COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (6/22)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2018 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (6/22)
Venue à Chazal dans le Doubs, village où je venais en vacances dans ma jeunesse de Dijon, à la brocante annuelle, j’achète une boîte en cuir à Martine qui s’avère être une amie d’enfance.
Cette boîte produit des bouleversements dans ma vie.
Ça passe par de nombreux amants et amantes faisant de moi une belle salope, mais aussi une femme mariée satisfaisant son mari.
N’ai-je pas été avec lui dans un club libertin !
Ce club où la boîte s’est ouverte mettant un bordel incommensurable dans ce lieu pourtant réservé à la débauche.
Nous avions emmené Christian, mon amant du midi, joueur de rugby de la ville de Dijon.
Aujourd’hui, il arrive avec Corentin un de ses jeunes amis venant de la Fnac non loin de là.
Comme je l’ai dit, puérilement, je les invite à manger.
• Ma Reine, j’ai quelque chose à te demander.
• Si je peux t’être utile !
• Corentin est puceau, du moins avec les femmes, j’aimerais que tu le dépucelles.
J’ai un moment de stupeur, la boîte se serait-elle ouverte ?
Pourtant ma chatte, si elle commence à s’humidifier en regardant ce jeune homme, est bien fermée, pas de chaleur intense.
Je suis la maîtresse d’un garçon de l’âge de mon fils, pourquoi pas deux !
Ma vue se brouille comme mon cerveau, je me lève, les garçons sont en jogging comme bon nombre des sportifs de leur niveau.
La verge est déjà bandée à la bosse que je vois là où il faut, depuis quand ?
Tout le repas a-t-il rêvé de me sauter ?
• Madame, merci, que votre bouche est douce.
• Véronique, ma Reine s’appelle Véronique, regarde comme elle est belle, je te l’avais bien dit, regarde, je lui sors les seins.
Ça fait deux fois que Christian m’appelle sa Reine.
J’aime bien surtout venant d’un garçon qui détache mon corsage et mon soutien-gorge, afin de me caresser les seins, faisant bander mes pointes.
Mes seins apparaissent tendus gonflés, poitrine de femme mure qui porte fièrement ses mamelles en forme de poires, avec des aréoles brunes et larges.
Je sens qu’il va éjaculer, je dois faire retomber la pression.
Je me lève quittant sa verge, le regard de chien battu qu’il me présente me ravit, je suis la femme d’expérience qui sait, il est le puceau qui espère !
Direction ma chambre, c’est l’endroit le plus proche où un lit va me permettre d’avoir un certain confort pour le dépuceler et me faire sauter.
Je passe la porte, le tirant par la main.
Je prends conscience que c’est la première fois qu’un autre homme que mon mari vient dans ce lieu, pardon, deux, car Christian nous suit.
• Corentin, tu as débandé, viens que je te remette en condition, il faut que tu puisses pénétrer ma Reine.
Comme il l’a fait dans la boîte libertine, il se penche sur son copain et commence à le masturber.
J’écarte des yeux comme des soucoupes, j’avais cru que mon petit ami avait sucé le vieux monsieur à cause de la boîte ouverte.
• Ne me regarde pas avec ces yeux-là, ma Reine, je suis bisexuel.
J’ai vu que tu me voyais dans le club sucer le vieux monsieur, c’était un accident, je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est la première fois que je trompais Corentin.
Ne te tracasse pas, je lui ai dit, comme pour nous.
Fais de lui un homme, les autres se fichent de lui, car il est le seul de tous les joueurs de l’équipe à être puceau.
La boîte, toujours la boîte, mais Corentin rebande après le traitement de son petit ami.
Je m’allonge, je l’attire à moi, il entre dans mon vagin.
La maman que je suis veut que pour mon premier dépucelage, reste dans la mémoire du jeune homme, je l’enserre par mes jambes, le callant impeccablement en moi.
Je vois Christian se placer derrière lui, il me desserre les jambes, se place et comme cela s’est passé pour moi, lui ayant mis simplement de la salive sur l’anus, il l’encule.
Mon jeune amant, du moins celui qui est en moi, m’apporte un grand plaisir.
Il semble en être de même pour lui.
La façon dont Christian l’a sodomisé montre qu’ils ont l’habitude de se donner du plaisir.
Ce qui est étrange, c’est qu’à chaque fois que mon premier amant donne un coup dans l’anus de mon deuxième amant, la verge du deuxième est propulsée vers l’avant me faisant un effet monstrueux.
