COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (20/23)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (20/23)
• Maman, vous aussi vous avez un Puppy, ma grand-mère en avait un, elle l’avait acheté avec grand-père lors d’un voyage en Afrique à un vieux sorcier dans un village retiré.
Grand-père n’en était pas revenu après avoir avalé un insecte qui l’avait tué ?
Quelle est la bonne version, celle que rapportait la rumeur sur le cocufiage de sa grand-mère par un grand-père aimant le bois d’ébène, l’ayant payé de sa vie ou celle de Lison plus soft ?
Je pense que Lison a été protégée par son ancêtre.
• Sais-tu comment elle s’ouvre ?
Avant que je n’aie réagi, elle me la prend des mains.
• Non, mais je dois te dire quelque chose, ce que tu appelles un Puppy est celui que Martine m’a vendu quand je suis venue à la brocante de Chazal, je n’ai jamais su comment elle s’ouvre.
• Regarde.
Qu’a-t-elle fait ?
La boîte est ouverte sans que je ne voie comment elle a fait.
• Tu vois ce morceau de cuir à l’intérieur, avec ces signes cabalistiques, ils ont des pouvoirs extraordinaires.
Diabolique plutôt, bizarrement, ma chatte est calme pourtant le parchemin est sorti. Je me vois mal me gouiner avec ma belle-fille, même si je l’ai vu nue dans les bras de mon fils la nuit où il lui a fait un enfant.
• Je vois que tu es incrédule, je vais t’expliquer comment mon Puppy fonctionne, hélas je l’ai perdu.
Grand-mère l’ouvrait chaque fois qu’elle voulait qu’une bonne chose nous arrive.
Le parchemin sorti, nous faisions un vœu qui chaque fois se réalisait, il ne fallait pas le dire aux autres sinon ça ne marchait pas.
Fais un vœu dans ta tête, j'en fais un.
• Mais dis-moi, tu as dit mon Puppy, c’était celui de ta grand-mère.
• Il y a quelques mois, je suis allée la voir, elle s’est sentie s’affaiblir, elle m’a montré comment le Puppy fonctionnait perdant par là même son pouvoir pour l’ouvrir.
Après son décès, je suis allée avec Adrien lui montrer sa maison et aller manger chez maman, je n’ai pas retrouvé mon Puppy.
• Si je te montre comment il fonctionne, j’en perdrai le contrôle, ce sera toi qui pourras l’ouvrir ?
À oui, j’ignore pourquoi, mamy m’a toujours dit que mon Puppy n’aimait pas avoir la tête en bas, regarde, je le referme, j’espère que tu as eu le temps de faire ton vœu.
• J’en ai fait un, je ne vous le dirai pas, je veux qu’il fonctionne.
Comme elle a ouvert la boîte, elle la referme sans que je n’aie le temps de voir quoi que ce soit.
• Ton Puppy c’est à ta maman que je l’ai acheté lors de la brocante où nous nous sommes retrouvées.
Depuis c’est moi qui l’avais sans savoir comment l’ouvrir, ce Puppy est celui de ta grand-mère, donc celui que tu dis être le tien.
• Regarde, maman, sur cette boîte, de ce côté il y a un petit rond plus foncé dans le cuir, j’ignore pourquoi il est placé là, grand-mère m’a seulement dit que s’il n’était pas posé en dessous, je perdrais le pouvoir qu’elle m’avait donné d’arriver à l’ouvrir.
La mamy devait savoir la deuxième fonction que cette boîte mise à l’envers et a voulu protéger sa petite fille !
Quand je réfléchis bien, chaque fois que j’ai posé la boîte, je trouvais plus jolie de mettre ce rond plus foncé sur le dessus.
N’a-t-il pas été placé là pour piéger ceux qui ignoraient comme moi sa fonction ?
Dans mon sac, il devait être dans tous les sens et déclencher sa fonction baise.
Un point m’intrigue, le Puppy.
