pour me rendre compte que tromper Véronique était mal.
Elle l’a appris et a divorcé, mais dans les mois qui ont suivi, j’ai su qu’il y avait déjà de l’eau dans le gaz et que la séparation était déjà programmée.
Nous avons fini par être bonne amie toutes les deux et nous faisons régulièrement du shopping en plus des courses en montagne.
• Jennifer, cela te dirait de monter au Ballon-d'Alsace !
• Véronique, tu es folle, j’ai déjà loupé le sommet de l’Everest, le Ballon-d'Alsace, je crois que tu vises trop haut.
Je te connais si tu me proposes de monter au sommet des Vosges à 1 217 mètres, c’est avec une idée derrière la tête.
• Tu dois avoir du mal à comprendre pourquoi une fille papillonne de sexe en sexe, toi étant vierge.
• Je sais que tu en veux à mon mari de t’avoir pris tout ce que vous aviez et que tu espères me voir le tromper pour te venger, mais rien sur la terre ne me fera renoncer aux vœux de fidélités que nous nous sommes fait.
Si tu veux grimper sur le Ballon-d'Alsace, c’est qu’il y a un garçon là-dessous.
• Gagné, cet hiver, nous avons passé les vacances de Pâques à Serre-Chevalier.
• Oui, nous avons passé un excellent séjour surtout sur les pistes de la station.
• Te souviens-tu de Benoît, le serveur qui s’occupait de notre table ?
• Comment l’oublier, il bavait littéralement devant toi, tu l’as revu ?
• Non, mais nous nous téléphonons, il travaille cet été à environ 1 000 mètres sur la route qui mène au Ballon et voudrait que je réserve une chambre, y aller toute seule, les journées vont me paraître longues en attendant la fin du service.
• Tu sais que du 14 juillet au 15 août Robin ferme son entreprise pour que nous partions dans notre villa vers les hauteurs de Nice.
• Bien sûr, tu auras une semaine pour te préparer, car nous partirions la dernière semaine du mois d’août et pour une semaine.
• Je vais voir avec Robin, je dois dire que quitter Cluses au moment où la chaleur est presque la plus étouffante me séduit, il doit faire plus frais là-haut.
Comme prévu nos vacances terminées, je suis en train d’embrasser Robin avant de m’asseoir à côté de Véronique dans sa Mercedes qui comme moi est courte vêtue avec une robe découvrant le haut de ses cuisses bien bronzées, car elle revient de Martinique où elle a passé trois semaines à fainéanter sur les plages.
Il m’a fallu ruser pour l’accompagner sans éveiller les soupçons de mon mari qui a du mal à comprendre que je désire m’entraîner sur une montagne à vaches comme il le dit.
J’ai trouvé la parade en lui expliquant que nous voulions travailler notre vitesse en forçant sur nos muscles des jambes, je me suis engagée à lui téléphoner ou au moins lui envoyer un SMS pour lui donner la progression de notre travail au fil du temps.
Cela fait deux jours que nous sommes arrivées, nous avons deux chambres avec porte communiquante qui permet à Véronique de s’isoler quand son chevalier servant la rejoint, cela dès le premier soir.
Je dois me mettre mon oreiller sur les oreilles, car l’isolation des chambres est loin d’être top et les cris de plaisir de mon amie remettant le couvert deux fois dans la nuit sont insupportables pour une femme fidèle comme je le suis.
15 heures, chaussures lacées, petit sac à dos avec réserve d’eau, petit short ras la foufoune, débardeur avec ou sans soutien-gorge, on peut être fidèle, mais aimer être séduisante, nous permet d’être sur la ligne de départ.
Nous aurions dû démarrer plus tôt, mais le sexe sur pied de Véronique avait un moment de libre et j’ai dû attendre la fin de ses cris de jouissance et qu’elle est prise son bain pour démarrer.
Le ciel est plombé, l’atmosphère irrespirable, j’ai peur que les temps communiqués à Robin ne soient plus grands que ceux d’hier, mais aucun problème sans oublier que le temps est un alibi.
