COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les femmes du parc (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les femmes du parc (1/1)
C’est par un matin de printemps que profitant des premiers rayons chauds du soleil que ce phénomène s’est déclenché.
J’étais assis sur un banc à donner du pain que j’avais apporté aux moineaux quand une femme est venue s’asseoir sur le banc face à moi.
Un moment j’ai cru avoir une hallucination auditive.
• J’espère que Julien sera à l’heure, je sens déjà son sexe en moi, j’ai un quart d’heure d’avance, c’est long d’attendre.
Je suis étonné que les pensées de cette femme soient parvenues jusqu’à moi.
Moins de dix minutes et un beau gosse est arrivé, elle s’est levée l’a embrassé et ils sont partis pour qu’il lui mette, mais on connaît la suite.
Est-ce un phénomène unique ou vais-je entendre les pensées de la prochaine personne s’assayant sur ce banc ?
J’attends 5 minutes et une petite vieille vient s’asseoir en face de moi.
Elle est fluette et malingre montrant, hélas, qu’elle est dans les dernières années de sa vie.
Sa vie, qu’avait, elle put être.
D’un coup je la revois dans la fin des années trente avant la guerre lorsque son corps de jeune fille d’une vingtaine d’années s’éveille à la vie.
C’est drôle, là aussi je l’entends me raconter son histoire.
La guerre est déjà déclarée et la ville du Havre où j’habite subit de nombreux bombardements.
Je rejoins l’abri le plus proche et je descends dans le souterrain prévu pour cela.
Les bancs placés par les autorités sont occupés et un jeune homme pousse tout le monde pour me faire une place.
Nous sommes serrés et j’ai l’impression d’être assise sur ses genoux.
Au début, les bombes semblent nous épargner, mais rapidement le bruit se fait plus menaçant.
Arrivé l’une des dernières, nous sommes assis très près de la porte et la bombe qui a dû tomber à quelques mètres de nous provoque un vacarme jamais entendu chaque fois que je suis venu dans un abri et un souffle qui arrive jusqu’à nous sous forme de poussière.
Je suis sourde et aveugle, je m’aperçois que je me suis réfugié dans les bras du garçon.
À ce moment la sirène de fin d’alerte retentis.
Je suis vivante mais sourde et aveugle, car j’ai beau me les frotter, j’ai mal et je reste sans vision.
• Viens, j’habite à côté et si la bombe a épargnée mon immeuble, je vais te laver les yeux.
• Pas la peine de hurler, je suis aveugle mais pas sourde.
• Toi aussi pourquoi tu cries, je t’entends.
• Viens, on sort, on étouffe ici.
Il me tient par le bras sa main frottant mon sein tout le temps de notre remonté moi qui suis vierge me réservant pour mon fiancé qui fait partie des travailleurs volontaires envoyés en Allemagne.
Mes yeux me piquent tellement que je n’ai aucun scrupule à le suivre alors que jamais en temps normal je ne monterais son escalier pour me trouver seul chez lui.
À un moment, je sens bien que sa main qui me tient le bras frôle mon sein mais ma fraise réagit et devient toute dure.
• Encore deux marches et nous y sommes.
Enlève ta veste que j’évite de la mouiller.
Je m’exécute pressée qu’il me passe de l’eau sur les yeux.
Je me penche et enfin je sens le froid de l’eau qu’il me projette sur mes globes oculaires.
Au bout d’un moment je suis rassurée je vois trouble, mais je vois.
• Enlève ta jupe, je vais la secouer à la fenêtre, elle est couverte de poussière.
Je dois être devenue folle de le faire et de rester en combinaison, petite culotte et soquette seule chez cet homme.
• Tu vois mieux.
• Un peu, cela revient petit à petit.
• Viens t’allonger, jusqu’à ce que tout soit en place.
Je m’allonge, il en fait de même sans que je voie que lui aussi ôte ses affaires.
Il se couche à mon côté pour finir par se coucher sur moi et en écartant le bord de ma culotte, il me dépucelle.
Lorsque je sens qu’il m’a pénétré, j’ai quelques velléités qu’il me libère, mais mon corps l’accepte et mes jambes viennent enserrer sa taille pour le recevoir bien en moi.
Je l’ai tellement bien reçu que neuf mois plus tard je mets au monde une petite fille.
À la fin, de la guerre, j’apprends que mon fiancé était resté dans une ferme en Allemagne où la fermière était veuve de son mari mort pour sa patrie.
Pierre a été un homme charmant et nous nous sommes mariés.
Le travail au Havre est rare et c’est à Paris qu’il m’emmène.