Pourquoi Martine ignorait-elle ses pouvoirs ?
Pourquoi sa petite fille les connaissait et pas elle ?
Je sens que je n’éclaircirais jamais ce mystère et j’ai assez de connivence avec elle pour qu’il ne me soit d’aucune utilité.
• Ma chérie, pourquoi es-tu là, ta visite me fait bien plaisir.
Insidieusement, je récupère la boîte, la repose le rond-de-cuir caché et je ferme mon tiroir.
• Lison, le jour de ton mariage, tu auras une surprise, c’est comme pour les vœux, ne me pose pas de question, je ne t’en dirai pas plus.
• Dis-moi, pourquoi es-tu là ?
• J’avais le dernier essayage de ma robe, dans la boutique un peu plus loin, je venais te faire une bise, j’ai hâte à porter ton nom, ton fils est un garçon incroyable.
• Sais-tu déjà ce que sera mon petit-fils ?
• Inutile d’essayer de m’embrouiller, nous refusons nous-mêmes de le savoir, de plus ma prochaine éco est quelques jours après la cérémonie.
• Tu montes boire une petite collation.
• Non, j’ai cours dans trois quart d’heure.
Le temps passe, je sais comment ranger le Puppy comme elle l’a appelée jusqu’à deux jours du mariage.
À mon tour, vers 18 heures, je ferme la boutique un peu plus tôt que l’heure normale, Jennifer brillant par son absence.
Je me rends chez ma modiste, moi aussi j’ai le dernier essayage des vêtements que j’ai choisis pour ce grand jour, ce n’est pas tous les jours que je vais marier mon filsLa météo nous étant annoncée radieuse, je choisis définitivement le chapeau que je porterai, on m’a toujours dit que j’avais une tête à chapeau.
• Véronique, c’est Lucas, je pourrais te voir ? Marie est partie avec les pèlerins et je voudrais te montrer le car qui va conduire tes invités.
• 16 heures, cela ira !
• Aucun problème, le temps me paraît long à attendre le mariage de mon fils.
• Le garage est fermé, je suis seul, tous les mécanos ont eu des RTT, tous les bus étant partis.
J’arrive à l'heure en tenue décontractée, jean, baskets et chemisier noué sous les seins.
Lucas est là, quand je gare ma voiture près du car sans âge, je manque d’éclater de rire quand il se retourne.
La casquette ça va, le pantalon sortant de la blouse grise comme ils en ont dans les films de cette époque ça va encore, mais la paire de bacantes style « Les brigades du tigre », mérite que je pouffe de rire.
• Je vois que je te fais rire, c’est le but, quand j’ai mis ce postiche avant que Marie ne parte, elle m’a dit que cela me rendait ridicule.
Moi ça me conforte dans ma vie, j’aurais aimé conduire des cars dans ces années-là.
Je lui saute au cou.
• Tu es magnifique Lucas, c’est un joli cadeau que tu me fais ainsi qu’à nos invités.
• Monte, on va faire un tour.
Le bus pue un peu, ça sent le vieux cuir mélangé à l’odeur de gasoil et de graisse, les moteurs même rénovés de cette époque, devaient tous sentir ainsi.
Nous sortons de Dijon.
Vers Marsannay-la-côte débutent des vignes de la côte dijonnaise.
De temps en temps, Lucas a du mal à passer les vitesses, comparées à la flotte de car dont celui qui nous a conduits à Oyonnax, le voyage de samedi sera une sacrée expédition pour nos invités.
• Je profite de ce chemin ombragé et de cet endroit où je peux garer pour faire refroidir le moteur.
N’aie crainte, vos invités n’auront aucun problème pour être à l’heure, je t’ai donné l’heure du départ le samedi matin comprenant ce genre d’arrêt.
Il sort de son espace, je suis assise sur le premier siège derrière lui, il s’approche de moi, pour faire un test, j’ai laissé le parchemin et sa boîte dans le tiroir de mon bureau comme l’autre jour.
