COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (3/6) - histoire érotique

Je viens de me faire remplir la chatte à quatre pattes sur une moquette pourrie par une verge monstrueuse au moment où Jennifer m’appelle, je lui demande de venir me chercher.

• Bonjour ma belle, j’ai roulé au plus vite, mais la route est tortueuse pour descendre dans la vallée, alors que t’arrive-t-il pourquoi es-tu venue jusqu’ici ?
• Je vais te le dire en roulant à moins que tu veuilles du café.
• Non, j’aimerais rentrer avec le jour, j’ai horreur des virages la nuit.

J’attends que nous ayons quitté la ville évitant de la perturber et je commence à lui raconter ce que j’ai ressenti depuis que j’ai été touché par la foudre, comment pour la première fois depuis mon mariage, je me suis caressée allant jusqu’à entrer l’intégralité de ma main dans la chatte.

• Tu t’es fistée, peu de femmes sont capables de le faire, j’ai moi-même essayé ainsi que certains de mes amants, mais je suis trop étroite.
• J’ignorais ce mot « fister » cela m’a calmé pour un temps avant que mes démons remontent du centre de mon ventre.
Jennifer si je m’écoutais, je placerais ma main sur ma chatte, les trépidations de la route m’excitent, regarde, je suis trempée.

Je prends sa main posée sur le levier de vitesses et je la place sur ma vulve.

• Eh bien, ma salope, j’ignore ce qui te fait autant d’effet, mais il est vrai que tu es trempée.

Je lui explique la descente vers Colmar avec Roland homme marié à Emmanuelle avec trois enfants.

• Regarde, c’est là à droite qu’il a arrêté sa voiture et qu’une force irrésistible m’a imposé de le sucer, mon cerveau était comme anesthésié.
J’espérais que tu me conduises, je suis allée consulter un médecin comme je te l’avais promis, car ces sensations nouvelles m’ont paru anormales.
• Que t’a-t-il trouvé ?
• Rien, je suis normal, il pense que tout cela va s’estomper avec le temps, mais après Roland m’a emmené au restaurant et je me suis donnée à lui dans les chiottes.

Je pourrais lui parler de l’homme à la grosse bite, mais je pense que la façon dont je me suis fait baiser est trop glauque pour lui rapporter.
Nous arrivons à l’hôtel et Véronique m’emmène dans ma chambre.

• Ce Roland, il a été mufle et ton plaisir est resté en suspens !
• Oui.
• As-tu déjà eu des rapports avec une femme ?

En me disant ces mots, elle me prend dans ses bras et vient frotter mon ventre sur le sien.

• Aimes-tu ?
• Je t’ai dit, dès que l’on me touche, je deviens folle, je sens que cela bouillonne en moi.
• Au simple contact par nos ventres.
• Oui.

Elle me prend la bouche et je lui abandonne la mienne, depuis le temps que je suis son amie bien que je lui aie piqué Robin à aucun moment, je n’ai envisagé de faire l’amour avec elle.
Nous tombons sur mon lit et elle me passe la main là où j’aurais miens faits de rester sage, car nous arrivons au plaisir ensemble ayant, moi aussi attaqué sa chatte.

• Les filles, vous êtes là, tout est bizarre ce soir, un client avec sa famille qui devait rester encore quatre jours est revenu de Colmar et après avoir monté toute sa famille dans leur voiture est parti comme s’il avait eu affaire à un démon.
• Tu sais les gens ont des comportements bizarres, il avait peut-être eu une aventure à Colmar avec une femme.
• Quand je parle de bizarrerie, je vous retrouve nue toutes les deux dans un lit ravagé, jusqu’à présent Véronique tu m’avais caché tes talents lesbiens.

C’est vrai, comment lui dire qu’une nouvelle fois, j’ai cédé à mes envies sans aucune mesure et que j’ai encore les yeux qui papillonnent après le plaisir que j’ai ressenti.
Véronique se lève le déshabille et lui suce la queue, je me caresse en les regardant, frustrés d’être exclu de leurs jeux, certainement pas pour longtemps.

• Benoit va baisser cette salope, elle n’attend que cela, tu voir la jolie catin que je t’offre.

Je suis subjugué, à la limite de tomber amoureuse, elle accepte de me partager avec son amant qui s’empresse de venir sur mon lit m’écartent les cuisses pour me sucer le clitoris.
Il aurait mieux valu qu’il évite, depuis ma nouvelle addiction au sexe, d'autant plus qu’il me caresse les seins qui eux aussi s’enflamment, les fraises réagissent quand il les pince, les suce ce qui me procure une explosion volcanique.

• Jennifer dit moi comment fais-tu pour jouir si fort avec sa simple bouche sur ton intimité.

Impossible de répondre tellement la décharge est forte, une nouvelle fois, je suis obligée de constater que tout mon être a pris feu et que lorsqu’un orgasme se pointe à l’horizon, j’ai tout de suite envie que cela recommence.
Que dire quand la verge de Benoît me perfore alors que Véronique vient s’asseoir sur ma figure pour que je lèche la cyprine qui sort de son corps, nous sommes trois corps qui plusieurs fois dans la nuit fusionnent ?

