COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Lui ou Elle, Elle ou Lui (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2018 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Lui ou Elle, Elle ou Lui (3/3)
Obligé de venir diriger l’entreprise de ma femme après ce qui nous est arrivé pour donner suite à un orage dans la montée vers Chennevières rentrant pour notre nuit de noces chez mes beaux-parents.
J’ouvre la séance de la réunion du matin, je les remercie d’être venus et je donne la parole à Christian.
Tout se passe bien jusqu’au deuxième dossier où il émet une idée suivie rapidement par l’homme à qui j’ai vu la bite aux toilettes hommes et qui est le comptable de la boîte.
• Christian, vous permettez, on s’arrête, je ne suis pas d’accord avec vous deux, vous signé avec l’autre société et vous laisser tomber votre idée, je me suis renseigné et cette boîte n’est pas saine, on passe au vote.
• Pas la peine, tu es majoritaire.
• J’aime te l’entendre dire.
Je suis content de me venger de celui qui m’a fait vibrer avant moi, mais je n’ai pas de difficulté, le mail que j’ai lu dans la messagerie de Viviane était assez explicite.
La réunion va se terminer lorsque j’éternue, je prends mon mouchoir et aux yeux de tous, je sors mon string, je m’essuie le nez, j’ai l’impression que tous ont vu mon erreur, même si je réagis vite et que je le range.
Je lève la séance, satisfait de la manière dont j’ai géré ce moment délicat.
Midi, j’appelle Louison.
• Vous êtes prête à partir.
• Je vous attends à ma voiture.
Tutoiement, vouvoiement, je sais que je peux la tutoyer dans mon bureau, mais je ne prends pas le risque lorsque j’appelle par l’Interphone, ignorant si d’autres personnes sont avec elle.
Lorsque je sors, j’ai envie de téléphoner à Viviane pour le joli petit cul qu’elle m’offre en ayant une liaison avec sa secrétaire.
Je n’aurais jamais pensé même en rêve bouffer une chatte de femme en étant femme moi-même, le cerveau d’un homme devenant lesbien, beaucoup de mes congénères voudraient être à ma place.
Je me dirige vers le parking sans savoir qu’elle voiture, elle possède, il y a une centaine de voitures sur une dizaine de rangs, où est-elle ?
J’ai fait trois rangs lorsque je vois au dernier, une main qui me fait des signes,je la rejoins et je monte.
• Qu’est-ce que tu nous fais aujourd’hui, ce sont tes vacances ou ton mariage qui t’ont perturbé, tu sais bien que je me gare au dernier rang pour partir plus discrètement afin que personne ne se doute de notre liaison ?
Surtout, que tu dois reconnaître la voiture que tu m’as offerte pour mon anniversaire, c’était le plus beau cadeau que l’on met fait de ma vie.
J’espère que tu t’es éclaté avec ton mec, je suis restée seule à compter les jours, souviens-toi ce que tu m’as promis la dernière fois, j’en ai rêvé pendant ton absence.
Allô, Viviane, qu’est-ce que tu as promis à Louison, j’aurai mon sexe, je la bourrerai à fond jusqu’à ce qu’elle me demande grâce, qu’est-ce que deux lesbiennes font à part se brouter le vagin ?
J’ai vu des pornos, à oui, elle se frotte la chatte cela à l’air de bien leur plaire, des godes, je n’en ai pas à moins que la petite n’ait du matériel.
Tout va trop vite, une voiture, moi pour mon anniversaire, j’ai eu droit à une cravate avec un dessin de Titi.
À Malakoff, elle déclenche la grille d’un parking souterrain avec sa télécommande et ouvre la porte, elle se gare et nous montons dans l’ascenseur.
Alors que nous arrivons sur son palier, elle me susurre.
• Tu vas voir, tout est prêt.
Qu’est-ce qu’elle veut dire, pourquoi autant de sous-entendu ?
• Entre, va vite dans la salle de bains, tu trouveras tout ce que tu m’as dit d’acheter, je t’attends dans notre chambre, je serai prête.
Encore des interrogations pour moi, encore une histoire de porte lorsqu’elle entre par celle de gauche.