En peu de temps le petit m’apporte l’orgasme que toute femme espère atteindre et ils éjaculent chacun dans le réceptacle les recevant.
Ce sont des jeunes chiens fous !
Un petit temps de repos, où je vais chercher une bouteille américaine de bulles sans alcool et ils sont très vite prêts pour un second round.
Quand je passe dans la salle me rendant dans la cuisine, je m’admire devant ma glace en pied.
Ne suis-je pas une magnifique salope, mais je sais à cause de quoi, j’en suis arrivée à un tel degré de perversité !
• Véronique, jouons au petit train !
• Ça consiste en quoi ?
• Une locomotive et deux wagons, que faut-il pour relier des wagons ?
• Je te vois venir, je n’ai rien pour introduire et fixer les wagons, je suis sûre de faire la locomotive.
Si on joue, c’est moi qui vais désigner qui fera le deuxième wagon, c’est toi Christian • Sûrement pas, je ne me fais pas sodomiser, c’est Corentin qui s’y colle.
• Alors le jeu s’arrête là.
• Si je dis oui ma Reine, c’est à une seule condition, nous étions venus t’inviter à notre entraînement de demain soir, l’entraineur est absent et c’est moi qui le remplace.
J’ai parlé de toi à l’équipe et ils souhaitent faire de toi la marraine de l’équipe.
Je comprends mieux pourquoi il a pris l’habitude de m’appeler ma Reine, alors je donne mon accord.
Qu’ai-je à crainte, ils sont certainement nombreux, ils ne vont pas me violer.
• Aller, c’est bon, demain je n’ai rien à faire et Benoît est de service à l’hôpital. Passe me chercher à 19 heures, mon employée fera la fermeture.
C’est ainsi que je finis cette partie de jambes en l’air en faisant Tchou, Tchou.
C’est normal, je suis la locomotive.
Une nouvelle fois, je tourne ma tête et les wagons se sont raccrochés.
J’ai dépucelé Corentin qui dépucelle l’anus de Christian son copain, tout cela sans que le parchemin ne se soit manifesté.
Le lendemain, je suis à l’heure. Il fait beau, petite blouse décolletée en arrondi, montrant le début de ma vallée, pantalon tergal rouge moulant mes fesses et ballerines assorties.
• Véronique, ne dis surtout pas aux autres que je me suis fait enculer. Ils savent que je suis bi, mais j’ai toujours juré que personne ne rentrerait dans ma rosette.
• Ne crains rien, placé comme je l’étais, je n’ai rien vu pourtant j’ai beaucoup aimé faire la locomotive.
• Tu veux que je t’avoue, j’ai beaucoup aimé faire le premier wagon, mais chut, c’est un secret entre nous.
• Voilà comment l’entraînement va se passer.
Le reste du temps, il m’explique tout ce qu’il va faire faire aux avants, pendant que Corentin s’occupera des trois quarts.
Il est demi de mêlée, c’est pourquoi c’est un petit gabarit.
Bref, je ne pige rien mais en match ils sont quinze sur le terrain, avec des remplaçants sur le banc de touche.
Un point que je devrais éclaircir, Corentin est-ce en taille ou par sa bite qu’il est de petite taille ?
Quand je l’ai dépucelé, il m’est apparu très normal de ce côté-là.
Arrivés, Christian me présente à ses copains, ils sont tous en tenues correctes.
Le tour du vestiaire fait, je les laisse, dans quelques minutes, il risque d’y avoir des bites à l’air et comme une imbécile, j’ai amené la boîte.
Le dernier que je salue, c’est Corentin, j’adore sa jolie frimousse, aussi je lui fais un baiser au coin des lèvres.
Je sors accompagné par Christian sous les Oh ! Oh ! des joueurs ayant vu mon geste.
• Mets-toi dans la tribune, je suis sûr que l’ensemble de l’équipe est prêt à faire de toi sa Reine ou si tu préfères leur marraine, surtout après le geste que tu as eu envers Corentin.
Je vais y retourner, car il va avoir du mal à expliquer ton geste.
• Si tu veux, je retourne leur expliquer.
• Non, les orgies comme dans la boîte libertine, surtout avant l’entraînement, très peu pour moi,• Messaline.
• Avez-vous des toilettes pour les dames ?
• Suis-moi.
Il me conduit.
Je n’ai pas encore de problème de vessie à mon âge, mais je le tire dans les toilettes et je me colle à lui.
