COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)
Nous venons d’essayer le car de Lucas en nous promenant avec sur les coteaux du Dijonnais.
Profitant d’un coin tranquille et ombragé, je lui fais une branlette espagnole me faisant arroser de sperme quand il décharge sur mon visage.
C’est à ce moment que nous nous apercevons que la moustache en forme de guidon qu’il s’était collée sur son visage se retrouve collée sur ma chatte.
Il me passe un mouchoir tout propre sorti de la poche de sa blouse, je m’essuie le visage.
• Dis-moi, tu m’as ouvert l’appétit avec tes propos sur ta femme, sa maîtresse et son amant, sais-tu quelque chose ?
• Et toi, à la façon dont tu prononces ces mots, on dirait que tu sais déjà que depuis des années, ma femme me fait cocu, au début avec sa gouine de copine Maria et après avec son amant Simon, notre chauffeur.
• Comment l’as-tu su ?
• La dernière année où j’ai accompagné ces vieilles rombières dans leur pèlerinage, comme habituellement je traînais dans la ville.
• Et tu n’as rien dit !
• Pas folle la guêpe, je garde cela sous le coude.
Si un jour elle dépasse les bornes, je suis cocu, mais grâce à toi, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce.
Remise en tenue décente, même si j’ai l’impression de faire bouche-trou, nous rentrons à l’entrepôt.
Un dernier baiser et retour chez moi, le mariage arrive à grands pas.
Enfin, la veille du grand jour est là. J’ai chargé la voiture de Benoît avec nos affaires pour quelques jours et surtout nos habits pour la cérémonie.
J’ai eu Christian et Corentin de retour de vacances, ils voulaient venir me voir, je leur ai fait comprendre que même si je les aimais bien, j’avais mille choses à faire.
Ce sont à eux que nous avons demandé de récupérer les invités qui prennent le car, les médecins et leurs femmes, ainsi qu’Alain, sa femme et les jumeaux blacks ayant eu un congé exceptionnel du club de Toulon.
Nous arrivons à la salle des mariages, vers 22 heures, quand nous garons la voiture. Trois personnes sortent, Anabelle, Jennifer et un très beau jeune homme.
La trentaine, sous son costume, ses pectoraux tendent le tissu de sa veste en Tergal noir légère.
Vu la chaleur dans la vallée, il aurait du mal à être aussi élégant avec tout autre vêtement.
• Bonjour Véronique, je te présente Salomon, c’est mon remplaçant à partir de lundi, Jennifer et moi remontons à Dijon, après quelques jours de vacances, je commence mon nouveau job au zénith.
Je pense que tu pourras assumer la boutique, nous partons quelques jours en amoureuse avec Jennifer.
Amoureuse, je le suis quand Salomon me regarde au plus profond des yeux.
Ils nous montrent notre chambre, je croise Fabrice accompagné d’un autre homme en tenue de cuisine.
Je lui fais la bise, serrant la main de son copain et les laissant travailler, je pense que la préparation d’un tel vin d’honneur et d’un tel repas doit les accaparer.
Nous aussi nous nous couchons, Benoît à travaillé toute la journée, j’ai amené la boîte, mais elle est déjà prête pour la surprise que je veux faire à celle qui à ce moment là sera devenue ma bru.
Grasse matinée, Benoît brille par son absence.
Connaissant mon homme, il doit courir afin de garder la forme, je descends, tout le monde s’affaire, Odile et Gilles sont là, ils ne manquent pas de travail.
C’est sur la terrasse où va se tenir le vin d’honneur que je déjeune, Salomon en pantalon très moulant me sert.
Il se passe quelque chose avec ce jeune homme, je mettrais bien ma main dans son pantalon pour décompresser la bosse qui le déforme.
• Vous avez de la chance madame, le temps est annoncé magnifique toute la journée.
• Prenez-vous un café avec moi ?
• Je n’ai pas le temps madame, je dois rejoindre Anabelle qui dirige les extras, c’est la partie la plus dure de mon nouveau travail.
Mon fils nous rejoint.
Hier, il a conduit Lison chez sa maman, comme prévu.
Les deux couples avaient rendez-vous à la mairie à 17 heures, ils se sont mariés devant monsieur le maire.
Ils nous avaient prévenus qu'ils souhaitaient être seulement les deux couples et les témoins pour cette formalité, les deux femmes souhaitant réserver leur robe blanche de mariées pour l’église.
Après un petit repas préparé par Martine, il a rejoint la chambre que nos amis lui ont assignée, je sens qu’il est tendu, il m’accompagne dans mon café.
Habillée d’un tailleur rouge, chaussures à talons rouges et chapeau à large bord rouge lui aussi, j’ai du mal à rentrer dans la grosse voiture de mon mari qui est enfin revenu de sa promenade le long du Cusansin.
C’est nous qui amenons Adrien notre fils à Chazal pour ce grand moment de sa vie.
Je fais de l’huile jusqu’à la sortie de la gorge après le restaurant de Fabrice.
Benoît adore la conduite sportive, il voulait faire des rallyes dans sa jeunesse, c’est un pilote frustré.
Coup de chance ou réelle capacité de Benoît, nous en ressortons vivants avant de rejoindre Chazal par des routes moins dangereuses, même si elles tournent beaucoup.
Je passe sur les effusions devant la mairie jusqu’à l’arrivée de mon car.
Lucas a recollé sa moustache, j’ai bien regardé quand j’ai pris une douche, une toison oui pourquoi pas mais des moustaches en guidon de vélo je laisse cela pour d’autres.
Nouvelle effusion, je reconnais des hommes et des femmes qui tombent dans les bras les uns des autres.