Ma chatte sent ce qui va lui arriver mais n’est pas surexcitée, surtout que Lucas se penche vers moi, sa moustache manque de me déstabiliser.
Ce doit être le vœu que j’ai fait quand elle a ouvert sa boîte car avant de refermer le tiroir, je l’ai reposé le rond-de-cuir foncé sur le dessus.
Je me lève.
• Viens à l’arrière.
Je passe devant, je dégrafe mon jean et j’ôte mes baskets pour dégager mon vagin, Lucas sera mon premier amant à profiter de moi sans que cette maudite boîte gère mes envies.
Une fois installée, les cuisses ouvertes, il approche sa bouche, sa moustache me chatouille l’intérieur de mes cuisses, c’est agréable, surtout que baissant la tête, je vois qu’elle est collée.
Je parle de sa moustache car ce sont ses lèvres qu’il a collées à ma chatte.
Sa langue entre en mouvement, je me tétanise tellement il est efficace.
J’allais partir quand il lève la tête, la moustache en bataille, elle souffre à se frotter à mon intimité.
• Tu sais que Marie doit se faire faire la même chose à Lourdes avec sa copine Maria et leur amant Simon.
Et il retourne à son travail sur ma chatte, j’ai envie d’avoir du plaisir, son intervention verbale me pose un problème, je veux en savoir plus.
• Lucas, as-tu déjà fait une branlette espagnole avec ta femme ?
Il redresse sa tête, je ne vois rien, il baisse son pantalon, il connaît, il bande, le cunnilingus qu’il m’a fait lui fait tendre le bras.
• J’y pense de temps en temps, Marie ne me l’a jamais fait.
Il place sa verge entre mes seins que je resserre avec mes mains, il commence à la faire coulisser entre eux, j’ai la poitrine qu’il faut pour cela, il éjacule arrosant le bas de mon visage.
Il se redresse, nous éclatons de rire, quand il se masturbait entre mes seins, nous n’avions pas vu, sa moustache s’est décollée et se trouve placée en haut de ma fente, on dirait que ma cramouille a une moustache…
Merci à Anne
Grand-père n’en était pas revenu après avoir avalé un insecte qui l’avait tué ?
Quelle est la bonne version, celle que rapportait la rumeur sur le cocufiage de sa grand-mère par un grand-père aimant le bois d’ébène, l’ayant payé de sa vie ou celle de Lison plus soft ?
Je pense que Lison a été protégée par son ancêtre.
• Sais-tu comment elle s’ouvre ?
Avant que je n’aie réagi, elle me la prend des mains.
• Non, mais je dois te dire quelque chose, ce que tu appelles un Puppy est celui que Martine m’a vendu quand je suis venue à la brocante de Chazal, je n’ai jamais su comment elle s’ouvre.
• Regarde.
Qu’a-t-elle fait ?
La boîte est ouverte sans que je ne voie comment elle a fait.
• Tu vois ce morceau de cuir à l’intérieur, avec ces signes cabalistiques, ils ont des pouvoirs extraordinaires.
Diabolique plutôt, bizarrement, ma chatte est calme pourtant le parchemin est sorti. Je me vois mal me gouiner avec ma belle-fille, même si je l’ai vu nue dans les bras de mon fils la nuit où il lui a fait un enfant.
• Je vois que tu es incrédule, je vais t’expliquer comment mon Puppy fonctionne, hélas je l’ai perdu.
Grand-mère l’ouvrait chaque fois qu’elle voulait qu’une bonne chose nous arrive.
Le parchemin sorti, nous faisions un vœu qui chaque fois se réalisait, il ne fallait pas le dire aux autres sinon ça ne marchait pas.
Fais un vœu dans ta tête, j'en fais un.
• Mais dis-moi, tu as dit mon Puppy, c’était celui de ta grand-mère.
• Il y a quelques mois, je suis allée la voir, elle s’est sentie s’affaiblir, elle m’a montré comment le Puppy fonctionnait perdant par là même son pouvoir pour l’ouvrir.