Je vois, vous pensez que la boîte s’est ouverte !
Non, je suis simplement une Messaline en puissance et j’ai senti que mon étalon était prêt.
Il soulève ma jupe, arrache mon string et me plante directement, me clouant le long de la paroi.
Il a peu de temps, aussi notre copulation est presque bestiale.
J’ai de plus en plus de plaisir dans ces situations qui pourraient apparaître comme glauques à certains, mais que je trouve formidable depuis que je les pratique.
Quand je jouis simultanément avec mon amant, je me fiche que le vestiaire soit proche du lieu où il vient de me baiser.
• Excusé d’avoir été un peu longue.
Quand je sors, suivi de Christian, un des joueurs attend pour aller se soulager.
• Secouez-la bien quand vous aurez fini.
Je retourne dans ma tribune et Christian hilare va vers le vestiaire.
L’entrainement commence, je dois dire que je m’emmerde un peu.
Certains poussent une espèce de forme en bois où Christian ajoute des poids aux poids qui y sont déjà.
Corentin fait travailler l’autre partie du groupe à se faire des passes pendant un temps qui me paraît interminable.
Christian vient vers moi.
• Véronique, les gars ont préparé une petite fête après cet entraînement.
Mais avant nous allons faire un petit match, onze contre onze, j’y retourne.
Il me quitte, la partie commence, ça cour, c’est plus intéressant.
Après cinq minutes, ce qu’ils appellent un ailier se blesse à quelques mètres de moi.
• Véronique, tu es en tenue légère, prends sa place
Je ne veux pas, mais ils insistent.
• Véronique, Véronique, Véronique.
Christian m’ouvre la barrière, je fais mon entrée triomphale.
• Véro, arrête-le, plonge-lui dans les jambes.
L’un des trois-quarts fait un mouvement de pied et me passe, sans que je comprenne ce qui m’arrive, pour aller aplatir son ballon derrière moi, mais j’ai compris.
La deuxième fois, j’arrive à lui attraper la jambe, je la tiens comme une morte de faim, avant de lui planter mes dents dans la cuisse.
Que se passe-il après, rideau !
Une masse de joueurs me tombent dessus, je dois perdre connaissance.
• Véronique, Véronique, réveille-toi !
Je sens que l’on m’empoigne et que je suis portée par la plupart des joueurs vers les vestiaires.
C’est à ce moment que ma chatte s’embrase…
Merci à Anne
Cette boîte produit des bouleversements dans ma vie.
Ça passe par de nombreux amants et amantes faisant de moi une belle salope, mais aussi une femme mariée satisfaisant son mari.
N’ai-je pas été avec lui dans un club libertin !
Ce club où la boîte s’est ouverte mettant un bordel incommensurable dans ce lieu pourtant réservé à la débauche.
Nous avions emmené Christian, mon amant du midi, joueur de rugby de la ville de Dijon.
Aujourd’hui, il arrive avec Corentin un de ses jeunes amis venant de la Fnac non loin de là.
Comme je l’ai dit, puérilement, je les invite à manger.
• Ma Reine, j’ai quelque chose à te demander.
• Si je peux t’être utile !
• Corentin est puceau, du moins avec les femmes, j’aimerais que tu le dépucelles.
J’ai un moment de stupeur, la boîte se serait-elle ouverte ?
Pourtant ma chatte, si elle commence à s’humidifier en regardant ce jeune homme, est bien fermée, pas de chaleur intense.
Je suis la maîtresse d’un garçon de l’âge de mon fils, pourquoi pas deux !
Ma vue se brouille comme mon cerveau, je me lève, les garçons sont en jogging comme bon nombre des sportifs de leur niveau.
La verge est déjà bandée à la bosse que je vois là où il faut, depuis quand ?
Tout le repas a-t-il rêvé de me sauter ?
• Madame, merci, que votre bouche est douce.
• Véronique, ma Reine s’appelle Véronique, regarde comme elle est belle, je te l’avais bien dit, regarde, je lui sors les seins.
Ça fait deux fois que Christian m’appelle sa Reine.
J’aime bien surtout venant d’un garçon qui détache mon corsage et mon soutien-gorge, afin de me caresser les seins, faisant bander mes pointes.
Mes seins apparaissent tendus gonflés, poitrine de femme mure qui porte fièrement ses mamelles en forme de poires, avec des aréoles brunes et larges.
Je sens qu’il va éjaculer, je dois faire retomber la pression.