Nous sommes à quelques centaines de mètres du sommet quand Véronique s’arrête.
• Avance, j’ai un caillou dans la chaussure, je vais me massacrer le pied, je l’enlève et je te rejoins, attends-moi là-haut.
« Craque ».
Il était une fois, une petite fille sage qui gravissait des montagnes et qui était en train de mourir tranquillement sur cette pente du Ballon-d'Alsace.
• Jennifer répond moi, merde, il faut appeler les secours, que t’est-il arrivé, j’ai vu une grande lumière verte et un bruit fracassant simultanément et je t’ai vu coucher au sol.
• Cela va, je me sens bien, j’ai des courbatures, attends, je vais boire une gorgée d’eau, cela va aller mieux.
• Tu es folle, la foudre a dû tomber à quelques mètres de toi, il faut appeler un médecin.
• Non, regarde, je me relève, j’ai les jambes un peu chancelantes, mais j’ai eu la chance que la foudre m’épargne, viens redescendons.
Nous arrivons à l’hôtel, Véronique veut appeler un médecin, mais je l’en dissuade proposant simplement d’aller me coucher, on verra si j’ai des troubles demain.
À un moment, je me réveille, il fait nuit, ma fenêtre et mes volets sont ouverts me montrant une nuit de pleine lune étoilée, un orage a dû éclater pendant que je récupérais, je me lève et je vais faire pipi.
Je m’essuie comme toute femme normale le fait et je sens que mon corps réagit, surtout mon clitoris qui a toujours été un endroit très calme pour moi depuis mon adolescence.
J’ai une sensation bizarre, chaque fois que je me lave et que je passe le gant de toilette sur mon excroissance, sa grosseur m’a toujours apparu normale, là, il semble avoir grossi, s’être développé.
Je me recouche et je sens un besoin irrésistible de le caresser, je suis inexperte la masturbation étant loin d’être une pratique pour moi, mais là, j’éclate dans une gerbe de plaisir qui me permet de me rendormir.
Combien de temps, je l’ignore, mais quand j’ouvre les yeux, mes doigts mécaniquement, recommence à me caresser, les introduisent même dans mon vagin.
Mes chaires, qui se distendent, me font un bien fou et je suis obligée de constater que j’arrive à rentrer ma main intégralement en moi, la douleur est à son comble, mais le plaisir est intense, ma main entre et sort de mon corps à un rythme effréné jusqu’à ce que j’entende des cris plus forts que ceux de Jennifer entendus régulièrement quand elle est dans les bras de Benoît.
J’ai joui intensément, ayant peur d’avoir réveillé Jennifer, je me calme, entièrement en sueur, à côté tout est tranquille.
Je me réveille à 7 heures moi qui me lève plus volontiers à 10 voire 11 heures quand je suis en vacances, mon clito me démange, mais je décide de lui résister, que lui arrive-t-il, lui d’habitude très sage, je décide d’aller déjeuner dans la salle avant d’aller marcher autour de l’hôtel.
À une table, un homme d’une quarantaine d'années avec sa femme et ses trois enfants déjeune.
• Chérie, je descends vers Colmar voire mon client et je remonte, la journée va être magnifique, va faire courir les enfants hier avec l’orage, ils sont restés enfermés et ils risquent d’être infernaux.
Il se lève, passe près de moi me regarde avec ses beaux yeux bleus, tempes grisonnantes, avant de sortir et de monter vers sa chambre.
Je finis mon thé et je sors faire un tour comme je l’avais prévu.
La voiture de Jennifer brille par son absence, il est vrai que pour servir, c’était une jeune femme ce matin, Benoît doit être de repos et tous les deux ont dû partir prendre du bon temps, hier au soir, ils ont dû aller en boîte et ont fini dans un lieu que j’ignore.
