COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (1/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le parchemin diabolique (1/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (1/20)
J’adore chiner, les brocantes ont ma visite tous les étés dans les petits villages du Doubs.
Aujourd’hui, c’est à Chazal que je suis venue voir si des objets intéressants seraient à acquérir avant que je ne les mette en vente dans ma boutique d’antiquités de Dijon.
Si je viens jusque-là, c’est que j’y ai des amis, car quand j’étais petite, je venais en vacances chez ma grand-mère, qui a disparue depuis.
Cette occasion de sortie a un double but : des pièces intéressantes souvent achetées à bas prix avec une marge de revente importante et ma passion pour la friture de truites fraiches que je vais manger ce midi au Val de Cusance, chez mon ami Fabrice avant de retourner à Dijon.
L’apprenti de Fabrice, mon pote d’enfance, va les chercher avec son immense épuisette dans les viviers du torrent qui s'appelle le Cusansin et dont la source bleue se trouve au-dessus de son restaurant.
Mais revenons à nos antiquités, il faut savoir se lever de bonne heure, les pièces les plus intéressantes partent rapidement, nous sommes nombreux à connaître le métier.
Pour acheter à un prix intéressant, il ne faut éviter de faire voir la ou les pièces que vous avez repérées.
C’est le cas sur cette table où je convoite une cagette remplie de vaisselle dépareillée.
Avec ces vieilles assiettes, bols et surtout la soupière pièce rare, la jeune femme étant novice, c’est la première fois que je la vois malgré un air de déjà vue.
Je vais rentabiliser les dépenses de ma journée, friture de truite comprise.
C’est le premier étal que je regarde, si j’arrive à l’acheter à cette jeune femme semblant être de mon âge dans ses vêtements bon chic bon genre, ce serait super.
Détourner l’attention de la vendeuse, en lui faisant croire que c’est une pièce banale qui vous intéresse, je sais le faire et c’est vers une boîte en cuir que mon regard se porte.

• Madame, combien pour cette boîte en cuir ?
• Dix euros, elle appartenait à ma maman.
• Cinq, je vous en donne cinq !
• C’est trop peu, vous êtes la première personne qui voulez m'acheter quelque chose, faites un bon geste, elle est en cuir.

Je ne sais pas ce que je vais faire de cette boîte rectangulaire qui reste hermétiquement close quand je la prends en main, bof, il y aura toujours un gogo pour me la racheter 20 € et ainsi doubler ma mise.
C’est à ce moment que j’attaque.

• Et si je vous proposais 50 € avec la cagette de vaisselle dépareillée, vous feriez une première bonne vente.
• Vous êtes dure en affaires, je ne sais pas si je vais vous laisser tout ça pour si peu, la journée commence.
• Vous m’êtes sympathique, de plus vous avez un air de déjà vu, 100 € pour le tout, mais c’est mon dernier mot.
• Vendu, je dois vous dire, moi aussi, j’ai l’impression de vous avoir déjà rencontré.

Cette jeune femme blonde, d’environ ma taille, 1 mètre 65 à 66 est vraiment très bien golée, au point qu’une pensée bizarre me traverse l’esprit, je lui dirais bien quelques mots de très prêt si nous étions dans un endroit plus intime.
Pourtant les femmes et moi, cela fait deux.
Bingo, elle accepte, la simple soupière va être vendue trois fois le prix que j’ai acheté le tout, sans compter la vaisselle, les collectionneurs sautent sur toute cet faillance des année 1900.
La boîte, je la mettrai sur la cheminée qui se trouve dans ma boutique, à la vue des gogos.

Ma boutique à Dijon est toute proche du Palais des Ducs, dans une petite rue, dans une de ces vieilles maisons avec des façades ayant des poutres en bois apparentes, qui ont été construites au 15ème siècle.
Je prends la caisse, plaçant dans l’intérieur de la soupière la boîte en cuir.
Je vais à ma voiture à cinquante mètres, étant garé derrière la barrière qui interdit la circulation le jour de la brocante.
Je repasse devant l’étal de la jeune femme qui m’appelle.