Je me rends compte que je connais mes jeunes amants, des personnes de Chazal que je croisais dans ma jeunesse et même chaque année le jour de la brocante, mais les amis de Benoît ne me disent rien.
Dans son smoking blanc mon homme est magnifique, mais je trouve qu’il a tendance à trop entourer une jeune brune, rigolant avec un homme qui semble être son mari. Est-ce avec eux qu’il se rendait dans le club libertin ?
Je remets ma jalousie dans ma poche, j’éclaircirai ce mystère plus tard et si mon idée est la bonne, nul besoin de parchemin diabolique pour me mélanger avec eux.
Lucien arrive accompagné d’un homme qui semble ressembler à un garçon que j’ai déjà vu.
Ils font le tour des connaissances, une jeune femme blonde est pendue à son bras, j’ai l’impression de la connaître elle aussi.
• Véronique, tu me reconnais, je suis Jean-Marie l’ex de Martine, voici ma nouvelle femme.
Quand nous nous sommes séparés avec Martine, je me suis rendu à une ferme que tu as connue.
Nous allions voir la grande dame en noir qui y habitait où nous gouttions de grosses tartines, c’était la tante de Martine, entre-temps la Montnoirotte avait été abandonnée.
J’y avais des ruches dans un champ non loin de là, j’ai toujours aimé cette grosse maison, j’ai passé le coin du chemin et j’ai vu une voiture arrêter, j’ai fait les 200 mètres qui m’en séparaient, me rapprochant de cette jeune femme.
J’ai tout de suite reconnu Chantal, la jeune Parisienne qui venait avec d’autres enfants dans la ferme l’été.
Nous nous sommes assis pour évoquer nos souvenirs, les tournois de foot qu’ils organisaient où nous leur mettions des pâtés.
• Bonjours Véronique, je me souviens de toi, tu étais un peu ronde à cette époque, tu es devenue une femme ravissante.
Depuis des années, ma jeunesse où j’étais un peu ronde ne m’avait jamais rattrapé. Même Martine et tous les autres s’étaient bien gardés de me rappeler l’époque de ma puberté où les kilos s’étaient un peu accumulés.
C’est normal, nous mangions beaucoup de tartines au beurre et à la confiture.
• Je continue notre histoire, nous avons fait le tour de la ferme, instinctivement nos mains se sont trouvées et je l’ai embrassé.
• Jean-Marie, soit franc avec Véronique, une force nous a poussés l’un contre l’autre, dans notre adolescence, nous avions déjà des regards l’un pour l’autre.
Quand tu m’as pris dans le foin de la grange la porte étant cassée, je n’ai opposé aucune résistance, il faut dire que j’étais venu sur les traces de ma jeunesse à la suite d’une rupture un peu tumultueuse à Paris.
• Je reconnaître là Chantal, toujours aussi directe, mais il est vrai que dans la grange ce jour-là, je lui ai fait la totale comme savent le faire les garçons du Doubs ayant la nature à notre disposition.
Après lui avoir fait voir ce que nous savions faire, je lui ai parlé de mon projet de racheter cette vieille ferme, nous avons investi et en avons fait un relais cheval.
• Et toi, es-tu mariée et où habites-tu ?
• Oui, avec Benoît, il est chirurgien à Dijon, il est là-bas près de ce couple avec mon fils qui épouse ta fille, je suis antiquaire dans le vieux Dijon où nous habitons.
Je constate au passage que la grande brune se colle insidieusement à mon mari, il va falloir que j’éclaircisse qui ils sont.
• Véronique, nous faisons chambre d’hôtes, vous serez les bienvenus.
Je quitte le couple, je crois que je vais aimer venir faire du cheval, j’en ai toujours rêvé, mais en plus le regard de chatte lubrique que notre amie de jeunesse m’a montré est fait pour m’intéresser.
Une vieille voiture arrive, les deux mariés en descendent, commençant par Lison. Elle a une magnifique robe de mariée, je voulais participer à son achat, mais nul besoin, elle voulait se la payer.
Bustier mettant ses seins en valeur, un seul petit problème, vu son état, ils ont tendance à prendre tout l’espace, ils commencent à se développer, ce sera une bonne vache laitière pour nourrir mon petit-fils.
Vache laitière, je manque de pouffer de rire, la citadine que je suis doit être influencée par les personnes qui nous entourent.
Les hommes du village et leurs femmes jeunes voire moins jeunes n’auraient manqué pour rien au monde ce mariage, pardon ce double mariage, ils sont tous en tenue de travail, les vaches dans les étables les attendent pour la traite.
Je m’égare. Ma belle-fille, à part son bustier bien rempli à une longue robe avec une traine de deux à trois mètres. Je l’aurais choisi avec elle, je n’aurais pas trouvé mieux car la couturière par des pinces bien placées a su cacher sa grossesse.
Quant à Martine, sa robe est presque la même, sans traîne. Dans leurs cheveux la même couronne d’oranger et à leurs mains, un bouquet lui aussi identique. Seules les roses changent, rouge pour Martine, rose pour Lison.
C’est mon moment. Lucien au bras de sa maman va nous suivre, j’entre dans l’église sous les notes de la marche nuptiale jouée sur le vieil harmonium, je marche fièrement mon fils à mon bras.
• Chéri, ta maman a les pétoches…
Merci à Anne
COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)
Nous venons d’essayer le car de Lucas en nous promenant avec sur les coteaux du Dijonnais.
Profitant d’un coin tranquille et ombragé, je lui fais une branlette espagnole me faisant arroser de sperme quand il décharge sur mon visage.
C’est à ce moment que nous nous apercevons que la moustache en forme de guidon qu’il s’était collée sur le visage se retrouve collée sur ma chatte.