Je suis bien fichu, mais pas très grande alors les revues me refusent malgré mes années de danses et comme nous habitons à Barbès, je trouve un travail comme effeuilleuse.
Pendant plusieurs années je me suis produit nue et lorsque mes seins ont commencé à tomber, je venais de perdre Pierre quand une seule fois j’ai eu un autre homme dans ma vie.
Le seul que j’aie eu après mon regretté mari alors que dans mon milieu, on m’a proposé des fortunes pour être la pute d’homme influant dans la pègre parisienne, j’ai accepté qu’il m’aide à me faire entrer à la R.A.T.P. comme dame pipi à la station gare saint Lazard.
J’y suis resté jusqu’à ma retraite que je passe tranquillement en venant dans ce parc non loin de chez moi.
• Bonjour maman, je savais te trouver là, tu vas bien.
• Oui, j’allais rentrer, j’étais dans mes souvenirs depuis que, j’ai rencontré ton père pendant un bombardement.
Ces deux phrases des deux femmes qu’elles prononcent, je les entends directement.
Je suis étonné de pouvoir capter les pensées de ces deux femmes qui sont en face de moi sur ce banc.
Que pense sa fille ?
• Maman me quitte un peu tous les jours, elle est frappée d’alzheimer et elle perd la tête de plus en plus.
D’un autre côté, il vaut mieux qu’elle ignore que l’homme qui lui a trouvé ce travail de dame pipi m’avait fait du chantage.
Je venais d’avoir dix-huit ans et je l’ai entendu parler au téléphone qu’il allait la prostituer.
Il vantait la marchandise comme l’on dit, c’est là que j’ai mis le doigt dans l’engrenage.
Je suis allé vers lui et lorsqu’il a vu que je l’avais entendu, il a monnayé mon cul contre cette place de dame pipi pour maman.
J’ai accepté et pendant qu’elle travaillait, il me sodomisait sur la table de la cuisine voulant éviter de m’engrosser.
Un jour il est arrivé et par habitude j’ai commencé à baisser mon short.
• Arrête, va préparer un sac, tu pars pour l’Afrique.
• Jamais, tu peux toujours courir.
• Alors c’est ta mère qui y va.
J’ai cédé, j’ai écrit un mot à maman et j’ai pris l’avion pour Dakar au Sénégal. Arrivée à l’aéroport une mère maquerelle m’attendait.
• Une jolie doudou blanche, mes clients vont apprécier.
Avoir une bite dans le cul par un gros porc où une bite noire ne m’a posé aucun problème.
En France, j’étais la pute de mon beau-père ici, je suis la pute des hommes les plus influence du pays, j’étais celle qui avait le meilleur rendement et qui rapportait le plus d’argent à la boîte.
Ce que j’aimais avec ces hommes, c’est que la légende des grosses bites noires est vraie, le nombre d’années où je me suis allongé pour en recevoir est un outil statistique très fiable pour le confirmer car quelquefois j’avais du mal à me les faire entrer.
À un moment, j’ai été considérée comme la plus vieille pute de Dakar et comme mon rendement a baissé et que la maquerelle est morte, je suis sa remplaçante depuis plusieurs années.
Il y a un mois que je suis revenu en France, quand j’ai été prévenu que maman était très fatiguée.
Je retournerais à Dakar dès qu’elle aura rejoint son Pierre comme elle dit et je rejoindrais le seul homme dans ma vie qui est comptée pour moi un des anciens présidents ayant quitté le pouvoir sans mettre le bordel dans son pays et qui malgré nos âges me fait grimper très haut au sommet de notre plaisir.
• Viens, maman la fraîcheur tombe, je te ramène.
Ces deux femmes partent sans que jamais je les revoie, la maman à dut quitté sa fille qui a dû reprendre sa route vers Dakar.
Étonnante vie.
Dès qu’elles partent un homme d’une quarantaine d’années s’assoit à leur place.
Est-ce que le phénomène fonctionne avec cet homme ?
• J’en vois un, mignon le gars.
Je regarde à droite et à gauche je suis le seul gars dans le secteur.
• Cherche pas mec, je vais te sucer ya queue sans problème.
Tirons-nous, cela marche avec les hommes aussi et il a des vues sur moi ?
Tiens, il attaque.
• Vous avez du feu.
• Non.
Et sans demander mon reste, je quitte le parc.
Pas de chance, pendant quelques jours, la pluie tombe, je dois attendre le retour des beaux jours pour revenir sur ce banc attendant qu’une femme vienne se placer face à moi.