À droite deux portes vitrées, sûrement salle à manger et cuisine, à droite une porte après celle où elle est entrée, louper les toilettes, ça peut servir, il reste deux portes l’une doit être un placard et oui encore loupées, enfin, la dernière, la baignoire est bien là.
Sur une chaise, des objets surprenants sont posés, un ensemble cuir difficile à concevoir l’ensemble est en cuir souple.
Je vois trop bien ce qu’il me faut mettre sur moi après mettre dévêtue.
Guêpière, bas résille, porte-jarretelles botte montante à mi-cuisse et gants comme le reste noir, le dernier objet posé sur la chaise après que j’ai eu passé l’ensemble, c’est une cravache de concours hippique.
Lorsque je suis prête et que je me regarde dans la glace me montrant en pied, je me fais peur, une vraie dominatrice, la pure réplique de Charlotte Rampling dans Portier de nuit.
C’est donc cela que j’ai promis à Louison la veille de son mariage, je lui ai promis de lui caresser le cul avec la cravache alors que je pensais qu’elle se contentait de se brouter le minet.
Il y a deux portes à part celle par laquelle je suis entré, je n’ai vraiment pas de chance avec les portes, car j’entre dans une chambre où il n’y a personne certainement la chambre d’amis.
La deuxième est la bonne, elle est nue sur le lit une main attachée au lit en fer par des menottes.
Elle est à quatre pattes la croupe offerte.
• Attachez-moi l’autre main, c’est la seule chose que je n’ai pas pu faire.
• Patronne, j’ai été méchante pendant votre absence, j’ai pensé que Gratien votre mari me prenait dans la même position, c’est mal, punissez-moi, je suis une méchante fille.
Jamais au grand jamais je n’ai eu des idées sados ou masos, je me vois mal commencer aujourd’hui.
Je monte sur le lit, lui attache sa main libre, c’est drôle que j’apparaisse dans ce jeu de rôles, m’a-t-elle vu et fantasme-t-elle sur moi, je me place derrière elle et je lui caresse la croupe.
• Oui, caressez-moi maîtresse Cruella, avant de me donner la bonne fessée que je mérite.
À chaque fois qu’elle me parle, elle me déconcerte de plus en plus, pourquoi ai-je gardé la cravache à la main ?
Je lui passe la main sous le ventre et j’attrape son clito que je caresse du bout des doigts.
• Qu’est-ce que vous me faites aujourd’hui maîtresse Cruella, vous savez très bien depuis le temps que les caresses sont inefficaces sur mon bouton, pincez-le, fais-lui mal vieille salope, vous vous êtes éclatée pendant huit jours pendant que je me desséchais alors allez y, faite-moi jouir avec votre cravache ?
Sans que mon cerveau d’homme ne me commande, je pince son bouton et je la vois se tortiller.
• Enfin, vous retrouvez, c’est un bon début, servez-vous de la cravache, comme vous me l’aviez promis.
Un petit coup part sans mon assentiment, mes mains ne sont plus commandées par mon cerveau, un coup, deux coups de cravache et une volée de coups qui zèbre son postérieur même si Viviane qui est en partie moi doit me commander de faire attention que la spatule au bout de la cravache frappe bien à plat.
La première fesse bien rougie, ma femme me fait comprendre de changer la cravache de main afin de recommencer le même traitement sur l’autre.
Je dis bien ma femme car ce ne peut pas être mon cerveau qui commande le traitement que je fais subir à Louison bien qu’elle semble appréciée vue, ce qu’elle ramasse sur son fessier.
• Continuez maîtresse, je vous aime, mangez-moi la chatte maintenant, vous savez que je dégouline, vous allez vous régaler.
Au moment où je me baisse et que mes lèvres viennent se glisser entre les grandes lèvres de ma soumise mon sentiment une fois de plus est étrange, car, homme ou femme, sucée, c’est sucer et je le fais toujours à toutes les femmes que j’ai connues.
Ce qu’il y a de bien avec Louison sait qu’il est vrai qu’elle ruisselle.
• Défaites-moi les menottes, maîtresse, vous m’avez assez puni, je vais être une gentille fille.