• J’ai réfléchi pendant que vous alliez apporter vos affaires à votre C3 Picasso garée là-bas, ta grand-mère n’habitait-elle pas dans notre village ?
• Oui, vous avez raison, on se connaît ?
• Martine, tu venais chez maman, à quatre heures elle nous faisait d’immense tartines dans des miches avec du beurre et de la confiture.
• De prunes de votre verger, des fraises de son jardin et des mûres que nous allions chercher avec les copains et copines tous les ans, que devient-elle ?
• C’est exact, Véronique, heureuse de te revoir. Maman m’a quittée il y a quelques mois, je vends aujourd’hui certains objets lui ayant appartenu afin de vider la maison que j’ai vendue.
• Toutes mes condoléances, ça met un coup, elle était si gentille.
• Merci, mais je savais que l'issue était proche et elle est soulagée, elle a beaucoup souffert, parlons d’autre chose, tu vas venir manger à midi chez moi.
• J’ai rendez-vous au Val chez Fabrice pour manger sa friture de truite, c’est moi qui t’invite.
• Tu as revu Fabrice !
• Oui, il y a cinq ans, je venais ici comme tous les ans, je suis tombée sur lui à cette brocante où il venait voir ce qui se vendait, lui je l’ai reconnu, il m’a invitée le midi et depuis, j’y mange tous les ans.
• Bonjour mesdames, combien pour cette lampe à pétrole, je vous en donne 20 €.
• Vous êtes gonflé, à la vente vous allez la mettre à 1 000, voir 1 500 €, 500 € et c’est donné, vous faites la culbute, voir le triple.
• C’est bon, d’accord, vous prenez les chèques ?
• Et pourquoi pas des emprunts russes, en liquide et aucun billet de 500, un grand nombre sont des faux.
• Vous êtes dure en affaires, je vois que vous êtes du métier, j’accepte.

Il ouvre son portefeuille rempli de billets, ce genre d’escroc est prêt à sortir les gros coupures pour une bonne affaire. !

• Véronique, tu es incroyable, en quelques minutes, tu m’as déjà rapporté 600 €. Mais dis-moi, pourquoi ne l’as-tu pas acheté avant ?
• Dans la brocante, chacun sa spécialité, les lampes c’est le cas et à Dijon ça se vend mal, j’ai une boutique d’antiquités dans le vieux Dijon.
• Alors la boîte en cuir, elle vaut combien en réalité ?
• Rien, c’était pour t’appâter, la soupière, j'en ai la vente, je vais la mettre à 300 €, avec le reste de la vaisselle, j’espère faire autant que ce que tu as touché pour ta lampe !
Tu as vu, les requins sont là pour les bonnes affaires, je fais le tour pour voir si quelque chose m’intéresse.
Tu peux vendre le reste de ton étal le prix que tu veux, il n’y a plus rien d’intéressant.

Je la quitte contente à deux titres, j’ai gagné de l’argent tout en faisant gagner de l'argent à mon ancienne copine Martine, comment ais-je pu ne mas la reconnaître, j’ai moi aussi si vieilli que ça pour que les deux aient eu le même trou de mémoire.

• Combien cette petite commode ?
• 200 €, madame, elle est d’époque, elle était à ma grand-mère.

C’est très drôle, ils ont tous des grands-mères dans ces patelins.

• 100, j’ai horreur de discuter.
• C’est bon, 100.
• Les voilà, je vous les donnerai à ma voiture, quand vous aurez porté cette commode.
• Oui, Madame, où est-elle ?
• Suivez-moi.

Je me dirige vers ma voiture, je passe devant Martine sans lui parler, la regardant simplement.

• Martine, toi et tes copines qui disiez que cette veille commode, je ne la vendrais jamais, la dame me l’achète 100 €, je la porte dans sa voiture.
• Tu as fait une bonne affaire Lucien, dépêche, le bistro vient d’ouvrir.

La commode chargée, je lui donne le billet de 100, il file vers le bistrot, je retourne vers Martine.

