COLLECTION FANTASME. Allo, êtes-vous plombier ? (1/2) - histoire érotique

• Allo, êtes-vous plombier ?
• Si vous appelez, c’est que vous avez fait SOS dépannage plomberie, oui je suis plombier !
• Pourriez-vous venir, la canalisation dans ma cuisine est bouchée ?
• Vous savez, nous sommes beaucoup sollicités, j’ai peu de temps de libre dans mon planning de travail !
• Je suis veuve depuis deux ans, mon mari m’a laissé largement de quoi vivre, si vous faites un effort, je saurais vous récompenser !
• Où habitez-vous, je verrais s’il m’est possible de trouver un moment pour passer vous voir.
• Rue charriot au numéro trente, le grand pavillon blanc, impossible de le louper lorsque l’on est dans ma rue.
• Vous avez de la chance, je travaille sur un chantier deux rues plus loin.
Si vous voulez, je peux passer entre midi et deux, pour une fois, je ferais régime, ça ne pourra pas me faire de mal.

Des dépannages pour dépanner, c’est le cas de le dire, il m’arrive d’en faire un de temps en temps.
Les gratifications que cela me rapporte sorte de la compta tenue par Aglaé ma femme et ça me permet de satisfaire plus largement ma passion du jeu le dimanche matin, plus précisément aux courses du jour.
Dernièrement, j’ai fait ce petit genre de dépannage, j’ai joué plus gros que d’habitude et j’ai gagné de quoi changer notre voiture familiale, pas une neuve, mais une grosse berline avec peu de kilomètres.

• Bonjours madame, je suis le plombier, allons voir cette canalisation bouchée !
• Merci de venir me dépanner, vous savez, c’est assez dur pour préparer à manger de descendre au garage, laver les légumes de mon jardin.

La cinquantaine, cette femme qui m’a dit être veuve, ce qui semble être confirmé par les deux alliances autour de son annulaire est très bien conservée.
Je lui dirais bien deux mots de prêt, mais le fantasme de la femme faisant venir le plombier pour se faire baiser, depuis vingt ans que je pratique, ça reste un pur fantasme.

• Avez-vous défait le siphon, souvent les déchets s’accumulent et ça finit par boucher ?
• C’est déjà arrivé et c’est mon mari, paix à son âme, qui l’avait débouché.

Je défais le siphon sous levier, à part quelques impuretés loin de pouvoir boucher la tuyauterie, le bouchon est ailleurs.

• Je vais devoir passer le furet, mais avant je vais voir dans le sous-sol, si plus bas, le tuyau est démontable.

Je laisse la cliente dans sa cuisine, après qu’elle m’ait montré la porte pour descendre à l’étage inférieur.
Canalisation directe jusqu’à un coude permettant le branchement de l’évier dans ce sous-sol.
Travail de fainéant, si ceux qui ont fait l’installation avaient placé un système démontable, une bassine, trois colliers à défaire et le tour était joué.
Deux solutions, furet pour déboucher où je reviens pour placer ce système démontable.
Un devis, rapide et je remonte.

• Voilà le problème !

Le devis accepté, le siphon remonté, je quitte le pavillon, je reviendrais demain, encore à midi, pour couper et placer le système démontable.
Le lendemain, je suis à l’heure, je fais le travail, avec mon expérience, tout est rapide à part un peu d’eau sur le carrelage.
Bien sûr, j’avais raison, le bouchon était là.
La cliente en robe la veille est en peignoir, mais ça m’est déjà arrivé sans pour cela qu’il se passe la moindre chose.
Je l’ai dit sauter la cliente par le plombier, c’est un simple fantasme.

• Remontons, on va faire couler de l’eau pour voir si tout fonctionne.

Retour dans la cuisine, l’eau coule, ça marche encore une cliente satisfaite.

• J’ai encore une canalisation de bouchée, avez-vous amenez votre furet !

Contre toute attente, Marie ôte son peignoir, elle est nue.

• Pour le devis, je vous ai préparé du liquide comme prévu, si vous débouchez mes canalisations, je vous ai dit que vous auriez une gratification.

Pour la première fois, les fantasmes deviennent réalités .
Je sais, Aglaé ma femme, mais un petit coup de canif dans le contrat, faut savoir ce lâcher.