J’ai promis à mon amie d’aller voir un médecin et ma foune qui commence de nouveau à me démanger m’inquiète, suis-je anormal après avoir reçu un coup de foudre même partiel ?
• Vous allez à Colmar, vous pouvez m’y conduire, j’ai une course à faire, je cherche la voiture de mon amie, qui brille par son absence, elle a dû découcher, je m’appelle Jennifer.
• Bien sûr, si je peux vous rendre service, je m’appelle Roland.
• Vous avez quelques minutes, je monte récupérer mon sac à main.
• Aucun problème, je suis en avance avant de voir mon client.
Je monte en courant me changer, je remets mon ensemble que j’avais quand je suis arrivée, changeant simplement ma petite culotte et comme à mon habitude je laisse ma poitrine nue, je me donne un coup de peigne, quelques minutes après, je m’assois à ses côtés.
• Vous avez fait vite, vous avez bien fait d’enlever votre short, même si j’aimais votre débardeur qui me montrait légèrement vos seins.
Il démarre, j’évite de lui répondre pour éviter qu’il ne pense que je suis une proie facile pour lui.
Nous parcourons quelques kilomètres, dans les virages mes cuisses sont ballottées de droite à gauche excitant mon excroissance, je sens que je suis trempée et j’ai peur de mouiller ses coussins.
Je regarde dans sa direction, il semble concentré sur la route et surtout les virages.
Ma main passe sous ma jupe, j’appuie sur mon clito finissant par le masser sans regarder vers mon chauffeur, jusqu’à un moment où il fait tourner la voiture dans un chemin de terre.
Je suis surprise quand quelques mètres plus loin, il l’arrête, je tourne la tête, il a sorti sa queue.
• Suce salope…
Je m’appelle Jennifer, j’ai trente-deux ans mariés sans enfant, il serait trop dur de recommencer l’Everest avec un sac à dos et un enfant à l’intérieur, c’est le prochain défi que je prépare avec mon mari Robin, trente-huit ans, père d’un garçon de dix-neuf ans.
Il a épousé Véronique, mon amie de trente-six ans qui court les sommets avec nous épisodiquement avant de la quitter et de divorcer pour m’épouser avant d’aller s’installer à Saint-Julien-en-Genevois entre Annecy et Genève.
J’étais vierge quand Robin m’a séduite bien que je sache qu’il était marié, mais trop fleur bleue pour me rendre compte que tromper Véronique était mal.
Elle l’a appris et a divorcé, mais dans les mois qui ont suivi, j’ai su qu’il y avait déjà de l’eau dans le gaz et que la séparation était déjà programmée.
Nous avons fini par être bonne amie toutes les deux et nous faisons régulièrement du shopping en plus des courses en montagne.
• Jennifer, cela te dirait de monter au Ballon-d'Alsace !
• Véronique, tu es folle, j’ai déjà loupé le sommet de l’Everest, le Ballon-d'Alsace, je crois que tu vises trop haut.
Je te connais si tu me proposes de monter au sommet des Vosges à 1 217 mètres, c’est avec une idée derrière la tête.
• Tu dois avoir du mal à comprendre pourquoi une fille papillonne de sexe en sexe, toi étant vierge.
• Je sais que tu en veux à mon mari de t’avoir pris tout ce que vous aviez et que tu espères me voir le tromper pour te venger, mais rien sur la terre ne me fera renoncer aux vœux de fidélités que nous nous sommes fait.
Si tu veux grimper sur le Ballon-d'Alsace, c’est qu’il y a un garçon là-dessous.
• Gagné, cet hiver, nous avons passé les vacances de Pâques à Serre-Chevalier.
• Oui, nous avons passé un excellent séjour surtout sur les pistes de la station.
• Te souviens-tu de Benoît, le serveur qui s’occupait de notre table ?
• Comment l’oublier, il bavait littéralement devant toi, tu l’as revu ?
• Non, mais nous nous téléphonons, il travaille cet été à environ 1 000 mètres sur la route qui mène au Ballon et voudrait que je réserve une chambre, y aller toute seule, les journées vont me paraître longues en attendant la fin du service.