Il me passe un mouchoir tout propre sorti de la poche de sa blouse, je m’essuie le visage.
• Dis-moi, tu m’as ouvert l’appétit avec tes propos sur ta femme, sa maîtresse et son amant, sais-tu quelque chose ?
• Et toi, à la façon dont tu prononces ces mots, on dirait que tu sais déjà que depuis des années, ma femme me fait cocu, au début avec sa gouine de copine Maria et après avec son amant Simon, notre chauffeur.
• Comment l’as-tu su ?
• La dernière année où j’ai accompagné ces vieilles rombières dans leur pèlerinage, comme habituellement je traînais dans la ville.
• Et tu n’as rien dit !
• Pas folle la guêpe, je garde cela sous le coude, si un jour elle dépasse les bornes.
Je suis cocu, mais grâce à toi, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce.
Remise en tenue décente, même si j’ai l’impression de faire bouche-trou, nous rentrons à l’entrepôt.
Un dernier baiser et retour chez moi, le mariage arrive à grands pas.
Enfin, la veille du grand jour est là.
J’ai chargé la voiture de Benoît avec nos affaires pour quelques jours et surtout nos habits pour la cérémonie.
J’ai eu Christian et Corentin de retour de vacances, ils voulaient venir me voir, je leur ai fait comprendre que même si je les aime bien, j’ais mille choses à faire.
Ce sont à eux que nous avons demandé de récupérer les invités qui prennent le car, les médecins et leurs femmes, ainsi qu’Alain, sa femme et les jumeaux blacks ayant eu un congé exceptionnel du club de Toulon.
Nous arrivons à la salle des mariages, vers 22 heures, quand nous garons la voiture. Trois personnes sortent, Anabelle, Jennifer et un très beau jeune homme.
La trentaine, sous son costume, ses pectoraux tendent le tissu de sa veste en Tergal noir légère.
Vu la chaleur dans la vallée, il aurait du mal à être aussi élégant avec tout autre vêtement.
• Bonjour Véronique, je te présente Salomon, c’est mon remplaçant à partir de lundi, Jennifer et moi remontons à Dijon après quelques jours de vacances, je commence mon nouveau job au zénith.
Je pense que tu pourras assumer la boutique, nous partons quelques jours en amoureuse avec Jennifer.
Amoureuse, je le suis quand Salomon me regarde au plus profond des yeux. Ils nous montrent notre chambre, je croise Fabrice accompagné d’un autre homme en tenue de cuisine.
Je lui fais la bise, serrant la main de son copain et les laissant travailler, je pense que la préparation d’un tel vin d’honneur et d’un tel repas doit les accaparer.
Nous aussi nous nous couchons, Benoît à travaillé toute la journée, j’ai amené la boîte, mais elle est déjà prête pour la surprise que je veux faire à celle qui au moment d’ouvrir les cadeaux sera devenue ma bru.
Grasse matinée, Benoît brille par son absence.
Connaissant mon homme, il doit courir afin de garder la forme, je descends, tout le monde s’affaire, Odile et Gilles sont là, ils ne manquent pas de travail.
C’est sur la terrasse où va se tenir le vin d’honneur que je déjeune, Salomon en pantalon très moulant me sert.
Il se passe quelque chose avec ce jeune homme, je mettrais bien ma main dans son pantalon pour décompresser la bosse qui le déforme.
• Vous avez de la chance madame, le temps est annoncé magnifique toute la journée.
• Prenez-vous un café avec moi ?
• Je n’ai pas le temps madame, je dois rejoindre Anabelle qui dirige les extras, c’est la partie la plus dure de mon nouveau travail.
Mon fils nous rejoint.
Hier, il a conduit Lison chez sa maman, comme prévu.
Les deux couples avaient rendez-vous à la mairie à 17 heures, ils se sont mariés devant monsieur le maire.
Ils nous avaient prévenus qu'ils souhaitaient être seulement les deux couples et les témoins pour cette formalité, les deux femmes souhaitant réserver leur robe blanche de mariées pour l’église.
Après un petit repas préparé par Martine, il a rejoint la chambre que nos amis lui ont assignée, je sens qu’il est tendu, il m’accompagne dans mon café.
Habillée d’un tailleur rouge, chaussures à talons rouges et chapeau à large bord rouge lui aussi, j’ai du mal à rentrer dans la grosse voiture de mon mari qui est enfin revenu de sa promenade le long du Cusansin.
C’est nous qui amenons Adrien notre fils à Chazal pour ce grand moment de sa vie et de la notre.
Je fais de l’huile jusqu’à la sortie de la gorge après le restaurant de Fabrice.
Benoît adore la conduite sportive, il voulait faire des rallyes dans sa jeunesse, c’est un pilote frustré.
Coup de chance ou réelle capacité de Benoît, nous en ressortons vivants avant de rejoindre Chazal par des routes moins dangereuses, même si elles tournent beaucoup.
Je passe sur les effusions devant la mairie jusqu’à l’arrivée de mon car.
Lucas a recollé sa moustache, j’ai bien regardé quand j’ai pris une douche, une toison oui pourquoi pas mais des moustaches en guidon de vélo je laisse cela pour d’autres.
Nouvelle effusion, je reconnais des hommes et des femmes qui tombent dans les bras les uns des autres.
Je me rends compte que je connais mes jeunes amants, des personnes de Chazal que je croisais dans ma jeunesse et même chaque année le jour de la brocante, mais les amis de Benoît ne me disent rien.
Dans son smoking blanc mon homme est magnifique, mais je trouve qu’il a tendance à trop entourer une jeune brune, rigolant avec un homme qui semble être son mari. Est-ce avec eux qu’il se rendait dans le club libertin ?