J’attends quelques instants une dame très élégante vient s’asseoir.
Je me connecte, cela marche…
J’étais assis sur un banc à donner du pain que j’avais apporté aux moineaux quand une femme est venue s’asseoir sur le banc face à moi.
Un moment j’ai cru avoir une hallucination auditive.
• J’espère que Julien sera à l’heure, je sens déjà son sexe en moi, j’ai un quart d’heure d’avance, c’est long d’attendre.
Je suis étonné que les pensées de cette femme soient parvenues jusqu’à moi.
Moins de dix minutes et un beau gosse est arrivé, elle s’est levée l’a embrassé et ils sont partis pour qu’il lui mette, mais on connaît la suite.
Est-ce un phénomène unique ou vais-je entendre les pensées de la prochaine personne s’assayant sur ce banc ?
J’attends 5 minutes et une petite vieille vient s’asseoir en face de moi.
Elle est fluette et malingre montrant, hélas, qu’elle est dans les dernières années de sa vie.
Sa vie, qu’avait, elle put être.
D’un coup je la revois dans la fin des années trente avant la guerre lorsque son corps de jeune fille d’une vingtaine d’années s’éveille à la vie.
C’est drôle, là aussi je l’entends me raconter son histoire.
La guerre est déjà déclarée et la ville du Havre où j’habite subit de nombreux bombardements.
Je rejoins l’abri le plus proche et je descends dans le souterrain prévu pour cela.
Les bancs placés par les autorités sont occupés et un jeune homme pousse tout le monde pour me faire une place.
Nous sommes serrés et j’ai l’impression d’être assise sur ses genoux.
Au début, les bombes semblent nous épargner, mais rapidement le bruit se fait plus menaçant.
Arrivé l’une des dernières, nous sommes assis très près de la porte et la bombe qui a dû tomber à quelques mètres de nous provoque un vacarme jamais entendu chaque fois que je suis venu dans un abri et un souffle qui arrive jusqu’à nous sous forme de poussière.
Je suis sourde et aveugle, je m’aperçois que je me suis réfugié dans les bras du garçon.
À ce moment la sirène de fin d’alerte retentis.
Je suis vivante mais sourde et aveugle, car j’ai beau me les frotter, j’ai mal et je reste sans vision.
• Viens, j’habite à côté et si la bombe a épargnée mon immeuble, je vais te laver les yeux.
• Pas la peine de hurler, je suis aveugle mais pas sourde.
• Toi aussi pourquoi tu cries, je t’entends.
• Viens, on sort, on étouffe ici.
Il me tient par le bras sa main frottant mon sein tout le temps de notre remonté moi qui suis vierge me réservant pour mon fiancé qui fait partie des travailleurs volontaires envoyés en Allemagne.
Mes yeux me piquent tellement que je n’ai aucun scrupule à le suivre alors que jamais en temps normal je ne monterais son escalier pour me trouver seul chez lui.
À un moment, je sens bien que sa main qui me tient le bras frôle mon sein mais ma fraise réagit et devient toute dure.
• Encore deux marches et nous y sommes.
Enlève ta veste que j’évite de la mouiller.
Je m’exécute pressée qu’il me passe de l’eau sur les yeux.
Je me penche et enfin je sens le froid de l’eau qu’il me projette sur mes globes oculaires.
Au bout d’un moment je suis rassurée je vois trouble, mais je vois.
• Enlève ta jupe, je vais la secouer à la fenêtre, elle est couverte de poussière.
Je dois être devenue folle de le faire et de rester en combinaison, petite culotte et soquette seule chez cet homme.
• Tu vois mieux.
• Un peu, cela revient petit à petit.
• Viens t’allonger, jusqu’à ce que tout soit en place.
Je m’allonge, il en fait de même sans que je voie que lui aussi ôte ses affaires.
Il se couche à mon côté pour finir par se coucher sur moi et en écartant le bord de ma culotte, il me dépucelle.
Lorsque je sens qu’il m’a pénétré, j’ai quelques velléités qu’il me libère, mais mon corps l’accepte et mes jambes viennent enserrer sa taille pour le recevoir bien en moi.
Je l’ai tellement bien reçu que neuf mois plus tard je mets au monde une petite fille.
À la fin, de la guerre, j’apprends que mon fiancé était resté dans une ferme en Allemagne où la fermière était veuve de son mari mort pour sa patrie.
Pierre a été un homme charmant et nous nous sommes mariés.
Le travail au Havre est rare et c’est à Paris qu’il m’emmène.