Après son décès, je suis allée avec Adrien lui montrer sa maison et aller manger chez maman, je n’ai pas retrouvé mon Puppy.
• Si je te montre comment il fonctionne, j’en perdrai le contrôle, ce sera toi qui pourras l’ouvrir ?
À oui, j’ignore pourquoi, mamy m’a toujours dit que mon Puppy n’aimait pas avoir la tête en bas, regarde, je le referme, j’espère que tu as eu le temps de faire ton vœu.
• J’en ai fait un, je ne vous le dirai pas, je veux qu’il fonctionne.
Comme elle a ouvert la boîte, elle la referme sans que je n’aie le temps de voir quoi que ce soit.
• Ton Puppy c’est à ta maman que je l’ai acheté lors de la brocante où nous nous sommes retrouvées.
Depuis c’est moi qui l’avais sans savoir comment l’ouvrir, ce Puppy est celui de ta grand-mère, donc celui que tu dis être le tien.
• Regarde, maman, sur cette boîte, de ce côté il y a un petit rond plus foncé dans le cuir, j’ignore pourquoi il est placé là, grand-mère m’a seulement dit que s’il n’était pas posé en dessous, je perdrais le pouvoir qu’elle m’avait donné d’arriver à l’ouvrir.
La mamy devait savoir la deuxième fonction que cette boîte mise à l’envers et a voulu protéger sa petite fille !
Quand je réfléchis bien, chaque fois que j’ai posé la boîte, je trouvais plus jolie de mettre ce rond plus foncé sur le dessus.
N’a-t-il pas été placé là pour piéger ceux qui ignoraient comme moi sa fonction ?
Dans mon sac, il devait être dans tous les sens et déclencher sa fonction baise.
Un point m’intrigue, le Puppy.
Pourquoi Martine ignorait-elle ses pouvoirs ?
Pourquoi sa petite fille les connaissait et pas elle ?
Je sens que je n’éclaircirais jamais ce mystère et j’ai assez de connivence avec elle pour qu’il ne me soit d’aucune utilité.
• Ma chérie, pourquoi es-tu là, ta visite me fait bien plaisir.
Insidieusement, je récupère la boîte, la repose le rond-de-cuir caché et je ferme mon tiroir.
• Lison, le jour de ton mariage, tu auras une surprise, c’est comme pour les vœux, ne me pose pas de question, je ne t’en dirai pas plus.
• Dis-moi, pourquoi es-tu là ?
• J’avais le dernier essayage de ma robe, dans la boutique un peu plus loin, je venais te faire une bise, j’ai hâte à porter ton nom, ton fils est un garçon incroyable.
• Sais-tu déjà ce que sera mon petit-fils ?
• Inutile d’essayer de m’embrouiller, nous refusons nous-mêmes de le savoir, de plus ma prochaine éco est quelques jours après la cérémonie.
• Tu montes boire une petite collation.
• Non, j’ai cours dans trois quart d’heure.
Le temps passe, je sais comment ranger le Puppy comme elle l’a appelée jusqu’à deux jours du mariage.
À mon tour, vers 18 heures, je ferme la boutique un peu plus tôt que l’heure normale, Jennifer brillant par son absence.
Je me rends chez ma modiste, moi aussi j’ai le dernier essayage des vêtements que j’ai choisis pour ce grand jour, ce n’est pas tous les jours que je vais marier mon filsLa météo nous étant annoncée radieuse, je choisis définitivement le chapeau que je porterai, on m’a toujours dit que j’avais une tête à chapeau.
• Véronique, c’est Lucas, je pourrais te voir ? Marie est partie avec les pèlerins et je voudrais te montrer le car qui va conduire tes invités.
• 16 heures, cela ira !
• Aucun problème, le temps me paraît long à attendre le mariage de mon fils.
• Le garage est fermé, je suis seul, tous les mécanos ont eu des RTT, tous les bus étant partis.