Je remets ma jalousie dans ma poche, j’éclaircirai ce mystère plus tard et si mon idée est la bonne, nul besoin de parchemin diabolique pour me mélanger avec eux.
Lucien arrive accompagné d’un homme qui semble ressembler à un garçon que j’ai déjà vu.
Ils font le tour des connaissances, une jeune femme blonde est pendue à son bras, j’ai l’impression de la connaître elle aussi.
• Véronique, tu me reconnais, je suis Jean-Marie l’ex de Martine, voici ma nouvelle femme.
Quand nous nous sommes séparés avec Martine, je me suis rendu à une ferme que tu as connue.
Nous allions voir la grande dame en noir qui y habitait où nous gouttions de grosses tartines c’était la tante de Martine, entre-temps la Mont-Noirotte avait été abandonnée.
J’y avais des ruches dans un champ non loin de là, j’ai toujours aimé cette grosse maison, j’ai passé le coin du chemin et j’ai vu une voiture arrêter, j’ai fait les 200 mètres qui m’en séparaient, me rapprochant de cette jeune femme.
J’ai tout de suite reconnu Chantal, une des jeunes Parisiennes qui venait avec d’autres enfants dans la ferme l’été.
Nous nous sommes assis pour évoquer nos souvenirs, les tournois de foot qu’ils organisaient où nous leur mettions des pâtés.
• Bonjours Véronique, je me souviens de toi, tu étais un peu ronde à cette époque, tu es devenue une femme ravissante.
C’est la dénommée Chantal qui prononce ces mots.
Depuis des années, ma jeunesse où j’étais un peu ronde ne m’avait jamais rattrapé. Même Martine et tous les autres s’étaient bien gardés de me rappeler l’époque de ma puberté où les kilos s’étaient un peu accumulés.
C’est normal, nous mangions beaucoup de tartines au beurre et à la confiture.
• Je continue notre histoire, nous avons fait le tour de la ferme, instinctivement nos mains se sont trouvées et je l’ai embrassé.
• Jean-Marie, soit franc avec Véronique, une force nous a poussés l’un contre l’autre, dans notre adolescence, nous avions déjà des regards l’un envers l’autre.
Quand tu m’as pris dans le foin de la grange la porte étant cassée, je n’ai opposé aucune résistance, il faut dire que j’étais venu sur les traces de ma jeunesse à la suite d’une rupture un peu tumultueuse à Paris.
• Je vois que tu as reconnu Chantal, toujours aussi directe, mais il est vrai que dans la grange ce jour-là, je lui ai fait la totale comme savent le faire les garçons du Doubs ayant la nature à notre disposition.
Pour être directe, ses mots sur mes rondeurs me restent au fond de la gorge, il faut reconnaître que dans ces années là, autant j’étais copine avec bon nombre de ces parisiens en vacances, mais surtout pas de cette petite pimbêche.
• C’est ainsi qu’après lui avoir fait voir ce que nous savions faire, je lui ai parlé de mon projet de racheter cette vieille ferme.
Nous avons investi et en avons fait un relais cheval.
• Et toi, es-tu mariée et où habites-tu ?
• Oui, avec Benoît, il est chirurgien à Dijon, il est là-bas près de ce couple avec mon fils qui épouse ta fille, je suis antiquaire dans le vieux Dijon où nous habitons.
Je constate au passage que la grande brune se colle insidieusement à mon mari, il va falloir que j’éclaircisse qui ils sont et ce qu’elle lui veut.
Je veux bien baiser et me faire baiser, mais je refuse d’être ma baiser de l’affaire.
• Véronique, nous faisons chambre d’hôtes, vous serez les bienvenus.
Cause toujours, tu m’intéresse, Jean-Marie passe encore, mais passer une soirée avec cette bobo parisienne, il ne faut pas compter sur moi, mais il faut savoir être faux-cul.
• Je vous quitte mes obligation m’appelle, je crois que je vais aimer venir faire du cheval, j’en ai toujours rêvé.
Certes le regard de chatte lubrique que notre amie de jeunesse me montre est fait pour m’intéresser.
Une vieille voiture arrive, les deux mariés en descendent, commençant par Lison. Elle a une magnifique robe de mariée, je voulais participer à son achat, mais nul besoin, elle voulait se la payer.
Bustier mettant ses seins en valeur, un seul petit problème, vu son état, ils ont tendance à prendre tout l’espace, ils commencent à se développer, ce sera une bonne vache laitière pour nourrir mon petit-fils.
Vache laitière, je manque de pouffer de rire, la citadine que je suis doit être influencée par les personnes qui nous entourent.
Les hommes du village et leurs femmes jeunes voire moins jeunes n’auraient manqué pour rien au monde ce mariage, pardon ce double mariage, ils sont tous en tenue de travail, les vaches dans les étables les attendent pour la traite.
Je m’égare.
Ma belle-fille, à part son bustier bien rempli à une longue robe avec une traine de deux à trois mètres.
Je l’aurais choisi avec elle, je n’aurais pas trouvé mieux car la couturière par des pinces bien placées a su cacher sa grossesse.
Quant à Martine, sa robe est presque la même, sans traîne.
Dans leurs cheveux la même couronne d’oranger et à leurs mains, un bouquet lui aussi identique.
Seules les roses changent, rouge pour Martine, rose pour Lison.
C’est mon moment.
Lucien au bras de sa maman va nous suivre, j’entre dans l’église sous les notes de la marche nuptiale jouée sur le vieil harmonium, je marche fièrement mon fils à mon bras.