Je suis bien fichu, mais pas très grande alors les revues me refusent malgré mes années de danses et comme nous habitons à Barbès, je trouve un travail comme effeuilleuse.
Pendant plusieurs années je me suis produit nue et lorsque mes seins ont commencé à tomber, je venais de perdre Pierre quand une seule fois j’ai eu un autre homme dans ma vie.
Le seul que j’aie eu après mon regretté mari alors que dans mon milieu, on m’a proposé des fortunes pour être la pute d’homme influant dans la pègre parisienne, j’ai accepté qu’il m’aide à me faire entrer à la R.A.T.P. comme dame pipi à la station gare saint Lazard.
J’y suis resté jusqu’à ma retraite que je passe tranquillement en venant dans ce parc non loin de chez moi.
• Bonjour maman, je savais te trouver là, tu vas bien.
• Oui, j’allais rentrer, j’étais dans mes souvenirs depuis que, j’ai rencontré ton père pendant un bombardement.
Ces deux phrases des deux femmes qu’elles prononcent, je les entends directement.
Je suis étonné de pouvoir capter les pensées de ces deux femmes qui sont en face de moi sur ce banc.
Que pense sa fille ?
• Maman me quitte un peu tous les jours, elle est frappée d’alzheimer et elle perd la tête de plus en plus.
D’un autre côté, il vaut mieux qu’elle ignore que l’homme qui lui a trouvé ce travail de dame pipi m’avait fait du chantage.
Je venais d’avoir dix-huit ans et je l’ai entendu parler au téléphone qu’il allait la prostituer.
Il vantait la marchandise comme l’on dit, c’est là que j’ai mis le doigt dans l’engrenage.
Je suis allé vers lui et lorsqu’il a vu que je l’avais entendu, il a monnayé mon cul contre cette place de dame pipi pour maman.
J’ai accepté et pendant qu’elle travaillait, il me sodomisait sur la table de la cuisine voulant éviter de m’engrosser.
Un jour il est arrivé et par habitude j’ai commencé à baisser mon short.
• Arrête, va préparer un sac, tu pars pour l’Afrique.
• Jamais, tu peux toujours courir.
• Alors c’est ta mère qui y va.
J’ai cédé, j’ai écrit un mot à maman et j’ai pris l’avion pour Dakar au Sénégal. Arrivée à l’aéroport une mère maquerelle m’attendait.
• Une jolie doudou blanche, mes clients vont apprécier.
Avoir une bite dans le cul par un gros porc où une bite noire ne m’a posé aucun problème.
En France, j’étais la pute de mon beau-père ici, je suis la pute des hommes les plus influence du pays, j’étais celle qui avait le meilleur rendement et qui rapportait le plus d’argent à la boîte.
Ce que j’aimais avec ces hommes, c’est que la légende des grosses bites noires est vraie, le nombre d’années où je me suis allongé pour en recevoir est un outil statistique très fiable pour le confirmer car quelquefois j’avais du mal à me les faire entrer.
À un moment, j’ai été considérée comme la plus vieille pute de Dakar et comme mon rendement a baissé et que la maquerelle est morte, je suis sa remplaçante depuis plusieurs années.
Il y a un mois que je suis revenu en France, quand j’ai été prévenu que maman était très fatiguée.
Je retournerais à Dakar dès qu’elle aura rejoint son Pierre comme elle dit et je rejoindrais le seul homme dans ma vie qui est comptée pour moi un des anciens présidents ayant quitté le pouvoir sans mettre le bordel dans son pays et qui malgré nos âges me fait grimper très haut au sommet de notre plaisir.
• Viens, maman la fraîcheur tombe, je te ramène.
Ces deux femmes partent sans que jamais je les revoie, la maman à dut quitté sa fille qui a dû reprendre sa route vers Dakar.
Étonnante vie.
Dès qu’elles partent un homme d’une quarantaine d’années s’assoit à leur place.
Est-ce que le phénomène fonctionne avec cet homme ?
• J’en vois un, mignon le gars.
Je regarde à droite et à gauche je suis le seul gars dans le secteur.
• Cherche pas mec, je vais te sucer ya queue sans problème.
Tirons-nous, cela marche avec les hommes aussi et il a des vues sur moi ?
Tiens, il attaque.
• Vous avez du feu.
• Non.
Et sans demander mon reste, je quitte le parc.
Pas de chance, pendant quelques jours, la pluie tombe, je dois attendre le retour des beaux jours pour revenir sur ce banc attendant qu’une femme vienne se placer face à moi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Bonjour. Original et rafraichissant, bravo !
Merci que cela vous plaise
Bonjour. Très intéressant !