Quand, je me réveille, mes yeux sont à la hauteur de la chatte de mon amie et maîtresse, mais je me garde bien d’avancer ma langue sachant la grosse dormeuse qu’elle est.
Je vais déjeuner servi par Benoît qui a les yeux au milieu de la figure, nous avons un regard complice, mais je sens que mon cerveau part de nouveau en vrille.
Je retourne à la chambre prendre les clefs de la voiture de mon amie et comme hier, je fais le chemin vers Colmar.
Je sais qu’elle est mon but d’autant plus qu’hier, j’ai fait une erreur, je tente de la rattraper, mais la taverne est fermée pour repos hebdomadaire, je prends le risque de monter au troisième étage chez l’homme qui m’a baisé sur sa moquette avec sa bite énorme.
Au moment de sonner, je vais pour redescendre, mais la route tout en virage a exacerbé mon clito et je finis par appuyer, l’homme ouvre et me fait entrer, il a un mégot collé au bord des lèvres comme hier.

• Te revoilà salope, je savais que je te révérais, quand vous avez goutté à popol, vous voulez toute vous faire reprendre.
Mets-toi à poil et va sur le canapé, je vais pisser un coup.

Comme hier, les jets d’urine tombée dans la cuvette me parviennent aux oreilles, il se dégage des waters en se secouant la verge, des gouttes bien visible tombant sur la moquette.
Arrivé devant moi, il me la présente à hauteur de mon visage, je devrais le repousser, mais c’est instinctivement que j’ouvre la bouche et qu’elle entre de quelques centimètres jusqu’à ma glotte qu’elle finit par toucher.
Le goût est âcre, mon nez à quelques centimètres de son pantalon me remonte l’odeur de pisse qui devrait me faire horreur, mais je reste là attendant la suite sachant que cela va se finir en apothéose quand il va me prendre.
Il est tellement gros qu’il me touche la glotte manquant de me faire vomir et je lui plante mes dents dans la peau au risque de le blesser.
Je me ramasse une baffe faisant sortir le sexe que je reprends pour mieux le lécher, la gifle m’amène les larmes aux yeux, mais malgré le goût âcre de l’urine, je recommence à le masturber.
Avant que j’aie le temps de réaliser, il m’empoigne les jambes, me les tire derrière la tête dégageant ainsi ma chatte et mon anus.
Je veux refuser cette position obscène, mais il s’agenouille et enlève le mégot de sa bouche.
Je pense qu’il va le jeter, mais il le récupère et dans le mouvement me l’écrase sur l’une de mes grandes lèvres.
Je vois le mouvement quand il le tourne de droite à gauche et je sens l’odeur de mes chaires brûlées sans pour autant ressentir le moindre mal, il promène sa grosse langue râpeuse de mon anus à mon clito qui comme à son habitude s’enflamme.
Me tenant toujours les jambes levées, il se redresse et me plante sa verge dans l’anus me sodomisant sans qu’à aucun moment, il ne me demande mon avis.
C’est la première fois que je me fais enculer, mais si au moment où il a éclaté mon anus, je n’ai rien ressenti quand il me donne de grand coup de bite de plus en plus profondément mes petits muscles qui composent sa périphérie s’enflamme et ma chatte se met à l’unisson expulsant de vrais jets de cyprine.
Comment fait-il, avec les nombreuses femmes qui semblent venir le voir, car il me remplit mes intestins, son sperme dégoulinant sur son canapé ?

• Dépêche, habille-toi, j’attends une autre salope qui a pris rendez-vous.

Je récupère mes affaires pour me vêtir, il s’approche de sa table récupère une clope qu’il allume, il prend, un torchon vient jusqu’au canapé qu’il essuie là où son sperme mêlé à ma cyprine est tombé.
Il revient à la table, sans changer de torchon, le passe dans deux verres.

• Veux-tu un gorgeon ?

Comment peut-il me proposer un verre qui est maculé de nos sécrétions le rendant presque opaque à sa vue, mon cerveau décroche de mon addiction et je me sauve en courant.
J’ai honte de ce que je suis devenue, quand j’arrive à ma voiture, je soulève ma jupe et il me faut bien constater que j’ai la chatte brûlée sans pour autant ressentir la moindre douleur.
J’appuie sur mes grandes lèvres, mais quand je mets deux doigts dans mon vagin, je déclenche le processus et mon clito s’enflamme.
Il est impossible que je rentre mon corps montant en température, mais il est aussi inimaginable de faire tous les virages sans me masturber, c’est à ce moment que dans une petite rue, je vois un sex-shop, je me gare et je passe la porte permettant de rentrer rapidement, rouge de confusion.

• Bonjour, madame que cherchez-vous ?

Coup de chance, c’est une femme qui tient la boutique.

• Comment vous dire ?
• Je vois, vous voulez des godes, venez, je vais vous montrer ceux qui sont les plus efficaces, attendez, je ferme, il est midi, vous serez ma dernière cliente…