• Chéri, ta maman a les pétoches…
Merci à Anne
Profitant d’un coin tranquille et ombragé, je lui fais une branlette espagnole me faisant arroser de sperme quand il décharge sur mon visage.
C’est à ce moment que nous nous apercevons que la moustache en forme de guidon qu’il s’était collée sur son visage se retrouve collée sur ma chatte.
Il me passe un mouchoir tout propre sorti de la poche de sa blouse, je m’essuie le visage.
• Dis-moi, tu m’as ouvert l’appétit avec tes propos sur ta femme, sa maîtresse et son amant, sais-tu quelque chose ?
• Et toi, à la façon dont tu prononces ces mots, on dirait que tu sais déjà que depuis des années, ma femme me fait cocu, au début avec sa gouine de copine Maria et après avec son amant Simon, notre chauffeur.
• Comment l’as-tu su ?
• La dernière année où j’ai accompagné ces vieilles rombières dans leur pèlerinage, comme habituellement je traînais dans la ville.
• Et tu n’as rien dit !
• Pas folle la guêpe, je garde cela sous le coude.
Si un jour elle dépasse les bornes, je suis cocu, mais grâce à toi, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce.
Remise en tenue décente, même si j’ai l’impression de faire bouche-trou, nous rentrons à l’entrepôt.
Un dernier baiser et retour chez moi, le mariage arrive à grands pas.
Enfin, la veille du grand jour est là. J’ai chargé la voiture de Benoît avec nos affaires pour quelques jours et surtout nos habits pour la cérémonie.
J’ai eu Christian et Corentin de retour de vacances, ils voulaient venir me voir, je leur ai fait comprendre que même si je les aimais bien, j’avais mille choses à faire.
Ce sont à eux que nous avons demandé de récupérer les invités qui prennent le car, les médecins et leurs femmes, ainsi qu’Alain, sa femme et les jumeaux blacks ayant eu un congé exceptionnel du club de Toulon.
Nous arrivons à la salle des mariages, vers 22 heures, quand nous garons la voiture. Trois personnes sortent, Anabelle, Jennifer et un très beau jeune homme.
La trentaine, sous son costume, ses pectoraux tendent le tissu de sa veste en Tergal noir légère.
Vu la chaleur dans la vallée, il aurait du mal à être aussi élégant avec tout autre vêtement.
• Bonjour Véronique, je te présente Salomon, c’est mon remplaçant à partir de lundi, Jennifer et moi remontons à Dijon, après quelques jours de vacances, je commence mon nouveau job au zénith.
Je pense que tu pourras assumer la boutique, nous partons quelques jours en amoureuse avec Jennifer.
Amoureuse, je le suis quand Salomon me regarde au plus profond des yeux.
Ils nous montrent notre chambre, je croise Fabrice accompagné d’un autre homme en tenue de cuisine.
Je lui fais la bise, serrant la main de son copain et les laissant travailler, je pense que la préparation d’un tel vin d’honneur et d’un tel repas doit les accaparer.
Nous aussi nous nous couchons, Benoît à travaillé toute la journée, j’ai amené la boîte, mais elle est déjà prête pour la surprise que je veux faire à celle qui à ce moment là sera devenue ma bru.
Grasse matinée, Benoît brille par son absence.
Connaissant mon homme, il doit courir afin de garder la forme, je descends, tout le monde s’affaire, Odile et Gilles sont là, ils ne manquent pas de travail.
C’est sur la terrasse où va se tenir le vin d’honneur que je déjeune, Salomon en pantalon très moulant me sert.
Il se passe quelque chose avec ce jeune homme, je mettrais bien ma main dans son pantalon pour décompresser la bosse qui le déforme.
• Vous avez de la chance madame, le temps est annoncé magnifique toute la journée.
• Prenez-vous un café avec moi ?
• Je n’ai pas le temps madame, je dois rejoindre Anabelle qui dirige les extras, c’est la partie la plus dure de mon nouveau travail.
Mon fils nous rejoint.
Hier, il a conduit Lison chez sa maman, comme prévu.
Les deux couples avaient rendez-vous à la mairie à 17 heures, ils se sont mariés devant monsieur le maire.
Ils nous avaient prévenus qu'ils souhaitaient être seulement les deux couples et les témoins pour cette formalité, les deux femmes souhaitant réserver leur robe blanche de mariées pour l’église.
Après un petit repas préparé par Martine, il a rejoint la chambre que nos amis lui ont assignée, je sens qu’il est tendu, il m’accompagne dans mon café.
Habillée d’un tailleur rouge, chaussures à talons rouges et chapeau à large bord rouge lui aussi, j’ai du mal à rentrer dans la grosse voiture de mon mari qui est enfin revenu de sa promenade le long du Cusansin.
C’est nous qui amenons Adrien notre fils à Chazal pour ce grand moment de sa vie.
Je fais de l’huile jusqu’à la sortie de la gorge après le restaurant de Fabrice.
Benoît adore la conduite sportive, il voulait faire des rallyes dans sa jeunesse, c’est un pilote frustré.
Coup de chance ou réelle capacité de Benoît, nous en ressortons vivants avant de rejoindre Chazal par des routes moins dangereuses, même si elles tournent beaucoup.
Je passe sur les effusions devant la mairie jusqu’à l’arrivée de mon car.
Lucas a recollé sa moustache, j’ai bien regardé quand j’ai pris une douche, une toison oui pourquoi pas mais des moustaches en guidon de vélo je laisse cela pour d’autres.
Nouvelle effusion, je reconnais des hommes et des femmes qui tombent dans les bras les uns des autres.