Drôle, le sentiment de déjà vue lorsque je la suçais est complètement différent lorsque nos langues trouvent nos vulves.
Jamais on ne m’a si bien léché, car l’intérieur de ma chatte est très sensible à ses petits coups de langue, lorsqu’elle s’attaque à mon clito, nouvelle sensation pour moi.
Elle me fait démarrer un orgasme lorsque ses dents viennent le pincer et même carrément le mordre, d’un coup, je comprends que, tout à l’heure, elle ait aimé les coups, la douleur peut être aussi jouissive que les mouvements doux de sa langue.
Nous avons un orgasme réciproque et nous nous retrouvons dans les bras l’une de l’autre.
Dans la voiture pour le retour, une idée me vient.
• As-tu le double des clefs sur toi, je voudrais te faire une surprise.
• Bien sûr, c’est le double que je voulais que tu prennes lorsque nous avons pendu la crémaillère après que tu me l’as offert pour les uns ans de notre relation.
Une voiture, un appartement, pourquoi m’a-t-elle épousé, la vengeance est un plat qui se mange froid.
Le soir en rentrant, je trouve un homme plein de compassion pour sa petite femme, mon époux me baise faisant de moi une femme comblée.
Au matin, mes plans sont chamboulés, Viviane est Viviane, Gratien est Gratien, qu’à cela ne tienne, changement de programme.
Je prends le risque, que les deux femmes parlent entre elles, à midi, je les vois partir s’amuser à leurs jeux pervers, grâce aux clefs, je les suis et quand elles sont dans l’appartement, j’attends qu’elle s’amuse.
Je surgis, Viviane est attachée par une main, laissant libre l’autre menotte, je saisis Louison et je l’attache.
• Gratien, que fais-tu là, bien sûr, je suis bête, Louison vous êtes venues hier midi !
• Que veux-tu dire, bien sûr nous étions ensemble ?
La volée de cravache que j’assène aux deux femmes est une douce vengeance, elles sont en levrette et je retrouve pleinement ma position de Maître dominant, j’ignore si le phénomène d’inversion va se reproduire, mais je suis fortement décidé à régner sur mon petit harem.
Que c’est bon à tour de rôle de les enculer, leur faisant voir que je suis Maitre Gratien.
J’ouvre la séance de la réunion du matin, je les remercie d’être venus et je donne la parole à Christian.
Tout se passe bien jusqu’au deuxième dossier où il émet une idée suivie rapidement par l’homme à qui j’ai vu la bite aux toilettes hommes et qui est le comptable de la boîte.
• Christian, vous permettez, on s’arrête, je ne suis pas d’accord avec vous deux, vous signé avec l’autre société et vous laisser tomber votre idée, je me suis renseigné et cette boîte n’est pas saine, on passe au vote.
• Pas la peine, tu es majoritaire.
• J’aime te l’entendre dire.
Je suis content de me venger de celui qui m’a fait vibrer avant moi, mais je n’ai pas de difficulté, le mail que j’ai lu dans la messagerie de Viviane était assez explicite.
La réunion va se terminer lorsque j’éternue, je prends mon mouchoir et aux yeux de tous, je sors mon string, je m’essuie le nez, j’ai l’impression que tous ont vu mon erreur, même si je réagis vite et que je le range.
Je lève la séance, satisfait de la manière dont j’ai géré ce moment délicat.
Midi, j’appelle Louison.
• Vous êtes prête à partir.
• Je vous attends à ma voiture.
Tutoiement, vouvoiement, je sais que je peux la tutoyer dans mon bureau, mais je ne prends pas le risque lorsque j’appelle par l’Interphone, ignorant si d’autres personnes sont avec elle.
Lorsque je sors, j’ai envie de téléphoner à Viviane pour le joli petit cul qu’elle m’offre en ayant une liaison avec sa secrétaire.
Je n’aurais jamais pensé même en rêve bouffer une chatte de femme en étant femme moi-même, le cerveau d’un homme devenant lesbien, beaucoup de mes congénères voudraient être à ma place.
Je me dirige vers le parking sans savoir qu’elle voiture, elle possède, il y a une centaine de voitures sur une dizaine de rangs, où est-elle ?