Je me lève quittant sa verge, le regard de chien battu qu’il me présente me ravit, je suis la femme d’expérience qui sait, il est le puceau qui espère !
Direction ma chambre, c’est l’endroit le plus proche où un lit va me permettre d’avoir un certain confort pour le dépuceler et me faire sauter.
Je passe la porte, le tirant par la main.
Je prends conscience que c’est la première fois qu’un autre homme que mon mari vient dans ce lieu, pardon, deux, car Christian nous suit.
• Corentin, tu as débandé, viens que je te remette en condition, il faut que tu puisses pénétrer ma Reine.
Comme il l’a fait dans la boîte libertine, il se penche sur son copain et commence à le masturber.
J’écarte des yeux comme des soucoupes, j’avais cru que mon petit ami avait sucé le vieux monsieur à cause de la boîte ouverte.
• Ne me regarde pas avec ces yeux-là, ma Reine, je suis bisexuel.
J’ai vu que tu me voyais dans le club sucer le vieux monsieur, c’était un accident, je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est la première fois que je trompais Corentin.
Ne te tracasse pas, je lui ai dit, comme pour nous.
Fais de lui un homme, les autres se fichent de lui, car il est le seul de tous les joueurs de l’équipe à être puceau.
La boîte, toujours la boîte, mais Corentin rebande après le traitement de son petit ami.
Je m’allonge, je l’attire à moi, il entre dans mon vagin.
La maman que je suis veut que pour mon premier dépucelage, reste dans la mémoire du jeune homme, je l’enserre par mes jambes, le callant impeccablement en moi.
Je vois Christian se placer derrière lui, il me desserre les jambes, se place et comme cela s’est passé pour moi, lui ayant mis simplement de la salive sur l’anus, il l’encule.
Mon jeune amant, du moins celui qui est en moi, m’apporte un grand plaisir.
Il semble en être de même pour lui.
La façon dont Christian l’a sodomisé montre qu’ils ont l’habitude de se donner du plaisir.
Ce qui est étrange, c’est qu’à chaque fois que mon premier amant donne un coup dans l’anus de mon deuxième amant, la verge du deuxième est propulsée vers l’avant me faisant un effet monstrueux.
En peu de temps le petit m’apporte l’orgasme que toute femme espère atteindre et ils éjaculent chacun dans le réceptacle les recevant.
Ce sont des jeunes chiens fous !
Un petit temps de repos, où je vais chercher une bouteille américaine de bulles sans alcool et ils sont très vite prêts pour un second round.
Quand je passe dans la salle me rendant dans la cuisine, je m’admire devant ma glace en pied.
Ne suis-je pas une magnifique salope, mais je sais à cause de quoi, j’en suis arrivée à un tel degré de perversité !
• Véronique, jouons au petit train !
• Ça consiste en quoi ?
• Une locomotive et deux wagons, que faut-il pour relier des wagons ?
• Je te vois venir, je n’ai rien pour introduire et fixer les wagons, je suis sûre de faire la locomotive.
Si on joue, c’est moi qui vais désigner qui fera le deuxième wagon, c’est toi Christian • Sûrement pas, je ne me fais pas sodomiser, c’est Corentin qui s’y colle.
• Alors le jeu s’arrête là.
• Si je dis oui ma Reine, c’est à une seule condition, nous étions venus t’inviter à notre entraînement de demain soir, l’entraineur est absent et c’est moi qui le remplace.
J’ai parlé de toi à l’équipe et ils souhaitent faire de toi la marraine de l’équipe.
Je comprends mieux pourquoi il a pris l’habitude de m’appeler ma Reine, alors je donne mon accord.
Qu’ai-je à crainte, ils sont certainement nombreux, ils ne vont pas me violer.
• Aller, c’est bon, demain je n’ai rien à faire et Benoît est de service à l’hôpital. Passe me chercher à 19 heures, mon employée fera la fermeture.
C’est ainsi que je finis cette partie de jambes en l’air en faisant Tchou, Tchou.
C’est normal, je suis la locomotive.
Une nouvelle fois, je tourne ma tête et les wagons se sont raccrochés.
J’ai dépucelé Corentin qui dépucelle l’anus de Christian son copain, tout cela sans que le parchemin ne se soit manifesté.
Le lendemain, je suis à l’heure. Il fait beau, petite blouse décolletée en arrondi, montrant le début de ma vallée, pantalon tergal rouge moulant mes fesses et ballerines assorties.