Je me rends compte que je connais mes jeunes amants, des personnes de Chazal que je croisais dans ma jeunesse et même chaque année le jour de la brocante, mais les amis de Benoît ne me disent rien.
Dans son smoking blanc mon homme est magnifique, mais je trouve qu’il a tendance à trop entourer une jeune brune, rigolant avec un homme qui semble être son mari. Est-ce avec eux qu’il se rendait dans le club libertin ?
Je remets ma jalousie dans ma poche, j’éclaircirai ce mystère plus tard et si mon idée est la bonne, nul besoin de parchemin diabolique pour me mélanger avec eux.
Lucien arrive accompagné d’un homme qui semble ressembler à un garçon que j’ai déjà vu.
Ils font le tour des connaissances, une jeune femme blonde est pendue à son bras, j’ai l’impression de la connaître elle aussi.
• Véronique, tu me reconnais, je suis Jean-Marie l’ex de Martine, voici ma nouvelle femme.
Quand nous nous sommes séparés avec Martine, je me suis rendu à une ferme que tu as connue.
Nous allions voir la grande dame en noir qui y habitait où nous gouttions de grosses tartines, c’était la tante de Martine, entre-temps la Montnoirotte avait été abandonnée.
J’y avais des ruches dans un champ non loin de là, j’ai toujours aimé cette grosse maison, j’ai passé le coin du chemin et j’ai vu une voiture arrêter, j’ai fait les 200 mètres qui m’en séparaient, me rapprochant de cette jeune femme.
J’ai tout de suite reconnu Chantal, la jeune Parisienne qui venait avec d’autres enfants dans la ferme l’été.
Nous nous sommes assis pour évoquer nos souvenirs, les tournois de foot qu’ils organisaient où nous leur mettions des pâtés.
• Bonjours Véronique, je me souviens de toi, tu étais un peu ronde à cette époque, tu es devenue une femme ravissante.
Depuis des années, ma jeunesse où j’étais un peu ronde ne m’avait jamais rattrapé. Même Martine et tous les autres s’étaient bien gardés de me rappeler l’époque de ma puberté où les kilos s’étaient un peu accumulés.
C’est normal, nous mangions beaucoup de tartines au beurre et à la confiture.
• Je continue notre histoire, nous avons fait le tour de la ferme, instinctivement nos mains se sont trouvées et je l’ai embrassé.
• Jean-Marie, soit franc avec Véronique, une force nous a poussés l’un contre l’autre, dans notre adolescence, nous avions déjà des regards l’un pour l’autre.
Quand tu m’as pris dans le foin de la grange la porte étant cassée, je n’ai opposé aucune résistance, il faut dire que j’étais venu sur les traces de ma jeunesse à la suite d’une rupture un peu tumultueuse à Paris.
• Je reconnaître là Chantal, toujours aussi directe, mais il est vrai que dans la grange ce jour-là, je lui ai fait la totale comme savent le faire les garçons du Doubs ayant la nature à notre disposition.
Après lui avoir fait voir ce que nous savions faire, je lui ai parlé de mon projet de racheter cette vieille ferme, nous avons investi et en avons fait un relais cheval.
• Et toi, es-tu mariée et où habites-tu ?
• Oui, avec Benoît, il est chirurgien à Dijon, il est là-bas près de ce couple avec mon fils qui épouse ta fille, je suis antiquaire dans le vieux Dijon où nous habitons.
Je constate au passage que la grande brune se colle insidieusement à mon mari, il va falloir que j’éclaircisse qui ils sont.
• Véronique, nous faisons chambre d’hôtes, vous serez les bienvenus.
Je quitte le couple, je crois que je vais aimer venir faire du cheval, j’en ai toujours rêvé, mais en plus le regard de chatte lubrique que notre amie de jeunesse m’a montré est fait pour m’intéresser.
Une vieille voiture arrive, les deux mariés en descendent, commençant par Lison. Elle a une magnifique robe de mariée, je voulais participer à son achat, mais nul besoin, elle voulait se la payer.
Bustier mettant ses seins en valeur, un seul petit problème, vu son état, ils ont tendance à prendre tout l’espace, ils commencent à se développer, ce sera une bonne vache laitière pour nourrir mon petit-fils.
Vache laitière, je manque de pouffer de rire, la citadine que je suis doit être influencée par les personnes qui nous entourent.
Les hommes du village et leurs femmes jeunes voire moins jeunes n’auraient manqué pour rien au monde ce mariage, pardon ce double mariage, ils sont tous en tenue de travail, les vaches dans les étables les attendent pour la traite.
Je m’égare. Ma belle-fille, à part son bustier bien rempli à une longue robe avec une traine de deux à trois mètres. Je l’aurais choisi avec elle, je n’aurais pas trouvé mieux car la couturière par des pinces bien placées a su cacher sa grossesse.
Quant à Martine, sa robe est presque la même, sans traîne. Dans leurs cheveux la même couronne d’oranger et à leurs mains, un bouquet lui aussi identique. Seules les roses changent, rouge pour Martine, rose pour Lison.
C’est mon moment. Lucien au bras de sa maman va nous suivre, j’entre dans l’église sous les notes de la marche nuptiale jouée sur le vieil harmonium, je marche fièrement mon fils à mon bras.
• Chéri, ta maman a les pétoches…
Merci à Anne
COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (21/23)
Nous venons d’essayer le car de Lucas en nous promenant avec sur les coteaux du Dijonnais.
Profitant d’un coin tranquille et ombragé, je lui fais une branlette espagnole me faisant arroser de sperme quand il décharge sur mon visage.
C’est à ce moment que nous nous apercevons que la moustache en forme de guidon qu’il s’était collée sur le visage se retrouve collée sur ma chatte.