J’arrive à l'heure en tenue décontractée, jean, baskets et chemisier noué sous les seins.
Lucas est là, quand je gare ma voiture près du car sans âge, je manque d’éclater de rire quand il se retourne.
La casquette ça va, le pantalon sortant de la blouse grise comme ils en ont dans les films de cette époque ça va encore, mais la paire de bacantes style « Les brigades du tigre », mérite que je pouffe de rire.
• Je vois que je te fais rire, c’est le but, quand j’ai mis ce postiche avant que Marie ne parte, elle m’a dit que cela me rendait ridicule.
Moi ça me conforte dans ma vie, j’aurais aimé conduire des cars dans ces années-là.
Je lui saute au cou.
• Tu es magnifique Lucas, c’est un joli cadeau que tu me fais ainsi qu’à nos invités.
• Monte, on va faire un tour.
Le bus pue un peu, ça sent le vieux cuir mélangé à l’odeur de gasoil et de graisse, les moteurs même rénovés de cette époque, devaient tous sentir ainsi.
Nous sortons de Dijon.
Vers Marsannay-la-côte débutent des vignes de la côte dijonnaise.
De temps en temps, Lucas a du mal à passer les vitesses, comparées à la flotte de car dont celui qui nous a conduits à Oyonnax, le voyage de samedi sera une sacrée expédition pour nos invités.
• Je profite de ce chemin ombragé et de cet endroit où je peux garer pour faire refroidir le moteur.
N’aie crainte, vos invités n’auront aucun problème pour être à l’heure, je t’ai donné l’heure du départ le samedi matin comprenant ce genre d’arrêt.
Il sort de son espace, je suis assise sur le premier siège derrière lui, il s’approche de moi, pour faire un test, j’ai laissé le parchemin et sa boîte dans le tiroir de mon bureau comme l’autre jour.
Ma chatte sent ce qui va lui arriver mais n’est pas surexcitée, surtout que Lucas se penche vers moi, sa moustache manque de me déstabiliser.
Ce doit être le vœu que j’ai fait quand elle a ouvert sa boîte car avant de refermer le tiroir, je l’ai reposé le rond-de-cuir foncé sur le dessus.
Je me lève.
• Viens à l’arrière.
Je passe devant, je dégrafe mon jean et j’ôte mes baskets pour dégager mon vagin, Lucas sera mon premier amant à profiter de moi sans que cette maudite boîte gère mes envies.
Une fois installée, les cuisses ouvertes, il approche sa bouche, sa moustache me chatouille l’intérieur de mes cuisses, c’est agréable, surtout que baissant la tête, je vois qu’elle est collée.
Je parle de sa moustache car ce sont ses lèvres qu’il a collées à ma chatte.
Sa langue entre en mouvement, je me tétanise tellement il est efficace.
J’allais partir quand il lève la tête, la moustache en bataille, elle souffre à se frotter à mon intimité.
• Tu sais que Marie doit se faire faire la même chose à Lourdes avec sa copine Maria et leur amant Simon.
Et il retourne à son travail sur ma chatte, j’ai envie d’avoir du plaisir, son intervention verbale me pose un problème, je veux en savoir plus.
• Lucas, as-tu déjà fait une branlette espagnole avec ta femme ?
Il redresse sa tête, je ne vois rien, il baisse son pantalon, il connaît, il bande, le cunnilingus qu’il m’a fait lui fait tendre le bras.
• J’y pense de temps en temps, Marie ne me l’a jamais fait.
Il place sa verge entre mes seins que je resserre avec mes mains, il commence à la faire coulisser entre eux, j’ai la poitrine qu’il faut pour cela, il éjacule arrosant le bas de mon visage.
Il se redresse, nous éclatons de rire, quand il se masturbait entre mes seins, nous n’avions pas vu, sa moustache s’est décollée et se trouve placée en haut de ma fente, on dirait que ma cramouille a une moustache…
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