• Véronique, ne dis surtout pas aux autres que je me suis fait enculer. Ils savent que je suis bi, mais j’ai toujours juré que personne ne rentrerait dans ma rosette.
• Ne crains rien, placé comme je l’étais, je n’ai rien vu pourtant j’ai beaucoup aimé faire la locomotive.
• Tu veux que je t’avoue, j’ai beaucoup aimé faire le premier wagon, mais chut, c’est un secret entre nous.
• Voilà comment l’entraînement va se passer.
Le reste du temps, il m’explique tout ce qu’il va faire faire aux avants, pendant que Corentin s’occupera des trois quarts.
Il est demi de mêlée, c’est pourquoi c’est un petit gabarit.
Bref, je ne pige rien mais en match ils sont quinze sur le terrain, avec des remplaçants sur le banc de touche.
Un point que je devrais éclaircir, Corentin est-ce en taille ou par sa bite qu’il est de petite taille ?
Quand je l’ai dépucelé, il m’est apparu très normal de ce côté-là.
Arrivés, Christian me présente à ses copains, ils sont tous en tenues correctes.
Le tour du vestiaire fait, je les laisse, dans quelques minutes, il risque d’y avoir des bites à l’air et comme une imbécile, j’ai amené la boîte.
Le dernier que je salue, c’est Corentin, j’adore sa jolie frimousse, aussi je lui fais un baiser au coin des lèvres.
Je sors accompagné par Christian sous les Oh ! Oh ! des joueurs ayant vu mon geste.
• Mets-toi dans la tribune, je suis sûr que l’ensemble de l’équipe est prêt à faire de toi sa Reine ou si tu préfères leur marraine, surtout après le geste que tu as eu envers Corentin.
Je vais y retourner, car il va avoir du mal à expliquer ton geste.
• Si tu veux, je retourne leur expliquer.
• Non, les orgies comme dans la boîte libertine, surtout avant l’entraînement, très peu pour moi,• Messaline.
• Avez-vous des toilettes pour les dames ?
• Suis-moi.
Il me conduit.
Je n’ai pas encore de problème de vessie à mon âge, mais je le tire dans les toilettes et je me colle à lui.
Je vois, vous pensez que la boîte s’est ouverte !
Non, je suis simplement une Messaline en puissance et j’ai senti que mon étalon était prêt.
Il soulève ma jupe, arrache mon string et me plante directement, me clouant le long de la paroi.
Il a peu de temps, aussi notre copulation est presque bestiale.
J’ai de plus en plus de plaisir dans ces situations qui pourraient apparaître comme glauques à certains, mais que je trouve formidable depuis que je les pratique.
Quand je jouis simultanément avec mon amant, je me fiche que le vestiaire soit proche du lieu où il vient de me baiser.
• Excusé d’avoir été un peu longue.
Quand je sors, suivi de Christian, un des joueurs attend pour aller se soulager.
• Secouez-la bien quand vous aurez fini.
Je retourne dans ma tribune et Christian hilare va vers le vestiaire.
L’entrainement commence, je dois dire que je m’emmerde un peu.
Certains poussent une espèce de forme en bois où Christian ajoute des poids aux poids qui y sont déjà.
Corentin fait travailler l’autre partie du groupe à se faire des passes pendant un temps qui me paraît interminable.
Christian vient vers moi.
• Véronique, les gars ont préparé une petite fête après cet entraînement.
Mais avant nous allons faire un petit match, onze contre onze, j’y retourne.
Il me quitte, la partie commence, ça cour, c’est plus intéressant.
Après cinq minutes, ce qu’ils appellent un ailier se blesse à quelques mètres de moi.
• Véronique, tu es en tenue légère, prends sa place
Je ne veux pas, mais ils insistent.
• Véronique, Véronique, Véronique.
Christian m’ouvre la barrière, je fais mon entrée triomphale.
• Véro, arrête-le, plonge-lui dans les jambes.
L’un des trois-quarts fait un mouvement de pied et me passe, sans que je comprenne ce qui m’arrive, pour aller aplatir son ballon derrière moi, mais j’ai compris.
La deuxième fois, j’arrive à lui attraper la jambe, je la tiens comme une morte de faim, avant de lui planter mes dents dans la cuisse.
Que se passe-il après, rideau !
Une masse de joueurs me tombent dessus, je dois perdre connaissance.
• Véronique, Véronique, réveille-toi !
Je sens que l’on m’empoigne et que je suis portée par la plupart des joueurs vers les vestiaires.
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