Il me passe un mouchoir tout propre sorti de la poche de sa blouse, je m’essuie le visage.
• Dis-moi, tu m’as ouvert l’appétit avec tes propos sur ta femme, sa maîtresse et son amant, sais-tu quelque chose ?
• Et toi, à la façon dont tu prononces ces mots, on dirait que tu sais déjà que depuis des années, ma femme me fait cocu, au début avec sa gouine de copine Maria et après avec son amant Simon, notre chauffeur.
• Comment l’as-tu su ?
• La dernière année où j’ai accompagné ces vieilles rombières dans leur pèlerinage, comme habituellement je traînais dans la ville.
• Et tu n’as rien dit !
• Pas folle la guêpe, je garde cela sous le coude, si un jour elle dépasse les bornes.
Je suis cocu, mais grâce à toi, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce.
Remise en tenue décente, même si j’ai l’impression de faire bouche-trou, nous rentrons à l’entrepôt.
Un dernier baiser et retour chez moi, le mariage arrive à grands pas.
Enfin, la veille du grand jour est là.
J’ai chargé la voiture de Benoît avec nos affaires pour quelques jours et surtout nos habits pour la cérémonie.
J’ai eu Christian et Corentin de retour de vacances, ils voulaient venir me voir, je leur ai fait comprendre que même si je les aime bien, j’ais mille choses à faire.
Ce sont à eux que nous avons demandé de récupérer les invités qui prennent le car, les médecins et leurs femmes, ainsi qu’Alain, sa femme et les jumeaux blacks ayant eu un congé exceptionnel du club de Toulon.
Nous arrivons à la salle des mariages, vers 22 heures, quand nous garons la voiture. Trois personnes sortent, Anabelle, Jennifer et un très beau jeune homme.
La trentaine, sous son costume, ses pectoraux tendent le tissu de sa veste en Tergal noir légère.
Vu la chaleur dans la vallée, il aurait du mal à être aussi élégant avec tout autre vêtement.
• Bonjour Véronique, je te présente Salomon, c’est mon remplaçant à partir de lundi, Jennifer et moi remontons à Dijon après quelques jours de vacances, je commence mon nouveau job au zénith.
Je pense que tu pourras assumer la boutique, nous partons quelques jours en amoureuse avec Jennifer.
Amoureuse, je le suis quand Salomon me regarde au plus profond des yeux. Ils nous montrent notre chambre, je croise Fabrice accompagné d’un autre homme en tenue de cuisine.
Je lui fais la bise, serrant la main de son copain et les laissant travailler, je pense que la préparation d’un tel vin d’honneur et d’un tel repas doit les accaparer.
Nous aussi nous nous couchons, Benoît à travaillé toute la journée, j’ai amené la boîte, mais elle est déjà prête pour la surprise que je veux faire à celle qui au moment d’ouvrir les cadeaux sera devenue ma bru.
Grasse matinée, Benoît brille par son absence.
Connaissant mon homme, il doit courir afin de garder la forme, je descends, tout le monde s’affaire, Odile et Gilles sont là, ils ne manquent pas de travail.
C’est sur la terrasse où va se tenir le vin d’honneur que je déjeune, Salomon en pantalon très moulant me sert.
Il se passe quelque chose avec ce jeune homme, je mettrais bien ma main dans son pantalon pour décompresser la bosse qui le déforme.
• Vous avez de la chance madame, le temps est annoncé magnifique toute la journée.
• Prenez-vous un café avec moi ?
• Je n’ai pas le temps madame, je dois rejoindre Anabelle qui dirige les extras, c’est la partie la plus dure de mon nouveau travail.
Mon fils nous rejoint.
Hier, il a conduit Lison chez sa maman, comme prévu.
Les deux couples avaient rendez-vous à la mairie à 17 heures, ils se sont mariés devant monsieur le maire.
Ils nous avaient prévenus qu'ils souhaitaient être seulement les deux couples et les témoins pour cette formalité, les deux femmes souhaitant réserver leur robe blanche de mariées pour l’église.
Après un petit repas préparé par Martine, il a rejoint la chambre que nos amis lui ont assignée, je sens qu’il est tendu, il m’accompagne dans mon café.
Habillée d’un tailleur rouge, chaussures à talons rouges et chapeau à large bord rouge lui aussi, j’ai du mal à rentrer dans la grosse voiture de mon mari qui est enfin revenu de sa promenade le long du Cusansin.
C’est nous qui amenons Adrien notre fils à Chazal pour ce grand moment de sa vie et de la notre.
Je fais de l’huile jusqu’à la sortie de la gorge après le restaurant de Fabrice.
Benoît adore la conduite sportive, il voulait faire des rallyes dans sa jeunesse, c’est un pilote frustré.
Coup de chance ou réelle capacité de Benoît, nous en ressortons vivants avant de rejoindre Chazal par des routes moins dangereuses, même si elles tournent beaucoup.
Je passe sur les effusions devant la mairie jusqu’à l’arrivée de mon car.
Lucas a recollé sa moustache, j’ai bien regardé quand j’ai pris une douche, une toison oui pourquoi pas mais des moustaches en guidon de vélo je laisse cela pour d’autres.
Nouvelle effusion, je reconnais des hommes et des femmes qui tombent dans les bras les uns des autres.
Je me rends compte que je connais mes jeunes amants, des personnes de Chazal que je croisais dans ma jeunesse et même chaque année le jour de la brocante, mais les amis de Benoît ne me disent rien.
Dans son smoking blanc mon homme est magnifique, mais je trouve qu’il a tendance à trop entourer une jeune brune, rigolant avec un homme qui semble être son mari. Est-ce avec eux qu’il se rendait dans le club libertin ?