J’ai fait trois rangs lorsque je vois au dernier, une main qui me fait des signes,je la rejoins et je monte.
• Qu’est-ce que tu nous fais aujourd’hui, ce sont tes vacances ou ton mariage qui t’ont perturbé, tu sais bien que je me gare au dernier rang pour partir plus discrètement afin que personne ne se doute de notre liaison ?
Surtout, que tu dois reconnaître la voiture que tu m’as offerte pour mon anniversaire, c’était le plus beau cadeau que l’on met fait de ma vie.
J’espère que tu t’es éclaté avec ton mec, je suis restée seule à compter les jours, souviens-toi ce que tu m’as promis la dernière fois, j’en ai rêvé pendant ton absence.
Allô, Viviane, qu’est-ce que tu as promis à Louison, j’aurai mon sexe, je la bourrerai à fond jusqu’à ce qu’elle me demande grâce, qu’est-ce que deux lesbiennes font à part se brouter le vagin ?
J’ai vu des pornos, à oui, elle se frotte la chatte cela à l’air de bien leur plaire, des godes, je n’en ai pas à moins que la petite n’ait du matériel.
Tout va trop vite, une voiture, moi pour mon anniversaire, j’ai eu droit à une cravate avec un dessin de Titi.
À Malakoff, elle déclenche la grille d’un parking souterrain avec sa télécommande et ouvre la porte, elle se gare et nous montons dans l’ascenseur.
Alors que nous arrivons sur son palier, elle me susurre.
• Tu vas voir, tout est prêt.
Qu’est-ce qu’elle veut dire, pourquoi autant de sous-entendu ?
• Entre, va vite dans la salle de bains, tu trouveras tout ce que tu m’as dit d’acheter, je t’attends dans notre chambre, je serai prête.
Encore des interrogations pour moi, encore une histoire de porte lorsqu’elle entre par celle de gauche.
À droite deux portes vitrées, sûrement salle à manger et cuisine, à droite une porte après celle où elle est entrée, louper les toilettes, ça peut servir, il reste deux portes l’une doit être un placard et oui encore loupées, enfin, la dernière, la baignoire est bien là.
Sur une chaise, des objets surprenants sont posés, un ensemble cuir difficile à concevoir l’ensemble est en cuir souple.
Je vois trop bien ce qu’il me faut mettre sur moi après mettre dévêtue.
Guêpière, bas résille, porte-jarretelles botte montante à mi-cuisse et gants comme le reste noir, le dernier objet posé sur la chaise après que j’ai eu passé l’ensemble, c’est une cravache de concours hippique.
Lorsque je suis prête et que je me regarde dans la glace me montrant en pied, je me fais peur, une vraie dominatrice, la pure réplique de Charlotte Rampling dans Portier de nuit.
C’est donc cela que j’ai promis à Louison la veille de son mariage, je lui ai promis de lui caresser le cul avec la cravache alors que je pensais qu’elle se contentait de se brouter le minet.
Il y a deux portes à part celle par laquelle je suis entré, je n’ai vraiment pas de chance avec les portes, car j’entre dans une chambre où il n’y a personne certainement la chambre d’amis.
La deuxième est la bonne, elle est nue sur le lit une main attachée au lit en fer par des menottes.
Elle est à quatre pattes la croupe offerte.
• Attachez-moi l’autre main, c’est la seule chose que je n’ai pas pu faire.
• Patronne, j’ai été méchante pendant votre absence, j’ai pensé que Gratien votre mari me prenait dans la même position, c’est mal, punissez-moi, je suis une méchante fille.
Jamais au grand jamais je n’ai eu des idées sados ou masos, je me vois mal commencer aujourd’hui.
Je monte sur le lit, lui attache sa main libre, c’est drôle que j’apparaisse dans ce jeu de rôles, m’a-t-elle vu et fantasme-t-elle sur moi, je me place derrière elle et je lui caresse la croupe.
• Oui, caressez-moi maîtresse Cruella, avant de me donner la bonne fessée que je mérite.
À chaque fois qu’elle me parle, elle me déconcerte de plus en plus, pourquoi ai-je gardé la cravache à la main ?