• Tu sais que du 14 juillet au 15 août Robin ferme son entreprise pour que nous partions dans notre villa vers les hauteurs de Nice.
• Bien sûr, tu auras une semaine pour te préparer, car nous partirions la dernière semaine du mois d’août et pour une semaine.
• Je vais voir avec Robin, je dois dire que quitter Cluses au moment où la chaleur est presque la plus étouffante me séduit, il doit faire plus frais là-haut.
Comme prévu nos vacances terminées, je suis en train d’embrasser Robin avant de m’asseoir à côté de Véronique dans sa Mercedes qui comme moi est courte vêtue avec une robe découvrant le haut de ses cuisses bien bronzées, car elle revient de Martinique où elle a passé trois semaines à fainéanter sur les plages.
Il m’a fallu ruser pour l’accompagner sans éveiller les soupçons de mon mari qui a du mal à comprendre que je désire m’entraîner sur une montagne à vaches comme il le dit.
J’ai trouvé la parade en lui expliquant que nous voulions travailler notre vitesse en forçant sur nos muscles des jambes, je me suis engagée à lui téléphoner ou au moins lui envoyer un SMS pour lui donner la progression de notre travail au fil du temps.
Cela fait deux jours que nous sommes arrivées, nous avons deux chambres avec porte communiquante qui permet à Véronique de s’isoler quand son chevalier servant la rejoint, cela dès le premier soir.
Je dois me mettre mon oreiller sur les oreilles, car l’isolation des chambres est loin d’être top et les cris de plaisir de mon amie remettant le couvert deux fois dans la nuit sont insupportables pour une femme fidèle comme je le suis.
15 heures, chaussures lacées, petit sac à dos avec réserve d’eau, petit short ras la foufoune, débardeur avec ou sans soutien-gorge, on peut être fidèle, mais aimer être séduisante, nous permet d’être sur la ligne de départ.
Nous aurions dû démarrer plus tôt, mais le sexe sur pied de Véronique avait un moment de libre et j’ai dû attendre la fin de ses cris de jouissance et qu’elle est prise son bain pour démarrer.
Le ciel est plombé, l’atmosphère irrespirable, j’ai peur que les temps communiqués à Robin ne soient plus grands que ceux d’hier, mais aucun problème sans oublier que le temps est un alibi.
Nous sommes à quelques centaines de mètres du sommet quand Véronique s’arrête.
• Avance, j’ai un caillou dans la chaussure, je vais me massacrer le pied, je l’enlève et je te rejoins, attends-moi là-haut.
« Craque ».
Il était une fois, une petite fille sage qui gravissait des montagnes et qui était en train de mourir tranquillement sur cette pente du Ballon-d'Alsace.
• Jennifer répond moi, merde, il faut appeler les secours, que t’est-il arrivé, j’ai vu une grande lumière verte et un bruit fracassant simultanément et je t’ai vu coucher au sol.
• Cela va, je me sens bien, j’ai des courbatures, attends, je vais boire une gorgée d’eau, cela va aller mieux.
• Tu es folle, la foudre a dû tomber à quelques mètres de toi, il faut appeler un médecin.
• Non, regarde, je me relève, j’ai les jambes un peu chancelantes, mais j’ai eu la chance que la foudre m’épargne, viens redescendons.
Nous arrivons à l’hôtel, Véronique veut appeler un médecin, mais je l’en dissuade proposant simplement d’aller me coucher, on verra si j’ai des troubles demain.
À un moment, je me réveille, il fait nuit, ma fenêtre et mes volets sont ouverts me montrant une nuit de pleine lune étoilée, un orage a dû éclater pendant que je récupérais, je me lève et je vais faire pipi.
Je m’essuie comme toute femme normale le fait et je sens que mon corps réagit, surtout mon clitoris qui a toujours été un endroit très calme pour moi depuis mon adolescence.