Je remets ma jalousie dans ma poche, j’éclaircirai ce mystère plus tard et si mon idée est la bonne, nul besoin de parchemin diabolique pour me mélanger avec eux.
Lucien arrive accompagné d’un homme qui semble ressembler à un garçon que j’ai déjà vu.
Ils font le tour des connaissances, une jeune femme blonde est pendue à son bras, j’ai l’impression de la connaître elle aussi.
• Véronique, tu me reconnais, je suis Jean-Marie l’ex de Martine, voici ma nouvelle femme.
Quand nous nous sommes séparés avec Martine, je me suis rendu à une ferme que tu as connue.
Nous allions voir la grande dame en noir qui y habitait où nous gouttions de grosses tartines c’était la tante de Martine, entre-temps la Mont-Noirotte avait été abandonnée.
J’y avais des ruches dans un champ non loin de là, j’ai toujours aimé cette grosse maison, j’ai passé le coin du chemin et j’ai vu une voiture arrêter, j’ai fait les 200 mètres qui m’en séparaient, me rapprochant de cette jeune femme.
J’ai tout de suite reconnu Chantal, une des jeunes Parisiennes qui venait avec d’autres enfants dans la ferme l’été.
Nous nous sommes assis pour évoquer nos souvenirs, les tournois de foot qu’ils organisaient où nous leur mettions des pâtés.
• Bonjours Véronique, je me souviens de toi, tu étais un peu ronde à cette époque, tu es devenue une femme ravissante.
C’est la dénommée Chantal qui prononce ces mots.
Depuis des années, ma jeunesse où j’étais un peu ronde ne m’avait jamais rattrapé. Même Martine et tous les autres s’étaient bien gardés de me rappeler l’époque de ma puberté où les kilos s’étaient un peu accumulés.
C’est normal, nous mangions beaucoup de tartines au beurre et à la confiture.
• Je continue notre histoire, nous avons fait le tour de la ferme, instinctivement nos mains se sont trouvées et je l’ai embrassé.
• Jean-Marie, soit franc avec Véronique, une force nous a poussés l’un contre l’autre, dans notre adolescence, nous avions déjà des regards l’un envers l’autre.
Quand tu m’as pris dans le foin de la grange la porte étant cassée, je n’ai opposé aucune résistance, il faut dire que j’étais venu sur les traces de ma jeunesse à la suite d’une rupture un peu tumultueuse à Paris.
• Je vois que tu as reconnu Chantal, toujours aussi directe, mais il est vrai que dans la grange ce jour-là, je lui ai fait la totale comme savent le faire les garçons du Doubs ayant la nature à notre disposition.
Pour être directe, ses mots sur mes rondeurs me restent au fond de la gorge, il faut reconnaître que dans ces années là, autant j’étais copine avec bon nombre de ces parisiens en vacances, mais surtout pas de cette petite pimbêche.
• C’est ainsi qu’après lui avoir fait voir ce que nous savions faire, je lui ai parlé de mon projet de racheter cette vieille ferme.
Nous avons investi et en avons fait un relais cheval.
• Et toi, es-tu mariée et où habites-tu ?
• Oui, avec Benoît, il est chirurgien à Dijon, il est là-bas près de ce couple avec mon fils qui épouse ta fille, je suis antiquaire dans le vieux Dijon où nous habitons.
Je constate au passage que la grande brune se colle insidieusement à mon mari, il va falloir que j’éclaircisse qui ils sont et ce qu’elle lui veut.
Je veux bien baiser et me faire baiser, mais je refuse d’être ma baiser de l’affaire.
• Véronique, nous faisons chambre d’hôtes, vous serez les bienvenus.
Cause toujours, tu m’intéresse, Jean-Marie passe encore, mais passer une soirée avec cette bobo parisienne, il ne faut pas compter sur moi, mais il faut savoir être faux-cul.
• Je vous quitte mes obligation m’appelle, je crois que je vais aimer venir faire du cheval, j’en ai toujours rêvé.
Certes le regard de chatte lubrique que notre amie de jeunesse me montre est fait pour m’intéresser.
Une vieille voiture arrive, les deux mariés en descendent, commençant par Lison. Elle a une magnifique robe de mariée, je voulais participer à son achat, mais nul besoin, elle voulait se la payer.
Bustier mettant ses seins en valeur, un seul petit problème, vu son état, ils ont tendance à prendre tout l’espace, ils commencent à se développer, ce sera une bonne vache laitière pour nourrir mon petit-fils.
Vache laitière, je manque de pouffer de rire, la citadine que je suis doit être influencée par les personnes qui nous entourent.
Les hommes du village et leurs femmes jeunes voire moins jeunes n’auraient manqué pour rien au monde ce mariage, pardon ce double mariage, ils sont tous en tenue de travail, les vaches dans les étables les attendent pour la traite.
Je m’égare.
Ma belle-fille, à part son bustier bien rempli à une longue robe avec une traine de deux à trois mètres.
Je l’aurais choisi avec elle, je n’aurais pas trouvé mieux car la couturière par des pinces bien placées a su cacher sa grossesse.
Quant à Martine, sa robe est presque la même, sans traîne.
Dans leurs cheveux la même couronne d’oranger et à leurs mains, un bouquet lui aussi identique.
Seules les roses changent, rouge pour Martine, rose pour Lison.
C’est mon moment.
Lucien au bras de sa maman va nous suivre, j’entre dans l’église sous les notes de la marche nuptiale jouée sur le vieil harmonium, je marche fièrement mon fils à mon bras.
• Chéri, ta maman a les pétoches…
Merci à Anne
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