Je lui passe la main sous le ventre et j’attrape son clito que je caresse du bout des doigts.
• Qu’est-ce que vous me faites aujourd’hui maîtresse Cruella, vous savez très bien depuis le temps que les caresses sont inefficaces sur mon bouton, pincez-le, fais-lui mal vieille salope, vous vous êtes éclatée pendant huit jours pendant que je me desséchais alors allez y, faite-moi jouir avec votre cravache ?
Sans que mon cerveau d’homme ne me commande, je pince son bouton et je la vois se tortiller.
• Enfin, vous retrouvez, c’est un bon début, servez-vous de la cravache, comme vous me l’aviez promis.
Un petit coup part sans mon assentiment, mes mains ne sont plus commandées par mon cerveau, un coup, deux coups de cravache et une volée de coups qui zèbre son postérieur même si Viviane qui est en partie moi doit me commander de faire attention que la spatule au bout de la cravache frappe bien à plat.
La première fesse bien rougie, ma femme me fait comprendre de changer la cravache de main afin de recommencer le même traitement sur l’autre.
Je dis bien ma femme car ce ne peut pas être mon cerveau qui commande le traitement que je fais subir à Louison bien qu’elle semble appréciée vue, ce qu’elle ramasse sur son fessier.
• Continuez maîtresse, je vous aime, mangez-moi la chatte maintenant, vous savez que je dégouline, vous allez vous régaler.
Au moment où je me baisse et que mes lèvres viennent se glisser entre les grandes lèvres de ma soumise mon sentiment une fois de plus est étrange, car, homme ou femme, sucée, c’est sucer et je le fais toujours à toutes les femmes que j’ai connues.
Ce qu’il y a de bien avec Louison sait qu’il est vrai qu’elle ruisselle.
• Défaites-moi les menottes, maîtresse, vous m’avez assez puni, je vais être une gentille fille.
Drôle, le sentiment de déjà vue lorsque je la suçais est complètement différent lorsque nos langues trouvent nos vulves.
Jamais on ne m’a si bien léché, car l’intérieur de ma chatte est très sensible à ses petits coups de langue, lorsqu’elle s’attaque à mon clito, nouvelle sensation pour moi.
Elle me fait démarrer un orgasme lorsque ses dents viennent le pincer et même carrément le mordre, d’un coup, je comprends que, tout à l’heure, elle ait aimé les coups, la douleur peut être aussi jouissive que les mouvements doux de sa langue.
Nous avons un orgasme réciproque et nous nous retrouvons dans les bras l’une de l’autre.
Dans la voiture pour le retour, une idée me vient.
• As-tu le double des clefs sur toi, je voudrais te faire une surprise.
• Bien sûr, c’est le double que je voulais que tu prennes lorsque nous avons pendu la crémaillère après que tu me l’as offert pour les uns ans de notre relation.
Une voiture, un appartement, pourquoi m’a-t-elle épousé, la vengeance est un plat qui se mange froid.
Le soir en rentrant, je trouve un homme plein de compassion pour sa petite femme, mon époux me baise faisant de moi une femme comblée.
Au matin, mes plans sont chamboulés, Viviane est Viviane, Gratien est Gratien, qu’à cela ne tienne, changement de programme.
Je prends le risque, que les deux femmes parlent entre elles, à midi, je les vois partir s’amuser à leurs jeux pervers, grâce aux clefs, je les suis et quand elles sont dans l’appartement, j’attends qu’elle s’amuse.
Je surgis, Viviane est attachée par une main, laissant libre l’autre menotte, je saisis Louison et je l’attache.
• Gratien, que fais-tu là, bien sûr, je suis bête, Louison vous êtes venues hier midi !
• Que veux-tu dire, bien sûr nous étions ensemble ?
La volée de cravache que j’assène aux deux femmes est une douce vengeance, elles sont en levrette et je retrouve pleinement ma position de Maître dominant, j’ignore si le phénomène d’inversion va se reproduire, mais je suis fortement décidé à régner sur mon petit harem.
Que c’est bon à tour de rôle de les enculer, leur faisant voir que je suis Maitre Gratien.
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