• Tire sur les fermetures éclaire, tu pourras découvrir mon furet, tu sais, il est loin d’être extraordinaire.

La nouvelle combinaison de travail que m’a offert ma femme est très pratique, on tire, ça s’ouvre en deux parties faciles à défaire pour aller aux toilettes.
Elle tire, c’est ma verge qui apparaît.
Pour tester mon furet, Marie le prend dans sa bouche.
C’est la première fois qu’une autre femme que la mienne me pompe depuis mes vingt ans, vingt ans de plomberie et vingt ans de fidélité.
Comme je l’ai dit, le fantasme du plombier s’était peut-être pour d’autres.
Mais moi, j’ai toujours fait ceinture.

• Viens, allons dans ma chambre !
• Si tu avais le fantasme de baiser avec un plombier, de mon côté lorsque j’ai rencontré une salope comme toi, mon fantasme était de la baiser ici, dans sa cuisine, mets toi à quatre pattes.

Elle lâche ma bite et se pose sur le carrelage.
Devant mes yeux j’ai un cul fort appétissant, celui d’Aglaé a pris du volume avec l’âge, il faut dire qu’elle est accro au chocolat.
Au moment où mon furet entre dans sa tuyauterie, j’ai cette pensée pour le cul de ma femme et le chocolat.
C’est vrai que la facture de ce produit de consommation a largement augmenté dans notre budget proportionnellement à l’expansion de son cul.
Différence entre deux femmes, mais rapidement différence dans leur façon d’aborder l’orgasme.
Non, l’orgasme se serait prétentieux de parler de lui aussi tôt dans notre fantasme du plombier.
Aglaé est muette les rares fois où je lui pilonne la chatte, est-ce la promiscuité avec Ludo, notre fils, nos chambres étant mitoyennes.
Avant, je la faisais meugler, après sa naissance elle a cadenassé sa bouche ayant peur d’être entendue !
Pour Marie, ces bien différents, les voisins ou voisines étant à des dizaines de mètres de nous les fenêtres étant fermées.
Son plaisir monte crescendo à mes grands coups de bite, commençant par des ha !
Comme si elle était surprise après quelques années sans pratiquer le passage d’un furet, surtout le mien, dans sa chatte en feu.
L’intensification de ses cris m’incite à encore accélérer le rythme jusqu’à l’explosion de sa tuyauterie, lorsqu’un orgasme la dévaste.
Un temps elle s’étale sur le carrelage les cuisses écartées, je veux prendre mon plaisir à mon tour, Aglaé me refuse la sodomie, elle trouve ça dégradant.
Mon furet a faim de cette rondelle, aussi je me couche sur ma proie et sans plus attendre, je l’encule.
Les ah ! de tout à l’heure sont remplacés par des ho ! certainement de surprise, mais en bon plombier je souhaite que toutes les canalisations soient bien vérifiées et sans risque que de nouveau elle ne se bouche.
Les ho ! comme les ha ! s’accélèrent, mais c’est moi qui flanche, mon furet est en bout de course et je lui remplis le fondement par de longs jets de sperme.

• Je vais me laver, tu m’as fait retrouver ma jeunesse, tu viens avec moi !
• L’évier va me suffire et ainsi je vérifierais l’écoulement avant de retourner finir le chantier que j’ai quitté pour venir te dépanner.
• Deux minutes, je reviens et je vais te faire une assiette pour te redonner des forces, merci d’avoir si bien entretenue mes tuyaux.

Une fois remis en état présentable pour moi, en remontant ma fermeture, je vois Marie revenir ayant juste passé une petite culotte rose, ce qui a tendance à me faire rebander.
Il faut être raisonnable, moi aussi je vieillis et si Aglaé ce soir a des envies, même s’ils sont de plus en plus rares, il faut que je sache me ménager.
Le plat qu’elle me présente est succulent et me remet en forme, elle semble avoir préparé son coup magistralement pour mon plus grand plaisir.

• Tu m’as bien dit que tu avais un chantier très proche !

Est-ce pour ses tuyauteries qui ont besoin d’entretien ou pour ses tripoux auvergnats que j’accepte de revenir le lendemain et jusqu’au vendredi veille du week-end.
Ça va s’avérer très reposant comparé à la folie intense que nos fantasmes ont déclenchée en elle et en moi indirectement bien que je baise de temps en temps avec ma femme...