J’ai une sensation bizarre, chaque fois que je me lave et que je passe le gant de toilette sur mon excroissance, sa grosseur m’a toujours apparu normale, là, il semble avoir grossi, s’être développé.
Je me recouche et je sens un besoin irrésistible de le caresser, je suis inexperte la masturbation étant loin d’être une pratique pour moi, mais là, j’éclate dans une gerbe de plaisir qui me permet de me rendormir.
Combien de temps, je l’ignore, mais quand j’ouvre les yeux, mes doigts mécaniquement, recommence à me caresser, les introduisent même dans mon vagin.
Mes chaires, qui se distendent, me font un bien fou et je suis obligée de constater que j’arrive à rentrer ma main intégralement en moi, la douleur est à son comble, mais le plaisir est intense, ma main entre et sort de mon corps à un rythme effréné jusqu’à ce que j’entende des cris plus forts que ceux de Jennifer entendus régulièrement quand elle est dans les bras de Benoît.
J’ai joui intensément, ayant peur d’avoir réveillé Jennifer, je me calme, entièrement en sueur, à côté tout est tranquille.
Je me réveille à 7 heures moi qui me lève plus volontiers à 10 voire 11 heures quand je suis en vacances, mon clito me démange, mais je décide de lui résister, que lui arrive-t-il, lui d’habitude très sage, je décide d’aller déjeuner dans la salle avant d’aller marcher autour de l’hôtel.
À une table, un homme d’une quarantaine d'années avec sa femme et ses trois enfants déjeune.
• Chérie, je descends vers Colmar voire mon client et je remonte, la journée va être magnifique, va faire courir les enfants hier avec l’orage, ils sont restés enfermés et ils risquent d’être infernaux.
Il se lève, passe près de moi me regarde avec ses beaux yeux bleus, tempes grisonnantes, avant de sortir et de monter vers sa chambre.
Je finis mon thé et je sors faire un tour comme je l’avais prévu.
La voiture de Jennifer brille par son absence, il est vrai que pour servir, c’était une jeune femme ce matin, Benoît doit être de repos et tous les deux ont dû partir prendre du bon temps, hier au soir, ils ont dû aller en boîte et ont fini dans un lieu que j’ignore.
J’ai promis à mon amie d’aller voir un médecin et ma foune qui commence de nouveau à me démanger m’inquiète, suis-je anormal après avoir reçu un coup de foudre même partiel ?
• Vous allez à Colmar, vous pouvez m’y conduire, j’ai une course à faire, je cherche la voiture de mon amie, qui brille par son absence, elle a dû découcher, je m’appelle Jennifer.
• Bien sûr, si je peux vous rendre service, je m’appelle Roland.
• Vous avez quelques minutes, je monte récupérer mon sac à main.
• Aucun problème, je suis en avance avant de voir mon client.
Je monte en courant me changer, je remets mon ensemble que j’avais quand je suis arrivée, changeant simplement ma petite culotte et comme à mon habitude je laisse ma poitrine nue, je me donne un coup de peigne, quelques minutes après, je m’assois à ses côtés.
• Vous avez fait vite, vous avez bien fait d’enlever votre short, même si j’aimais votre débardeur qui me montrait légèrement vos seins.
Il démarre, j’évite de lui répondre pour éviter qu’il ne pense que je suis une proie facile pour lui.
Nous parcourons quelques kilomètres, dans les virages mes cuisses sont ballottées de droite à gauche excitant mon excroissance, je sens que je suis trempée et j’ai peur de mouiller ses coussins.
Je regarde dans sa direction, il semble concentré sur la route et surtout les virages.
Ma main passe sous ma jupe, j’appuie sur mon clito finissant par le masser sans regarder vers mon chauffeur, jusqu’à un moment où il fait tourner la voiture dans un chemin de terre.
Je suis surprise quand quelques mètres plus loin, il l’arrête, je tourne la tête, il a sorti sa queue.
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