• Tu as entendu, j’avais raison, ton argent dans cinq minutes il aura disparu.
Il va payer la tournée générale, et dire qu’il m’emmerde depuis mon divorce pour venir me sauter et vivre avec moi.
C’est ma maison qu’il va boire si je me laisse faire, sa commode, vaut quelque chose ?
• Après passage chez mon ébéniste et mon vernisseur, achat 100 plus réparation 300, total 400 voici le prix de vente pour ce type de commode année 1910, 1500 € voire 1 600.
• Tu as raison, il vaut mieux qu’il soit dans ta poche qu’en tournée au bistrot, il boit sa pension d’invalide, il a perdu une jambe, il a une jambe de bois.
• C’est pour ça, sa claudication.
• Tu ne l’as pas reconnu lui aussi, c’est vrai que le vin ça vieillit !
• Non.
• C’est avec lui qu’à la mare nous nous baignions nues quand nous avions 12 ans.
• Ne me dis pas que c’est avec lui que j’ai joué au docteur !
• Eh si, tu te souviens, le jour où je vous ai fait croire que pour faire des enfants, il fallait que le garçon fasse pipi sur la minette de la fille.
• Quoi, j’avais oublié ce détail, c’est lui qui l'a fait sur la mienne.
Incroyable, le plus drôle, c’est que pendant des semaines jusqu'à la rentrée des classes, j’étais certaine d’attendre un enfant.
• Nous avions 12 ans, mais à 17 ans, avec le Jean-Marie de la forêt, j’ai enfilé des perles et neuf mois plus tard, Lison est née, elle a 23 ans et chose curieuse, elle habite près de la fac de Dijon, elle est en quatrième année de médecine.
• Le monde est petit, dans la même période, j’ai connu Benoît mon mari, il est chirurgien à l’hôpital de Dijon et mon fils Adrien qui à 25 ans, est en dernière année de médecine lui aussi, ils se connaissent peut-être !
Rangeons, allons chez moi, je t’emmène chez Fabrice, demain, c’est lundi, ta boutique est fermée !
• Oui, aujourd’hui comme tous les ans, c’est une copine qui la tient, c’est mon employée, je l'appellerai du resto de Fabrice.

Repas sympa, Fabrice nous gâte, rappel de plein de souvenirs pour des jeunes ayant la nature pour nous.
Je suis repue de friture de truites, nous nous remémorons plusieurs détails, nous remontons à Chazal par le lit du torrent, falaise d’un côté, torrent de l’autre, Martine a l’habitude, moi, je fais de l’huile.

Dans ma chambre, ne pensant pas dormir chez mon amie, je suis nue sur mon lit, j’ai pris la boîte en cuir, je la retourne dans tous les sens, aucune ouverture.
Aucune aspérité, j’appuie, aucun mécanisme visible, du cuir, rien que du cuir, en la tournant, elle m’échappe, j’essaye de la rattraper, j’y arrive presque quand elle tombe définitivement sur le parquet.
Je me penche pour la récupérer, quand j’y arrive, les fesses en l’air, heureusement que Martine n’entre pas, elle aurait une vision imprenable, j’entends l’eau couler. Elle doit être dans la salle de bains que j’ai quittée tout à l’heure avec la grande serviette qu’elle m’a passée entourant ma poitrine.
Quand j’arrive à le récupérer, je sens qu’il s’est passé quelque chose, je tirais, je cherchais comment l’ouvrir, c’est fait elle est ouverte, comment ça a fonctionné, je l’ignore.
À l’intérieur, une peau comme celle d'un serpent de 5 centimètres sur 6, mieux, c’est comme un parchemin, j’arrive à le sortir, c’est encore du cuir, mais avec des signes inconnus.
Je lâche la peau, mais le phénomène continue, pire même, il empire.
Je dois mettre mes doigts dans mon vagin et comme une midinette que je ne suis plus, je me masturbe jusqu’à l’éclatement de mon corps.
Incroyable, quelle propriété a ce parchemin ?
Je sens que je ne suis pas rassasiée, j’ai posé la boîte sur mon portable, je pose le parchemin dessus.
Le phénomène semble durable, car malgré ma masturbation, je suis de nouveau en feu.
Je me lève, pour aller dans la cuisine, la friture avec ses pommes de terre soufflées, ajoutée au vin rosé et ma masturbation m’ont donné soif, je suis devant le frigo quand je sens une main venant me prendre le sein.

• Véronique, j’ignore ce qu’il m’arrive, j’ai senti une grande chaleur dans mon ventre, depuis notre jeunesse, je ne me suis pas caressée, j’ai eu soif et je vois que toi aussi.
• Je me suis caressée aussi, je ne le faisais jamais depuis des années, embrasse-moi.

Nos bouches se trouvent, mes mains caressent son corps nu comme le mien.
Nos seins se frottent et ma main plonge dans sa chatte qui ruisselle.
Inutile de lui parler de la boîte, je dois garder ce secret pour moi, mais pourquoi refuser de nous donner du plaisir…

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